Si Raptus aimait une chose chez cette petite proie fort intéressante, ce fut tout simplement une franchise qui pouvait en démonter plus d'un, le simple fait de dire qu'elle n'en avait que faire du jeu de la divinité, ou encore de dire que sa liberté passait au seconde degrés à sa volonté de faire des doujins, tout cela aurait suffit à rendre pâle un esclavagiste classique qui aurait cherché le piège. Mais c'est justement là où c'était le plus amusant, car il n'y avait aucun piège dans les parole de l'humaine. Raptus se mit à légèrement rire en entendant l'humaine dire qu'elle voulait avoir un bon scénario pour faire un doujin, ce que la divinité savait contrairement à cette dernière c'est que le scénario était totalement écrit, s'adaptant à chaque fois que l'humaine faisait ses choix. D'ailleurs Elsa en faisait trop, Raptus jugeant qu'elle était sans doute été un peu trop coulante avec cette mortelle.
Mais par cet interlude au vrai commencement de la scène, la divinité savait à présent où frapper.
La divinité reposa le chat qu'elle avait dans ses bras, ce que Elsa ne pouvait pas savoir c'est que ses animaux étaient encore une partie de la déesse. Seulement ses chats avaient des particularités intéressantes et la divinité allait les utiliser pour stimuler la créativité de l'humaine.
- Tu vas me suivre tranquillement en haut ...
Elsa allait sans doute dire qu'elle était encore attachée, mais justement, les chaines se mirent à relâcher leurs tensions d'un coups, faisant tomber la petite mortelle sur son derrière sans la moindre délicatesse, pour s'assurer que la mortelle la suive bien, elle se mit à saisir de ses petite menottes, l'oreille droite d'Elsa pour l'obliger à la suivre. On aurait presque dit un doujin où la plus jeune domine la plus vieille, même si ce n'était qu'une simple apparence physique.
D'un coups de pied, elle ouvrit la porte en fonte, restant sur ses gonds, bien que s'encastrant contre le mur, la divinité se mit à regarder le mur marqué et dit un simple "oups", non sans regarder avec sadisme Elsa, montrant qu'elle pouvait la briser comme une simple brindille, cela n'avait qu'un but, montrer que l'humaine pouvait perdre la vie rapidement si elle mettait en colère Raptus, mais cette dernière avait d'autres projets en tête.
Elsa fut amenée dans une petite salle, ressemblant à un bureau, équipé de tout le matériel pour dessiner, le tout n'étant que des fragments du corps de Raptus, au moins on pouvait dire qu'elle savait cacher des parts d'elle-même un peu partout et à moi d'être une divinité extrêmement subtile dans la détection de ses confrères et consœurs divins, il était presque impossible de la tuer à coups sûr.
Une fois dans la salle la porte se mit à se refermer toute seule, émettant un petit grincement comme dans les manoirs abandonnées, il aurait suffit de rajouter des toiles d'araignées, rendre les couleurs plus froide et l'air plus humide pour transformer la demeure de Raptus en maison hantée. Elsa avait put constaté qu'une fois sortie de la salle où elle était enchainée, la chaleur avait disparut, laissant à présent un froid la prendre, normal car la température de la maison n'était pas bien chaude et l'humaine se trouvait trempée de sueur et en sous-vêtement, la créature s'amusait, via les chats, à voir sa culotte trempée de cyprine et son soutient-gorge gorgée de lait, mais Raptus n'en avait pas finit avec elle .La divinité se mit de nouveau à parler.
- J'ai envie de voir ton talent, tu as sur le bureau tout ce qu'il te faut, si quelque chose te manque, tu n'auras qu'à plonger ta main dans le pot où il y a un liquide noir, tu pourra en ressortir ce que ton imagination désire. Mais sache que je reste maîtresse des lieux aussi aucune de tes créations ne pourra se dérober à ma volonté.
Elle attendit que l'humaine prenne place pour se faufiler sous le bureau, le tout sans que la demoiselle ne s'en rende compte, elle attendit que le bruit du crayon parvienne à ses oreilles pour se mettre à lécher avec gourmandise l'intérieur de la jambe droite d'Elsa. La divinité allait tout faire pour que l'humaine rate son dessin, les chats ne furent pas en reste, l'un se posa sur le bas ventre de la proie et se mit à lécher les trainée de lait. Elsa pouvait ressentir des envies inavouables lui traverser la tête, l'excitant de plus en plus. Les deux autres jouait à donner des coups de pattes à chaque fois que le crayon arrivait à leurs portés.
Raptus allait voir ce que cela donnait et aviserait par la suite.