Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Arzhela

Humain(e)

Mal.
Oh oui, j'ai mal.
Mais pas une douleur plaisante.
Pas la douleur qui rythme certains ébats.
Non.
Une vrai douleur !
Celle qui vous brûle de l'intérieur, qui vous embrouille l'esprit, qui peut vous faire vivre un véritable
enfer tout au long d'une journée.
Cette douleur qui vous donne envie de mourir, qui annihile votre capacité de raisonnement,
qui vous fait vous demander pourquoi est-ce que vous la supportez.
Il s'agit bien de cela.
Mon poignet droit, d'ordinaire si agile et si vif, est désormais plaqué contre mon buste.
Mon chemisier blanc est taché de sang.
Je pense qu'un os de ce poignet ouvert est brisé.
J'ai entendu un craquement plus tôt.
D'ailleurs, comment me suis-je faite cela ?

C'était tôt ce matin.
Ou tard le soir pour ceux qui n'avaient pas dormi.
Encore une fois debout à l'aube, accompagnant les rayons du soleil naissant.
Je me promenais dans une ruelle.
Vide.
Déserte.
Puante.
Mon poignet droit était plaqué sur le bas de mon visage dans le vain espoir de faire disparaître cette entêtante
odeur nauséabonde qui m'agressais les narines.
Je marchai sur un rat.
Avec une grimace de dégoût, je le regardai détaler comme si sa vie en dépendait.
Je m'apprêtais à repartir lorsqu'une porte s'ouvrit et que deux hommes puant la vinasse en sortirent.
Je n'eus pas le temps de me reculer dans l'ombre que leur regard accrocha le mien,
aidés de la luminosité de leurs lampes.
Je les reconnais immédiatement. Ce sont les deux vendeurs itinérants que j'ai gruger il y a une bonne semaine,
avant de revenir dans la ville de Nexus.
J'ai subtilisé leurs vivres et leur argent. et j'ai brûlé leurs fringues et leurs charrettes où ils transportait ceci.
Pour quelle raison ?
Aucune idée.
Leurs visages, ils tentaient de faire resurgir des souvenirs dont je perçu que je ne souhaitais pas le retour.
Alors, pour pouvoir rester sans ceux-ci, j'ai voulu les réduire à l'état de mendiants et pauvre,
pour qu'ils meurent de faim.
Mais apparemment non.
Ils étaient là, et malgré leur ébriété avancée, ils réagirent vite en se jetant sur moi.
L'un d'eux avait un couteau et m'immobilisait par terre en s'appuyant sur mon bras droit.
L'autre me tenait l'autre bras en étant à califourchon sur mon ventre.
Je sentais leurs haleines avinées mêlée à la puanteur de ce dans quoi j'étais maintenant allongée.
La boue et les ordures dans mon dos...
Sans compter les autres merdes qu'il pouvait y avoir.
Je me débattais, brusquement, violemment.
Si violemment qu'en voulant récupérer l'usage de mon bras droit pour frapper celui qui me clouait au sol,
je réussi à me briser le poignet.
Un craquement sonore.
La jambe du type appuyait plus encore dessus.
Je hurlai.

En voulant me faire taire, l'homme assis sur moi m'étrangla presque.
L'autre trouvait amusant d'appuyer sur mon poignet douloureux.
Je sentais qu'au moins l'un d'eux était excité par cette situation.
Celui qui me maintenait dans les détritus à terre.
Une excroissance se faisant sentir contre mon ventre alors qu'il était penché sur moi.
Je suffoquais.
Il relâcha un peu la pression de mon cou.
Je rassemblais mes forces et mon souffle pour hurler à nouveau quand mon cri naissant
s'étrangla dans ma gorge.
Une lame s'enfonçait dans mon poignet inerte, déchirant la peau, laissant le sang couler à flot.
L'autre lui grogna de refermer la plaie, ou d'empêcher le sang de couler sinon
j'allais leur claquer entre les pattes.
C'est à contre-coeur qu'il déchira n bout de ma chemise pour venir serrer mon poignet,
rajoutant plusieurs bandes de tissus.
Je n'avais plus de manches à mon chemisier et il était maintenant ouvert sur mon ventre.
Le sang fut momentanément stoppé mais la douleur persistait, aiguë, lancinante.

Je ne tournais malheureusement pas de l'œil, aussi pouvais-je sentir que celui qui m'écrasait au sol
remontait ma jupe mi-longue noire et tirait sur le shorty assorti.
Je senti bien également qu'il me redressa,
me tenant d'une main comme on tient une poupée de chiffon,
et me plaqua contre le mur.
Mon poignet heurta les briques et je lâchais un autre hurlement qui fut couver
par une bouche violente et agressive.
Il mit fin au baiser prit de force pour venir m'attraper les cheveux et me faire pivoter.
Face contre le mur.
Je le ressenti s'insérer en moi de manière brutale, sans préparation.
Mon cri fut couvert par le mur contre lequel j'étais plaquée, sodomisée.
Position qui changea lorsque l'autre en quémanda aussi.
On me tira les cheveux et, à quatre pattes sur le sol dégoûtant,
la barrière de mes lèvres closes furent franchies.

Heureusement pour moi, je pense,
ils étaient trop excités par cette situation pour prendre trop de temps.
Quelques minutes de calvaire après, c'était fini.
Le sperme me maculait le visage et la croupe.
Comme si c'était normal, ils rangèrent leur matériel masculin et partirent en riant et parlant fort.
Couchée sur le sol, j'haletais.
J'hoquetais de douleur même.
Mon poignet était sous moi.
Trouvant la force de me relever dans la peur d'être découverte,
je longeais le mur jusqu'à disparaître dans l'obscurité.
Je savais où trouver de quoi me laver.
Mais pas où me soigner.
J'allais déjà plonger toute habillée dans le port.
L'eau salée raviva la douleur de ma plaie, mais au moins, elle la désinfectait.
Je grimaçais, allant jusqu'à me mordre la lèvre au sang pour ne pas crier,
et me débarbouillait, endolorie, épuisée.

Quand ce fut fait, je sorti de l'eau.
Ruisselante, je couru, éperdue, vers ma "tanière" où je me reposerais.


Je m'y étais assoupie une bonne heure avant de me réveiller sous la douleur lancinante.
Le poignet était bel et bien brisé, en un angle étrange.
Le bandage, refait hier après le bain de nuit, était taché de sang.
Il fallait que je trouve un médecin, ou quelqu'un qui me soigne ça en tout cas.

Et maintenant, je suis assise dans la ruelle où j'ai élu domicile.
Je m'étais mise en route pour trouver un médecin,
mais la fatigue m'avait vaincue et je me suis laissée glisser le long d'un mur.
Heureusement, la ruelle était plus propre qu'hier.
Depuis deux heures, je comatais.
Un chien errant, maigre à faire peur, me réchauffait faiblement, couchée sur mes jambes étendues devant moi.
Mes cheveux blonds étaient emmêlés, et ma mâchoire crispée sous la douleur horrible.
J'espère perdre conscience assez vite pour ne pas sentir davantage ce mal qui me ronge.
Ou alors, je souhaite qu'un individu bien intentionné passe par là.
« Modifié: lundi 09 avril 2012, 21:19:49 par Arzhela »

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Y a-t-il un Docteur dans l'assemblée ? [Free]

Réponse 1 lundi 17 janvier 2011, 00:38:40

Malheureusement, les souhaits sont une chimère qui ne deviennent pas souvent réalité, marchant dans les bas fonds des pas se firent entendre assez clairement, le chien sur les jambes se mit a courir et disparut au coin de la ruelle, voyant très vite que ce qui arrivait n'était nul autre qu'un prédateur aux dents longues. Dans la rue un homme s'arrêta devant la jeune femme, un grand type dont l'éclat du soleil couvrait le visage d'ombres. Il portait des vetements luxueux mais semblait avoir la carrure pour ne pas être agressé dans les bas fonds, a sa bouche un gros cigare. Il resta un moment devant la jeune femme a moitiée morte contre le mur et se pencha finalement pour la soulever dans ses bras. Un peu comme quelqu'un qui faisait les poubelles, un richissime clochard, il avait vu Arzhela, et il avait clairement dit :

Si personne n'en veux, je la prendrais.

Sans dire mot le colosse écarta les rues pavées misérables de la ville et emporta la jeune femme dans le monde de la lumière brulante, celle qui déchire les yeux au contact, et ne laisse que splendeur et tremblement, marchant dans la rue avec la dite jeune femme, il revint près d'un groupe de gens qui l'interpellèrent, l'homme répondit quelque chose mais le dialogue était inintelligible du a la fatigue, toujours était il que l'un des gars du groupe de jeunes gens partit en courant alors que l'homme l'emmenait dans les hauts quartiers, croisants nombres de nobles qui semblaient se demander pourquoi un homme de sa carrure s'obstinait a ramener les poubelles, le chemin se fit dans le silence complet, et sembla durer une eternitée, un long voyage...Pour s'arrêter devant un manoir. Là on grimpa avec elle a l'étage, le titan n'avait fait aucune halte, portant on corps comme si il ne s'agissait de rien et la déposa sur un lit, un docteur se trouvait déjà là, celui ci attenta aux soins de la jeune femme alors que le colosse de ténèbres repartait dans l'oubli.

Une fois celà fait, il quitta la piece et elle put entendre le bruit de la porte qu'on ferme a double tour. La chambre en elle même était une chambre de bourgeois de base, son lit avait des draps confortables et de nombreux coussins ainsi qu'une table de chevet et une lampe a huile...

Les ténèbres rampantes étaient en train de se refermer sur la jeune femme, car il n'y avait bien que le luxe pour exprimer le mal, car comme chacun sait, le pauvre est honnète, et le riche malhonnete. Peu importe a quel point un pauvre sera malhonnète...IL ne le sera jamais plus qu'un riche...


-Hj-Désolé je sais qu'on se base sur la longueur mais ton style d'écriture te donne un gros avantage :P Si tu veux que je rajoute du texte dis moi-Hj-
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

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Arzhela

Humain(e)

Re : Y a-t-il un Docteur dans l'assemblée ? [Free]

Réponse 2 lundi 17 janvier 2011, 01:17:47

-HJ : C'est parfait =). Je me base plutôt sur la matière qu'il y a dans les rp's et là, c'est tout simplement parfait ^^-

Les yeux clos, je respirais difficilement.
J'avais froid.
Ouh, très froid même.
Certes, le chien était couchée sur mes jambes et me communiquait de sa chaleur.
Mais il ne pouvait rien faire d'autre.
Et il n'était pas bien vigoureux non plus.
Un bruit lui fit d'ailleurs dresser l'oreille.
Il détala comme un lapin.
Sans doute était-il habitué à être frappé et maltraité par les gens qui passaient.
Frissonnante, je grognais faiblement de douleur alors qu'il s'était appuyé
sur mon buste -et mon poignet- pour courir au loin.
Je ne savais pas depuis combien de temps j'étais là, à mi-chemin entre conscience et inconscience.

Je n'avais pas conscience du temps qui passait, essayant de rassembler ma volonté afin de me relever.
Je fus d'ailleurs bien surprise lorsque, un long moment après que le chien m'aie délaissée,
on me souleva de terre.
J'entendis vaguement des paroles prononcées d'une voix grave.
J'ouvris difficilement un œil, et observais l'individu qui venait de me "ramasser" dans la ruelle.
Je ne l'observais pas longtemps.
Mon poignet serré contre moi, je serrais les dents de plus belle et refermait l'œil.
La soudaine luminosité ne m'aida pas non plus.
Même à travers mes paupières fermées, je sentais l'éclat du soleil me brûler les yeux.
Je tournais la tête, me réfugiant alors dans l'obscurité bienfaisante du torse de l'homme.
Plus précisément, je cherchais à masquer toute lumière et de ce fait,
je plaquais mon visage contre ce torse bien bâti.

Le faible mouvement des pas, lorsqu'il marchait, suffisait à réveiller la douleur qui me vrillais les entrailles.
Mais, puisant une volonté nouvelle dans l'espoir d'être bientôt soignée, comme je l'espérais ardemment
tout à l'heure, je ne criai pas, lâchant à peine un gémissement plaintif.
Le bruit d'une conversation se fit entendre.
Mais se termina bien vite.
Je n'en compris rien.
Sans doute trop épuisée.
Ou bien est-ce parce qu'elle n'était pas intelligible dès le départ.
J'oubliai bien vite ce détail, ma hâte d'arriver au plus vite quelque part où l'on me soignerais
prenant le dessus.
Si jamais c'était le cas.

Ma hâte me donna l'impression que le trajet durait depuis des siècles.
Mais peut-être n'était-ce que quelques minutes.
Enfin, le rythme changea.
Incapable de trouver la force d'ouvrir les yeux,
l'employant déjà à retenir des gémissements de douleurs,
je ne vis pas l'endroit où c'était.
Mais je sentis qu'on montait des escaliers.
L'homme qui me portait finit par me reposer, mais sur un lit.
Je grimaçais alors que mon poignet était bougé par les mouvements exécutés.
Réussissant à ouvrir un oeil, je pus distinguer deux personnes.
Un homme à l'air immense et super costaud, accompagné d'une silhouette plus fluette par rapport à lui.
Masculine aussi.
Un docteur sans doute car il commença à s'occuper de mon poignet.
Je me mordis la lèvre pour réprimer un cri lorsqu'il le prit, et refermai les yeux.

Je ne voyais pas le médecin s'affairer, mais je ressentais ses gestes délicats qui m'arrachaient des gémissements plaintifs.
Le poignet mal en point fut redressé -un cri s'échappa d'ailleurs à cette occasion-,
nettoyé, bandé et une attelle fut attachée.
Je soupirais doucement, tentant de respirer sans crier.
J'avais retenu ma respiration à chaque action du docteur, comme si respirer me faisais fait crier.
Je repris donc ma respiration.

J'entendis le docteur s'éloigner, et une porte se referma.
Un son de clé dans la serrure se rajouta aux bruits entendu.
Enfermée. J'étais enfermée.
Et à double tour en plus.
Mauvais signe ?
Je ne l'espère pas.
Je prie pour que ça ne soit qu'une précaution destinée à ma protection.
Bien que cette prière est loufoque car de quoi me protéger ?

Je bouge.
Le lit dans lequel je suis a tout d'un lit de luxe.
Il me semblait bien que la tenue du géant m'ayant portée était plutôt riche.
Précieuse.
Les draps et coussins du lit me poussèrent à l'inconscience.
La fatigue et la douleur assourdie aussi.
Aussi, je m'abandonnais à Morphée, mes jambes nues étant délicieusement lovée dans les draps,
mes cheveux s'étalant sur les coussins.

Je fis un songe.
Ou plutôt un cauchemar.
Le souvenir de ce matin revenait.
Plus puissant, et plus terrifiant que sur le coup.
Mais j'avais déjà vécu semblable situation.
Jamais cependant je n'avais été blessée ainsi.
Violée, oui.
Brutalisée, oui.
Mais jamais je n'avais eu d'os brisé.
Tout au plus une entorse.
Jamais quelqu'un n'avait cherché à m'ouvrir la peau.
Juste quelques égratignures dues aux coups et autres.
Cet épisode, ce viol, n'était pas le plus horrible.
Juste le plus douloureux et épuisant mentalement.

Je remuais sur le lit, cherchant à échapper à ce souvenir.
Je crois que le médecin à dû me faire une piqûre,
je n'aurais de toutes manières rien senti tant la douleur était grande,
car je me sentis partir, sombrant vers un sommeil sans rêve, réparateur.
Mais peut-être serait-il de courte durée.
Ou bien durerait-il de longues heures.
Paisible.
Mais je ne sais malheureusement pas que mon "sauveur" deviendra sans doute un ennemi.
J'ignore tout de lui.
Qui est-il ?
Que fait-il ?
Pourquoi m'a-t-il emmenée ici ?

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Y a-t-il un Docteur dans l'assemblée ? [Don]

Réponse 3 samedi 22 janvier 2011, 20:22:30

Pour le moment rien ne vint perturber le repos de la jeune femme qui avait toute la journée pour prendre le temps de se rétablir, a midi on lui emmenait un repas solide mais rafiné qui se trouvait dans des pots de fer aux bords ronds, on la nourissait et le docteur venait  régulièrement, néanmoins pas une fois on ne l'autorisa a sortir, deux terranides, surement esclaves venaient la visiter pour changer ses draps et refaire ses bandages sans dire plus, les deux esclaves étaient deux terranides adorable, une chienne et un chat. Parfois Arzhela pouvait entendre des bruits en bas, mais rien de vraiment concret a entendre, parfois de la vaisselle brisée néanmoins ou des cris...La maison semblait bien animée.

Au bout de trois jours la porte s'ouvrit et le colosse rentra dans celle ci, il portait ses vetements de nobles et elle pouvait le voir avec plus de dicernement, la peau bronzée presque noire, il était immense et musclé, il devait bien faire 130 kilos a lui tout seul, se plaçant devant la jeune femme il la regarda dans le blanc des yeux, ses yeux noirs étaient magnifique de ténèbres, très sombre, ils la regardaient avec une noirceur digne d'un étalon, son visage était agréable et bardé de cheveux crépus. Comme Arzhela ne lui parlait pas il commença.


"Ca fait trois jours que je te soigne et tu n'a posé aucune question ni rien demandé. Soit tu es bien courageuse, soit tu es muette."

Lança Don en souriant, ne se doutant pas que c'était la vérité, il repris rapidement son air dur.

"Quoi qu'il en soit tu peux m'entendre alors que celà soit clair, je t'ai receuillie alors que tu allait surement mourir d'une de ces saloperies qui trainaient dans la rue, a partir de maintenant ta vie m'appartiens. Comme tu peux le voir, si tu es obeissante tu vivra dans ce luxe, en revanche si tu cherche a n'en faire qu'a ta tête, tu connaîtra l'enfer de la vente d'esclave."

A vrai dire il était si riche, il ne pouvait être qu'un marchand d'esclave.

"Maintenant dis moi, quel est ton nom et que sais tu faire? "
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Arzhela

Humain(e)

Re : Y a-t-il un Docteur dans l'assemblée ? [Don]

Réponse 4 samedi 22 janvier 2011, 21:39:23

Je me réveillais une première fois alors que des doigts délicats s'agitaient sur mon bras,
refaisant mon bandage.
Mal réveillée, je mis un certain temps à comprendre lorsque la propriétaire de ses doigts,
une jolie petite terranide aux caractéristiques des chats,
posa ensuite un verre d'eau et deux cachets à côté de moi.
Ce ne fut que lorsque le docteur qui l'accompagnait me demanda d'avaler les cachets que je compris.
Avec un sourire d'excuse, je m'emparais du verre et avalais rapidement les-dit cachets.
La douleur sourde qui pulsait dans mon bras s'atténua rapidement.
Cachets magiques ?
Sans doute pas, mais très efficaces.
Je mangeais également, puis je me rendormis.

A mon second réveil, la lumière vive de la chambre avait baissé.
L'obscurité obligeait à allumer des lampes.
La terranide d'un peu plus tôt me demanda de me lever.
J'obtempérais.
Elle et sa camarade, une autre terranide avec des caractéristiques canines,
enlevèrent les draps et refirent le lit.
Le docteur arriva, souleva le bandage de mon poignet,
rattacha l'attelle, et hocha la tête satisfait.
J'eus encore le droit à un bon repas, et aux deux cachets.
Mais pour pourvoir à mes besoins naturels, je n'eus pas le droit de sortir.
Il se trouvait que, derrière un paravent de la pièce,
existait des toilettes.
Au moins, je n'aurais pas énormément de chemin à faire.
Je pus même me laver, une bassine d'eau chaude, un savon et des gants
étant mis à ma disposition.
Me sentant lasse, je me laissais de nouveau aller aux bras tentateurs de Morphée.

Ce fut ainsi trois jours durant.
Du moins, il me sembla que ça dura trois jours.
Les terranides étaient aimables, souriantes, et efficaces.
Aucuns de leurs gestes ne réveilla plus la douleur.
D'après le docteur d'ailleurs, ça semblait en bonne voie.
J'aurais certainement encore deux semaines à porter l'attelle
mais il n'y avait plus de risque que le poignet se ressoude mal.
Les cachets qu'il me donnait tamisaient la douleur et semblaient aider le processus de guérison.
Je me rétablissais donc assez bien.
Seul petit point noir à ce tableau : Je ne pouvais sortir de la pièce.
On me gardais confinée dans cette chambre,
certes luxueuse et décorée avec goût,
et je commençais à ressentir de l'ennui.
Je n'étais pas faite pour rester ainsi, sans rien faire.
En plus, j'avais toujours ce chemisier blanc tâché de sang.
Et la jupe mi-longue, noire, fendue,
que j'avais récupérée avant de partir de ce lieu où mon poignet avait été maltraité.
Où j'avais été maltraitée.
Alors je fis plusieurs fois le tour de la pièce,
semblant admirer la décoration et le luxe des tapisseries,
alors que je mémorisais l'ensemble de la pièce.
Je cherchais une faille qui me permettrais de sortir.
J'avais en effet de plus en plus l'impression d'être retenue en captivité.

Enfin, lorsque je m'éveillais à l'aube du quatrième jour,
la journée étant déjà bien avancée,
la porte s'ouvrit sur cet homme qui m'avais amenée ici.
Comme j'étais moitié inconsciente lors du trajet,
je ne l'avais pas bien vu.
Mais à présent...
Je pense que dans ses bras je devais peser aussi lourd qu'une plume.
Balèze le mec, musclé et bronzé. Si bronzé qu'il en paraîtrait noir.
Je frissonnais instinctivement, et je l'écoutais avec attention.

Je souris mentalement.
Je suis courageuse oui.
Je pourrais aussi jouer la muette tiens...
Mais le reste de ses paroles m'en dissuada.
Il n'avait pas seulement l'air d'être quelqu'un avec qui on ne plaisante pas.
Il devait l'être.
Son air plutôt souriant au départ était devenu dur.
Froid.
J'aurais presque eu peur si je n'avais été habituée à la violence et cruauté de certains hommes.

« L'enfer de la vente d'esclave ».
Cette expression me confirma ce que mon inconscient avait tiré comme conclusion.
Cet homme devait être un marchand d'esclave.
Et les deux adorables terranides, venues tout au long de ses trois jours,
devaient être esclaves de cette montagne de muscle.

Mes yeux, fermement fichés dans ceux d'onyx de l'homme,
ne trahirent aucune peur.
Je sais contrôler mes émotions.
Je ne suis pas effrayée, mais plutôt dans l'expectative.
J'inspirais profondément, me grattais la gorge, et répondit de manière étonnamment docile :

_ Je... On me nomme Arzhela.
Je sais.. Jouer la comédie.
Voler.
Tuer.
Procurer divers plaisirs à un homme.
Tromper.
Mentir.
Et je vous remercie de m'avoir.. Faite soignée.


Franche pour une fois,
ça ne voulait pas dire que j'étais cependant disposée à vivre tout le temps comme ça.
Je me tu ensuite, n'aimant pas parler pour ne rien dire lorsque je ne joue pas un rôle.
Mais peut-être qu'il fallait lui faire croire que j'étais moitié folle..
Oui... Peut-être bien que ça le dissuaderait.
Ou au pire, si jamais ça ne lui ôte pas l'envie de me garder,
ça aura au moins le mérite de m'amuser jusqu'à ce que je trouve le moyen de sortir d'ici.
Esquissant un sourire mi-figue, mi-raisin,
ma main valide repoussant les mèches blondes derrière mes épaules,
je murmurais comme si je pensais tout haut :

* Qu'est-ce qu'il veut ?
Il est impressionnant.
Sans doute de la race des hommes violents.
Comme les rancuniers de l'autre jour.
C'était d'ailleurs franchement injuste.
Je n'ai fait que les dépouiller.
Pas de quoi fouette un chat.
Ils ont rapidement refait leur réserve s'ils avaient assez d'or pour s'enivrer de la sorte.
Je leur ai rendu service oui.
J'aurais retardé leurs enivrement de quelques jours.
Quel duo d'ingrats..
Mais celui-là.. Que me veut-il ?
Me laissera-t-il partir ?
Tiens, je prendrais bien un peu de chocolat...
Oh, il faudra que je change de vêtements aussi.
J'espère que mon poignet se remettra vite... *


Je le regardais, comme si j'étais silencieuse.
Comme si les mots murmurés étaient des pensées inaudibles,
comme si j'étais réellement inconsciente de penser tout haut.
Après tout, ces trois jours à ne rien dire,
confinée dans cette chambre, ça aurait très bien pu réveiller une folie latente.
Je me jugeais donc plausible.
Crédible.
Je penchais la tête sur le côté avec l'air d'examiner plus attentivement le colosse d'ébène.

* Quelle masse de muscle...
Il ne doit pas avoir de mal pour casser les noisettes ou les noix.
Même les noix de coco doivent être de la rigolade pour lui.
Oh.. Il doit pouvoir broyer des crânes aussi...
Brr... Il ne faudrait pas que je l'énerve... *


Et on en remet une couche niveau pensées à haute voix.
Murmurées d'ailleurs.
Ma main valide alla d'ailleurs frotter mon bras immobilisé,
sans toutefois réveiller la douleur.
« Modifié: samedi 22 janvier 2011, 22:54:14 par Arzhela »

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Re : Y a-t-il un Docteur dans l'assemblée ? [Don]

Réponse 5 samedi 22 janvier 2011, 22:02:48

Don sourit, bien elle n'était pas muette, au contraire, elle était assez intelligente pour lui répondre de manière claire et précise, ce qu'on pouvait attendre d'une esclave...Il se massa le menton. Bien...Il tombait rarement sur des filles avec du potentiel comme Arzhela. Il allait pouvoir en faire quelque chose de bien concret qu'il n'avait plus eut depuis longtemps. Il se leva sans rien dire et toqua a la porte, une de ses terranides vint le voir

"Va chercher une robe pour mademoiselle."

Lui dit il simplement avant de se rasseoir.  Croisant les bras sur sa poitrine, Don lança a Arzhela avec le calme que sa profession demandait, un sourire aux lèvres. Don préta néanmoins attention a ses murmures d'un oreille, il n'entendait pas tout mais apparement assez pour répondre sur certains points.

"Je suis peut être un marchand d'esclave, mais je n'aime pas qu'on abime la marchandise, une belle femme ne mérite pas d'être rouée de coup, ça fait baisser sa valeur, et si elle est obeissante, elle peut demeurer eternellement belle. Si tu obeis tu n'a rien a craindre de moi."

La terranide emmena la robe et la posa a Arzhela(Hj-Ca peut être n'importe quelle robe, c'est une "récupéré" sur une proie de Don, soit imaginative :) -Hj-). DOn ne bougea pas, dut elle se changer devant lui et continua

"Je vais être franc, le marché aux esclaves a des standards, et il aime bien les jeunes femmes entre 12 et 20 ans. Oh je ne t'insulte pas, rassure toi, tu es très belle et désirable, et je pourrais sur le champ te vendre ou t'assigner comme mère pondeuse."

Il parlait de celà avec tellement de gentillesse que ça en devenait inhumain, de vente d'humain, de viol pour fournir des enfants en masse...

"Mais je pense que tu peux m'être plus utile que ça, j'ai cru comprendre, après quelques recherches, que tu fais partie d'un réseau que je n'ai pas encore infiltré : la prostitution. Je te propose un marché."[/i]

Il croisa les jambes et lança a Arzhela

"Je te laisse librement te promer où tu veux malgré ton statut d'esclave, en revanche de ton coté tu dois me localiser et m'emmener le maximum de jeunes femmes que tu puisse trouver, je te payerais même pour celles ci un salaire juteux, et un bonus si elles sont vierges. Techniquement tu sera toujours a moi, ne te voile pas la face, mais tu sera libre d'aller où tu le souhaite et tu aura ton propre argent sans compter que tu vivra comme une princesse. Pour une vulgaire putain, je trouve que c'est une belle ascenssion sociale."

Il eut un doux sourire

"Qu'en dis tu ?"
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

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Arzhela

Humain(e)

Re : Y a-t-il un Docteur dans l'assemblée ? [Don]

Réponse 6 samedi 22 janvier 2011, 22:52:14

Je ne sais pas s'il a cru à mon état de légère folie,
mais en tout cas il sembla prendre note de mes pensées à haute voix.
Après avoir demandé à ce qu'on m'apportât une robe,
il expliqua que la marchandise,
les femmes en l'occurrence,
n'avaient plus autant de valeur si elles étaient battues et/ou défigurée.
En clair, il la mettait en garde.
Il fallait que je sois obéissante pour n'être pas violentée.
Je pourrais sans doute jouer le jeu.
Cela lui éventuellement être une solution.
Et m'éviterais de me retrouver dans l'état où je suis aujourd'hui.
Il s'interrompit d'ailleurs alors que la terranide apportait une robe.
Prenant ce bout de tissu entre mes doigts,
je le portais du bout des doigts devant moi pour évaluer la robe.
Très belle facture.
Mi-longue, s'arrêtant à peine au-dessus de mes genoux,
le vêtement était fait dans un tissu que j'identifiais comme du cachemire.
Cachemire, et satin pour les doublures au niveau du décolleté.
Décolleté par ailleurs plongeant, sans toutefois être vulgaire.
De quoi mettre en valeur ma poitrine sans me donner l'air d'une catin.
De couleur azurée, elle se mariait admirablement bien avec la couleur de mes yeux.
Améthyste et cobalt, ça va toujours ensemble.
De plus, il y avait une ceinture qui soulignerait ma taille.
Ceinture en lin. Couleur sombre.

* Magnifique...
Le céruléen ne jure absolument pas avec mes cheveux ou mes yeux.
Le noir va avec tout.
Et la coupe est tout simplement divine.
Je me demande s'il l'a achetée lui-même.
Quoique j'en doute.
Elle doit sûrement être à l'une de ses propriétés.
Je le vois mal faire du shopping parmi les étales de la place publique... *


Toujours mes murmures, fallait continuer à jouer le jeu.
J'esquissais un sourire devant la robe.
Mon regard se posa sur cet inconnu devant moi,
et je compris qu'il ne partirait pas.
Soit. Je ne suis pas du genre pudique.

Posant avec soin la robe de luxe sur le matelas,
je me levais et retirais d'un mouvement leste le chemisier,
qui avait autrefois arboré la couleur immaculée,
tâché de sang séché et déchiré en de multiples endroits.
Mon soutien-gorge n'était plus qu'un souvenir.
Je crois qu'il est resté dans la ruelle avec mon shorty.
Je fus donc rapidement nue, lorsque la jupe glissa le long de mes cuisses.
Nue, mais propre.
J'attrapais la robe et l'enfilais,
glissant mes bras d'abord, en prenant soin de ne pas me faire mal au poignet,
et laissant ensuite le tout tomber sur mon corps.
Comme je l'avais deviné, le décolleté était généreux mais décent.
La jupe s'arrêtait un peu plus haut que prévu.
J'avais oublié de compter le renflement de ma poitrine dans mes calculs.
Nouant d'un geste agile la ceinture d'ébène,
je souriais doucement.
La robe soulignait ainsi ma taille fine et chaque courbe de mon corps.

Je me rassis, pas gênée pour un sou de m'être changée devant lui.
J'avais bien entendu écouté chacune de ses paroles avec attention.
J'avais d'ailleurs grimacé sur le terme "mère pondeuse".
Je haïssais les enfants.
C'était juste des petites choses qui geignaient,
qui gesticulaient, qui bavaient,
qui faisaient leurs besoins partout, etc...
A peine plus instruits qu'un chiot.
En résumé, « Beurk ! ».

Mais ses phrases suivantes avaient recentré mes pensées.
Ainsi, il pensait que je faisais partit d'un réseau de prostitution.
Oh, certes, j'ai bien joué le jeu durant quelques semaines,
mais je suis ensuite partie avec tout l'or qu'ils avaient pu se faire grâce à moi
et aux quelques jeunes femmes qui étaient avec moi.
J'avais aussi, par le passé, fait parti de quelques petits groupes divers
qui tentaient de se joindre au réseau plus grand.
Évidemment, tout ceux avec qui j'ai collaboré,
après quelques éloges sur une nouvelle recrue,
ont disparus de la circulation.

Le marché proposé par le titan à la peau tannée m'intéressa cependant.
Encore mieux que ce que j'avais toujours fait.
Surtout qu'à la mention de « Salaire juteux » mes yeux ont dû reflétés un intérêt redoublé.
La plupart des personnes auraient hésité, puis refusé.
Leur conscience leur ayant dicté ce choix,
leur ayant fait comprendre que c'était immoral.
Mais pas moi.
Si j'ai une conscience, elle est aussi muette que les personnages que je joue parfois.
Et je n'ai absolument aucune moralité.
Mon passé sans doute, bien que beaucoup de choses m'échappent.
J'ai d'ailleurs comme des réminiscence parfois.
Je découvre des choses que je sais faire, alors que je n'en ai aucuns souvenir.
C'est pratique.
J'ignorais par exemple, la première fois que je l'ai fait,
que je pouvais varier les façons de faire souffrir quelqu'un.
Ou de lui faire plaisir.
Voir même les deux.

* Belle proposition.
J'espère qu'il ne me cache pas de piège.
Tout ça m'intéresse.
Hm.. Pouvoir sortir..
Pouvoir bouger..
Le rêve.
Je n'aime pas être inactive. *


Semblant réfléchir à haute voix, toujours des murmures,
je jouait avec une mèche de mes cheveux.
Ma décision était déjà prise.
Tout accepter ce qui me permettrais de sortir d'ici,
d'être active afin de ne plus m'ennuyer.
Mais il fallait donner le change.
Jusqu'à ce que je semble avoir pris une décision.

_ Je trouve ce marché...
Absolument appréciable.
J'imagine que vous ne proposez pas cela à tout le monde...
C'est évident que j'accepte.
Où dois-je signer ?


Je venais donc de lui signifier mon accord.
Mais comment voulait-t-il conclure cette affaire ?
Y avait-il un quelconque document à signer ?
Ou bien devais-je porter quelque chose, broche ou autre,
signifiant mon accord ?
Devrais-je signer avec mon sang comme certains dérangés le demandent ?
Il y a aussi le « Être à lui » qui me chiffonnais.
J'aimais être indépendante et non sous le joug d'un quelconque maître.
Mais si ce joug était aussi lâche, je pouvais faire une exception.
Par ailleurs, si ça ne me convenait pas au bout d'un certain temps,
je pourrais toujours utiliser ce que j'ai appris pour m'enfuir.
Il faudrait dans ce cas là que je sois suffisamment maligne pour ne pas me faire reprendre.
Mais ça n'était pas un problème.

Une pensée m'effleura,
me susurrant que je devais lui préciser quelque chose.
Une impulsion subite.

_ Je dois aussi vous apprendre que je ne suis pas vraiment une pute.
J'ai jouer le jeu, à plusieurs reprises,
mais je suis partie avec les bénéfices de mon « travail »,
et de celui de plusieurs « collègues ».
Je peux bien sûr infiltrer de nouveau ces réseaux,
mais il faudra me fournir de quoi me déguiser.


Et, après avoir dit cela, je murmurais de nouveau.
Comme si mes pensées complétaient mes paroles.

* J'aime me déguiser.
Je suis une as du déguisement.
Même Tina ne m'aurait pas reconnue une fois déguisée.
Elle m'a pourtant élevée. *


Je coiffais brièvement mes cheveux,
démêlant les mèches blondes qui se rebellaient.
J'attendais de voir sa réaction.

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Re : Y a-t-il un Docteur dans l'assemblée ? [Don]

Réponse 7 samedi 22 janvier 2011, 23:06:30

Don sourit et la laissa parler, interessant cette petite manie, il pouvait voir son cheminement de pensée magnifiquement, ce qui ne rendait que plus crédible sa pantomine, il la laissa s'habiller, eh, elle n'était pas mal du tout pour une fille de cet âge et d'occasion qui plus est, comme il les qualifiait parfois quand elles n'étaient pas vierges. Il était sur qu'il allait faire de bon bénéfices avec elle. Il croisa les bras et la laissa parler de tout son saoul, elle accepta sa proposition avec enthousiasme, car il savait qu'elle l'accepterais, et il savait aussi bien des choses sur elle. Croisant a présent aussi les jambes, le colosse la laissa parler et finit par s'allumer un cigare. Un vrai monologue interieur cette petite, fascinante...

"Oh pas de problème, tu aura de quoi te déguiser ma chère. Et ne t'inquiète pas a propos du contrat. Il se trouve que je suis de ces hommes qui peuvent se contenter de la parole honnète d'une jeune femme. Mais egalement un prince marchand, et que j'ai de très bon contact avec la guilde des assassins et que si tu casse notre pacte, je te retrouverais."

Don sourit de toutes ses dents, il croyait vraiment qu'il ne savait rien sur elle ? Il s'était renseigné un minimum, et quand on avait l'argent, les renseignements n'étaient pas un problème.

"Je sais parfaitement que tu n'es pas une pute, je remarquais juste ta subtilité a entrer dans ce milieu. Et c'est un choix en effet peu commun que je te donne, soit tu va sur les devant de la scène et tu m'appelle maître, soit tu essaye de me trahir et c'est dans la cage avec un tas d'homme qui te passeront dessus toute la journée. Est ce que c'est clair?"

1 partout, balle au centre, Don montrait qu'il était d'une autre carrure que ces types qu'elle escroquait, il était un prince marchand, et en plus d'être musclé, c'était un génie. Il regarda Arzhela dans les yeux, attendant son prochain mouvement.

"Tu peux donc arrêter la comédie et me dire ton nom, ça ne prend pas avec moi."
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

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Arzhela

Humain(e)

Re : Y a-t-il un Docteur dans l'assemblée ? [Don]

Réponse 8 samedi 22 janvier 2011, 23:44:59

La pensée qui m'habite en ce moment ?
« Et merde. »
Oui, je ne m'attendais pas à tomber sur aussi subtil que moi dans les raisonnements.
Je grimaçais légèrement.
Si je partais, il fallait vraiment que je sois plus maligne que lui.
Et que la Guilde d'Assassins.
Oh, tiens..
Ce serait chouette aussi d'incarner une tueuse.
Quand on a pas de problème de conscience,
c'est un vrai plaisir je pense.
Hum.. Revenons-en à nos moutons.
J'aurais donc de quoi me déguiser.
Je ne devrais pas signer avec mon sang pour le contrat.
Et je devrais jouer à la plus maligne si je voulais le tirer.
Avais-je droit aux vacances ?

Effaçant la légère grimace de mes traits,
n'étant pas incommodée par la fumée mais juste par son intelligence,
je soupirais doucement.

_ Je ne suis pas très honnête en ce qui concerne les marchés d'ordinaire...
Mais.. Étant donné les risques que je prendrais si je ne l'étais pas cette fois-ci..
Je vous promet d'essayer de tenir ma parole.


Je me mordillais la lèvre inférieur,
réfléchissant furieusement à toutes les options qui s'offraient à moi.
Mais je réfléchissais sans en avoir l'air.
Comme toujours, quand je joue un rôle, je le joue parfaitement.
Jusqu'au bout.
Voilà pourquoi mes pensées suivantes furent dévoilées dans un murmure :

* Pas envie de finir comme un vulgaire bout de viande.
J'ai déjà donné pour ça...
Faut remarquer qu'ils ont quand même bien dégusté lorsque je me suis échappée,
puis lorsque je suis revenue pour me venger.
Haha.. C'était.. Jouissif même.
Et mortel pour eux.
Oh, j'ai jamais essayé le cigare...
Je me demande quel sensations ça procure.
Quoiqu'en y pensant, je préfèrerais essayer de rouler un de ces présidents terriens;.
Hahaha.. Ce serait un délice... *


Je souris, en réponse à mes pseudos-pensées,
et écoutais le reste de ses paroles.
Ah, il savait déjà que je n'étais pas une pute.
Tant mieux.
Au moins il n'est pas de ceux que je dois convaincre pour cela.
Hé... Minute...

Il voulait vraiment que je l'appelle « Maître » ?
Hum.. Il a des goûts de luxe aussi..
Les précédents qui m'ont demandé ça ont vite regretté.
Mais je ne crois pas pouvoir lui faire le moindre mal si j'essayais de le frapper.
Au contraire, peut-être même que je me ferais mal moi-même.
Je hochais donc la tête.
Presque trop docile pour que ça soit vrai.

Par contre...
Il ne m'a vraiment pas crue quand je lui ai dit m'appeler Arzhela ?
Pourtant, je n'ai pas pensé une seule seconde à lui mentir à ce sujet.
Quoique si en fait, mais cette pensée m'a juste effleurée.
Oh, c'est vexant.
Pour une fois que je dis la vérité, on ne me croit pas...
A croire que je pourrais lui refiler un faux nom à la place du mien.
Mais, réflexion faite, il ne vaut mieux pas.
S'il apprend par la suite le subterfuge,
je risque gros.
Il n'a pas l'air d'être le genre d'homme à qui ont ment.

_ Je ne..
Bon, d'accord, je jouais un peu la comédie.
Mais on ne peut pas me reprocher d'avoir essayer
Le fait est, par contre, que je m'appelle bien Arzhela.
Enfin je crois.
J'ai utiliser tellement de noms..
Et j'ai oublié pas mal de choses de mon passé...
Mais je vous ai dit la vérité..
Telle qu'il me semble la connaître...


Du coup, je vais sans doute arrêter de penser à haute voix.
Oh, et il voulait que je l'appelle « Maître. »
J'ai oublié.
Je le rajoute ?
Je le rajoute pas ?
Oh allez, j'vais le faire.
Pour qu'il soit plus enclin à m'accorder sa confiance...

_ ... Maître.

Oui, ça fait un peu réticent dit comme ça,
mais peut-être cela forcera-t-il son jugement
s'il croit que j'y met vraiment du coeur...

Et vlan, je re-joue la comédie.
Bah, en même temps, j'y peux rien.
C'est presque instinctif.
Je ne peux absolument pas prévoir quand est-ce que je jouerais la comédie ou non.
Juste essayer de me contenir.
Mais ça ne fonctionne en général pas très bien.

Me levant, je me dégourdis les jambes en faisant le tour de la pièce,
un de mes doigts effleurant les murs.
Je l'ai dit, je déteste rester inactive.
Lui tournant le dos, je trace distraitement le contour d'un motif,
mon bras en écharpe gardé contre mon buste.
L'attelle le soutenait,
mais il re-commençait à irradier d'une douleur lancinante bien que sous-jacente.
Oublions cela.
Concentrons-nous sur le moment présent.

_ Je me posais une question...
Etant donné ce marché...
Aurais-je le droit à des vacances ?
Ou mes déplacements seront-ils pour le « Travail » ?


Je restais toujours à redessiner distraitement les motifs du mur,
avant de continuer mon avancée.
Roulant des hanches, évidemment.
J'arrivais de nouveau auprès du lit.
Et je pris la bouteille d'eau,
déposée là un peu plus tôt,
pour en boire une longue gorgée.

_ Une dernière chose...
Enfin, je pense que ça sera la dernière.
Vivre comme une princesse,
comme vous l'avez précédemment dit,
serais-ce être libre de faire ce que je veux ?
De manger ce que je veux ?
De me vêtir comme je l'entends ?
Pardonnez-moi, mais j'ai que peu l'habitude de tout cela.
... Maître...

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Y a-t-il un Docteur dans l'assemblée ? [Don]

Réponse 9 lundi 24 janvier 2011, 00:14:15

Don sourit. malgré le fait qu'elle continue son monologue exterieur, il sentait qu'elle avait compris, brave fille. Il allait peut être en tirer quelque chose, néanmoins il allait attendre qu'elle se rétablisse pour lui apposer sa marque. Il ne voulait pas la renvoyer directement chez le medecin, un jouet comme ça serait tellement dommage a casser...Don rencontrait rarement des femmes dignes de s'allier avec elle, pas qu'il ne rencontra pas souvent des manipulatrices, non bien au contraire, après tout il en déjouait parfois les pieges, mais il avait du mal a trouver une femme avec assez de jugeotte pour reconnaitre qu'elle ne pouvait pas gagner et accepter de le servir de manière aussi directe. Et ce genre de femmes étaient des attout dévastateurs...Tant que celles ci savaient rester a leur place et n'essayaient pas de jouer aux plus malignes. Elle avait l'air de rajouter maître avec une certaine reluctance, Don lança avec un ton paternel.

"Petit a petit celà deviendra une seconde nature, je ne suis pas préssé...Pas trop préssé."

Arzhela était un beau brin de femme malgré son âge et ses blessures, et les vieux automatismes se déclenchaient, Don avait l'habitude de prendre toutes les proies qu'il faisait, cette fois ne devait surement pas faire exception a la règle. Il croisa les bras sur sa poitrine, il en voulait un bout avant, voir de quoi était capable Arzhela, après tout ce n'était pas tous les jours qu'il avait l'occasion de dégoter une femme expérimentée de cette qualitée. Il comptait bien en profiter un maximum, se levant il vint vers le lit et écarta la bouteille d'eau pour se rapprocher d'Arzhela, son visage taillé dans le roc près du fragile visage de la blonde, son souffle presque aussi proche que le sien, ses yeux noirs étaient un abysse sans fond, l'homme sourit.

"Bien, voilà ce que tu fera a présent de ta vie, maintenant je te l'avoue, le medecin coute cher, il est temps que tu justifie un peu l'investissement que j'ai fait en toi. Montre moi tes talents, si je les juge indigne je retracterais mon offre."

Histoire qu'Arzhela donne tout ce qu'elle puisse, Don était massif, il faisait au moins deux fois sa largeur d'épaule et deux têtes de plus

"J'attend."
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Arzhela

Humain(e)

Re : Y a-t-il un Docteur dans l'assemblée ? [Don]

Réponse 10 lundi 24 janvier 2011, 00:39:53

Un sourire éclaira mon visage.
Un sourire non pas amusé comme ça aurait pu l'être,
mais un sourire qui dénotait l'assurance que j'avais en mes talents.
Je n'étais pas une petite oie blanche.
J'avais parfaitement compris où il voulait en venir.
Et bien que mes premières expériences n'aient été que forcées,
j'avais développé un certain talent par la suite.
Talent que je mettais à profit pour tromper les gens.
Pour les distraire.
Pour profiter de leur crédulité.

Mon bras toujours contre mon buste,
les yeux levé vers le visage du colosse,
je susurrais :

_ Mon poignet malmené rendra mes actes moins..
Habiles, mais soyez assuré que c'est bien mieux lorsque je peux utiliser mes deux mains.
.. Maître...


Maître dont je ne connaissais toujours pas le nom
mais dont j'avais une petite idée qui germait en mon esprit.
Je ponctuais ma phrase d'un sourire aguicheur,
le bout de mes doigts valides passant sur la joue de l'homme avec douceur,
glissant par la suite dans son cou et sur son torse,
je me rapprochais encore plus de lui.
Aucune peur non.
Juste un sentiment confus qui oscillait en la fierté de montrer mes talents,
et la contrariété de devoir me plier à des ordres pour un long moment.
Toutefois,
rien de mes troubles intérieurs se manifestèrent sur mon visage;
Je restais aussi charmeuse qu'au départ.
Lentement, mes doigts s'aventuraient plus bas,
après avoir redessiné sensuellement le contour des muscles,
pectoraux et abdominaux,
par dessus le vêtement.
Ils s'aventuraient vers la ceinture du géant,
la débouclant avec une adresse acquise par l'expérience.

Même à une main, je restais douée.
Cette main remonta doucement sous le haut de mon interlocuteur,
caressant sensuellement cette peau si chaude,
avant de redescendre finir de faire glisser le pantalon le long de ses cuisses.
Le sous-vêtement qui cachait sa masculinité ne me résista pas longtemps non plus.
Et alors, une fois que cela fut fait,
c'est mes lèvres qui se posèrent sur le torse de l'homme.
Elle déposait des baisers légers,
par-dessus le vêtement,
alors qu'elles descendaient en même temps
afin de cajoler cette virilité mise à jour.

La douceur n'était que feinte.
C'était pour démarrer tranquillement.
Une fois que mes lèvres eurent atteint leur objectif,
elle se mouvèrent doucement le long de la verge impressionnante.
Quoique bien proportionnée car cet homme était immense.
J'happais le gland entre elles,
laissant ma langue l'agacer,
tandis que ma main valide allait soupeser ses bourses.
Rapidement,
mais toujours avec grâce,
mes lèvres engloutirent la majorité du la hampe du titanesque homme,
pouvant sans doute faire plus avec un peu d'effort.

Ma langue s'activait le long de la lance insérée entre mes lèvres.
Elle tournait, taquinait,
suçait, imprégnait bien la chair de salive.
Je creusais les joues pour compresser ce monstre entre mes lèvres,
et j'entamais des mouvements de vas-et-viens avec ma bouche,
qui s'intensifièrent peu à peu,
alors que mes doigts taquinaient ses bourses,
les malaxant, les massant.

Mon regard, alors concentré sur ce que je faisais,
se releva et chercha à se planter dans les orbes de ténèbres de l'homme.
Cet homme qui, esclavagiste,
faisait montre d'une ruse exceptionnelle.
Qui possédait un manoir et beaucoup d'esclaves.
Qui devait être bien riche.
Qui était une vraie montagne de muscle.
Cet homme que je soupçonnais d'être le Don,
celui dont tout le monde parlait en secret,
celui qui était craint et renommé.

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Re : Y a-t-il un Docteur dans l'assemblée ? [Don]

Réponse 11 mercredi 26 janvier 2011, 18:00:42

Bien, il aimait les femmes intelligentes quand elles savaient connaître leur place et visiblement Arzhela faisaient parties de ce rare pourcentage de celles qui avaient tout a y gagner et qui se souçiaient peu de leur liberté. Néanmoins ce deal était a double tranchant, on dit que souvent femme varie, rien ne lui disait que dès demain elle ne le planterais pas dans le dos, le faisant s'écraser dans son bol de corn flakes matinal. Celà ne devait pas arriver, il ne devait pas laisser Arzhela croire qu'elle pourrait le défaire et pour celà il allait lui montrer maintenant ce qu'il vallait. Don était quelqu'un d'intelligent, il avait emmené un enorme paquet de femmes a leur destruction malgré elles, liant parfois des alliances pour les défaire comme maintenant, après tout pourquoi croyez vous qu'il n'existe pas de femme esclavagiste actuellement ? Parce qu'elles s'étaient toutes retrouvées dans son chenil...Quelle idée de vouloir être belle et libre en même temps, les belles choses sont faites pour rester en cage.

Celà se voyait qu'Arzhela avait de l'experience, et même si il préférait les petites jeunes ce n'était pas forcément désagréable, la plupart des femmes qu'il avait étaient débutantes ou non formées dans ce domaine celà changeait de ne pas avoir a donner des instruction, il allait laisser la belle Arzhela faire de son mieux, même si il souriait en coin a chaque fois qu'elle oubliait de dire maître, pour le moment celà lui plaisait, lorsqu'il en serait lassé en revanche ça serait une autre paire de manche.

Il la laissa le prendre en main, après tout puisqu'elle connaissait son boulot il n'avait rien a dire, le sexe de Don était d'une taille impressionante, même pour les standards de Terra, il était d'une bonne taille, pas de celle d'un ogre ou d'un titan, mais pour un humain il y avait de quoi être surpris, son sexe dressé près d'elle il la laissait le couvrir de ses attentions. Si le but d'Arzhela était de le faire jouir avant qu'il puisse la pénétrer en lui faisant une fellation elle était très bien partie pour le réaliser, Don laissa échapper un soupir de satisfaction, son immense paume se posant sur la tête d'Arzhela d'un air satisfait, pas vraiment avec force, mais paternité, caressant ceux ci.[/i]

"C'est bien ça, où as tu appris a sucer quelqu'un comme ça ma chère ?"

Fit il avec un sourire avant de se dégager de sa bouche, il n'en pouvait déjà plus, écartant les jambes il vint apposer son sexe près de son intimité et se retint finalement de la pénétrer...Préférant jouer un peu plus avec Arzhela il l'allongea sur lui.

"Allez, viens."

Même pour une femme normale il était tout de même trop bien pourvu...Allait elle prendre le risque?
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

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Arzhela

Humain(e)

Re : Y a-t-il un Docteur dans l'assemblée ? [Don]

Réponse 12 mercredi 26 janvier 2011, 21:08:52

Je crois pouvoir affirmer,
sans me vanter,
qu'il apprécie mon traitement buccal.
Je variais parfois le rythme des succions,
gardant toujours mes lèvres serrée autour de la hampe,
et ma main continuais de cajoler ses bourses pleines.
Il confirma mon impression en posant sa main sur ma tête.
Il ne sembla pas vouloir forcer toutefois,
différant par là des nombreux hommes trop avides que j'ai pu connaître.

Sa question me fit sourire mentalement,
alors que j'accentuais le rythme de sa verge entre mes lèvres.
Sa friandise de taille appréciable,
surtout comparé à la moyenne des humains,
me fut toutefois retirée bien vite je trouve.
Me retrouvant de nouveau à hauteur de son torse,
j'allais répondre alors que je sentis son gland effleurer mon entrée,
me faisant soupirer d'envie.

Mais il se retint de venir tout de suite m'honorer.
Au lieu de cela, il m'attira contre lui.
Sur lui.
Je lui offris un sourire joueur également.
Mais ce n'est pas de sa frustration que j'allais jouer.
C'est de son plaisir.

La taille de son imposante virilité ne me faisait pas peur.
Elle était tout de même un peu plus grosse que tout ce que j'avais connu.
Au départ,
ça allait sûrement présenter quelques résistances physiques en moi..
Mais par la suite,
ça glisserait naturellement.
Suffit juste que je m'adapte à sa taille...
D'ailleurs, avant de venir m'installer sur lui,
avant de l'accueillir en moi,
je me penchais jusqu'à déposer un baiser au coin de ses lèvres,
allant mordiller par la suite le lobe de son oreille en susurrant :

_ J'ai été formée très tôt..
Maître...
J'espère que tout ceci vous contentera...


Et, après un dernier mordillement,
je me plaçais sur son bassin,
surélevée grâce à l'appui sur lit,
me soutenant à la seule force de mes genoux.
De ma main valide,
je guidais sa colonne de chair contre mon antre brûlante et humide,
voir plus qu'humide,
afin de m'y empaler progressivement.
L'enserrant peu à peu,
j'espérais pouvoir l'accueillir en entier en moi.
Ce qui était sans doute possible au vu des multiples « drames »
que j'ai vécu,
que je m'en souvienne ou non.
Et le corps humain est plein de surprise...

Posant par la suite ma main valide sur son torse,
je m'y appuyais pour continuer ma progression,
lui adressant un sourire coquin alors qu'il devait se sentir de mieux en mieux accueilli,
mes parois vaginales,
revenues à la normal après chaque relation de plus d'une journée,
étant juste assez étroite pour le faire se sentir très bien..

C'est dans un râle de plaisir,
mêlé à un soupçon de gémissement de douleur,
que je m'empalais fermement jusqu'à ce que nos peau se touchent.
Hum... Ce que ça faisait du bien...
Malgré le petit frémissement de souffrance
dû au fait que ça faisait bien longtemps que je n'avais accueilli pareil monstre en moi...
L'écartement progressif de mon intimité sur son épieu de chair,
brusquement accéléré pour la fin,
étaient un poil douloureux.
Juste assez pour que ça s'entende dans ma voix.
Mais pas assez cependant pour me faire renoncer au plaisir à venir...

M'aidant de ma main sur son torse,
après un instant d'immobilité pour apprécier pleinement de le savoir en moi,
je relevais doucement le bassin pour ensuite le rapprocher à nouveau,
reproduisant la même action que le départ.
Je lâchais un long soupir de bien-être.
Et je lui sourit.

_ Vous êtes...
Hum..
Agréablement imposant maître..
Quel plaisir d'être ainsi..
Ainsi remplie..


D'ailleurs...
Peut-être que si le plaisir prit à cette relation était suffisant,
j'accepterais de rester un moment sous ses ordres...
Car où trouver un individu aussi bien constitué que lui autrement ?
Héhé...
Rusée, non ?


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