Il cours il cours, le portail. [Pv Izumi]

J'aimais beaucoup la bibliothèque et ce même si la lecture ne faisait pas partie de mes hobbies, en fait j'aimais surtout les jolies filles qui venaient s'y cultiver. La bibliothécaire était une connaissance de longue date, une amie et amante que j'affectionnais tout particulièrement. Et aujourd'hui encore je venais la visiter dans la réserve de l'établissement, nous avons passées une petite heure ensemble avant de nous quitter. Elle était complétement crevée et moi complétement repue, ironique non ? Le principal étant que nous y trouvions toutes deux notre compte. Avant de partir, j'ai décidé d'arpenter les allées du grand bâtiment, histoire de voir si des proies intéressantes se baladaient dans les alentours. Et totalement par hasard j'ai lu le titre du livre que venait de prendre une jeune fille : "Terra, mythe ou réalité ?" dont l'auteur n'était ni plus ni moins qu'une succube que je connaissais bien. Elle avait trouvé un système bien ingénieux pour attirer ses proies à elle, mais je n'avais pas l'intention de lui laisser la jeune fille qui partait avec le livre sous le bras, une de moins ne lui fera pas de mal.

Alors je l'ai suivie jusqu'à sa table, un petit peu isolée des autres, parfait en somme et je me suis assise à côté d'elle, surtout que je n'avais aucun livre, elle devait se demander ce que je fichais ici. Surtout que je n'étais pas habillée comme quelqu'un de studieux. Comme elle avait la tête baissée vers le livre qu'elle venait d'ouvrir, elle ne pu voir en premier que mes collants et mes bottes en cuir noires et en se redressant elle vu voir un ensemble jupe et corset rouge et noir, agrémenté de lanières de cuir et de chaines, accompagné de bracelets et autres bagues. Ainsi que moi à l'intérieur, qui l'a regardait avec insistance. Je me suis penchée vers elle en exposant volontairement mon opulente poitrine à ses yeux, puis je lui ai murmurée à l'oreille d'une voix suave :

"Tu sais ma jolie, Terra est un endroit dangereux, tu n'y tiendrais pas une journée, mais si tu tiens vraiment à y aller je peux t'y aider. Je peux même t'escorter et t'éviter de mauvaises rencontres, si ça t’intéresse suit moi un peu plus loin qu'on puisse bavarder."

Puis je me suis levée sans attendre de réponse de sa part, disparaissant au coin d'une allée, l'attendant dans une des zones d'ombre de la bibliothèque, là où personne ne venait jamais. Comme j'aimais jouer avec la nourriture, je ne me suis pas privée de la laisser reluquer mes fesses que je balançais exagérément de gauche à droite en m'éloignant. J'avais déjà en tête quelques idées pour m'amuser avec la petite humaine, pour une fois je voulais prendre mon temps, comme j'étais déjà repue je pouvais me le permettre.

Il y a une chose que je n'aimais pas, vraiment pas, que les gens me racontent leurs vies, comme si j'en avais quelque chose à faire que son frangin se soit fait enlever. J'ai souris en écoutant son récit, petite fille naïve cherche à se rendre chez les loups pour sauver son frère bien-aimé. J'ai failli éclater de rire quand elle disait ne pas me faire confiance, de toute façon confiance ou pas si j'avais voulu lui faire du mal ce serait déjà fait. Je lui ai répondu d'une voix qui n'avait rien d'amicale et même avec un certain mépris :

"Écoute bien ma petite ... Je me fout de ce que tu sais ou non de Terra, je me fout de tes questions, je me fout de ton frère et je me fout de ton avis ou de te donner des preuves. Si j'avais voulu te faire du mal ce serait déjà fait détends toi et si je décidais de t'en faire tu ne pourrais pas lutter de toute façon. Je vais répondre à une seule de tes questions ... Terra n'est dangereuse que pour les faibles comme les humains ou les terranides, nombre de créatures puissantes y vivent. D'ailleurs le livre que tu t'apprêtais à lire a été écrit par une succube, dans le but d'attirer les humains vers un portail menant directement à son antre. Sans que tu le sache je t'ai déjà sauvée, car si tu avais suivie les indications du bouquin tu aurais finie attachée à un lit pour satisfaire sa libido."

Je me suis rapidement approchée d'elle, puis je l'ai attrapée par la main, tirant dessus tandis que j'aspirais sa force vitale. Réduite à l'état de légume elle me tomba dans les bras, immobile, mais consciente, je lui ai alors susurré à l'oreille :

"Je ne suis pas humaine non plus, pour faire simple disons que je suis une sorte de vampire, mais je ne laisse pas de traces de morsures. Pratique non ? Tu veux savoir ce que j'y gagne à t'aider ? C'est simple, un divertissement et aussi de la nourriture à portée de main, je vais t’emmener sur Terra et tout de suite, que tu le veuille ou non. Je vais te permettre de rechercher ton frère et en échange tu devras m'amuser et me nourrir."

Je l'ai ensuite chargée sur mon épaule, comme on prend un sac de pommes de terre et je l'ai emmenée au fond de cette rangée tristement célèbre. Dans un petit recoin sombre se trouvait l'un des portails tant recherchés, j'ai souris puis j'ai dis à hautes voix à la petite humaine :

"Tu vois ce truc là ? C'est ton billet pour Terra et moi je suis ton billet pour le retour, donc si tu veux revoir la Terre un jour tu as intérêt à me traiter avec une grande considération."

Sans lui laisser l'occasion de répondre je me suis élancée dans le portail, les murs de la bibliothèque sont devenus flous, peu à peu remplacés par une vaste prairie. Ce portail était un portail à sens unique et il se referma derrière nous, l'humaine n'avait plus d'autres choix que de me suivre. Je l'ai déposée au sol puis j'ai glissée ma main sur sa joue avant de lui redonner l'énergie que je lui avais prélevée. Elle pu de nouveau bouger et s'exprimer normalement et j'en ai profité pour lui dire avec un sourire :

"Bienvenue sur Terra, monde parallèle où vos légendes deviennent des réalités, ne me remercie pas, c'est tout naturel."

Un jour j'ai entendu un vieux proverbe venu de la Terre : "Donne un poisson à un homme, tu le nourriras un jour, apprends lui à pécher et tu le nourriras toute sa vie.". La petite humaine avait fait preuve de sagesse en me demandant de lui apprendre à se servir des portails par elle même. Et comme je savais qu'elle était consciente de son intérêt à apprendre à s'en servir, j'allais être très vigilante pour qu'elle n'y parvienne pas. Parce que personnellement j'appliquais l'inverse de ce proverbe : "Donne un poisson par jour à un homme pour qu'il soit dépendant de toi et retire lui de temps en temps pour lui rappeler qui commande.". Comme elle s'en doutait désormais, même si je ne lui voulais pas de mal en particulier, je ne lui voulais pas de bien non plus et si l'envie m'en prenait je pouvais très bien la larguer, là, tout de suite, en pleine nature.

Par contre la jeune fille avait dit quelque chose de très intéressant, quelque chose que j'adorais entendre, ces faibles naïfs qui pensaient me combler d'un simple : "Je serais prêt à tout pour vous satisfaire, mais dans les limites du raisonnable". Comme si j'avais l'intention de lui demander son avis, la bonne blague, non, il fallait qu'elle se fasse à l'idée que je n'étais absolument pas son amie et que je l'aidais pour m'amuser. Soit dit en passant, si le fait de l'enfoncer un coup pouvait me permettre de rigoler un peu je n'allais pas me priver non plus et c'est en ça que le voyage sera drôle. J'ai donc pris un ton ferme pour couper court à toute idée reçue d'un coup :

"Bon mettons les choses au clair. Je ne te donnerais absolument aucune information sur les portails et si tu essaye d'en obtenir par tes propres moyens je te réduirais à l'état de légume pour le restant de tes jours en pompant ton énergie régulièrement. Ensuite je ne suis pas ton amie, je vais t'aider à retrouver ton frère parce que ça m'amuse de te suivre pour voir comment tu vas te débrouiller. Et pour finir, concernant le divertissement je m'en occuperais seule dans un premier temps donc ne t'occupe pas de ça. Enfin bref suit moi, nous allons commencer à rechercher ton frère, il y a un village terranide pas loin, comme ils sont pour la plupart esclaves ils nous aideront si ton frère a été enlevé."

Je me suis mise en marche, sans même vérifier si l'humaine me suivait ou non, parce qu'elle n'avait pas le choix de toute façon. Elle ne le savait pas encore mais le village dans lequel je l'emmenais était assez spécial, enfin elle s'en rendra compte en temps voulu. Pour l'instant je devais l'inciter à me suivre et à m'obéir, bien que la suite soit alléchante je voulais prendre mon temps. J'avais de grands projets pour la petite humaine et peut être aussi pour son frère si on le retrouvait un jour.

Lorsque nous sommes arrivées au premier village, je n'ai rien dis à l'humaine pour voir comment elle allait réagir et je fus pas déçue. A peine arrivées cette idiote s'est empressée d'aller discuter avec tout le monde, je l'ai laissée faire attendant qu'elle soit calmée pour lui dire la vérité. Je l'ai regardée se planter lamentablement à chaque tentative d'approche en riant intérieurement, si seulement elle savait. Et lorsqu'elle est venue pleurnicher comme quoi je me foutais d'elle j'ai éclatée de rire, ce qu'elle n'a pas dû apprécier vu son regard. Je me suis finalement expliquée :

"Parce que tu t'es trompée de village espèce d'idiote, c'est le prochain qui nous intéressent, pour casser le suspens, disons que c'est une sorte de village personnel, ses habitants me vénèrent comme une déesse. Enfin ... La moitié des habitants tout du moins, mais tu comprendras plus tard. Quand à mes intentions tu les connaitras bien assez tôt, j'ai envie de te laisser languir, sache juste que ce sera long mais je t'aiderais vraiment à retrouver ton frère."

Nous avons donc continuées à marcher, jusqu'au village suivant qui était un peu étrange, déjà il n'y avait que des terranides loups et les femelles portaient toutes des chaines. Autre fait troublant, quasiment toutes les femelles étaient enceintes et le village comportait beaucoup d'habitations récentes, surement dues à une expansion rapide. En fait, il y a de cela 50 ans, j'avais aidé le chef du village à soumettre toutes ses femelles pour qu'il puise s'en servir comme simples reproductrices et son village avait eut une expansion spectaculaire, passant de la petite meute à une petite ville. Depuis toutes les femelles du village me maudissaient alors que les mâles m'adoraient telle une déesse.

Sans dire un mot j'ai emmenée la jeune humaine dans une grande bâtisse où nous allions rencontrer le chef, un grand loup noir dont la carrure imposait le respect. Lorsqu'il m'a vue il est spontanément venu vers moi avec un grand sourire, me demandant comment j'allais avant de me rouler un pantin devant l'humaine consternée. Puis je lui ai dis :

"Tu aurais bien quelques uns de tes gardes pour initier ma petite protégée ?"

"Oui bien sûr, je te les envoient."

J'ai prise l'humaine par la main pour l'emmener dans une chambre, peu après le chef accompagné de 5 loups parmi les plus massifs du village entraient dans la pièce. Le chef et deux loups vinrent sur moi et nous nous sommes allongés dans le lit, très vite je me retrouvais avec mon vagin, mon anus et ma bouche remplies par les imposants sexes de ces messieurs. J'avais beau être lesbienne, je ne disais pas non à quelques petits plaisirs de ce genre de temps à autres. Du côté de l'humaine, les trois autres loups s'approchaient d'elle, avec les vitres et portes fermées elle n'avait d'autre choix que de se laisser faire. C'était la première étape de mon plan pour en faire mon esclave. <3

Bien que je préfère les femmes ces petits loups n'étaient pas désagréables une fois de temps en temps, le seul problème des loups, c'est qu'il faut leur rappeler en permanence qui commande pour se faire respecter. Hors les trois qui étaient sur moi commençaient à se permettre quelques initiatives déplacées, comme le fait de m'agripper les cheveux. Je les ai laissés faire jusqu'à ce qu'ils arrivent au bord de la jouissance et aussi le temps de bien prendre mon pied et d'absorber une partie de leur énergie vitale. J'allais leur montrer qui était le chef dans cette pièce, j'ai mordu le sexe du loup qui se permettait de tirer ainsi sur mes cheveux, exactement comme ma future esclave à la différence près qu'il n'osa pas me gifler.

"Bon je crois qu'une petite séance de dressage s'impose ..."

J'ai pris mon élan avant de donner un violent coup de pied dans le ventre du chef qui vola en arrière pour s'écraser contre le mur d'en face, voir une créature aussi imposante se faire dégager de la sorte était assez jouissif. Mes mains sont allées chercher les deux jolies paires de bouboules des deux loups restant avant de les serrer entre mes doigts. Je me suis levée et dirigée vers le chef à terre, entrainant les deux autres que je tenais, littéralement, par les couilles. Une fois à sa hauteur j'ai levé ma jambe pour prendre de l'élan avant d'abattre mon pied de toutes mes forces dans son entrejambes, réduisant l'imposant chef à une pauvre petite boule de poil recroquevillée. D'un regard impassible et méprisant je leur ai dit :

"N'oubliez pas qui commande ici ... Léchez donc votre maîtresse mes petits chiens !"

Ils s’exécutèrent, non sans une certaine honte, mais ils savaient qu'il ne faisaient pas le poids face à une espèce vampirique en tant que simples terranides. Ils se mirent donc à lécher mon corps, mes pieds, mon intimité, mon ventre, mon cou, ma poitrine, ils furent particulièrement rigoureux de ce côté là. Sans doute voulaient ils éviter une seconde punition. Au même moment, les trois autres loups jouissaient de concert dans les orifices de ma petite protégée, qui n'était pas vraiment en sécurité ceci dit. Une fois satisfaite j'ai lâchés mes trois petits chiens, leur ordonnant d'un ton qui n'autorisait aucune réponse :

"Allez vous vider sur l'humaine et dégagez ..."

Ils s’exécutèrent à nouveau, se dirigeant vers la petite Izumi pour lui administrer une seconde dose de foutre chaud et moi je m'asseyais tranquillement sur mon lit en regardant avec un petit sourire la petite humaine se faire prendre. Au bout de quelques secondes ils se vidèrent et comme ordonné ils s'éclipsèrent nous laissant seules dans la chambre. Mon côté succube ne pouvais pas résister à la tentation de ce joli petit corps recouvert de semence, je me suis donc assise à côté d'elle, léchant son corps aux endroits où il avait été souillé, aspirant le gluant liquide avec appétit. Une fois nettoyée, je l'ai prise sur mes genoux, lui demandant simplement :

"Alors ? Prête à vivre ainsi chaque jour de ta future vie ? Ne t'en fais pas, je ne laisserais plus de mâles te souiller, du moins pas avant qu'on ai retrouvé ton précieux frère."

J'avais dis tout cela dans le but de voir sa réaction, oui j'avais bien l'intention de la forcer à coucher avec son frère lorsque nous l'auront retrouvé.