Little Pet [PV]

Cette femme était curieuse. Anael ne se souvenait de rien, mais pourtant, il sentait un air familier sur ce visage. Sans doute un effet de déjà-vu. Quoiqu’il en soit il s’avança prudemment et resta silencieux, alors qu’il fut accueilli par l’infirmière. En soit elle était très jolie et sexy, surtout avec sa tenue qui moulait ses formes à la perfection. Mais il ne devait pas se concentrer là-dessus, sinon il risquait ... De perdre légèrement le contrôle de son entrejambe. Et bander durant un examen médical serait plus gênant qu’autre chose. Ainsi il resta muet mais obéissant. Il jeta un œil au dossier médical quand Momone le lui montra, mais il n’eut guère l’occasion de le regarder plus en profondeur.

Néanmoins la suite du discours le troubla. Beaucoup même. Sans aucune raison apparente, l’infirmière lui expliqua qu’il y avait eu un problème lors de son inscription ; l’administration avait cru qu’il était une fille, et l’avait donc inscrit en tant que tel. C’est pour cela que l’infirmière était d’ailleurs une femme, car les visites se faisaient généralement avec des personnes de même sexe, pour éviter tout problème. Anael déglutit en entendant ça. Comment avaient-ils pu se tromper aussi lourdement ? Il n’était pas une fille, ça se voyait, non ? À entendre Momone, ce n’était pas aussi évident. Elle continuait avec ce suffixe -chan qui perturbait Anael de plus en plus. Dès qu’il sera rentré chez lui, il partira chercher ce que c’est.

En attendant il était piégé avec Momone. Il trouvait ça de plus en plus étrange qu’on le comparait à une fille, et qu’on faisait des allusions. D’abord ce fut sa camarade avec son histoire de théâtre, puis maintenant c’était cette infirmière, avec son uniforme féminin. Etait-il vraiment si efféminé ? Anael n'avait pourtant jamais eu ce genre de remarque avant ... C’était très perturbant et déroutant. Mais il n’était pas au bout de ses surprises ; Voilà que l’infirmière lui demanda à présent de se déshabiller ! Il écarquilla un peu ses yeux devant cette demande, n’ayant pas l’habitude. « V-Vous voulez que ... Je me déshabille ? Je ... Hum ... C’est gênant ... » Dit-il, les joues rouges de gêne. Il ne savait pas quoi faire, ni quoi dire. Jamais auparavant on lui avait demandé de se mettre nu juste pour un examen médical. Au pire des cas il était en sous-vêtements !

« De là où je viens, on ne fait pas comme ça ... Comprenez que ... Hum ... C’est très nouveau pour moi, tout ça ... » Dit-il, en soupirant. Mais il finit par coopérer, et commença ainsi timidement à se déshabiller. Il le fit lentement, n’étant pas vraiment rassuré par tout ceci. Mais immanquablement il finit nu, les bras croisés pour cacher son sexe avec ses mains, par pudeur. Même en étant nu, Anael avait toujours une allure féminine, avec des hanches ni larges, ni plates comme celles d’un garçon normal ... Et surtout l’absence total de pilosité sur l’ensemble de son corps.

Momone esquissa les sourcils devant l’étonnement d’Anael.

« Normalement, il faudrait qu’un homme t’examine, puisque tu es un garçon, reconnut-elle. Mais les examens médicaux impliquent souvent de se déshabiller. »

C’était vrai, et, en soi, ça n’était pas supposé avoir un tournant sexuel. C’était un simple examen visuel, mais, en l’occurrence, Anael était loin de se douter de la situation dans laquelle il venait de se glisser. Elle le regarda donc se déshabiller, souriant lentement, tout en essayant de garder un air professionnel. Toutefois, Anael alla jusqu’à retirer son sous-vêtement, et, même s’il cacha ce dernier avec ses mains, elle put voir sa belle érection. Techniquement, l’examen n’imposait pas de retirer sa culotte, mais ce n’était pas Momone qui allait s’en plaindre ! En fait, l’examen qu’elle devait faire impliquait précisément d’observer le sexe du jeune homme. Elle était pour l’heure curieuse de voir jusqu’à quel point il obéirait, car, même si l’examen le surprenait, il s’était quand même déshabillé rapidement.

Momone l’observa donc en souriant.

« Je comprends que tu sois intimidée, Anael-chan… Vas-y, installe-toi sur le fauteuil. »

C’était un fauteuil médical, légèrement penché vers l’arrière, et, pour se poser dessus, il allait être obligé d’utiliser ses mains sur les accoudoirs, ce qui permit encore à l’infirmière de voir son sexe. Elle se rapprocha ensuite de lui, ayant récupéré un stéthoscope.

« Allonge-toi, et détends-toi… Je vais juste relever ta tension. »

L’appareil, froid, se déplaça sur la belle peau glabre et douce du jeune homme. Momone sourit lentement en constatant que le pouls du jeune homme était très nerveux, mais que, au-delà de ça, il se portait très bien. Elle agissait consciencieusement, mais Anael avait une belle vue sur les énormes seins de la femme. Un spectacle des plus alléchants, à n’en pas douter.

« Eh bien, eh bien… Tu es très nerveux, mon beau ! » gloussa-t-elle alors.

Il fallait donc maintenant s’installer sur le fauteuil. Anael n’était pas vraiment à l’aise maintenant qu’il s’était dénudé ; comme il l’avait dit, c’était assez inhabituel. Mais le calme à toute épreuve de l’infirmière était également troublant. C’était comme si voir de parfaits inconnus nus ne la dérangeait guère ! C’était déroutant. Ce pays était définitivement très à part en matière de coutumes, de mœurs et autre, aux yeux du garçon. Néanmoins il était là pour un examen médical et il allait s’y conformer. Déglutissant, il hocha la tête puis s’installa sur le confortable fauteuil.

En devant poser ses mains sur les accoudoirs il du immanquablement révéler son sexe, qu’il cachait jusqu’à présent avec celles-ci. Le rouge lui monta sérieusement au visage. Il n’osait plus parler ni rien faire, étant trop gêné pour cela. L’infirmière finit par approcher et posa un stéthoscope sur sa peau. Le contact glacial lui donna un subit frisson et s’il avait des poils, ils se seraient hérissés. Mais il n’avait aucune pilosité ... Et la seule chose qui commença à s’hérisser était son membre ; en effet, il était placé de telle manière qu’il avait une vue directe sur l’opulente poitrine de la femme.

Il déglutit à nouveau et tenta de se contrôler, de rester calme malgré tout. « Ç-Ça doit être l’effet blouse blanche ... » Dit-il tout timidement, tâchant d’ignorer le fait qu’il était désormais en train de bander. Tout ceci devenait bien difficile à gérer et il n’était pas sûr que la patience de Momone soit illimitée. Culture différente ou pas, Anael doutait qu’avoir une érection sauvage au beau milieu d’un examen médical était une bonne chose. Mais c’était ainsi, il n’avait rien pu faire pour l’empêcher ou se retenir ; la vue sur le décolleté plongeant de l’infirmière avait réussi à le mettre dans tous ses états !

Momone avait un rôle central. L’infirmerie de Mishima était un endroit très dangereux, d’où les élèves sortaient très rarement indemnes... Et c’était bien ce qui allait arriver à Anael-chan ! Le jeune homme, tout nu, était très nerveux, et dut donc laisser son sexe à l’air libre, tandis que l’infirmière utilisait le stéthoscope pour prendre son rythme cardiaque.

« Hum-hum... Tu m’as l’air assez nerveux, Anael-chan ! Ne me dis pas que c’est de ma faute, si ? Je suis si intimidante que ça ?! »

Anael, en bafouillant, avoua qu’il devait s’agir de « l’effet blouse blanche », ce qui ne manqua pas de faire doucement glousser Momone. L’infirmière comptait encore bel et bien s’occuper du jeune homme, et le préparer pleinement avant la folle soirée qui l’attendait. Celui-ci l’ignorait, mais il appartenait déjà au club social des Morimoto. Au sein de Mishima, il existait en effet bien des facettes obscures, des clans qui s’affrontaient entre eux sans aucune existence officielle... Mais Anael-chan appartenait au club social !

Momone baissa alors les yeux, et sourit en voyant l’érection du jeune homme. Comme prévu, il avait une très belle trique, et Momone feignit la surprise :

« Oh... Anael-chan ! Vilain garçon ! Tu n’as pas honte ?! »

Difficile, toutefois, pour Momone de feindre longtemps la surprise. Se pinçant doucement les lèvres, elle fléchit les genoux, et son visage se retrouva à hauteur du sexe du jeune homme. Avec son torse glabre, sa petite taille, sa belle érection n’en était que plus impressionnante, une magnifique queue qui se dressait sous le nez de la femme. Celle-ci l’observa avec appétit.

*Elle est aussi belle que dans mes souvenirs...*

Momone s’approcha alors, et donna un léger bisou dessus, tout en frottant délicatement avec son nez cette belle verge érigée.

« Je crois que ta tension vient de là, Anael-chan... Et il n’est pas sain d’être aussi nerveux ! »

Souriant malicieusement, Momone reprit :

« Il faut que je te soigne, mon beau Anael-chan, c’est pour ça qu’on vient à l’infirmerie... Et, puisque mes seins sont responsables de ton trouble... »

Momone défit le haut de sa blouse, et libéra ses seins. Ceux-ci à l’air libre, elle se redressa un peu, et emprisonna le sexe d’Anael entre sa voluptueuse poitrine, puis commença à masturber son sexe avec, remuant langoureusement dessus, laissant le plaisir se déverser dans le corps du jeune homme.

« Allez, Anael-chan, dis-moi que ça te fait du bien ! C’est à ça que sert une infirmière, à faire du bien à son patient !! »