« Grenadiiiiiine ♫ »
C'est ainsi que Destin avait décidé de partir de chez lui, un bon gros verre de Grenadine à la main. Il le sirotait tranquillement sans vraiment ce soucier des autres, les yeux fermés avec un sourire de satisfaction. Il marchait les yeux fermés ? Et il ne ce prenait aucun mur ? Non non, car le joueur l'a décidé. Et quand le joueur décide quelque chose, les pnj la ferment. Bref, il marchait donc en pleine nuit, sirotant un verre de grenadine à l'aide d'une paille multicolore, toujours habillé de ses habits noir comme le jais et toujours impeccable, ses cheveux blancs partiellement caché par son haut-de-forme agrémenté d'un jolie petit crâne. Festif, hein ? Et puis, de toute façon, ce n'est pas le problème. S'ennuyant un peu au manoir, il n'avait trouvé aucune proie à son goût depuis quelque temps, s'ennuyant un peu des jeunes femmes simples qui n'ont rien d'extraordinaire. Bien-sûr, il y a eu quelques rares cas qui étaient particulièrement savoureux, mais il n'était pas du genre à revenir sur les lieux du crime, déjà qu'il a eu assez de chance pour ne pas être poursuivi. D'un coté, la police terrienne ne sachant pas que Terra existe, Destin pouvait tranquillement siroter son verre sans trop y penser.
Rapidement, il attendit un petit cri de détresse venant surement d'une personne de sexe féminin. N'ayant pas les capacité pour pouvoir connaitre aussi le nom du coiffeur de la jeune femme juste en entendant sa voix et prenant un peu son élan, il réussi avec difficulté à aller sur le toit. Invisible dût à ses affaires noires et l'obscurité, Destin était tranquillement au bord, faisant balancer ses pieds tout en sirotant son petit verre. Il n'était pas du genre à se frotter à 4 personnes, c'était trop simple.. pour lui. En effet, un simple claquement de doigts et ils étaient déjà tous au sol fatigué comme si ils avaient courus pendant des heures et des heures sans ce reposer ou bien tout simplement transformé en femme. Et ça, ça choque. Voir qu'on a perdu s'qu'on a entre les jambes et gagné de la poitrine, ça en choque plus un. C'est pareil, il peut aussi changé la jeune femme en homme, pour pas qu'elle ce fasse violer, peut-être ? Non, les agresseurs l'auraient surement tuer. Donc il a décidé une chose : regarder et profiter du spectacle.
Soudain, sans aucune raison apparente, Destin avait froid. Il posa son verre, frottant ses deux épaules avant de pousser un soupir, reprenant son verre pour voir que la boisson avait... gelée. Il resta quelques secondes comme ça, regardant la boisson maintenant devenu de la glace, les deux yeux écarquillés. Il avait envi de crier : POURQUOIIIIIIII ? Mais devait se retenir, histoire de ne pas être repéré par les hommes. Reprenant alors le contrôle de soit-même, chose difficile quand on sait son amour pour la grenadine d'ailleurs j'pense qu'on peut lui donner une médaille, il reporta son regard sur la jeune femme qui venait de sortir de l'obscurité. Ni une, ni deux, elle tua assez rapidement tout les hommes, usant de... pics de glace ? Oh, oh. Un épais sourire était maintenant présent sur son visage, pas un sourire accueillant, mais presque un sourire sadique. Une petite ampoule apparu au dessus de sa tête, signe d'une bonne idée. D'une excellente idée.
Après avoir fait les poches aux quatre pauvres hommes, elle alla ensuite donner tout cela à la prostitué avant de partir. Destin avait toujours ce même sourire, sautant de son petit toit pour arrivé sur le sol d'une façon gracieuse (et grobill, tu crèves j'te rappelle là ! - Roh, mais la ferme, c'est pas tes oignons !). Il était maintenant temps d'aller voir cette petite. Il sautilla tranquillement en sifflotant, tel un petit enfant qui aller au parc pour jouer avec ses copains, arrivant à une rue de la mystérieuse femme. Il avança lentement, la voyant contre le mur, la main portée à son cœur. Il sortit alors lentement de l'obscurité, ce plantant devant la jeune femme, un léger sourire au visage. Elle était en mauvaise posture, ou en tout cas elle semblait être fatiguée, et c'était donc sans crainte qu'il allait pouvoir lui parler. Il savait qu'il y avait des risques d'avoir une hache dans la tête, mais qu'importe.
« Et bien... Vous me semblez fatiguée, non ? »
Bien-sûr qu'elle semblait fatiguée, mais même avec ses hormones, il ne pensait pas vraiment la remettre sur pied. Pour la première fois, il ne savait pas vraiment quoi faire. Il voulait déjà voir ses limites, vu que la phrase était presque moqueuse.