H'uena pholor natha draeval ... gi ... dos xuat kampi'un vel'bol usstan tesso. Ulu ussta ssivah dos nym'uer ussta xan'ss.
Vous arrivez à me comprendre maintenant ? Bien. Cela fait des lustre que je n'ai plus utilisé ce sort et je suis contente de ne pas l'avoir oublié. Je me nomme Nindel Uss Vel'uss Wlalth Lu'sundu L'dro Lu'l'xonathull L'Toun d'l'Taur. C'est un nom bien long pour vous ... Voyons pour un surnom ... Vous pouvez m'appeler Karadi, cela veut dire Lien dans votre langue. Je suis une femelle, en ce qui concerne ma race ... hum ... je pense que divinité pourrais me convenir, c'est ce qui se rapproche de beaucoup à ce que j'étais, trop puissante pour être une simple créature, mais trop faible pour être une divinité majeur. Je pense donc qu'être considérée comme une entité divine mineur me conviendrait. Je ne peux vous dire mon âge, j'ai vu bien des dynasties naître et s'écrouler voilà le seul indice pour discerner mon âge.
Je suis à la base un entité voué à la protection de la forêt et des êtres respectant cette dernière, seulement ... par certaine circonstance mon rôle à quelque peu changé, devenant une divinitée l'Amour et du Sexe ... Je n'ai pas beaucoup d'expérience dans ce domaine, merci de ne pas en rire.
Mon apparence est identique à celui que j'avais avant. je ressemble en tout point à ce que vous nommez des esprit féeriques, n'ayant comme point commun avec les elfes que les oreilles pointue. Je mesure 63 inches ... ha vous n'avez pas la même unité de mesure hum ... expliquez moi ... J'ai comprit, je mesure donc un mètre soixante. Ce n'est pas une grande taille, mais elle était suffisante pour mon rôle, être trop grande m'aurait posé des soucis et être trop petite aurait engendré un certain manque d'autorité. On me dit fille du blé, à cause de ma longue chevelure dont la couleur rappel els champs de blé mure aux temps chaud et quand le jours est long. On m'a une fois nommé fille des Saphir, du fait de mes yeux bleu. J'ai une peau légèrement teintée par les bains de soleil que je prenait, ayant un corps beau, du fait de mon ancien rang. Je porte cependant une profonde cicatrice partant de mon épaule droite et plongeant jusqu'à ma hanche gauche ... nul ne doit le toucher .. personne, vous m'entendez ? C'est pour cela que je porte des tenues pour empêcher que cela ne soit visible, le fait de porter du blanc et du vert est un choix, le blanc en signe de deuil, le vert étant un symbole de mon ancienne patrie.
Je ne désire rien, je n'ai guère de peur, ni d'espoir. Je compte simplement vivre ou mourir selon ce qu'Elamshin. Je ne veux pas porter ce fardeau de toutes ses personnes mortes sur ma planète, je ne veux plus combattre. Je sais qu'en présence de victime je vais devenir folle et tuer l'agresseur. Puis je me rendrais compte du meurtre et mon corps se mettra à me faire souffrir le martyr et répandre tout ce que mon estomac possède. Je ne suis pas morte et pourtant c'est tout comme. Une naut-elghinyrr, voilà ce que je serais. Trop vivante pour être morte, mais trop morte de l'intérieur pour être vivante. Je n'ai que faire de mon savoir sur la nature, la médecine, la magie de l'éther ou encore le combat, cela n'a permit de sauver personne. Si je venais à croiser ses monstre de chitine (formien) je sais que je deviendrais l'avatar de Thalack lu'jusron, leurs morts ne suffisant pas à éteindre ce volcan de haine, ne pouvant me calmer qu'une fois réduit à l'état de bouilli informe. Je ne sais pas ce qu'Aphrodite attends de moi, mais je n'ai pas envie de suivre sa décision, même si je sens en moi que je n'aurais le choix, ne donnant qu'un goût putride en bouche. Ce nouveau monde ne m'effraie pas, je n'ai que ma vie à perdre, soit pas grand chose.
Je vais vous raconter mon histoire, de toute manière vous ne pouvez savoir si je dis la vérité ou non. Je vivais sur une planète que l'on nomme S'argt's Thac'mon. Il y avait une relation fusionnelle entre les mortels et ceux qui seraient désigné comme les Gardiens. La taille devait être identique à cette planète et nous comptions deux cent Gardians. Tous avaient un territoire à surveiller et gérer. Quand un mortel était désigné comme apprentis-Gardien, il suivait une formation du Gardien en place. Je fut la remplaçante d'un humain puissant que ma tribut surnommait L'Ghourn, il était si grand et si puissant que nous le craignions tout comme nous l'adorions. Il était aussi fort que doux. Je fus sélectionnée alors que je n'étais qu'une enfant. Une renarde avait été prit dans un piège à loup, ses petits étant tout autour. J'avais essayé de la libérer, me faisant mordre par les renardeaux qui pensaient que j'étais là pour blesser leur mère. Je me souviens encore de ce jours, mordue partout, pouvant à peine poser mes fesses sans avoir mal et le regard de cette renarde qui me remerciait à sa façon. L'Ghourn avait assisté à la scène et attendit un an avant de venir voir mes parents et me prendre comme apprentie. J'eus dès lors une croissance très ralentis, si bien que deux cent an plus tard j'avais atteint l'adolescence en apparence. Il sentait sa fin venir et me donna le flambeau. Tout comme la mort de vieillesse de ma famille, j'eus une profonde douleur et lui donnait les cérémonies, étant mon rôle en tant que nouvelle Gardienne.
Pendant près de cinq cent ans, je vins à être une Gardienne exemplaire, mais ... des rumeurs parlaient que des Gardiens mourraient et que des envahisseurs prenaient le contrôle des terres. On parlait de monstre recouvert de chitine, une chitine si dure que les armes légère ne leurs faisaient rien. Je fus convoquée dans la capitale Elemmiire et j'appris al triste vérité. Sur les Gardiens présent sur la planète, il n'en restait qu'une vingtaine debout. Mon territoire, étant une forêt dense et munit de nombreuses plantes et bêtes sous mon contrôle, pouvait certainement faire la différence, il fut désigné comme le dernier point de défense. Cette annonce me fit un choc. Je ne pouvais m'y opposer, ayant une pensée égoïste, voulant que mon territoire survive, les plus âgés comprirent ce silence, j'étais encore trop jeune pour subir un tel choc. Il fut décidé que mon territoire serait aménagé, pour accueillir les habitants des autres territoire, subissant une terraformation drainant beaucoup de ma force. Un arbre immense que je nommait Kulggen d'Vigaj, pouvant accueillir tout le monde. Si j'avais su ce qui se serait passé, je n'aurais jamais fait cette idiotie.
Nous avons tenu le territoire pendant près de cinquante années, devant faire face à ses monstres qui revenaient de plus en plus évoluée. Nos sort magiques vinrent à devenir inefficace, commençant à perdre nos forces et nos armées. Ce n'est qu'en voyant la seconde vague que nous comprîmes que nous n'avions combattu qu'une infime partie de l'armée adverse. Nous avons lutté de toute nos forces, mais l'arbre que j'avais façonné fini en cendre, avec les habitants y vivant, nous n'étions plus que dix Gardiens, les autres étaient morts sous mes yeux, ils tentèrent de me défendre, moi la plus faible du groupe et ils décidèrent de réunir leurs forces pour m'envoyer sur un autre plan. Vel'bol l'vith vith'ez uoi'nota !!!
Une femme se nommant Aphrodite vint à me dire que je serais un divinité de l'Amour et du Sexe, je voulus trancher cette femme, mais mes forces n'étaient plus dans mon corps. Mon âme ne désirait presque plus vivre. Je vins à apparaître sur une planète différente, la chaleur des flammes, l'odeur de la mort et du sang n'existaient plus. Tout ce qui restait en ce lieu c'était le froid qui me perforais la chair, cette pluie qui effaçait mes larmes et le tonnerre qui étouffait mes cris de lamentations. Je ne savais pas ce que cette femme m'avais donné comme rôle. Comment aimer et avoir envie du sexe après cette catastrophe, elle se moquait de moi cette elg'caress. Je n'avais que faire de tomber malade, je voulais revenir sur ma planète, mourir aux côtés de ceux qui avait combattu. Ne pas avoir à porter ce fardeau, faire que tout ceci ne soit qu'un cauchemar, pourtant je savais à l'intérieur de moi, que je ne pouvais rien faire, essayant simplement de nier l'évidence. J'étais la seule survivante.
Autre :
- Utilise la magie sous une forme généraliste, sans distinction de couleur, que je nomme magie d'éther. Sur terre, elle ne peut user de magie complexe, pouvant soigner de simple égratignure ou lancer un sort d'interprétation. Dans un état de folie, elle peut consommer la magie dans son corps pour envelopper sa lame d'une flamme bleu dégageant énormément de chaleur, le maintiens de cette flamme ne peut excéder une heure, se coupant automatiquement après de délais, atteignant les limites quasi-mortelle pour son corps.
Sur Terra, elle utilisera la magie présente autour d'elle, la rendant bien plus puissante et pouvant utiliser des sortilège pouvant rayer une forteresse, faire jaillir une dense forêt ou soigner un être aux portes de la mort.
- Possède une lame fait d'un métal pouvant trancher les alliages, mais simplement abîmer la chitine des formiens (une dizaine de coup nécessaire pour pouvoir tuer un formien, deux coup si la lame est enflammée.) .
- A les oreilles sensible.
Don Aphrodite :
- Bénite/Maudite par Aphrodite, elle ne peut se tuer de manière volontaire ou involontaire.
- Elle génère naturellement des phéromones attirant tout les sexes/races, tant qu'ils ont un minimum d'attrait pour les femmes/elfes.
- Possède la capacité de maîtriser la magie rose.
Mana intérieur : La magie dans le corps de Karadi se restaure avec le temps, plus le niveau est bas, plus elle montre physiquement cette faiblesse, par exemple par des difficulté respiratoire. Elle assimile la magie présente dans toute choses qu'elle mange, pouvant faire un rejet si l'apport magique est trop violent, l'évacuant pour éviter que son corps ne subit des dommages. Un apport de magie d'éther (soit neutre/pur) sera bien plus facile à assimiler qu'une magie d'un domaine particulier (notion des couleurs de la magie). Après avoir épuisé à un niveau critique sa magie intérieur, il faut une semaine alité pour qu'elle fasse ses réserves, dans le cas d'un apport quotidien, il faudra au minimum trois jours avant que son état soit stable et sans crainte.
Le fait qu'elle ne puisse mourir joue beaucoup, pouvant, normalement, périr pendant les trois premiers jours, cela étant dû au fait qu'une puissante masse magique est consommée en un délais très court et sans retenue, causant des dommages internes qui se résorbent pendant la période de repos.
