Retour au lycée [PV Hase Aoi]

Le lycée, un endroit où il avait tout fait sauf étudier et lorsqu’il y pensait il ne pouvait s’empêcher de rigoler au fait qu’il y passait plus de temps depuis qu’il n’était plus élève que lorsqu’il l’était. Il n’était ni pion, ni prof ou on ne sait quelle autre profession pouvant travailler dans un lycée mais il s’y rendait souvent. Malgré qu’il ait la trentaine, son apparence lui en donnait bien moins et il n’avait pas beaucoup de mal à rentrer dans les établissements scolaire, mais s’il s’y rendait ce n’était évidemment pas pour étudier.

Il suffisait qu’il entre dans la cours et hume l’air pour mettre ses sens de prédateurs en alerte, tant de proie potentielle et de premier choix. Lui qui aimait par dessus tout déflorer de la petite prude, il était au paradis dans ce genre d’endroit mais même s’il s’intéressait à toute les filles, il avait tout de même un ordre de préférence. Son tableau de chasse était rempli de lycéenne ayant eux l’honneur de goûter à sa divine lance et étrangement c’étaient elles qui lui donnaient le moins de difficulté, sûrement étaient-elles plus facilement manipulables.

Il s’était posé dans un coin et regardait les filles passer, les bimbos, les intellos, les sportives, les mises de cotés, il n’y avait qu’à faire son choix comme au magasin. La blonde à gros seins du bout de la cours semblait délicieuse, mais les formes généreuse de la petite rondelette plongé dans ses cahier lui ouvrait l’appétit. Mais ses yeux de lynx se déportèrent vers une nouvelle demoiselle lorsque celle-ci lui apparu, tous ses sens étaient passé en mode chasseur et alors qu’il regardaient toute les filles, il n’en voyait désormais plus qu’une. Au vue de son allure, ses vêtements et de son âge clairement plus avancée que les gamines, il en conclut assez naturellement qu’il s’agissait d’une prof.

Il commença donc à la suivre faisant mine de se rendre en cours, se trouvant derrière elle, il avait le temps de bien analyser ses formes et il décida aléatoirement de la manière dont il allait l’aborder. Il l’interpella :

« Excusez-moi madame, vous êtes profs de géométrie ? »

Technique de lourd mais un peu fine toute de même, toutes ne percutaient pas l’allusion, Après tout si c’était les manières les plus subtiles qui permettaient de chopper, il n’y aurait pas autant de poète seul.

Son instinct ne l’avait pas trompé et il semblait être tomber sur un sacré numéro avec cette prof qui semblait n’avoir aucune gêne pour s’exhiber comme elle le faisait. Il avait le nez pour reconnaitre les bonnes salopes et il aimait ce genre de fille. A peine s’était-elle retournée pour lui répondre qu’il hésitait à continuer ce petit jeu de séduction ou y mettre un terme directement en lui forçant la main, il ne connaissait que trop bien ce genre de femme, des allumeuses de première qui jouaient avec le feu et qui malgré leur air de dominatrice aimaient quand les mâles les bousculent et leur montre ce que c’était d’être vraiment dominant.

Il était vrai que s’il paraissait assez jeune et qu’on le laisse entrer dans un lycée sans trop de mal, il suffisait de le regarder un peu plus longuement pour se rendre compte qu’il était bien plus vieux que les élèves. Sa proie était donc une prof d’art, il n’avait pas grand-chose à faire de cette information mais en tout cas elle semblait être prête à jouer elle aussi. Il allait lui répondre quand elle fit délibérément tomber des copies, il aurait de bon ton qu’il l’aide à les ramasser mais ce n’était pas son genre même si elle ne l’avait pas fait exprès et il pu admirer ses formes qu’elle mettait en valeur sous son nez, ce n’était même plus de la séduction à se niveau là mais un appel ostentatoire à se faire démonter et Atsushi n’y voyait aucuns soucis.

Et puisqu’elle semblait plus qu’ouverte, il n’avait plus grand intérêt à rester en mode séducteur, elle l’invitait à la rejoindre dans sa salle avec des allusions aussi subtile qu’une scène de gonzo, il allait bien s’amuser avec elle :

« Je serai ravi que vous me fassiez visiter dans les moindres tréfonds. Pour ce qui est de l’art, je suis plutôt douée dans le maniement du pinceau à poils dur comme long, c’est parfait pour faire du nu. Mais le plus important c’est le modèle, je suis persuadé que vous en êtes un très bon. »

Ça ne l’étonnerait même pas qu’elle soit le modèle de ses élèves pour le programme de nu, c’était bien le genre de chienne à montrer son corps pour exciter des ados. Il comptait bien la dresser et la faire aboyer, au jeu auxquels ils jouaient il était sûr de gagner car il n’hésitait pas à tricher s’il commençait à perdre.