Une chose est sûre: cette femme est entreprenante. Tellement entreprenante que ses manières se montrent presque masculines à son goût, elle dégage cette aura sûre d’elle et dominante qui met tout de suite en confiance la femme qu’est Senju. Si elle a vu bien des choses, elle découvrait ici une partenaire qu’elle était impatiente d’apprendre à connaître plus en profondeur…
Poussant un petit gémissement de surprise, la jeune femme se mit à couiner dans la bouche de sa partenaire, provoquant de légères vibrations se répercutant sur sa langue et l’intérieur de ses joues. Tournant la langue pour échanger un baiser plus langoureux, elle se laissa faire dans un premier temps, laissant Anastasya parcourir ses cuisses puis remonter à sa délicieuse poitrine qui, bien que moins imposante que la sienne, jouissait d’un galbe frôlant la perfection et trouvant le juste milieu entre fermeté et moelleusité.
“ Hmm… tu es entreprenante… “
Susurra t-elle entre deux échanges salivaires, plongeant son doux regard dans celui d’Anastasya, qui l’observait avec délice. Loin de vouloir se laisser faire sans réagir, la belle jeta son dévolu sur les courbes chaloupées de la jeune femme, courbes presque surréalistes tant elles étaient généreuses et bien sculptées. Une vraie oeuvre d’art, un bijou des temps modernes.
Passant une main sur sa hanche, elle descendit jusqu’à ses fesses, des fesses si grosses et moelleuses que la seule envie qu’elle ressentit fut d’y enfouir son visage pour le restant de la soirée. Chaque chose en son temps néanmoins, la belle continua de balader ses doigts de fée pour contourner les poignées d’amour de la prostituée, atteignant finalement son entrejambe.
“ Qui voilà… “
Admirant un instant sa tenue, elle passa un fin doigt par dessus l’intimité couverte de sa partenaire alors même que sa propre vulve s’humidifiait sous la langueur imposée par leur échange. Rompant leur baiser, elle passa à son cou, ou elle déposa à nouveau ses lèvres tel un vampire venant sucer le sang de sa victime. A la différence près qu’ici, nul sang à aspirer. Seulement une peau qu’elle était pressée de goûter, alors qu’un second doigt vint se joindre au premier pour continuer de caresser la chatte de la beauté, toujours au travers de cette barrière de tissus la séparant de l’extérieur.
“ Hmm… mais qui t’as donné un corps pareil… “
Murmura t-elle alors qu’elle portait sa seconde main à la poitrine de la belle. Même un seul de ses seins était trop gros pour tenir dans sa main pleine, l’obligeant à le soupeser avant de passer lentement sous le cuir de sa tenue pour venir lui titiller la peau. Une peau douce, laiteuse, venant compléter le corps de déesse de sa partenaire de la soirée. A tel point que Kagome avait presque envie de la garder pour elle.