C'est pas tout les jours que cela arrive, c'était parfois une chance unique, un moment qu'on ne peut oublier ! Ce prendre une putain de queue aussi large qu'un bras dans le cul c'est pas tout les jours ! Et des queues y'en à des centaines qui se succéder dans son cul ! Une vrai gare centrale d'un pays entier ! Elle avait un belle locomotive dans le tunnel, un 300 tonnes avec un puissant moteur le bordel, 300 à l'heure même en surcharge ! Le genre d'engin qui remorque trois trains à lui seul. Elle se fessait ramonait sévère, le plaisir comme seule ressentit.
Sinon l'homme, en plus de créer un tunnel avec sa foreuse dans la substance de Slimia, se fessait lécher sa grosse sucette par des centaines de langues, un tourbillon de langue qui laper cette friandise sans pause, chaque centimètre carré de ce pilier lécher par une multitude de langue se succédant dans un tourbillon sans fin. Le gland n'était pas en reste, coincer dans le tourbillon le plus rapide et intense, aucune parcelle de sa surface épargné, le moindre recoin. L'homme ne sut comment elle fessait, mais cela était facilement imaginable, les slimes étant capable de tout, surtout une grosse nymphos comme Slimia, qui savait comment nettoyer les grosses locomotives et faire cracher les moteurs.
Ses cries devaient s'entendre loin dans la forêt, chassant oiseaux et bête sous ses cries d'extase, les gémissements n'étaient pas assez fort pour exprimer ce qu'elle sentait. Ce colosse qui s’écraser contre elle, ses burnes d'acier s'enfonçant en elle, tandis que son bélier la déchirait presque en deux, n'arrivant pas à suivre le rythme.
Après de long coup de butoir ayant finit par faire jouir Slimia, coup perforant cette dernière, pouvant sentir les remous que provoquait le pilier de chaire qui remontait jusqu'à ça tête, son amant finis par jouir en elle. Ce ne fut pas un simple jet, mais une lance de foutre qui transperça Slimia, sortant de son ventre, pas assez solide pour contenir la puissance du jet, mais put en retenir pas mal, tandis que le reste fut happé par Slimia, à l'aide de mur, recueillant le trop plein s’étend échapper. Ils rédigera vers elle le fluide, passant par ses jambes avant de reprendre sa place dans son ventre, le quel qui avait déjà du volume avec la verge et le sperme qu'elle avait gardé.
Lentement, elle insuffla le sperme en elle, gonfla lentement son ventre, prenant du volume à vue d’œil, ponctuer de langoureux gémissement au fur et à mesure qu'elle sentait les fluide affluer en elle, passant par son intimité, glissant le long de la hampe de chair. Elle caressa son ventre, avec un soupir pareil à celui après un bon repas. Le démon se retira d'elle, et la dépossa à terre, enfin en elle, oui parce que le lac était encore là et fessait partie d'elle, donc il posa Slimia sur elle même.... vous m'avez comprit. Slimia l'accompagna dans son geste car elle glissait un peu entre ses doigts.
« Donne-moi cette chatte de trainée, allez ! »
-Tu traine pas toi. Slimili, j'adore çaaaaaa... Commença Slimia
Son amant l'attrapa à nouveau, au niveau des hanches, s'apprétant à la retourner ne la soulevant. Par un procéder aussi bizarre que simple, elle fit grandir ses cheveux, les joignant au lac, brisant ainsi ses jambes qui prirent une apparence simple, accompagnant donc le mouvement empêchant les mains de s’enfoncer en elle. Elle se retrouva donc la tête en bas, lorgnant sur les couilles impressionnante de l'homme en mettant sa tête en arrière, plaçant ses jambes sur les épaules massives de ce dernier, avant que celui-ci ne cherche à enfoncer sa lance dans la gueule de Slimia, qui ouvrit grand la bouche, gobant la verge dans une succession de bruits de succions et bruits liquides sonore.
Elle sentie la langue de son amant se mettre à laper ses lèvres intimes, glissant entre, récoltant à grande lampée sa cyprine, savourant ce précieux nectar s'écoulant de l'intimité de Slimia. Cette dernière était aux anges, son atout cacher, sa fierté et sûrement quelque chose qu'on peut revendre très cher sur le marché noir ou dans un temple lier à la luxure. Un aphrodisiaque concentré, au propriété des plus plaisantes.
Savourant le remous que provoquait la verge en elle, déformant sa mâchoire et sa gorge, Slimia ne put que sentir son atout faire effet, lentement, la verge de l'homme gagnant en masse, en taille, en diamètre, prendre du volume petit à petit. Lentement mais assurément, la verge menaçait de traverser sa machoire et sa gorge. Elle pouvait ressentir tout le long de la hampe de chair son gain de volume, chaque milimètre que prenait l'engin, mouillant de plus en plus, au point de jouir une deuxième fois, éclaboussant le visage de l'homme de sa cyprine. Le mastodonte ne fessait que prendre l'ampleur, qui finit par traverser la gorge de Slimia, déchiquetant son visage sans aucun bruit.
Slimia se liquéfia, se retirant des mains de l'homme, se reformant devant lui, en admiration totale devant le monstre qu'était devenue la verge de l'homme, presque deux fois plus grosse qu'avant. Elle fut si ébahit que sa bouche glissa jusqu'à ses pieds, durant un moment, avant qu'elle se remettent d’aplomb. Elle transféra le sperme contenue en elle dans un coin du lac, avant qu'elle ne se dresse de toute sa taille.
-On slimera pas de trop à trois. Dit elle sur un ton mielleux, pervers et affamée.
Derrière elle, deux clones apparurent, de mêmes qu'un siège prit forme sous l'homme, l'installant confortablement, tandis que le trios s'avança vers son membre turgescent, commençant à le caresser de leur mains, avant de le glisser entre leur seins, se frottant dessus, lapant ce mastodonte. Deux autres clones vinrent, mais se elles allèrent vers sa paire de couille, commençant à lécher ses grosses boules, des petites tentacules les aidant, l'une d'elle en gobant une. Les trois sur l'auguste membre, se repartirent les taches, l'une d'elle s'asseyant sur le bassin de l'homme offrant une belle vue sur sa croupe, de généreuse fesses, tandis qu'elle commençait une branlette espagnole. Une autre s'occupa du gland, la vrai Slimia, repérable au bijou violet sur son front, suçotant et avalant le gland, provoquant des successions de succion sonore et baveux, léchant avec avidité sa friandise. La dernière, à l'aide de ses mains et de sa bouche branler les parties laisser à l’abandon.
Un énième clone vint faire sont arriver, celle ci glissa sur le torse de l'homme, caressant ses muscles, léchant ses abdos, avant de remonter vers sa bouche l'embrassant passionnément. Un harem fait de Slimia, de quoi rendre n'importe qui jaloux !