Pause dans l’après midi [Pv Cordis Plumbum] ---Terminé---

La sonnerie venait de retentir, lorsque Ryuga entra dans la cour du lycée, il ne comptait plus les dossiers sur des affaires très étranges, qui s’étaient produites à l’intérieur de cette école, qui s’empilaient sur son bureau. Des disparitions d’élèves, des viols de professeurs, et bien d’autres encore, qui n’avait qu’un seul point en commun, les facultés paranormales de leurs auteurs. En effet, une affaire de viol est bien plus compliquée à résoudre, s’il est impossible de répertorier le sperme prélevé sur la victime… Un liquide séminal non humain… Comment expliquer ça devant une cours de justice ? La seule manière est de trouver l’auteur, et c’est pourquoi Ryuga c’est spécialisé en tant qu’inspecteur d’affaires paranormales, il compte traquer ces individus qu’ils pensent être juste une poignée, si seulement il savait qu’il en était entouré…

Son regard fut attiré par une jeune femme, assise sur un banc, son teint livide faisait peur à voir, mais malgré tout elle dégageait une certaine beauté. Ryuga s’en approcha, et lui présenta sa plaque d’inspecteur de police, puis porta une main dans sa veste pour prendre un calepin.

-   Bonjour, puis-je vous poser quelques questions Mademoiselle … ?

Il attendit sa réponse, et nota son nom sur le carnet qu’il venait de prendre, puis il releva ses yeux noirs vers elle.

-   Avez-vous entendu parler d'affaires criminelles qui se sont déroulés dans votre lycée ?

On venait de me manipuler, me retrouvant ainsi scolarisée, je ne savais pas qui me payait mes affaires, ni la cantine et encore moins celui qui avait signé pour que je sois inscrit à l'interna. Pour quelqu'un de normal cela parait bien, mais pour moi c'était la preuve que je ne pouvais pas tenter de mourir en paix, de plus on m'a donnée tous le matériel pour suivre dans une classe normal.

J'appris deux chose de cette expérience, que je devais avoir le niveau d'un lycéen, car je comprennais parfaitement chaque cours, bien que point de vue participation je n'en avais que faire de ce que les professeurs me disaient sur mon avenir, il était tracé depuis longtemps et ce ne sont pas des mots qui le changeront. Si je devais trouver un qualificatif pour ma personne dans cet établissement cela serait,"Personne discrète et peu participative à l'ambiance de la classe, il serait conseillé de voir ces parents", le seul problème c'est que je ne me souvient pas si j'en ai eus, alors ils ne peuvent que me dirent de me montrer plus ouverte sur le monde et d'être un peu plus sociable. Je me suis assit sur un banc et une personne vint me voir, au ton de sa voix c'était un adulte et à ces question, un policier, mais j'eus la politesse de répondre avec ma voix faible de nature.

- JE doute que la parole d'une aveugle associable, voulant mourir soit une preuve en soi. Pour ma part cela ne fais que une semaine que je suis dans cet établissement et hormis des rumeurs toutes plus insensé les unes que les autres je ne sait rien. Il n'y a jamais eut de meurtre, mais des trucs louches oui.

JE n'osait pas lui dire ce qui m'étaie arrivé dans le cimetière et encore moins les choses que j'avais entendue, primo on m'aurait prise pour une folle et deusio c'était impossible pour moi de le dire, cela me faisait trop peur d'y penser et de le formuler.

Le regard fixe de la jeune femme n’était donc pas du dédain, bien que ses yeux semblaient n’avoir aucuns défauts, elle était aveugle. Ryuga était un peu gêné, il pensait du coup que ça démarche n’avait plus lieu d’être, mais c’était avant d’avoir entendu la fin des propos de l’étudiante. Il voulait de l’étrange, il était servit par une jeune étudiante suicidaire. Il savait qu’il avait matière à faire des recherches dans ce lycée, où les affaires mystérieuses se sont multipliées, qui sait jusqu’où vont lui mener ses investigations ?

-   Je suis désolé, je n’avais pas remarqué votre cécité, je m’appelle Ryuga, et je suis inspecteur de police. Puis-je vous demander votre nom ? Et si vous voulez je peux vous mettre en contact avec des personnes qui pourront vous aider ? Dit en faisait allusion à ses propos vis-à-vis de la mort.

Il ne prenait pas à la légère le fait qu’une étudiante lui dise qu’elle veuille mourir, qui plus est quand elle a un handicap aussi lourd. De plus, de part sa nature, il avait envie d’aider les personnes en difficultés, peut être à cause de sa mère infirmière ou tout simplement de son défunt père commissaire de police. Il savait aussi que les personnes dans une telle détresse n’aime pas trop qu’on parle directement de leur état, ni même qu’on ait pitié d’elles, ainsi pour le moment il se contenta de poursuivre leur conversation aux sujets des rumeurs et des choses étranges qu’elle venait d’évoquer.

-   Vous pouvez m’en dire plus à propos de ces choses que vous avez entendues ?

J'eus un sourire mesquin et de craint en même temps, cette personne n'était certes pas méchante, mais en était-il de même avec ces soi disant contact ? Pas sure, mais là encore je lui répondit avec franchise.

- Si je savais mon vrais nom je vous l'aurait donné comme une mère sourit à son enfant, on  ne peut m'aider, car ma lumière c'est éteinte avec ma vue et mes souvenirs. Je ne sais d'ailleurs pas comment je suis devenue aveugle, mais j'aurais largement voir ma vie se finir à ce moment là. Voici ma nouvelle identité, elle est archivé à la mairie de la ville avec la rapport des mes trois unique souvenirs, mon nom est Pumblum en Tenebrae voulant dire "Plongé dans les Ténèbres" et mon prénom est Cordis voulant dire "Coeur".

je me releva et regarda vers la source de la voix de ce dénommé Ryuga.

- Il y a plusieurs sorte de rumeurs, certaine parlant de monstres se cachant, d'autre de femme bau pouvoirs bizarre, personnellement je préfère de loin penser que ce ne sont que des farces, mais les plus choquant ce sont ceux qui parle de vio ....

Un ballon de foot frappa mon visage, me faisant basculer derrière le banc, mes mains sur mon visage recroquevillé par terre, entendant des jeunes lycée dirent.

- On a eut la sorcière ! Elle ne va plus nous maudire avec ces sortilèges !

Le choque me fit souvenir de ma soirée avec l'alien, celui qui m'avais violé avec une violence tels que rien que le fait d'entendre le mots alien, tentacules ou viol, me mettait dans un état de panique indéfinissable.

J'étais donc au sol, sur l'herbe, les genoux sur ma poitrine, cachant au passage un des marques de cisaille que ce monstre m'avait fait à la jambe, mon corps tremblait de peur, la peur de retomber sur lui et qu'il me fasse encore souffrir et d'autre chose encore plus terrible que je n'ose même pas dévoiler.

Plus il parlait avec elle, plus il sentait que quelque chose ne tournait pas rond, une amnésique encore, comme Miya. Dans la même ville ? Simple coïncidence ? Alors que la jeune fille continuait de parler, un ballon vint percuter violement son visage, la faisant basculer derrière le banc. Ryuga accouru vers elle, et trouva Cordis complètement terrifiée, et alors qu’il voulait la soutenir, il put apercevoir quelques traces rouges à différents endroits de la peau de l’étudiante, comme si on l’y avait serré violement avec une corde ou… autre chose. Il se remémorait des affaires lugubres d’agressions ou de viols, avec des marques tout aussi étranges sur le corps des victimes. Une chose était sûre, Cordis ne lui avait pas tout dit, il savait que ça allait être très difficile, mais il devait lui demander ce qui lui est arrivé. Il lui fallait le maximum de détails pour qu’il puisse essayer d’identifier, la personne ou même… "la chose" qui lui avait fait du mal.

Cordis… Je vais vous emmener à l’infirmerie, mais avant je voudrais que vous me disiez ce qui vous est arrivé. Je vois des marques sur votre corps, qui ne peuvent être que le fruit d’une agression, je sais que ce peut être terriblement dur pour vous d’en parler, mais il faut que je sache, si vous voulez que je puisse tout mettre en œuvre pour que cela n’arrive pas à une autre fille.

Il n’aimait pas ces moments là, où il était un peu contraint de faire parler les victimes, leur faire remémorer ce terrible instant, où on les a humiliés, arraché quelque chose qu’elles ne pourront pas récupérer. Il avait prit sa voix la plus douce, et essayait de brusquer le moins possible Cordis, s’il n’arrivait pas à la faire parler ce n’était pas grave, il espérait au moins lui faire accepter l’idée d’aller à l’infirmerie.

Les mots du policier n'eut d'autre effets que de me terrorisée encore plus, j'ouvrais la bouche pour lui dire une partie que ce monstre m'avais fait, mais aucun son ne sortie, puis une phrase sortie avec une voix digne d'une hystérique.

- Je ne veux pas m'en rappeler, je ne veux pas encore avoir ces sensations sur mon corps, je ne veux pas en parler !

Je me leva et partie en courant vers les toilettes pour fille et pris la première cabine, pour vomir les quelque fruit que j'avais mangée dans la journée, puis vint un moment où je ne pouvait rien régurgité, poussant un son rauque. Cela dura bien deux minute, j'entendis Ryuga qui demandait à des lycées où j'étaie et j'entendis la réponse.

- Si vous cherchez la sorcière elle doit encore se planquer dans les toilette, elle mériterait de crever au lieu de nous faire chier avec son histoire d'amnésique et d'aveugle à deux balles ...

Je n'entendis pas la suite, car je passait ma tête sous l'eau froide, c'était un des seule remède contre ce mal qui me rongeais. Une fois ceci passez, je sortie des toilette et sentit la présence de Ryuga.

- L'infirmerie est par là.

Je le conduisit à l'infirmerie et m'assis sur le lit, fermant les yeux et essayant de ne penser à rien.

Malheureusement les craintes de l’inspecteur étaient fondées, il comprit tout de suite, quand Cordis partit en courant, qu’elle fut victime d’un viol. Si jeune… Son corps n’était pas encore tout à fait celui d’une femme, que sa pureté avait déjà été arrachée dans des circonstances que Ryuga n’osait même pas imaginer. Il se leva et se décida à la rattraper, en demandant au passage à des lycéens la direction à suivre, ce qui lui permit de constater qu’en plus d’avoir connu les pires souffrances, ces camarades ne l’épargnaient pas. La piste de l’inspecteur s’arrêta devant les toilettes des dames, et il put voir Cordis en sortir.

-   L'infirmerie est par là.

Ryuga ne préféra rien dire, et se contenta de la suivre, elle acceptait de voir l’infirmière, c’était déjà ça. Une fois entrée, elle s’assit sur le lit, laissant l’inspecteur s’entretenir avec la femme qui s’occupait des lieux. Cette dernière un peu après, le fit sortir pour pouvoir examiner Cordis.  Quelques minutes passèrent, et la doctoresse  sortit de l’infirmerie, le visage pâle, elle regarda Ryuga  les larmes aux yeux, s’étant retenue devant l’étudiante.

-   C’est affreux… Quel monstre à bien pu lui faire une telle chose…

L’inspecteur prit note des blessures qu’avait relevé l’infirmière sur le corps meurtrit de l’adolescente, il devait retrouver l’auteur de cet acte, qu’il ne puisse plus faire de victimes. Puis il retourna dire quelques mots à Cordis, avant de quitter le lycée. Il reviendra la voir plutard, le viol était encore trop frais, et essayer de lui faire rappeler cet évènement ne serai que la torturer plus qu’elle ne l’est déjà .