Destin regarde toujours la jeune femme, avant de suivre des yeux son doigt et de regarder le panneau. Il eu un léger moment d'hésitation, comme ayant peur de la réponse. Pouvait-il vraiment avoir tort ? Lui ? Le grand Destin ?! Tremblant il porta alors son regard vers le panneau et vit le magnifique homme en robe. Ou femme. En tout cas c'était à apparence humaine. Tout le monde aurait pût se tromper, boudidou ! Ça ne ressemble à rien ! Ça pouvait même être un truc pour travestis, ou que sais-je encore !
« Oh. Merde. Je ne parlerais qu'en présence de mon avocat ! » Dit-il, légèrement surpris de son erreur.
De toute façon, ce n'était pas sa faute. Au pire, il attaquera la piscine en justice si elle voulait lui casser les roustons à propos de son entrée dans le vestiaire des femmes. Il était puissant, et si la directrice était une femme - quoi que, un homme aussi, on peut toujours s'arranger - c'était gagné d'avance. Mais bref, il n'avait pas vraiment eu le temps de réfléchir, la jeune femme l'attrapant alors pour l'entraîner derrière une rangée de casiers. La cause était bientôt révélée.
Des femmes arrivaient dans le vestiaire !
Oh god, damn'it ! Ce dit le gentleman violeur. Là, il était dans de beaux draps. Il avait une réputation ! De pervers, soit, mais de pervers raffiné. Pas le genre à aller tranquillement dans des vestiaires féminins pour reluquer tout le monde d'une manière aussi brutale qu'expéditive. Sur le coup, la jeune femme l'avait bien sauvé. Néanmoins, quelque chose d'autre attira son attention. En effet... elle venait de presser sa poitrine contre son torse. Doux toucher que celui-là, n'es-pas ? Enfin, sur le coup, un petit sourire apparût sur ses lèvres, le frisson de l'interdit... Mmhh, c'était quelque chose qui pimentait souvent. Il approcha alors à son tour sa tête de son oreille, pressant un peu plus son torse contre sa poitrine
« C'est plutôt à moi de te dire ça ~ » Dit-il, d'une voix suave.
A ce moment, il glissa ses mains derrière son dos, le massant doucement. Il glissa ses doigts le long de sa colonne, et claqua discrètement des doigts, histoire qu'elle n'entende pas, histoire d'augmenter le nombre d'hormones sexuelles et ainsi commencer à l'excité. Pas beaucoup, mais assez pour lui donner une légère envie. Ses caresses en disaient long sur ses intentions, mais elles ne touchaient pour le moment aucune parties sensibles, il attendait simplement une réaction pour l'analyser et faire en conséquences.