Je connaissais bien tous les lieux de cette bonne ville, mes gagn avaient un peu refréné leurs activités, les vacances approchants. Autant garder au top le morale de tous le monde, quand à moi je voulais aller à la piscine. Je donne l'argent pour payer son entrée en faisant un sourire à la demoiselle de l'accueil, j'avais sa grande sœur dans mon groupe, une très belle sirène à la voix enchanteur, cette demoiselle par contre avait tous d'une humaine, sauf les yeux hérité de son sang marin.
Quoi qu'il en soit je me prit un casier dans le vestiaire des femmes, que voulez-vous, j'aime plus sentir l'odeur des femmes que des homme et avec un quelque chose en plus entre les jambe, je n'aurait normalement accès à rien. comme je n'entendait pas de bruit, je savait qu'il n'y avait personne et avec le temps pourris dehors il n'y aurait que de très rare clients, aussi je défit mon bandage et laissa ma poitrine reprendre ces formes, je me dévêtit de tout habit et enfila un maillot deux pièce rouge avec des broderies de rose, noir. Je prit soins de cacher le mieux possible mon pénis, on ne sait jamais, je me mis un collier, avec une rose noire de dessiner en plein milieu de mon cou, qui venait de Tekhos, cela rendait ma voix féminine, leurrant de cette manière les possible membre de mon gang qui viendrait malgré la pluie et sortie des vestiaire en me mouillant un peu sous la douche pour préparer mon corps à ce faire mouiller par de l'eau chaude. Le défaut majeur de ce corps c'était sa sensibilité à toute stimulation que se soit chimique ou physique.
Je ma baladait sur le bord quand j'entendis un cri suivit d'un "plouf", encore un guignol qui n'a pas pensé que le plongeoir était un traître. Ne le voyant pas remonter, je plongea et vit une demoiselle, qui semblait être trop surprise pour nager, je la remonta, tout en évitant le plus de contact, ce qui se serait traduit par une présence plus voyante de mon membre masculin. une fois que la demoiselle était tenue au bord, je pus souffler. J'aurais peut être du restée en mec, je n'aurais eus qu'a garder le bandage, pretextant un blessure et mon membre n'aurait pas causé de problème.
Décidément le destin peut être cruel, tous ce que j'avais à faire maintenant c'était éviter tous contact avec des zones qui m'aurait stimulée et essayer de se faire passer pour une femme, dure quand on a passé beaucoup de temps à s'entrainer pour être un homme parfait. Une idée me vint à l'esprit, pourquoi ne pas se faire passer pour une fille timide mais gentille. Cela serait amusant, il y avait longtemps que je n'avais pas jouée cette comédie, faute de temps et de proie. Ausi je dit avec un semblant de timidité.
- Vous ... Vous allez bien madame ?
Le collier marchait parfaitement, on aurait dit la voix d'une adolescente encore vierge et pur. Cela serait encore plus facile de jouer la comédie.