- Hmmmm oui occupe toi de mon petit cul... ça fait longtemps qu'il n'a pas accueilli une si belle queue... hmm....
-Hannw ? … Alors … je vais lui faire un petit traitement sauvage …
Mais pour le moment, il se contentait de varier de trou, mouillant son anus avec ce qui coulait de sa chatte et de la pré semence qui s’échappait à chaque fois qu’il entrait dans cet orifice qui le pressait chaque fois qu’il entrait en elle, bien plus que sa délicieuse et glissante vulve. Il en gémissait, laissant quelques bruits de chaton s’échapper sous le plaisir. Elle se touchait pour avoir encore plus de plaisir … Et bien, qu’elle ne se gêne pas. Il avait prévu de la bousculer un peu …
- Si tu continues comme ça... aaaah je vais encore jouir comme une chienne...
-Maaaou … Jouit donc ! Je te ferai aboyer de plaisir ! Je sais comment !
Et d’un coup, il se plantait dans son anus, ne bougeant plus … Il se mit à bouger en l’emportant avec elle, la guidant en la portant parfois, faisant mine qu’il n’avait pas que de la force dans le bassin. Il la serrait contre lui et d’un coup, il la soulevait, replaçant ses mains sur les cuisses de la déesse. Il était donc planté dans son anus et il la portait. Il avait le dos de la déesse contre son torse et elle faisait face au bassin. D’un coup, il fit remonter ses jambes le long de son corps, l’enlaçant fortement contre lui, la bloquant contre lui et la portant ainsi, donnant l’impression que la seule chose qui l’empêchait de tomber au sol était cette verge bien droite qui était en train de la déformer.
-AHnnw… Prête ?
Il n’attendait pas la réponse ! C’est un vrai piston qui démarrait soudainement, rapide, vif, sauvage et ferme. Rien ne semblait pouvoir l’arrêter dans ce rythme endiablé qu’il venait de prendre. Cela n’avait rien à voir avec tout ce qu’il avait fait jusqu’ici. Tout son corps accompagnait ses mouvements si rapide et violent. Il était en train de se déchainer. Son bassin ne claquait pas les fesses de la déesse … il était en train de les fouetter avec ! Sa queue s’enfonçait en elle de tout son long, la base de sa verge venait percuter l’entrée de cet orifice. Il n’avait pas vraiment de résistance par ce trou, pas d’uterus au fond de cette cheminée … elle semblait sans fin et il en profitait grandement, sans répit … Elle lui avait dit être sur le point de jouir. Si elle jouissait, elle n’allait pas pouvoir quitter cet état … et il ne l’écouterait pas si elle demandait d’arreter. La machine était lancée … Il pulsait certes contre ses chaires, mais il en voulait encore, encore … C’était comme s’il lachait des années de frustration de devoir faire attention à ses jouets pour ne pas les briser par des coups de bassin aussi puissant et intense que ceux qu’il offrait en ce moment à ce corps qui semblait tenir le coup. Elle pouvait sembler être un bout de viande frappé par un bassin.
-AAH OWIII … ENCORE… OUI … AAAAAA … CA C’EST BAISER...