Une bien étrange prêtresse. [PV Mach ]

C'était l'hiver au Japon, la nuit la plus longue, mais aussi la plus rude de l'année, Sakura avait fait la demande à son dieux que ce dernier entre en elle, pour qu'il n'ai pas froid, le dieu ne put refuser cette demande basé sur de bon sentiment, il ne risquait pas le froid, contrairement à sa prêtresse qui grelottait et en avait presque les lèvres bleus. Le dieu voyait à travers ceux de sa prêtresse, les sens de cette dernière étant relié à lui.

Sakura fit différent bars et endroit chaud, mais à chaque fois on la chassait, avait-elle une allure de sorcière pour se faire traiter de la sorte, certes on ne voit pas souvent une demoiselle vêtue d'une simple tenue de prêtresse, ne portant ni sous-vêtement, ni chaussette, ni chaussure. Une fois chassé de plus d'un bar, elle repartie à la recherche d'une source de chaleur, la neige tombant d'un coups avec violence.

*Sakura ça va ? *

- Tant que vous allez bien Kami-sama, je vais bien.

* Je vais t'aider un peu, tourne à droite j'ai cru voir un panneau. *

Sakura obéit, son dieu lui aurait dit d'aller se jeter sous un bus, elle l'aurait fait, tout en faisant attention que son dieu ne finisse pas en purée. Elle se mit à déblayer la neige sur les panneau et vit "Piscine", elle avait parlé de ce genre d'endroit, ce n'est pas une source chaude, ni un bain public, mais c'était en général chaud.

La prêtresse entama un mouvement, quand ses jambes lâchèrent une fois de plus, elle dû se tenir avec les mains sur le métals glaciale des panneau pour éviter de tomber en avant et de faire du mal à son dieu.

* Je devrais sans doute sortir. *

- Ne vous prenez pas cette peine, je tiendrais.

Elle se remit en marche, supportant le poids de la neige tombant sur sa tête et ses épaules, le froid mordant sa peau sans pitié, le gèle insensibilisant ses pieds et ses bras, si elle restait une demi-heure dehors, elle ressemblerais vite à un bonhomme de neige.

Dix minutes s'écoulèrent et elle trouva rapidement la piscine, elle voulut passer par la porte d'entrée, mais une personne lui dit que cette dernière allait fermé d'ici cinq minute.

* Sakura fait le tour, je sens de la chaleur. *

La demoiselle suivit les ordres de son dieu et fit le tour, elle vit une porte qui n'était pas fermée avec dessus un panneau "Entrée réservé aux personnels.", elle s'y faufile et se cache dans un placard à balais, se recroquevillant le plus possible sans que cela n'appuie de trop sur son ventre où se cachait son dieu.

Une heure passa, puis deux.

*Je ne sent plus d'activité en dehors, on peu y aller, fait tout de même attention à ne pas faire tomber quelque chose, notre présence doit être masqué.*

- Oui Kami-sama, je ferais attention Kami-sama.

La demoiselle sortie de sa planque, et se dirige vers le grand bain, elle défit son vêtement sans la moindre pudeur, le laissant tomber sur le sol, puis elle plongea un orteil pour le remonter aussi vite.

- Kami-sama l'eau est chaude, vous voulez y aller Kami-sama ?

* J'y vais en premier, cela te dérange-t-il. *

- Non Kami-sama, mais faites attention Kami-sama.*

Le serpent sortie de sa cachette, faisant légèrement gémir la prêtresse, qui lutta pour ne pas contracter son vagin et rendre difficile la sortie de son dieu. Elle eut un sourire en voyant son dieu glisser sur l'eau et partie le rejoindre, elle immerge son corps en entier, retenant des gémissement sous la différence de température entre son corps froid et l'eau qui semblait brulante.

Sakura se demandait si son dieu allait prendre son apparence humaine pour jouer avec elle, puis elle se dit que cette pensée serait une offense envers son dieu. Le dieu-serpent perçu la pensée de sa prêtresse, mais fit mine de n'avoir rien entendu.

Mach n’avait pas de travail depuis quelques jours, mais, il avait suffisamment d’argent de côté pour tenir au moins un bon mois, bien qu’il rabaissait peut être cette supposition. Ainsi, après une journée à rien faire, à tourner dans la ville en passant dans les lieux où on lui donnait en général des missions, cette fois en vain, le jeune homme rentra chez lui.  Mais, n’ayant pas envie de se poser devant la télé, le jeune homme se contenta de retirer la majorité de son arsenal, conservant tout de même son poignard avant de ressortir dans le but de trouver de quoi se distraire. Et vu l’heure, environ dix sept heures, il était trop tôt pour aller boire un coup dans un bar.

Se fut lorsqu’il passa devant l’édifice municipal de la piscine qu’il eut l’idée d’aller faire quelques longueurs. Cela lui permettrait un peu de se changer les idées, tout en se détendant, sans trop non plus se la couler douce. Cependant, quand il voulut entrer, il s’aperçut que la piscine était fermée, et qu’un vigile arpentait le hall.  Mais, ce ne serait pas cela qui allait empêcher l’homme d’entrer, puisqu’il se disait qu’au moins il aurait la paix.

Mach se mit donc à chercher l’entrée de service, ou du moins du personnel et contourna le bâtiment jusqu’à la trouver. Etrangement celle-ci était ouverte, ce qui était soit un oubli, soit que des employés se trouvaient encore à l’intérieur. Cela n’empêcha pas le mercenaire de pousser la porte pour pénétrer dans la chaleur du bâtiment. Son regard arpenta alors l’endroit, mais aucun membre du personnel ne se trouvait dans les parages, et il s’approcha alors de la section bassin de l’établissement.

S’est quand il passa dans le secteur des piscines qu’il remarqua la personne se trouvant dans l’une d’elle, et visiblement dénudée, si on faisait attention aux vêtements proches du bassin. Cela indiquait aussi qu’elle n’était pas une cliente ou membre du personnel qui auraient mit leurs vêtements dans les casiers habituels et auraient revêtu un maillot. Il se dit donc bien vite que s’était-elle qui avait ouvert la porte de service.  Il décida alors d’avancer sans chercher à se cacher,  ni ne voir encore la présence du serpent dans l’eau, puisque le corps de la jeune femme le lui cachait.

- Je vois que je ne suis pas le seul à préféré pénétrer dans ce genre d’endroit par effraction pour avoir la tranquillité des lieux !

Dit le jeune homme en s’approchant du bassin commençant à se dévêtir et se déséquiper, laissant ses vêtements assez loin de l’eau pour éviter toute projection d’eau pouvant les mouiller. Il resta tout de même en caleçon pour ne pas troubler la demoiselle non plus. Il se retrouva alors à ses côtés, à seulement un mètre, et la regarda à peine, sans se soucier de la présence d’une autre personne ou non. Il plongea alors et s’éloigna de quelques mètres sous l’eau avant d’émerger de nouveau et montrer un visage exprimant la sensation de bien être qu’une baignade volontaire et dans les bonnes conditions apportait. Sans compter que la chaleur du lieu était bien plus agréable que l’extérieur où le froid hivernal mordait le corps des passants.