Un gamin turlupiné par son gigantesque mais inassouvi appétit de chair aurait-t-il pu rêver mieux ? Tomber sur une véritable nymphomane adoratrice de gros calibres relevait du fantasme, du genre de ceux que l’on s’imagine mais qui ne prennent vie que dans nos têtes seulement… et pourtant, voilà bien ce à quoi avait droit Takezo, qui s’apprêtait à faire l’expérience d’un décoinçage en règles.
Les yeux rivés dans ceux de l’étonnante petite vendeuse, il s’astiquait furieusement à l’aide de sa grosse main, et finissait de faire reluire son gland aux proportions exagérées au creux de ces belles lèvres pulpeuses mais grandes ouvertes rien que pour lui. Pris de spasmes, il n’avait de cesse de se raidir et de se raidir encore, à l’image de ses deux énormes bourses qui gonflaient et gonflaient, pour que gicle leur épais contenu.
De la même façon, les joues de la caissière, déjà bien remplies par l’énorme sexe du garçon, s’arrondissaient encore, prêtes à exploser sous l’effet de la trop importante quantité de semence qu’il libérait en elles. Mais par je-ne-sais-quel miracle, ou par la force de l’habitude peut-être, celles-ci se dégonflaient aussitôt, avant de reprendre du volume la seconde d’après. Contractant sa gorge experte, la jeune femme pompait, pompait et pompait encore, avalant par lampée, à chaque nouveau jet de foutre, ce que dix hommes normalement constitués auraient bien pu lui jouir au visage.
Quelques épaisses gouttes débordèrent évidemment, coulant abondamment jusqu’à la pointe de son joli petit menton… mais quel exploit malgré tout. Une telle expertise du bukkake était-elle seulement normale ? Qu’importe après tout. Devant un tel spectacle, le garçon, plus excité que jamais, ne pouvait en revenir… à bout de souffle après avoir tant éjaculé, et ce pas une, mais bien deux fois, il bandait encore, raide comme un taureau, tant cette belle nymphe à gros cul semblait lui promettre monts et merveilles, au moins pour les quelques prochaines heures à venir.
Ce qu’elle lui dit en se relevant, sans même sembler éprouver ni fatigue ni difficulté l’aida d’ailleurs en ce sens. Se défaisant de son ridicule et tout petit short pour en faire jaillir un postérieur plus imposant encore vu comme ça, celle qui n’avait pas encore fini d’avaler son copieux déjeuner lui avait encore balancé, de but en blanc, comme elle avait aimé ça…
Tandis que Takezo se tournait pour la laisser prendre place sur l’étroit fauteuil, détaillant du regard l’impressionnante largeur de ces hanches faites pour enfanter, celle de ces cuisses, débordant de part et d’autres de ces affriolantes résilles… il déglutit, tout en cherchant son souffle, la contemplant, debout qu’il était, la bite à l’air, levée bien haut et toute dure, comme une grosse bûche, de celles que l’on se partage au moins à dix tant il y a à bouffer. Toute luisante de salive, couverte de traces de rouge à lèvres, marquant ça et là l’impressionnant record de gorge profonde qu’avait dû battre la jeune femme à l’instant…
Hésitant, le garçon avait quand même bien envie de la poser, sa question.
« … e-est-ce que… je pourrais passer me faire sucer, de temps en temps ? »
Mais n’avait-il pas encore obtenu de réponse que les gestes suivants de la belle à la peau d’ébène, quoique déjà bien maculée de blanc, vinrent le ramener au moment présent. Écartant grand les cuisses, la belle tentatrice venait de poser ses mollets sur les accoudoirs du fauteuil en guise d’invitation à son encontre. Sa grosse raie enfoncée dans le cuir du siège, le string écarté… la jeune femme n’avait pas tardé une seconde pour faire un trou béant dans ses dessous sexy, à l’endroit où Takezo, à en croire ses mots, devait venir la lui mettre.
Lui souffla fortement, tentant de rassembler ses esprits, alors que tout se bouscula d’un coup dans sa tête. Il allait le faire. La baiser, la déglinguer… et dès lors qu’il la lui aurait mise, il ne serait plus vierge. Plus jamais. Peut-être même qu’il n’aurait plus jamais à s’en faire quant à la taille démesurée de son engin… au moins pour un temps, peut-être aurait-il la chance de tringler cette beauté régulièrement. Que cela se fasse ou pas, au moins, il s’assurerait de rendre cette fois-ci mémorable. Autant pour elle que pour lui, assurément.
Hochant doucement la tête, toujours debout, il se pencha et posa ses mains sur les accoudoirs cerclant le fauteuil. Lâchant l’un deux, il remonta doucement, posa ses doigts sur l’une des cuisses de sa partenaire de fortune, jusqu’à remonter encore pour attraper sa cheville, bien haut, l’attirant à lui pour qu’elle vienne reposer sur son épaule. Il fit pareil de la seconde, puis la lâcha pour enfin agripper son gros engin, qui reposait du bas-ventre de la vendeuse, jusqu’à la base de son sternum, côtoyant encore ses beaux et gros lolos.
Posant un pied au bord du siège, il se hissa pour prendre un peu de hauteur, et vint enfin nicher son gland à l’endroit où ce dernier devait finir. Plus ou moins. Tirant l’énorme saucisse en direction de ce trou formé dans les bas de la belle, il la frotta longuement, marquant de son gros gland la belle raie de son cul, qu’il écarta curieusement, remontant de bas en haut, puis allant de haut en bas. Putain… le cul de la donzelle était si gros que, sans même entrer en elle, il pouvait déjà enfouir son gros gland bien au chaud entre ses fesses toutes rondes.
Se branlant un instant dans sa belle raie, à la recherche de ce trou qu’il lui fallait encore trouver, le garçon soupira déjà, réchauffé par la somptueuse vision qu’il avait, se promettant d’immortaliser celle-ci dans son esprit.
Son gros sexe remontant encore, il put enfin sentir, quand bien même il n’était pas bien sûr de lui, qu’un creux bien humide semblait l’accueillir, le happer. L’énorme pointe, d’une douzaine de centimètres de diamètre, vint doucement s’enfoncer, tout près de ces belles lèvres charnues et trempées… mais s’enfonça à peine. L’énorme chose, malgré tout ce lubrifiant naturel, peina à entrer et, enfin convaincu d’avoir trouvé le chemin de sa chatte, le garçon, prenant meilleur appui, se mit à pousser.
« Oooh »
Serrant les dents, Takezo poussa fort.
Attrapant fermement les jolies gambettes de la jeune femme, posées sur son épaule, il y mit de son poids, de sa centaine de kilos de muscles pour pousser de ses hanches, comme un joueur de rugby, pour faire entrer en force son gigantesque gourdin.
Ça y est, la pointe de l’énorme sexe était enfin en elle, accompagnée de quelques premiers centimètres à peine de ce gigantesque phallus, qui peinait à se faire une place, malgré l’excitation des deux amants. Soupirant bien fort, le garçon leva les yeux d’extase, puis se mit à tamponner la caissière, tout doucement, tentant toujours d’entrer plus encore…