Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le bon vieux temps avec une coupe d'ambroisie. [PV Elias Voss]

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Fouine

Humain(e)

Dyonisos, divinité réputée pour ne pas respecter les règles et être certainement avoir saoulé le plus de ses comparses au compteur, avait décidé de s’accorder une petite pause sur Terre.  Si la prudence en prenant une autre identité, il n’était pas de ce genre de divinité, l’extravagance était un de ses traits après tout. D'ailleurs, il avait volontairement changé un de ses "i" par un "y", phonétiquement, cela restait la même chose et voir Zeus s'énerver pour cette broutille, cela n'avait pas de prix.


Aussi avait-il opté pour un corps d’homme androgyne, portant des tenues femmes, s’amusant du fait que les Hommes, malgré les siècles, restaient, pour certain, cantonné à rôles bien précis selon le sexe, chose que la divinité adorait transgresser sans vergogne.
Souhaitant une grande liberté de mouvement, il avait rejoint la demeure d’une de ses rares prêtresses en cette époque moderne, cette dernière étant certainement ravi d’héberger sa divinité, Dyonisos se contentant simplement de répondre à ses attentes, tant que cela n’empiétait pas sur son envie d’avoir une vie mortelle amusante.  D’ailleurs encore une fois il allait à contre-courant, là où la plupart conservaient leurs pouvoirs, il les restreignait, les ayant employés avant pour se créer un cadre de vie idéal pour un petit siècle de débauche et d’ivresse. 

Ainsi, il était Dyonisos Idue, un étranger qui est arrivé suite à un échange international, ses compétences en japonais n’étant plus à prouver, ayant d’excellentes notes en histoire et en chimie, important pour savoir la boisson à la mode et savoir jauger à la perfection les cocktails. Son autre trait particulier était qu’il portait l’uniforme féminin, ayant dû affronter le comité de discipline, composé d’élève prestigieux, mais qui n’avaient aucune chance faces aux millénaires d’expérience de la divinité, qui se fit passer pour une pauvre âme qui se sentait bien plus en sécurité avec cette apparence, sans pour autant se définir comme une femme.

Bien évidement, sa beauté et son apparence attira des regards, homme comme femme, devenant une figure dans sa nouvelle classe, mais se gardant bien de faire de l’ombre à ceux qui étaient considérés comme les stars de ce groupe, pour le moment tout du moins. Dyonisos ne put s’empêcher de rigoler intérieurement quand, quelques jours à peine après son arrivée, des personnes confessaient vouloir être en couple. Il était certain qu’en haut Héra devait ronger son frein devant une telle popularité.

La divinité sortait de cours, sa robe à manche longue flottant outrageusement à ses mouvements, laissant bien voir ses jambes et étant à la limite d’en être obscène. Il portait aussi de mi-bas, un ensemble noir, le soutient-gorge étant rembourré pour donner un peu de volume en haut.  Il comptait profiter de la pause pour se poser sur une petite table dans un espace bien ouvert, avec beaucoup de vitrage, observant les mortels qui sortaient des autres salles. La raison était tout autre que se rincer l’oeil, devant avoir à nouveau avoir affaire à une personne, une femme qui devait avoir plus d’une année, regardant cette dernière avec un minois bienveillant.

- Dyonisos … tu .. Tu souhaiterais sortir avec moi, j’aimerais être en couple avec toi, tu es très beau, intelligent.

La divinité regardait la lettre tendue à lui, écoutant un discours tant de fois entendu,  la prenant et posant sur la table, invitant cette jeune femme à s’installer en face de lui. 


Sakura, c’est bien ça ?

L’étudiante semblait ravie que la divinité connaissait son prénom, hochant de la tête. 

Je suis flatté que tu m’aies choisi, comme cela a dû te demander beaucoup de courage de venir me voir.
Je suis  libertin, cela veut dire que la fidélité ne sera pas au rendez-vous, aussi je pense que tu mérites
bien mieux que moi, une personne qui saura t’être exclusive, qui saura te donner tout l’amour et l’attention
que tu mérites amplement. Si tu le souhaites, nous pouvons rester amis et boire de bons coups les soirs.

Dyonisos n’aimait clairement pas devoir refouler les mortels de la sorte, mais, il n’y avait rien de bon pour un mortel de se lier à une divinité, surtout lui qui était du genre à aller aux quatre vents.  Il sortit un mouchoir en venant à la voir commencer à pleurer, la laissant saisir l’objet et partir en courant. Il se doutait qu’elle reviendrait au moins une fois pour rendre ce qu’elle avait pris.

Les mortels de maintenant sont bien plus émotifs, mais cela ne les rend que davantage charmant.
Je lui ferais goûter à une bonne ambroisie pour soigner son petit coeur.

Alors qu’il regardait la population estudiantine circuler, son regard se posait sur un homme, ayant un petit sourire malicieux qui se dessinait sur son minois. 

Hoooo. Il est devenu assez bon pour dissimuler sa présence, on pourrait presque le confondre avec un mortel.
S'en est presque vexant.

La divinité se lève et fait doucement le tour, pressant un peu le pas pour ne pas perdre de vue sa cible. Il fallut bien trois minutes pour le trouver et s’approcher silencieusement  avant de lui sauter sur le dos, enlaçant ses mains autour de son cou, sans pour autant l’étrangler, croisant ses jambes au niveau des hanches d'Elias. La divinité susurrant à l’oreille de son comparse.

On ne dit pas bonjour à son pote Dyonisos ? E-li-as.

L’entité travestie savait que son collègue divin n’aimait pas que l’on murmure à son oreille, tout du moins à l’époque où ils traînaient ensemble et mettaient un peu la pagaille. Dans tous les cas la divinité était bien sur le dos de son collègue. Heureusement pour Elias, il n’était pas bien grand, faisant la taille d’une Japonaise de son âge apparent, faisant que sa masse osseuse était réduite, permettant donc d’éviter que Dyonisos brise le dos de son collègue divin.

Elias Voss

Dieu

Re : Le bon vieux temps avec une coupe d'ambroisie. [PV Elias Voss]

Réponse 1 jeudi 07 novembre 2024, 13:18:21

Aah… Les plaisirs de la vie étudiante. Avais-je déjà vécu cela auparavant ? D’après mon journal, oui. Personnellement, je n’en ai aucun souvenir, mais cela me reviendra peut être.
Vous l’aurez compris, je suis en ce moment dans la peau d’un lycéen japonais. Après un changement d’apparence et quelques formalités administratives, me voilà intégré au lycée en tant qu’élève transféré, sous le nom de Seiji Kurokawa.
J’avais l’apparence d’un jeune homme tout ce qu’il y a de plus normal. de taille moyenne, de carrure athlétique et avec un physique qui ne devait pas être si mal, puisque je n’étais pas la cible de moqueries de la part de mes camarades.

Comme à mon habitude, je faisais en sorte d’être discret et de me faire oublier. Je n’aimais pas être au centre de l’attention, et cela peu importe l’apparence et les traits de caractères qui pouvaient me caractériser à la suite de mes métamorphoses.  C’est du moins ce que m’indiquait mon journal, dans lequel j’écrivais soigneusement mes notes quant à mes expériences parmi les mortels.
Je me cantonnais donc à mon rôle d’observateur, écrivant de temps à autre dans mon journal lorsque j’observais une situation intéressante.

En parlant de situation intéressante, un attroupement devant moi me sortit de mes rêveries et capta mon attention. A premières vues, une jeune femme faisait sa déclaration à une autre. Mais je reconnus le fameux “Étudiant travesti” dont j’avais entendu la description au détour d’un couloir et dont tout le monde parlait en ce moment. C’est vrai qu’il était plutôt beau pour un mortel. Il avait même quelque chose de divin dans sa prestance.
Ni une ni deux, je sortis mon journal et je commençais ma prise de note en observant cette scène qui, j’en suis certain, sortait de l’ordinaire. J’avais d’ailleurs fait l’expérience de cela il y a deux jours, quand une jeune femme était venu m’attirer en dans un endroit tranquille ou son amie m’avait fait sa déclaration. J’avais beau être le plus normal et simple possible, il semblerait que je dégage toujours quelque chose de mystique et d'étranglement attractif.

Mais passons, je ne voulais pas passer à côté d’un tel cas d’étude de la vie humaine. Le jeune travesti lui expliqua calmement que cela n’était pas possible et fit même en sorte qu’elle pense que cela était pour son bien à elle. Je fus impressionné par son choix de mots et la promesse d’aller boire un verre plus tard qu’il lui avait fait. Après quoi, la foule commença à se disperser calmement, maintenant que le spectacle était terminé.
Juste le temps de remettre mon journal et mon stylo dans son sac et je me suis mis en marche, moi aussi, vers un coin tranquille pour analyser ce que je venais de voir.
Quelques instants et une dizaine de mètres plus loin, je sentis tout d’un coup un poids sur mes épaules et entendis une voix à mon oreille. Le murmure me fit frissonner de dégoût, ce qui me sembla bizarre de prime abord. Peut-être une réaction à mon passé ? Apparemment, je détestais que l’on murmure à mon oreille.

Mais il y avait plus important que cela. Non seulement la personne dans mon dos m’avait appelé par mon véritable nom, mais en plus, cette scène commençait à attirer l’attention. Le rouge me monta aux joues, à cause de la timidité de ce corps d'emprunt et je cherchais une solution.
Un coup d'œil derrière moi m’indiqua qu’il s’agissait du travesti de tout à l'heure, dont je ne me rappelais plus le nom. Je sentais ses jambes enroulées autour de mes hanches et ses mains autour de mon cou. Il était plutôt léger, ce qui me permis de garder mon équilibre facilement.
J’hésitais en fronçant les sourcils, puis je me décidai enfin à répondre.

- Heu… Excusez moi mais… commençais-je à bafouiller, mal à l'aise d’être le centre de l’attention. On se connait ?

Plus le temps passait et plus le nombre de témoins augmentait à vue d'œil. Je déglutis et je passais mes mains sous les jambes de mon bagage improvisé. Puis je me mis a marcher le plus vite possible vers un endroit plus à l'abri des regards.
Nous arrivâmes finalement dans un petit espace entre deux bâtiments, sous les escaliers de secours du lycée. Des élèves se rassemblent parfois ici pour fumer à l'abri des regards ou harceler leurs comparses dans ce qui semble être un rîte initiatique typique des mortels.

- Tu m’a appelé Elias tout à l'heure… J’en déduis que tu sais qui je suis… dis-je finalement d’une voix qui laisse transparaître une légère inquiétude. Qui es-tu ? J’ai des problèmes de mémoire donc excuse moi de ne pas te reconnaître…

Je semblais sûrement un peu nerveux en ce moment. Après tout, je risquais beaucoup si j'enfreignais la loi des dieux qui disait que nous devions rester cachés aux yeux des humains. Une divinité mineure telle que moi pourrait bien disparaître dans l’oubli si d’autres dieux se liguaient contre lui à cause d’une sanction ou quelque chose comme cela.
J’attendais donc une réponse de l’homme en agrippant machinalement le pan de mon uniforme et en le tordant dans tous les sens. Je me mordais aussi la lèvre inférieure, l’air sérieux et stressé. Dans quoi je m’étais encore fourré ?

Fouine

Humain(e)

Re : Le bon vieux temps avec une coupe d'ambroisie. [PV Elias Voss]

Réponse 2 mardi 12 novembre 2024, 08:04:35



Dyonisos eut un léger froncement de sourcil quand il entendit l’autre divinité dire qui il était.  Ce froncement fut rapidement chassé par l’action d’Elias, la divinité de la beuverie aimant bien sa nouvelle « monture ».  Il reconnut immédiatement l’endroit, même sa beauté surnaturelle n’avait pas empêché un petit bizutage, manque de pot pour ses mortels, ils avaient commencé à rouler par terre avant lui.

Il écoutait les questions et les explications d’Elias, venant à desserrer ses bras et ses jambes pour avoir pied à terre, prenant un petit mètre de distance, afin que cette divinité amnésique puisse quelque peu souffler, le but de Dyonisos était de le taquiner, pas de le faire trembler comme une feuille. Il passa délicatement sa main droite sous sa chevelure pour se frotter la nuque doucement.

C’est vrai que tu m’avais parlé de trous de mémoire, je ne pensais pas que s’était à ce point-là.

Il posa ses fesses contre un des murs, croisant ses mains dans son dos. 

Tu es Elias, déité mineur pouvant prendre mille et une apparence. Cela fait un bail, mais tu étais un complice pour faire tourner
les autres divinités en bourrique avec moi, Dionisos, divinité grecque. Même si pour le moment je m’offre quelques vacances dans
le monde de mortel.

La divinité androgyne se lève et pose une main amicale sur l’épaule de son collègue divin.

Décontracte-toi un peu, cette ère est bien plus permissive qu’à l’antiquité romaine. Au pire, tu n’auras qu’à dire que
c’est un jeu entre nous et ça passera crème pour les mortels. Le vieux râlera sans doute, mais comme j’ai le contrôle
sur le débit de boissons, les autres se tiendront à carreaux, même la mégère.

Il se mit à côté de lui, enlaçant son cou avec son bras gauche de manière assez proche, assez pour que si des personnes passent ils pensent que Dyonisos drague Elias.

Mais du coup, c'est quoi ton petit nom ici. Que l'on puisse causer sans que cela ne questionne. Je t'avoue que ça me fais très plaisir
de croiser une tête que je connais, enfin façon de parler. Hihi. 


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