Le fait de se donner en spectacle sans passer à l'action me rappelle ce qu'elle m'avait dit l'autre jour. Comme quoi elle préfère qu'on ne lui demande pas son avis quand on a envie d'elle. Eh ben c'est clairement ce que je vais faire. Je me contente de l'observer encore quelques secondes alors qu'elle me répond pour ensuite venir se positionner sur moi pour ensuite me montrer sa grosse paire de seins désormais libre de toute protection et décoration.
- Oh oui ! Me montrer tes gros nichons ne changera rien à ma décision.
Et à l'instant où je sens que mon gland se trouve à l'entrée de ses lèvres suintante de son propre jus, je me saisis de ses deux poignets pour bloquer ses mouvements et je tire dessus tout en soulevant les hanches d'une traite pour forcer le passage.
Un long soupire m'échappe alors que d'anciennes sensations me reviennent en tête. Cette cochonne est toujours aussi serrée. Le premier passage se veut laborieux car je peux à peine faire entrer un tiers de mon bout dans sa chatte.
- Tu t'es vraiment contentée de les sucer. Ou alors c'est moi qui est trop gros pour toi.
D'un bond je la soulève en me redressant pour la faire s'étaler sur le dos par-dessus le bureau. Ma main droite se saisit de sa cheville gauche pour soulever sa jambe et me permettre de mieux entrer en elle tout en admirant le spectacle. Dans le même temps, mon index et mon majeur gauche finissent dans sa bouche après avoir laissé ma main parcourir son corps en partant de son ventre pour remonter jusqu'à son visage d'ange.
Mes hanches font alors le sens inverse pour que je me retire d'elle pour mieux y entrer de nouveau d'un coup sec. Astrid mouille tellement qu'il ne me faut pas longtemps pour que je parvienne à enfoncer un peu plus de la moitié de ma bite épaisse qui écarte ses chairs sensibles au passage.
Les doigts qui lui bloquaient la bouche jusqu'ici libèrent ses lèvres pour venir mettre une petite claque sur ses seins qui balancent en rythme de mes coups de hanche alors que je souffle comme un buffle de mon côté en la regardant d'un air malsain depuis ma position.
Sans lui laisser une seconde de répit pour reprendre ses esprits ou réfléchir, ma main droite glisse le long de sa jambe que je laisse reposer sur mon épaule pour en faire le tour à la quête de son clitoris gonflé que je commence à stimuler avec le pouce tout en lui bourrant la chatte comme un possédé.
- J'avais pas goûté à une chatte aussi serrée depuis longtemps. T'es sur la bonne voix pour garder ton poste, Astrid.
Histoire de l'empêcher de trop bouger, du moins dans ma logique, ma main gauche se saisit d'un de ses obus pour le malaxer fort tout en remuant les hanches encore plus fort. Comme si je cherchais à la transpercer de part en part avec ma bite qui est sur le point de pouvoir entrer aux trois quarts dans son petit corps frêle.
Je serre les dents de toutes mes forces pour faire durer la chose encore cinq ou dix minutes. Entre l'attente, le début de pipe en bas et ça... C'est déjà un miracle qu'il n'y ait pas eu d'accident avant.
- Fais-moi jouir une première fois, salope !
Oui, une "première" d'une longue liste.