Depuis plusieurs minutes, je sens sa queue pulsée entre mes lèvres. Après une reprise de contrôle de Souta qui m’ordonne crûment de lui masser les couilles, je le tiens au bout de mes lèvres. Ma bouche n’avance plus sur sa bite pendant qu’il se branle. Mes deux mains sont sur ses testicules et les malaxent délicatement. Son geste à lui devient frénétique, presque agonisant. Il veux jouir à tout prix et me remplir de son foutre épais. Je me retrouve très vite inondée sous le foutre, ma glotte ne prenant pas assez vite le relai pour tout déglutir. J’ai pris une première giclée il y a quelques heures mais rien à voir avec celle-ci. Même la jouissance sous la douche, après une baise pourtant mouvementée, ne la dépasse pas. Il y en a partout, le liquide visqueux déborde de mes lèvres et coulent le long de mon visage. Souta se retire et continue d’éjaculer en aspergeant mon visage. Mes yeux se ferment pour éviter d’en prendre sur mes pupilles et quand je les réouvre quelques secondes plus tard, il y a du sperme collé à mes cils. Mon visage n’est plus qu’un masque de foutre, ça dégouline de mon menton sur son tee shirt, mes cheveux sont collants, je dois avoir l’air d’un sacré bordel, d’une putain de salope. Ses gémissements rauques se calment et sa respiration reprends un rythme normal. Il semble vidé. Dans tous les sens du terme.
Le sourire aux lèvres, Souta cherche mes lèvres pour m’inciter à nettoyer sa queue. J’ouvre légèrement la bouche pour lui indiquer le passage. Il me « pardonne » pour le canapé. Je lève les yeux vers lui, souriant presque sur sa bite à sa remarque. Pardonnée? Il vient de foutre un bordel monstre dans son propre appart, mettant presque du sperme sur les murs et c’est moi qu’il pardonne? Ecartant sa bite de mes lèvres, je ris sous son sperme. « Tu me pardonnes toi? J’ai fais une petite tache sur ton canapé alors que tu viens de repeindre tout l’appartement. » Un de mes doigts passe sur mes lèvres, collectant le sperme qui les macule puis le passe dans ma bouche pour le sucer avidement. « C’est plutôt toi qui vas devoir t’excuser auprès de ta femme de ménage. »
L’arroseur me propose alors une douche. La deuxième de la journée. Toujours à cause du même problème: pour laver tous nos péchés. Je lèche doucement sa tige, avalant au passage le foutre trouvé. Juste une douche, ça serait bien. Aucun de nous deux ne serait capable de plus de toute façon, je ne sais pas trop comment je vais tenir sur mes jambes et je ne pense pas qu’il puisse re-bander avant un petit bout de temps. Comme il me l’a si gentiment demandé, je le nettoie, même si je pense que ça n’est pas vraiment que de ma faute. Toujours à genoux, je prends en bouche sa bite détendue, lapant les derniers résidus de baise sur lui puis je me retire en m’asseyant sur mes talons. J’ai l’impression d’être effectivement une bonne petite chienne comme il l’a si bien dit. Attentive à ses ordres, réactives à ses paroles, ça n’est pas que ça ne me plait pas, au contraire. Mais je ne suis pas sa petite chose à lui, pas encore du moins. Je prends appui sur son genou pour me relever et passe le tee shirt détrempé au dessus de mes épaules pour le laisser tomber à coté de moi et me retrouver à poil devant lui. « Une dernière douche sans contretemps alors. » Et me faufile à la salle de bain en roulant du cul devant ses yeux.
J’allume l’eau pour qu’elle chauffe quelques secondes avant de me glisser dessous. Un soupir de bonheur m’échappe quand l’eau brulante s’écoule sur mon visage. Je sens tout le liquide souillé quitter mon corps. Ma vision n’est plus brouillée, mes traits réapparaissent et mon visage retrouve son grain habituel. Il parait que c’est bon pour la peau, je l’espère car j’aurais presque pu en faire un masque aujourd’hui. Une de mes mains attrape le gel douche et en mets un peu dans le creux de ma paume avant de le faire mousser. Ca sent le mec, évidement. Un truc musqué et viril. Je vais avoir l’impression d’avoir son odeur sur moi tout le trajet du retour. A travers la vitre de la salle de bain, je le vois dans l’encadrement de la porte. « Je peux t’aider à te laver en tout innocence si tu veux. » Le sourire aux lèvres, j’attrape la deuxième bouteille de la douche, du shampoing. C’est une salle de bain de mec, on ne peut pas se tromper, il n’y a pas 40 produits. 2, c’est amplement suffisant. Je suis même un peu surprise que le gel douche ne soit pas 4 en 1, gel douche, shampoing, dentifrice et lessive, mais c’est un autre débat. Mes mains passent dans mes cheveux trempées et essayent de laver tout le foutre que Souta a laissé. Il m’a inondé le salaud. « C’était… Impressionnant. Tu jouis toujours autant? Tu devrais penser à tourner des pornos, les réalisateurs t’adoreraient. » S’il me dit qu’il en a déjà fait, je ne serais même pas choquée. Et j’irais surement faire un tour sur Internet pour voir ce que ça donne un jour.