Ce moment est un vrai délice, supplice entre nous deux. Pardessus elle, ses mains me touchent, me caressent, tandis que je vois son visage se crisper de plaisir, miauler doucement par moment, gémir à d'autre pendant notre ébat.
J'aime comme elle m'agrippe, me retient, pour elle, presque possessive alors que mon phallus s'enfonce encore et encore dans son jardin humide.
Ses baiser presque sauvage, son regard me désirant, tout cela me charme et me donne envie de la conquérir, de l'acquérir. Prenant autant de plaisir à donner, qu'a recevoir, je me confonds en elle, parfois lent, parfois rapide. Le frottement de ma colonne de chair contre ses parois intimes me procure d'infinie sensation et chaque seconde qui passe est plus dur que la précédente à me contenir.
Je veux la faire mienne... Nos baiser reste tout autant enflammer que nos corps, je me crispe, grogne à cet échange corporelle. Quand une phrase maladroite tombe... Kleora me vouvoie. Un frisson me parcourt, l'inconfort me guette et j'ai la désagréable sensation que nous nous sommes éloignés...
- Tutoie moi... à deux. Lui ordonnais-je avec un ton quelques peu colérique.
Je ne sais pas si c'est de la maladresse ou si cela montre le fossé entre nous. Elle vient me rappeler qu'elle n'est qu'une esclave, répondant au désir d'autrui. ... Mon exaltation s'éteint comme un feux auquel on viendrait de jeter un seau d'eau froide.
Cela ne tue pas toute excitation, mais je perds mon engouement. Si je ne fais rien rapidement, cette petite flamme va complètement s'étouffer, que ce soit par cette vérité ou ce propos maladroit.
Je me retiens alors d'un bras et glisse le second sous elle, entre ses omoplates. La poussant à se relever, tandis que je change de position, doucement, sans la lâcher, je m'asseois en position du lotus avec elle. Bien moins fougueuse, elle permet néanmoins un peu de tendresse, de caresser entre les deux partenaires entremêlés.
- Quand nous avons ce genre de moment... humm... intime. J'aimerais que tu agisse plus... naturellement. Que tu exprime aussi tes envies Kleora.
Je viens embrasser son cou, sensuellement, pendant que je caresse son dos et prend garde à ces réactions. C'est un moment qui risque de la froisser et de tout casser, alors je m'emplois à être doux et tendre.
- Ne me parle pas comme à un maître, mais comme à l'amant qui est ton égale, que tu désire. Je veux sentir ce partage, et non un sens unique ou tu te donnerais. Reçois aussi ce que je donne, non pas que physique, mais ce respect envers toi que je t'offre. Vins-je lui susurrez à l'oreille de chat.
Reste à voir sa réaction, jusqu'à la elle avait montrée son désir pourtant, mais ses paroles me revenait toujours comme un signe de soumission, celle de savoir sa "place" et non celle d'être bien là, choyez et appréciant de se laisser faire, de recevoir paradoxalement.