Naisho regardait le bras de là dame. Étrange... on dirait que la plaie n'était pas assez grosse pour là lame du couteau qu'il avait vu. Il devait avoir mal aperçu l'objet, ou sinon cette fille se regenerait très très rapidement, ce qui, pour un simple humain comme lui qui ne connais pas l'existence des succubes, c'est tout simplement impossible. Il pris là main de là femme et l'aida à se relever.
Je suis Naisho Yujima. Laissez-moi devinez: Vous n'étiez pas encore au courant de là réputation de ce quartier, ces sa? Vous n'êtes pas là première femme à qui je dois l'avertir que c'est l'endroit le plus dangereux de là ville, mais ces bel et bien là première fois que je fais mon intervention un peu trop tard si on peut dire sa comme sa. Eh bien Natsu, au moins maintenant vous le savez. Ces juste dommage que vous ayez croisez cet homme avant moi, mais c'est assez difficile de trouver les bonnes personnes dans ce quartier. D'ailleurs, si ça se trouve, vous allez me tuer d'en quelques instant et partir rejoindre votre assaillant après m'avoir piqué mon argent. Mais sa m'étonnerais énormément que vous soyez le genre de personne à faire sa, sa se vois dans vos yeux que vous avez étés surprise par là situation. C'est totalement normal et ne pensez pas que vous paraissez faible ou idiote à mes yeux. Vous ne passez certainement pas souvent par ici et cet homme avais un couteau. Moi aussi s'il m'aurait attaqué par l'arrière j'aurais été blesser!
Naisho regarda quelque instant Natsu. Elle était belle, ces vrai. Il ne fallait pas s'étonner qu'un de ces pervers se sois attaqué à elle de là sorte. Il à foncer sur elle comme un requin sur un humain blessé qui s'agite beaucoup dans l'eau. Si ce n'était pas lui, sa aurait été un autre, très probablement. Sauf qu'elle ne devait pas penser ça de lui, après tout il était lui aussi dans le quartier le plus dangereux de là ville.
Vous pouvez me faire confiance, je ne suis pas comme lui, si je viens ici, ce n'est pas pur m'attaquer au femme, ces juste pour relaxer. Oui,relaxer. Je viens ici pour pouvoir penser sans être dérangé par mes amis et là plupart de ces personnes qui traines ici n'oseraient même pas s'approcher de moi. Ces gens me dégoûte, à prendre les femmes comme vous pour des objets, leur objet plus précisément. On dirait une mentalitée digne de l'époque de mon arrière arrière grand-père, mais encore plus perverse et sans pitié. Vous êtes étudiante sûrement, à votre première année ici?