Une soirée trépidante (PV Yura)

Alors que la nuit était tombé depuis maintenant 3 ou 4 heures, Carmody pénétra à l'intérieur de l'auberge du coucher de Lune. Une journée bien ordinaire aujourd'hui, quelques fidéles à l'église, 1  exorcisme assez rapide et un démon qui l'avait attaqué. Ce dernier avait vite compris sa douleur quand Carmody lui démonta les articulations en lui tirant des balles anti démons. Pour finir, il lui avait broyé la tête sous ses chaussures de combat. Rien de tel que quelques verres d'alcool pour bien finir la journée.

Il était vêtu ce jour la d'un costume noir avec son col de prêtre et d'une veste en cuir noire arrivant au sol. Sur sa tête, un chapeau Stetson et enfin des rangers en guise de chaussures. A l'interieur de sa veste, sous son aiselle gauche, un  pistolet colt python à canon long, à munitions spéciales. A sa ceinture, un couteau Bowie, dont la lame avait subi un traitement spécial pour blesser les démons.

ne fois rentré, il jeta un oeil aux quelques clients dans la salle avant de se diriger sans un mot vers le bar. La, il s'assit en face du comptoir et prit commande.

- Un double scotch s'il te plait.

Il aimait bien tutoyer les gens dés le premier contact, il préférait la franchise aux manières. C'est la qu'il aperçut une jeune femme qui ne passait pas inaperçu derrière le comptoir. Un fort joli brin de fille, mignnone comme tout aux cheveux blancs.

Il enleva son chapeau et le posa sur le comptoir a coté de lui.

Yura était, comme d'habitude, vêtue de l'uniforme moulant violet du bar. Un uniforme qui métait ses formes en valeur. Un homme l'interpella :
- Un double scotch s'il te plait.
C'était un bel homme, la quarantaine, vêtu en noir (ce qui contraste avec ses habits habituel) et avec pour finir un joli couteau.

-Je te sers sa tout de suite

Elle n'allait pas se gêner à tutoyer l'homme qui venais de l'interpeller.
PRIMO : Il la tutoyait.
DEUZIO : Elle avait eu une journée difficile.
TROISIO : Si il essayais de la draguer, et bien... qu'il essaie.

La jeune femme le servit et c'est la qu'il vit ses yeux rouges. Voila qui était encore plus étrange !

- Merci bien

Il en bu une gorgée, avant de reposer le verre sur la table.

- Tu as de bien joli yeux, dis donc. Une couleur qui s'accordent parfaitement avec tes cheveux. Mais je ne t'ai jamais vu par ici ? Tu es nouvelle ?

En plus de son joli visage, elle avait de belles formes la ou il fallait. Ce qui était loin de lui déplaire. Il sorti des billets de sa poche.

- Je t'offre à boire si tu me dis ton nom, choisis ce que tu veux et trinques avec moi 

Lorsqu'elle se tourna pour le servir, elle remarqua qu'il regardais ses yeux avec étonnement.

-Merci bien. Fit-il.

Décidemment, Yura aimais bien se personnage ! Il venait de l'inviter cordialement et sincerement a boire un verre. Elle ne peut refuser.

-Je ferais des heures supp' demain ! Aujourd'hui j'arrete ! Aboya t'elle a quelqu'un au fond des cuisines pas très propres du bar.

Elle fit le tour du comptoir, s'asseillit à coté de l'homme et demanda a la serveuse juste un fond de rhum.

-Mon nom est Yura. J'aimerai connaitre le tien. Si sa ne te déranges pas.

Dit-elle entre deux gorgées de rhum. Elle rapprocha sa chaise de lui et se rapprocha suffisament pour lui murmurer :

-A moins que tu ne veuilles me le dires dans un endroit plus calme ?

Étonnamment, la jeune femme n'hésita pas une seconde avant d'accepter sa proposition. Elle se retrouva bientôt à coté de lui. Elle préférait le rhum, semble t il. Il aimait bien cela aussi, mais il le préférait mélanger avec autre chose, en cocktail, comme un mojito par exemple.

- Eh bien, si tous les emplois étaient aussi souple...

Elle s’appelait Yura, un nom qui sonnait Japonais.

- Moi c'est John Carmody, mais tu peux m’appeler John

En observant les atours de la jeune femme une fois encore, son regards s'attarda sur le bas de son dos. Quel ne fut pas sa surprise de voir une queue touffue. Non, il n'y en avait non pas une, mais il en compta neuf ! Sa pour une surprise, c'était étrange, mais pas désagréable, sa lui allait bien.

- C'est jolie ça

Elle lui proposa ensuite de s'installer dans un endroit un peu plus tranquille. Ce n'était pas pour lui déplaire. Et puis on ne savait jamais comment une soirée pouvait finir quand on se retrouvait dans un endroit intime avec une jolie créature.

- Ma fois, pourquoi pas ? Si tu connais un endroit plus tranquille, je te suis volontiers.

Il bu une autre gorgée de whisky.

- C'est toujours très plaisant de passer un moment en charmante compagnie. Es tu une terranide ? 

-Effectivement, j'en suis une.

Inutile de dire qu'elle etait une demi-déesse et une princesse !
Pour cacher le manque de prudence qu'elle avait fait elle ajouta vite.

-Mon ancien maitre ma offert libération.

Il venait de lui demandé si elle connaissait un endroit plus tranquille, elle en connaissait des tas ! Cependant, elle joua la prudence :

-Heu si se n'est pas trop loin, on peut aller chez toi ?

Elle esperait que la réponse soit "oui", car elle n'avait aucunement envie d'aller chez elle, ou le sang de ses victimes avant remplacé la couleur du papier peint.

Elle lui proposa de se rendre chez lui.

- Je pensais aller ailleurs mais si tu y tiens, on peut effectivement aller chez moi, ce n'est pas loin.

Après avoir respectivement fini leurs verres, ils sortirent de l'auberge et le prêtre conduisit la jeune femme en sa demeure, ou plutôt en son église. Car il vivait dans une petite église dont il avait la garde et ou il accueillait les fidèles. Même si en général, les hommes et les femmes ou autre créature qu'il recevait étaient souvent des gens paumés.

Ils marchèrent pendant une petite demi heure avant d'arriver devant une vieille église.

- Voici mon chez moi !

Ils passèrent le portail avant d'emprunter un chemin fait de pavé. Le jardin était un peu en frîche, en effet le prêtre n'avait pas vraiment le temps de nettoyer le terrain. La plupart du temps, il demandait à d'autres personnes de le faire. Quelques fois, il s'agissait même de fidéle. Le prêtre poussa la lourde porte en bois avant de  laisser passer la jeune femme.

- C'est ici que je travaille, enfin en partie, car je sorts souvent pour accomplir diverses missions.

Ils se dirigèrent ensuite vers un rideau qui cachait une porte en bois dans le fond gauche de la salle de l'église. John ouvrit la porte avec une clé en bronze et ils entrèrent. Les appartements du prêtre comportait un hall d'entrée qui menait à une salle aménageait qui comportait un coin cuisine. Il y avait également une chambre sur la gauche ainsi qu'une salle de bain avec toilettes sur la droite. De nombreuses décorations de toutes sortes ornait les murs : statues, peintures, posters, objets de collection,...
Il y avait une croix en bois sur le mur gauche, mais la plupart des déco concernait des posters de femme en lingerie, des motos ou des  armes de collection.

- Fais comme chez toi !

Il enleva sa veste et son chapeau et les déposa sur une chaise. Il enleva son holster et posa son pistolet à canon long sur la table ainsi que son gros couteau Bowie.


Il y avait un canapé devant laquelle se tenait une table basse ou s'accumuler divers cadavres de bouteille, magazines de charmes, pistolets et autres. Le prêtre rangea les magazines et mis les bouteilles vide à la poubelle. Il sortit ensuite deux verres et en servit un à la jeune femme et un autre pour lui.

- Je sais que tu aimes le rhum, tu me diras ce que vaut celui çi. Mais assiets toi

Il pris lui même place, avant de prendre la jeune femme par l'épaule.

- J'espère que la décoration ne te dérange pas ! Je ne suis pas considéré comme un prêtre respectant consciencieusement les preceptes de l'église.

- J'espère que la décoration ne te dérange pas ! Je ne suis pas considéré comme un prêtre respectant consciencieusement les preceptes de l'église.

Un prêtre ne respectant pas les préceptes de l'église... Intéressant. Toutefois, elle s'assit et pris ses aises, comme son hôte le lui avait demandé. Elle enleva la robe, en dessous se trouvait un petit décolleté noir et une mini-jupe blanche comm neige. Elle prit le pistolet du père et l'examina avec un oeil expert :

-Hmm, pas mal.

Puis, suite à ses propos, elle sortit deux six coups cachés dans ses collants et les posa sur la table :

-Mes portes bonheurs. Explicat-elle. Je sors jamais sans eux.

Elle mit ses jambes sur la table et regarda le prêtre avec attention. Elle attendait sa réaction.

La jeune femme prit effectivement ses aises, retirant sa robe. Puis elle examina le pistolet de Carmody.

- L'un des meilleurs, fait par Colt, sa t'arrache une tête. J'utilise des munitions spéciales en argent, pour tuer les démons.

Yura sortit ensuite deux pistolets, caché dans ses collants. Le prêtre en examina un. Il reconnu les initiales S W sur le coté. Il ouvrit le barillet, constata qu'il était chargé, le fit tourner et le re-rentra  dans le corps de l'arme.

- Smith et Wesson, un classique indémodable

Il reposa le pistolet sur la table, avant de regarder la jeune femme plus en détail.

- J'avoue que j'aimerais bien savoir ce que tu caches d'autres dans ses collants...

Sur ces mots, il posa une main ses genoux, avant de remonter pour caresser ses cuisses, de l’intérieur vers l’extérieur, à travers les collants. Il commença à remonter la jupe. Puis il rapprocha son visage du sien, avant de déposer un baiser sur ses lèvres.

- On pourrait s'amuser un peu, non, qu'est ce que tu en penses ?

Il ne se faisait pas attendre...

Si tu veux tellement savoir, tu n'as qu'a regarder par toi meme.

Elle se pencha pour déposer un baiser sur les lèvres de Carmody. Quand elle eu rompu leur baiser, elle le regarda comme pour appuyer sa demande.

Vas-y je ne mords pas !

Elle se mit sur un genou du pretre, tendant les jambes, pour qu'il lui enleve bien plus que ses collants...

- Tu te laisses toujours dragué par tes clients ?

Elle ne paraissait pas gêné par les avances du prêtre.

- Oh mais j'y comptes bien

La jeune femme monta sur ses genoux. John continuait de caresser ses cuisses à travers les collants. Il remonta jusqu'en haut de ses collants qui s'arrêtait à mi cuisses et le fit descendre doucement , avant de le laisser tomber par terre. Il fit de même pour le second. Il caressa ensuite ses jambes et surtout ses cuisses, désormais à nu. Il remonta sa main sous sa mini jupe, caressant le haut de ses cuisses, prés de son intimité. De son autre main, il tenait la jeune femme par la taille.



Il déposa un second baiser sur ses lèvres, avant de l'embrasser, sa langue rentrant en contact avec celle de la jeune femme. Il remonta son autre main pour caresser sa poitrine. Il commençait à être excité.