La déesse Hvida m’obligea à me lever, je ne le souhaitais pas car sinon elle verrait mon érection disproportionnée, il faut dire qu’une verge de 30 centimètres ça se repère. Mais, on ne pouvait désobéir à un dieu. Elle n’eut l’air nullement gênée devant se monstre de chair qui s’était levé. Elle en ria même. Elle me demanda de décliner mon identité.
-Je m’appelle Fenrir, je ne suis qu’un humble terranide loup, j’ai 23 ans et je suis d’attribut mâle. Ma force et ma vigueur sont louées.
Je pensais que c’était une bonne façon de décliner son identité bien que mon érection montrer toujours son ardeur. Elle me demanda par la suite ce que je connaissais de sa famille. J’avais étudié les dieux et les religions de tout type car je m’étais attendu qu’un jour où l’autre j’allais devoir servir un autre Dieu. Loki était assez connu.
-On raconte que votre père, belle déesse, est le Dieu de la malice et du mensonge. On dit aussi qu’il est à moitié Dieu d’Odin son père et à moitié géant de glace de sa mère. On raconte qu’il voue une grande haine à son demi-frère Thor, le dieu de la foudre. Un jour, le conflit entre Thor et Loki entraîna presque le Ragnarök. Odin pour punir son fils décida de l’enfermer dans l’Arbre Monde, un lieu où personne ne peut sortir. Il attendrait toujours que son sauveur arrive. Je ne savais pas en revanche qu’il avait procrée une fille.
C’était le peu de chose que je connaissais sur le Dieu Loki. Toutefois, son autre question me gênait car elle voulait savoir ce que j’avais fait pour avoir été rejeté par Quezatcoatl. Je ne voulais vraiment pas m’épancher sur le sujet mais je n’avais pas le choix. Ma discussion sur son père avait diminué mon érection mais les souvenirs la fient revenir.
-Je ne sais pas par où commencer. Je servais la Déesse Quezatcoatl, Déesse de la fertilité. Aussi bizarre puisse paraître, elle m’aimait profondément et de mon côté j’avais attiré beaucoup de fidèles. Mais un jour, une prêtresse de Lust vint me rendre visite. Bien sur, je n’étais pas au courant que c’en était une… Son nom était Lili Ivanes… Elle était venue pour chercher une protection contre le danger qui la guetter ce qui était faux. Je lui parlai de ma religion et que l’acte d’amour était considéré pour procrée et pas pour se faire plaisir. Elle tenta de me prouver le contraire en utilisant de puissantes phéromones. Bien sur, j’ai lutté mais en vain. Elle a commencé à placer sa main sur ma verge et à la secouer cela me fit du bien et elle m’indiqua de l‘embrasser de jouer avec sa poitrine… Quel mal y avait-il ? C’était ce que je m’étais dit car embrumé dans les phéromones, mon cerveau émettait l’idée que l’acte d’amour comporter le fait qu’une verge était placé dans un vagin et je la mit dans ses fesses. Toutefois plus les orgasmes s’accumulaient et plus j’avais envie de la pénétrer. C’est elle qui au final se mit sur moi et enfourcha ma verge. J’vais pêché et Quezatcoatl me pardonna dans un premier temps. Toutefois, plus le temps passait et plus je me masturber en repenssant à cette nuit et je commençai à coucher avec des fidèles pour mon propre plaisir car j’étais hanté par le démon. Quand Quezatcoatl le compris elle renia et je me retrouvai sans dieux. Je coucha avec quelques voyageurs de passage et je me mis en quête d’un dieux et je compris que je devais chasser le malin qui m’habiter et je me suis donc rendu sur cette plage pour faire abstinence cela fait trois mois que je suis là et que je tiens bon. Je pensais que ce problème était réglé et vous êtes apparue. Hélas, votre venue m’a un petit peu excitée, je dois dire. Je suis vraiment désolé de vous faire voir ce spectacle éhonté.
Je rougissais même si cela ne se voyait pas à cause de mes poils. Je lui avais raconté toute la stricte vérité. J’attendais sa réaction. Les terranides étaient connus pour être facilement dépendant dans le sexe et l’on nous gardait de cette facétie. Hélas pour moi, j’avais goûté au plaisir et avec une prêtresse du plaisir qui plus est cela expliqué que j’étais tombé dans la dépravation et j’espérais que ma déesse me pardonne mon comportement.