Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Asuka Kahori

Humain(e)

Premiers clients [Ryujin]

mercredi 14 octobre 2015, 10:03:47

Finalement, le lycée Mishima n’était pas si mal. Pour un établissement qui portait le même nom qu’un suicidé, je devais bien admettre que l’ambiance n’était pas trop... Déprimante. Quand j’étais arrivée au lycée, il y a encore quelques semaines, j’étais encore une jeune fille assez naïve, quelqu’un qui pensait que ce lycée était comme n’importe quelle autre lycée, un endroit chiant où on bâillait aux corneilles en cours en devant respecter religieusement le corps enseignant. Un endroit où on vous apprenait que, si vous étiez un clou dépassant de la rangée, il fallait bien se remettre à sa place, car il ne fallait pas être excentrique, original, mais rentrer dans les petites cases que la société tissait pour vous. L’image classique du lycée, quoi ! Au lieu de ça, j’avais rapidement rencontré Alexanders-senseï, et cette rencontre avait été... Woaw ! J’en étais encore sur le cul, et, comme je continuais régulièrement à la voir, et qu’elle avait manifesté un grand intérêt pour les parties anales du corps humain... Disons que j’étais littéralement sur le cul !

Je découvrais donc Mishima et ses joyeusetés, sous le conseil d’Alexanders-senseï, qui avait l’air d’en connaître un rayon là-dessus. Elle m’avait ainsi parlé de cette élève, Warren-san, une superbe femme aux cheveux châtains, en me disant de me rapprocher d’elle... Et, même mis à part Alexanders-senseï, il y avait également d’autres profs qui me faisaient fantasmer, généralement du sexe féminin... Il y avait Ichtora-senseï, par exemple, ou encore Kurokawa-senseï. Tant de beautés circulaient dans ce lycée que c’en était à peine croyable ! Et, suite à ma rencontre avec Alexanders-senseï, j’avais enfin trouvé une manière d’exercer mes talents du kinbaku auprès des élèves de Mishima. Pour ça, il suffisait de faire confiance à cette chose, au lycée, cette chose fascinante et horrible, qu’on appelait la rumeur. Avec mon nom, qui faisait référence à un grand artiste du kinbaku, je m’attendais à ce que d’autres personnes, autres qu’Alexanders-senseï, fassent le rapprochement, et, grâce à mes quelques amis, j’avais commencé par m’ouvrir aux autres, proposant mes services à ceux qui suivaient les « consignes ». Des consignes non-écrites, mais qu’on pouvait apprendre en écoutant les bruits de couloir et en surprenant les rumeurs. Certains en parlaient peut-être sur l’Intranet du lycée, sur les réseaux de discussion instantanée, mais je n’avais pas spécialement le temps de les chercher.

Ma stratégie était donc de venir chaque matin près de mon casier, de l’ouvrir, et de voir si j’avais reçu des petits mots pour devenir mes cobayes. Il y a trois jours, j’avais reçu un mot avec une adresse mail, et j’en avais envoyé un, en donnant un lieu de rendez-vous. C’était un homme, un lycéen, et je l’avais attaché pendant des heures, jouant avec lui, utilisant mes techniques anciennes, ainsi que celles que j’avais pu apprendre auprès d’Alexanders-senseï... Et ça avait été bon. Très bon... Super bon, en fait ! Je l’avais fait couiner en le masturbant, jusqu’à le faire jouir sur lui, sans même avoir à le masturber avec mes doigts au début, simplement en frottant avec les cordes. Le pénis était une zone extrêmement fragile, car il fallait secouer ce machin pour lui faire cracher sa semence, tout en sachant aussi que, si on serrait trop, la douleur était terrible. Il fallait donc bien le ligoter, et, tandis que je l’avais attachée, j’avais vu son membre se dresser en mettant la corde le long de son sexe, pour remonter sur le reste de son corps.

Ça avait été un moment exquis, et, ce matin, je me rendais vers mon casier, en me demandant si j’avais reçu un mot hier...
DC d’Alice Korvander.

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Ryujin

Dieu

Re : Premiers clients [Ryujin]

Réponse 1 samedi 17 octobre 2015, 19:00:32

Vous connaissez le principe des rumeurs ? En général, il faut savoir leur tordre le cou… et parfois… parfois il faut les écouter avant d’agir… et là, la rumeur était un mince filon fort intéressant… en y repensant, il avait sans doute fait une connerie en la suivant… mais bon, ça avait été tentant… trop tentant même !  Après tout, entre son nom et les folles rumeurs, il y avait un petit rapprochement, à faire, certes, mais bon : il avait fait quelque chose de simple : il avait suivi la rumeur et mit un mot dans son casier, sans donner son nom, juste au cas où, bien évidemment !

Citer
Asuka,
Comprends-tu la délicieuse tension d’une corde qui force le corps à se maintenir dans un délicat arc qu’il répugnerait à tenir sans cela ?
Comprends-tu la beauté d et le délice charnel d’une corde qui frotte contre une partie charnelle particulièrement sensible ?
Comprends-tu l’extase de l’entrave qui serre, serre à en perdre la tête ?
Comprends-tu la jouissance de ce temps passé tant à concevoir les cordages qu’à les sentir s’imposer, un par un ?
Si tu penses répondre oui à tout cela, alors je te laisse me contacter ici :  rr.kinbaku.pourtoi@docomo.ne.jp
N’hésite pas un instant… car si dans ce jeu, la patience est une vertu, ne rate pas cette occasion, et si tu as trop hâte, rendez-vous ce soir à 20h devant l’entrée de la cave du lycée, j’en ai un double, personne ne nous dérangera… et il y a là-bas dedans plus d’installations que l’on pourrait le croire…
Tu peux bien sûr confirmer par mail ou infirmer, libre à toi... mais une soirée inoubliable… est-ce que l’on peut la rater ?

Il l’avait déposée à sept heures moins le quart dans son casier, histoire qu’elle puisse la voir. Histoire qu’elle ait la journée pour gamberger. Il avait fait même un peu plus, si on reniflait la lettre, on pouvait même sentir une légère odeur de chanvre : les cordes traditionnelles étaient en chanvre et il trouvait bien plus intéressant de jouer avec cela : ainsi, il y avait une véritable maitrise : si on ne maitrisait pas parfaitement chaque nœud, la corde brûlait la peau !

Il recommença le midi avec une nouvelle lettre, juste pour en rajouter.

Citer
Asuka,
Tes méninges se creusent-il à imaginer qui peut bien oser le petit mot ?
Ton ventre chauffe-t-il en imaginant une soirée comme celle-ci ?
N’oublie pas mon mail, ou ce soir vingt heures…
Un joueur passionné…

Il y avait toujours cette odeur de chanvre.. et était-ce… une légère odeur de semence masculine ? Peut-être… difficile de l’affirmer tant c’était ténu… toujours est-il que si jamais elle répondait par l’affirmative ou ne répondait pas il arriverait vers 8h10, histoire d’arriver après elle…

Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Premiers clients [Ryujin]

Réponse 2 mercredi 28 octobre 2015, 17:13:45

La sensation de sentir une corde s’entortiller autour de vous, limiter et restreindre vos mouvements... Honnêtement, je n’aurais jamais su dire en quoi ça me fascinait tant, mais... C’était comme ça. J’aimais les sentir rouler autour de mon corps, bloquant mes membres, j’aimais restreindre mes mouvements, me sentir prisonnière, tout en refusant l’idée de ne pas être en sécurité, face à des inconnus dangereux dont je n’étais pas totalement assurée des intentions. C’était plutôt paradoxal, je sais, mais c’est comme ça que je fonctionnais. Les cordes, j’aimais ça, j’aimais les sentir sur moi, mais je n’aimais pas être en situation de danger. C’était si plaisant de se restreindre, de s’immobiliser, c’était comme une manière de découvrir son corps, de découvrir comment le sang circulait, et de voir à quel point le corps humain pouvait se montrer élastique. J’aimais pratiquer ça sur moi, mais aussi (surtout ) sur les autres. Je transformais mes partenaires en cobayes, traçant avec leurs corps des formes géométriques, et ça, c’était franchement cool. Je les faisais souffrir, mais pas de cette souffrance que vous n’aimiez pas, oh non ! C’était, au contraire, de celle qui vous faisait fantasmer... La frustration, une arme terrible.

Je pensais à tout ça en arrivant au lycée, et, en ouvrant mon casier, fut surprise d’y voir un papier, que j’attrapais, avant de le lire... Et d’écarquiller les yeux. Je le relus même, comme pour m’assurer de n’avoir pas rêvé. Je n’arrivais tout simplement pas à en croise mes yeux ! Je le relus donc, encore, avant de sourire, tout en sentant un tremblement vibrer dans mon estomac. C’était... Ce mot était à la fois un mélange de sensualité, d’érotisme, et... Oserais-je dire de poésie ? Ouais, quand même, il y avait un peu de ça. Je lisais ce mot avec plaisir, en sentant un homme intelligent et talentueux derrière... Ce qui m’amena subitement à regarder autour de moi, comme si je m’attendais presque à ce que le Don Juan soit là, avec un sourire goguenard sur les lèvres. Évidemment, il n’y avait personne, mais je sentais quand même mon cœur battre la chamade de manière inhabituelle.

Je passais le reste de la matinée en transe, en attendant avec impatience la pause-déjeuner, où je pourrais avoir accès à un ordinateur. Tout en poireautant en cours, je me demandais vraiment qui avait bien pu m’envoyer ça. Un membre de ma classe ? J’avais beau tous les observer, j’étais incapable de deviner de qui il pouvait bien s’agir. Diable, j’étais vraiment une piètre détective ! La matinée passa donc lentement, leeeeeeeeeentement. J’essayais à nouveau de dessiner. J’avais avec moi un petit cahier de dessins, où je m’amusais à faire des « dessins techniques ». En fait, il s’agissait de croquis de kinbaku, mais n’allez pas vous faire des idées, hein ! Ce n’était nullement des dessins sensuels, mais vraiment des croquis, avec des traits et un schéma de corps humain. Hey ! J’étais peut-être (et je dis bien peut-être) une experte en kinbaku, mais on pouvait pas être douée partout ! J’avais néanmoins bien du mal à dessiner, car je repensais constamment à ce message...

...Et puis vint l’heure de la pause-déjeuner. Mes amies sentaient bien que j’étais là sans être là, que j’étais pas dedans, perdue dans mon monde, dans une bulle faite de liens et de cordes. Je retournais vers mon casier, fébrile, et mon cœur rata un battement en voyant que j’avais encore reçu un papier ! La vache ! Un vrai admirateur ! Je m’en mordillais joyeusement les lèvres, et je filais à toute allure vers ma chambre, dans le dortoir, en oubliant totalement le fait de manger. Vite, vite, je me dépêchais ! Je filais sur mon ordinateur portable, et l’allumai rapidement, pestant contre cette machine trop lente, avec mes doigts qui continuaient à trembler sans que je comprenne pourquoi, comme si j’avais froid, mais sans avoir froid... Ouais, une sensation bien zarbi’ !

Je finis par ouvrir ma messagerie, et envoyais un message, m’assurant à deux ou trois reprises d’avoir bien tapé la bonne adresse, et je laissais mon inspiration me guider :


Citer
« Mon Cher admirateur,

J’ai lu en toi quelqu’un qui comprend tout le plaisir qu’il peut y avoir à sentir des cordes enlacer le corps, comme une sorte de doucereuse et passionnante étreinte. J’aime cette sensation, celle d’être attachée, celle de se sentir restreinte dans ses mouvements. C’est une sorte de méditation sensuelle et spirituelle, un moyen de mieux comprendre son corps,, et de vivre en étant davantage serein, et davantage conscient de l’importance qu’il y a à être libre de ses mouvements.

Mon Cher admirateur,

Ton offre m’intéresse grandement, et je serais ravie d’honorer ton rendez-vous de ce soir. Preuve de ma gentillesse, je te laisserais décider qui attachera l’autre, car j’aime autant une situation que l’autre.

PS. – Mon ventre chauffe bien !
»

Autant dire que j’avais eu une mal de chien à l’écrire... Maintenant, il me restait à attendre la soirée, et, après les cours de l’après-midi, j’en profitais pour enfiler, sous mes vêtements, ma tenue officielle (ma swimsuit rose moulante), et je m’empressais d’aller vers l’entrée des caves du lycée...
DC d’Alice Korvander.

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Ryujin

Dieu

Re : Premiers clients [Ryujin]

Réponse 3 mercredi 13 janvier 2016, 06:07:32

Ryujin était un dieu qui était particulièrement intéressant… et sur le coup, un dieu qui était particulièrement intéressé à n’en pas douter. Oh bien sûr, le kinbaku, il connaissait, mais de là dire qu’il était un maitre du genre, il ne fallait pas aller si loin. Il était pas mauvais, mais il n’était pas non plus un grand maitre du genre. Et il n’osait pas le prétendre… il se contentait d’imaginer les jeux qui allaient s’enclencher… il essayait d’imaginer un peu comment elle allait plier face aux cordes, oui, c’était la beauté du kinbaku :  cet art était comme l’origami :  c’était l’art de plier et de tordre, oh n’allez pas voir dans cela une quelconque forme de violence… loin de là !  Il eut un sourire, aux anges, attendant sa réponse… oui, il avait chargé en termes de poésie… à cette pensée, il souriait tout seul alors qu’il attendait sa réponse. Deux lettres dans la matinée, ça devrait l‘avoir convaincue, non ? Il espérait…

Il avait cours jusqu’à 14h ce jour-là, un manque de chance quand on y réfléchissait, car elle répondrait sans doute pendant la pause de midi… mais bon, il ne pouvait pas s’empêche d’être impatient. Aussi, planqué au fond de la classe, il avait attendu en guettant un mail sur son portable. Putain, vite, qu’il sache s’il fallait attendre ou pas, il était un brin fébrile, il le reconnaissait. Et si elle avait eu plusieurs candidats pour le même jour ? et si elle ne l’avait pas sélectionné ! Il se retournait trop l’esprit…

Soin portable vibra. Il regarda. Zut pas ça, tant pis, on attendrait davantage. Il attendit encore un peu, les secondes s’égrenant à la vitesse des années, des siècles, même !  Il regarda à nouveau son téléphone. Putain, il ne l’avait pas vu celui-là !  En voyant le contenu, il faillit sauter au plafond, mais il se retint de crier de joie. Elle avait hâte… et en plus il avait la possibilité de prendre ou de laisser la main ! Il était ravi. Bien évidemment il se précipita pour récupérer différents matériaux. Il voulait avoir divers types de cordages selon ses préférences et selon les besoins. Il avait aussi prévu une jolie quantité de mousquetons etc.

Il alla tout installer dans la cave, y déposant dans un coin… il voulait voir ce que cela donnerait, il était sûr que ça se passerait bien. Il n’avait aucun doute là-dessus ! Il sourit et se cala contre le mur à côté de la porte de la cave. Franchement, après être descendu là-bas, il était sur d’une chose : ce lieu était parfait. Il y avait des anneaux un peu partout dans la deuxième salle, comme si cet endroit avait été étudié pour ce genre de choses… aussi étrange que ça puisse paraitre. Et à l’heure dite, il était calé contre le mur à côté de l’entrée, histoire qu’elle puisse le repérer facilement. Quand il la vit, il ne s’étonna pas :  en effet, puisqu’il fallait mettre dans son casier, il avait déjà vu à quoi elle ressemblait. Et elle était plutôt mignonne. Elle par contre ne pouvait pas deviner avant de voir sa trogne. Il lui sourit quand elle arriva et l’embrassa sur la joue. Ne voyez pas ça comme quelque chose de prude, mais juste comme une politesse.

« Je suis ravi que tu aies aimé mes messages. Moi c’est Ryujin. J’ai déjà apporté tout le matériel en bas. On y va ? »

Il sourit et alors qu’il ouvrait la porte de la cave, il rajouta.

« Tu verras, niveau matériel, comme je ne sais pas avec quel genre tu bosses j’ai pris un échantillon de différents diamètres, de différentes matières, histoire que même si tu es contrainte dans des positions difficiles à tenir, tu n’en sois pas moins le plus à l’aise possible ! Je te préviens, je ne suis pas le plus grand pro du monde, mais je pense me débrouiller ! »

Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Premiers clients [Ryujin]

Réponse 4 jeudi 14 janvier 2016, 00:56:23

Vous savez ce que c’est, cette sensation… Quand on est là… Sans être là. Je veux dire qu’on était là, physiquement là, mais que l’esprit, lui, était ailleurs… Mais genre… Vraiment ailleurs ! J’avais beau entendre les profs parler de leurs cours soporifiques, j’étais… Ailleurs. Dans un monde fait de cordages, et mes doigts traçaient des formules et des calculs sur le papier. Si on voyait ça, on pourrait croire que j’étais une sorte de matheuse passant son temps à faire des calculs, mais, en réalité, il s’agissait de mon petit passe-temps secret. Plutôt que de passer mes journées ne cours à envoyer des SMS en m’interrogeant pour savoir qui sortait avec qui, quel garçon avait montré son sexe, ou quelle fille avait couché avec quel mec en mode *HAAAAAANNN ! Mais la salope, QUOI !* (alors que, en fait, on avait surtout envie d’être à sa place, en se disant que ça devait être bien excitant), moi, je faisais des formules mathématiques de kinbaku. Le kinbaku, c’était un art sexuel, mais c’était aussi une véritable science, et qui nécessitait d’être bon en mathématiques. Un amateur ne pourrait jamais maîtriser ce truc, en réalité. C’était un art ancestral typiquement japonais, le genre de trucs qui n’étaient pratiqués que par quelques experts, ou par des initiés désireux de maîtriser ce genre. Qui sait ? Peut-être que, un jour, j’aurais un apprenti, moi aussi… Mais là, en fait, même les maths, ça n’arrivait pas à me détendre.

J’avais, et pour le dire simplement, une féroce envie de baiser. Mais pas la baise classique, avec le coït, les soupirs, les couinements, et tous ces trucs, là… Je me voyais baiser au milieu de cordes, en souffrant, en perdant la raison sous la frustration. Ce que ma maigre expérience de la domination sexuelle m’avait appris, c’est que plaisir sexuel et frustration étaient inextricablement liés, l’intensité du plaisir dépendant du niveau de frustration que la personne ressentait. Quoi de mieux que du sadomasochisme pour ça ? Quoi de mieux, en effet, que la frustration sexuelle induite par le fait de réduire les mouvements ? Plus j’y pensais, et plus je me disais qu’il y avait de quoi écrire des thèses entières là-dessus. Mais là, j’avais pas envie d’écrire, juste envie de voir l’horloge filer plus rapidement, et pouvoir enfin passer aux choses sérieuses !

Oh, bien sûr, je savais que ça pouvait être un canular. Avec Internet, il était sans doute très facile, pour n’importe qui, de savoir que j’étais la fille d’un expert en kinbaku, mais je repensais à ce poème… Ce n’était pas banal. Quelqu’un s’était donné du mal, quelqu’un qui avait envi de me jouer avec moi. Et, s’il était vraiment bon, je comptais bien le laisser jouer. Le truc, c’est que je suis pas dans le trip’ « Maîtresse-à-100-%-et-jamais-esclave ». Pour moi, c’était débile… Mais genre totalement débile ! J’avais la logique Palpatine : « on ne peut pas vraiment affirmer connaître la Force si on en a pas aperçu l’entièreté des deux côtés », ou un truc comme ça. Une phrase débile, et j’étais pas vraiment une Jedi… Mais elle résumait bien ma philosophie. Le fait est que, étant l’experte de cordes, c’était souvent moi qui jouait à frustrer les autres, mais ma relation avec Alexanders-senseï plaidait pour ma polyvalence.

Et puis, la délivrance arriva enfin… Mais 20h, c’était tard, bien après la fermeture du lycée, et je me retrouvais donc  attendre dans les dortoirs… ‘Chier !! Pourquoi ce type avait attendu longtemps ? Mon esprit se mettait à s’enflammer, et… Je peux bien l’avouer, mon imagination s’emballait tellement que je me suis masturbée… Trois ou… Quatre fois ? Ma virginité devenait de plus en plus dure à  supporter ! Alexanders-senseï jouait avec moi, trouvant plus excitant de faire l’amour avec une vierge, mais, plus le temps passait, et plus j’avais sérieusement envie de franchir le cap… Je me retenais juste en sachant que ce serait un signe de non-retour, et qu’il n’y aurait pas de marche arrière possible.

Vers vingt heures, j’approchais du lycée. Il faisait nuit, évidemment, et je portais un manteau dissimulant ma combinaison en néoprène rose et violette, que j’avais évidemment enfilé, tout en me demandant toujours si ce n’était pas un canular. Je connaissais l’accès vers la cave… Du moins, il y avait plusieurs accès, car la cave de Mishima était plutôt grande, mais je savais à laquelle on faisait allusion, ce qui m’amena vers l’arrière du lycée. Ici et là, quelques lumières brillaient encore, et je m’approchais donc, en me mordillant les lèvres, jusqu’à rejoindre l’homme en question.

Mon cœur alla bien évidemment s’emballer un coup.

« Salut, Ryujin ! » lui dis-je, le souffle court.

Pas une blague ! Ce n’était pas une blague ! Je m’en mordillais les lèvres !

Puis nous descendîmes vers la cave, et l’homme me dit d’entrer, et je souriais. Mon entraînement avec Alexanders-senseï portait ses fruits, car j’étais relativement calme et maîtresse de moi. Je compris rapidement que l’homme comptait m’attacher, et je me mis à sourire.

« Le deal est simple… Si tu t’en sors bien, tu pourras être le Maître… Sinon, ce sera moi. »

J’avais toujours mon manteau conservé, mais, quand l’homme me laissa entrer dans sa caverne aux merveilles, je retirais ma tenue, lui dévoilant mon dos, et mes belles fesses, superbement moulées dans ma combinaison.

« J’ai pris pour toi la tenue la plus sexy que j’avais… » glissais-je ensuite, sur un ton mielleux.

C’était une grande pièce, que Ryujin avait visiblement aménagé. Il y avait même une couchette, un matelas posé dans un coin du lit, peu d’éclairage, et des cordes un peu partout. Je me retournais vers lui, sourire niché sur mes lèvres.

« Alors… Comment dois-je t’appeler ? »
DC d’Alice Korvander.

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Ryujin

Dieu

Re : Premiers clients [Ryujin]

Réponse 5 jeudi 14 janvier 2016, 17:23:42

Elle semblait drôlement bien échauffée pour qu’il y ait ce genre de situation, elle était essoufflée et avait les joues rouges ! Il regarda la jeune femme et lui sourit en la détaillant. C’ était vrai qu’elle était mignonne, et il aimait bien ses bonnes joues ! Il sourit, elle avait du voir qu’il avait hâte de jouer avec elle, elle devait avoir compris qu’il avait envie de la plier, la tordre de voir son corps soumis à toutes les tensions, à tous les nœuds qui l’ornerait…. Il y avait dans le kinbaku un aspect visuel et esthétique qu’il ne pouvait pas nier. Ce n’était pas juste du bondage, ce n’était pas juste la restriction, c’était l’art (et non pas le cochon, quoique…).

Quand elle mentionna le deal, il ne put s’empêcher de sourire quand elle mentionna son deal… en afit, c’était sans doute la meilleure solution qu’elle pouvait donner…. Il sourit et opina du chef avec une lueur de jeu et d’envie dans le regard. Il n’aimait pas plus que àça l’idée d’être attaché, mais d’un autre côté, il ne pouvait pas s’empêcher de se dire qu’au pire, elle lui apprendrait bien des choses en le lui faisant expérimenter. Ce serait déjà ça de pris !  Il lui fit un grand sourire radieux et eut un réflexe bête à ses paroles suivantes. Sa plus belle tenue pour lui ? Il l’embrassa, ce n’était certainement pas timide, c’état juste rapide, comme si il avait hâte de jouer à la suite !

« Vraiment la plus belle tenue ? J’adorerai sans doute voir ça dès maintenant ! » [/b][/color]

Une invitation à s’effeuiller ? Oui, c’était un peu ça !  Il lui sourit avant de finalement s’asseoir sur le matelas un court instant. Il voulait juste ne louper aucune étape. Comme l’appeler…. Il ne se sentait pas de se faire appeler maitre, car il n’était pas bon à ce point en Kinbaku. Il préféra de loin choisir une autre appellation quelque chose qui marque la hiérarchie, d’abord, mais qui n’en impose pas trop….

« Je pense que Monsieur serait approprié si ça te va… » [/b][/color]

Il sourit et attendit quelques instants avant de choisir comment amorcer la suite, il ne fallait rien oublier, bien sur ! alors la suite…. Ah oui !

« Hum, je me demandais plusieurs choses, est-ce que tu as un safeword ou un geste qui permettrait de tout arrêter si jamais je fais les choses trop mal, ou si je te fais mal au-delà de ce que tu acceptes…. Et je voudrais aussi savoir si tu as des matériaux qui te dérange beaucoup…. C’est pour cela que j’ai pris plusieurs types de cordes, plusieurs diamètres, et caetera…. Si on veut bien faire les choses, il faut que l’on soit bien réglés, non ? » [/b][/color]

Ouais, ce serait préférable ! Il sourit de nouveau avant de finalement lui montrer les lieux.

« J’ai été surpris de voir que nous étions si bien équipé : cette pièce de la  cave est garnie d’anneaux un peu partout, comme si cet endroit était fait pour la suspension… du coup, c’est pour ça que j’ai proposé de le faire ici… et puis comme je vouslais pas qu’on nous dérange, j’étais forcé de proposer de se retrouver aussi tard, désolé… » [/b][/color]

Oh il n’était pas vraiment désolé…

« Ah et j’oubliais, il y a des choses à ne pas te faire ou te faire faire ? » [/b][/color]

Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Premiers clients [Ryujin]

Réponse 6 dimanche 17 janvier 2016, 23:48:05

J’étais méchamment excitée par tout ce qui m’entourait. Cette scène, ce moment, cette cave silencieuse… C’était à croire qu’elle avait été aménagée pour ce genre de choses, et, en réalité, ça ne m’aurait pas surpris plus que ça. Il y avait, après tout, quantité de rumeurs qui circulaient sur ce lycée, et, pour s’en rendre compte, il suffisait de lire tous les blogs qui étaient dessus, ou juste de se renseigner sur les multiples procès que le lycée avait dû éponger. Alors, forcément, mon imagination fiévreuse s’emballait dans une telle cave, en imaginant les pires saloperies du monde, des trucs si intenses, si perverses, que je ne pouvais même pas y penser trop longtemps ! Non, il fallait que je me concentre sur l’instant présent, sur ce moment avec Ryujin.

L’homme était décidé à me contrôler, et nous parlions maintenant des détails… Du contrat. Une relation sadomasochiste, ce qui, en l’espèce, me semblait être le cas, impliquait de naviguer dans des zones floues, potentiellement dangereuses, et, en tout cas, risquées. Alors, il fallait bien délimiter un peu des règles. Ça, je le comprenais, même si je me surprenais moi-même à pouvoir parler de ça calmement… J’avais beau être vierge, j’avais le sentiment d’avoir perdu mon innocence spirituelle depuis longtemps…

« Hum… Non, les matériaux ont l’air bons… »

J’allais les inspecter un peu, m’assurant surtout que les cordes n’étaient pas trop tranchantes, et qu’elles étaient en bon état. C’était comme de l’alpinisme : toujours vérifier son matériel avant de partir. En matière de kinbaku, il suffisait d’une corde un peu rongée pour qu’elle ne soutienne pas bien le corps humain, et n’entraîne des douleurs déplacées. Le plaisir du kinbaku venait, non seulement des limitations spatiales, mais aussi de la force qui tirait sur les muscles, et qui, en fait, avait pour effet, par un procédé miraculeux que je ne m’expliquais pas encore vraiment, de vous relaxer… Et aussi de vous exciter, si, comme moi, vous étiez un brin perverse sur les bords.

Reprenant rapidement, je poursuivis, en lui donnant les résultats dont il avait besoin :

« Mon mot de sécurité, c’est… ‘‘Sunstone’’. »

Le mot magique, celui qui disait que le partenaire avait franchi les limites, et qu’on ne jouait plus. Comme une sorte d’ultime sécurité, ou comme la preuve qu’on savait qu’on jouait avec le feu.

« Pour le reste… Disons que je souhaite conserver ma virginité… »

Je n’en étais pas encore trop sûre, en réalité…

« Enfin, mon hymen, quoi ! Pour le reste… »

Je me mis à rougir confusément, sans trop savoir pourquoi, avant de m’éclaircir la gorge.

« Et… C’est pas grave… Je préfère ça, aussi… Qu’on se retrouve plus tard, je veux dire ! Comme ça, on a toute la nuit pour nous ! »

On pouvait aussi dire que j’étais une vraie cruche. Sérieux, tout ça ressemblait au parfait scénario de film d’horreur… Un lieu commun, bien après les horaires normaux, une cave sinistre… Il ne manquait pas qu’un gros tas avec un tablier couvert de sang et un hachoir immense pour parfaire le tableau…

Quand je vous disais que j’avais une imagination débordante !
DC d’Alice Korvander.

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Ryujin

Dieu

Re : Premiers clients [Ryujin]

Réponse 7 samedi 23 janvier 2016, 01:02:39

Bon, alors révisons ensemble un peu la check liste mentale que se faisait Ryujin :  elle était là. Point principal. Les matériaux lui convenaient apparemment tous, re-parfait. Le mot de sécurité était là aussi. Le mot de sécurité, il trouvait ce concept assez amusant dans la mesure où un non, sur la bonne intonation avait sans doute plus d’impact, normalement, mais le concept était d’aller au-delà du non, au-delà des réticences personnelles pour aller dans un plaisir borderline et peut être presque, aller contre soi-même… mais seulement, si la position l’empêchait de parler, là, ce serait problématique… en général, on utilisait un geste sinon, en plus du safeword, pour que tout soit bien clair… il reviendrait dessus après. Ensuite, concernant les interdictions absolues, là, elle semblait un peu étrange, elle semblait vouloir sans trop savoir si elle voulait vraiment… il opina du chef, souriant devant le fait qu’elle devenait de couleur tomate…

« Je vois, ne t’en fais pas, je pense que c’est faisable, toutefois, je pense qu’il est important que je précise quelque chose… ou plutôt que tu explicite un détail… ne pas toucher à ton hymen, ne t’en fais pas, si c’est bien là ce que tu souhaites, je n’y toucherai pas. Mais qu’en est-il d’ailleurs. Est-ce déjà arrivé ? Est-ce que ce serait, hypothétiquement, la première fois ? Je te demande ça juste pour être sûr de faire les choses comme il faut, car pendant que tu seras soumise aux tensions, douleurs, et plaisir des cordes, tout ton être reposeras sur moi, donc il faut que je sois au courant de tout pour pouvoir te gérer au mieux, non ? » [/i][/color]

C’était vrai, il fallait faire très attention, car dans ce genre de jeux, on était souvent sur des charbons ardents même si, enivrés, grisés, par l’action, on ne s’en rendait pas forcément compte... il fallait être prudent ! On ne lui reprocherait jamais cela… il sourit et opina du chef quant à la dernière chose. Oui, ils avaient toute la nuit devant eux… et ce n’était pas plus mal, car plus la durée de jeu était longue plus on pouvait expérimenter de choses…

« Il me faudrait juste une dernière précision, on a parlé de safeword, mais je me demandais si on ne devrait pas fixer, je sais que ça peut paraitre stupide, un autre signal, plus visuel, qui te permettrait de dire stop si jamais ta bouche, ou tes cordes vocales, étaient incapable de faire entendre le mot de sécurité, non ? » [/i][/color]

Il sourit, alors, trop prévoyant peut-être ?

« Désolé, par contre, je crains que nous ne puissions pas vraiment signer de contrat ou de décharge de responsabilité… c’est un problème de minorité ! » [/i][/color]

Il sourit et attendit de voir sa réaction alors qu’il prenait un rouleau de corde, il s’agissait de cordages de ^plusieurs types. Il avait du nylon, de la soie, et du chanvre. Chacun ayant ses utilisations propres, et pour chacune de ces trois possibilités, avait fait en sorte d’avoir plusieurs rouleaux et plusieurs diamètres différents, bref, il avait prévu le paquet. Il ne restait plus que quelque chose à régler.

« Des choses à ajouter ? Sinon, je te propose de t’aider à t’échauffer, je ne veux pas te blesser en te supposant d’un niveau de souplesse que tu n’es pas… et puis il est important que tu t’échauffe avant, d’autant plus que sans qu’il fasse un froid de canard, il commence à faire un peu frisquet dehors ! » [/i][/color]

Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Premiers clients [Ryujin]

Réponse 8 dimanche 24 janvier 2016, 14:17:36

Ce genre de trucs, en temps normal, ça m’aurait fait rougir comme une petite vierge… Et ce parce que j’étais vierge… Mais, entre-temps, j’avais fait la rencontre d’Alexanders-senseï, une femme incroyable, d’un calme olympique en matière de sexe, et qui se faisait tranquillement sa réserve d’esclaves en ponctionnant sur les multiples élèves venant au lycée Mishima. Moi, j’avais trouvé ma place auprès d’elle, car, outre être son esclave, je lui apprenais aussi à perfectionner ses talents en matière de kinbaku. Le kinbaku, ce n’était pas pour les amateurs, c’était un art complexe, et j’étais donc impatiente de voir si Ryujin s’en sortirait bien, là-dedans, ou non. Mais, comme je lui avais dit, s’il n’était pas capable d’assumer, ce serait à moi de le faire. J’avais tout à fait conscience que je prenais des risques, car je ne connaissais pas grand-chose sur cet homme, et je lui proposais de me mettre dans une position dangereuse. Oui, il ne fallait pas en douter, le kinbaku pouvait être dangereux pour la santé. On pouvait étouffer, ou, tout simplement, avoir mal. Mais Ryujin me faisait l’effet d’un individu sérieux, en envisageant clairement ce que je voulais, et ce que je ne voulais pas, tout en me confiant qu’il n’y aurait aucun document écrit.

« Hum… C’est mieux comme ça. Je t’autorise toutefois, si tu veux un souvenir, à prendre quelques photos, mais, si tu prends mon visage, je veux savoir où tu les diffuseras. »

Je disais ça en connaissance de cause, car il était important de se faire son book, un petit portfolio, ou, tout simplement, des photos-souvenirs… Mais je n’avais pas non plus envie de voir mes fesses débarquer sur les réseaux sociaux, d’où cette précision utile, avant d’aborder, ensuite, les autres questions.

« Sinon, on m’a déjà sodomisé, oui… »

En le disant, je me mettais à rougir, mais je savais qu’il fallait en parler, même si, en le disant, j’avais, pour des raisons inexplicables, évité de croiser le regard de l’homme. C’était Alexanders-senseï qui m’avait sodomisé, tout en acceptant, pour l’heure, de me laisser mon hymen intact.

« Après… Si j’ai la bouche bâillonnée… Et bien, si je me mets à gigoter un peu trop en gémissant fort, et à cligner des yeux, on peut dire que ça dépassera les limites de ce que je peux supporter. »

Le cas était difficile à envisager, parce que, si Ryujin me bandait aussi les yeux, ça risquait d’être compliqué.

« Je pense qu’on a tout vu… » dis-je, un doigt tapotant mes lèvres.

Est-ce que j’avais oublié des trucs ? J’eus alors une idée, tout en commençant à m’échauffer, comme avant un sport.

« Tu as quelle expérience en matière de kinbaku ? »
DC d’Alice Korvander.

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Ryujin

Dieu

Re : Premiers clients [Ryujin]

Réponse 9 mardi 26 janvier 2016, 13:08:35

Il sourit, il était ravi de voir qu’ils étaient sur la même longueur d’onde. Il y avait les vrais praticants qui agissaient dans un cadre précis, dans une dimension bien particulière, et il y avait les autres, et les autres étaient des gens dangereux… il lui sourit et opina du chef face à son histoire de photos. Oui, il voulaiut bolotiers garder un souvenir ou deux… mais elle avait raison, ce serait difficile d’avoir encore une vie si les photos étaient diffusées sur un quelconque site internet. Voilà qui était clair !  Il lui fit un nouveau sourire avant de reprendre la parole…

« D’accord… A vraie dire, je ne comptais pas diffuser les photos n’importe où… et je ne comptais pas les diffuser… de même que si pour une raison ou une autre les rôles étaient inversés, tu ferais pareil, n’est-ce pas ? et puis, si tu veux, toutes les photos que je ferai, je te les passerai, pour que tu les aie aussi, d’accord ? » [/b][/color]

Une offre honnête, non ? Il écouta la suite de ses propos, se contentant d’acquiescer régulièrement. Il voyait dans ses propos ceux d’une habituée… elle avait de l’expérience, sans doute plus que lui en la matière, le kinbaku étant une des nombreuses envies qu’il avait développées récemment… il avait sauté sur l’occasion avec cette rumeur, tout simplement… Il lui sourit alors qu’elle parlait de ce qu’elle devait faire si elle ne pouvait pas parler.

« D’accord… si tu mle souhaites tu sauras sois les yeux, soit la bouche de libre en permanence, d’accord ? Comme ça il n’y aura pas d’ambiguïté ! quant au reste si on a tout vu alors parfait ! » [/b][/color]

Il lui sourit et l’aida un peu à s’échauffer avant de commencer à mettre en place certaines petites choses. Il voulait déjà avoir ses amarres minimales et il voulait aussi que certaines cordes soient complètement déroulées pour les utiliser… étonnamment, le sol était bien propre et bien entretenu, il n’espérait pas que cela serait poussé à ce point… il lui fit un petit sourire et répondit à sa question.

« Hum, non, pas très longtemps, un peu moins d’un an, à peu près ! Mais j’ai assez d’expérience… tu voudrais jeter un œil à mon book un de ces quatre, peut-être ? » [/b][/color]

Il savait qu’elle devait être aussi bien échauffée qu’une gymnaste de haut niveau, à cause de la souplesse que nécessitaient certaines figues… il lui sourit et lui posa à son tour une question.

« Et toi, cela fait longtemps ? » [/b][/color]

Il n’attendait que son signal pour savoir qu’elle serait prête pour passer aux choses sérieuses.

Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Premiers clients [Ryujin]

Réponse 10 vendredi 29 janvier 2016, 01:16:23

« Je crois au respect de la vie privée, alors... Ça marche ! »

Je ne savais pas grand-chose de ce garçon, mais... Et bien, disons que j’avais confiance. Peut-être que je me comportais comme une cruche en accordant ainsi cette confiance à un quasi-inconnu, mais j’avais fait ça avec Alexanders-senseï, et, jusqu’à preuve du contraire, ça m’avait plutôt bien réussi. Je m’échauffais donc, tandis que l’homme me confiait avoir quelques expériences, quasiment un an. S’il entretenait un portfolio, c’est qu’il devait être doué... Et moi, mon imagination, fébrile, se mettait à s’emballer, en me faisant rêver sur tout un tas de choses.

Soucieuse de satisfaire sa curiosité, je m’empressai ensuite de lui répondre, en musclant mes coudes :

« Depuis... Longtemps. Mon père est un maître du kinbaku, c’est comme ça qu’il gagne sa vie, et moi, je suis destinée à lui succéder. Alors, il m’a tout appris, mais je n’exerce, concrètement, que depuis quelques mois, sur des cobayes et des amants qui acceptent volontairement de s’entortiller dans mes cordes. On peut donc dire que je connais beaucoup la théorie, et que je la mets en pratique. »

Et, si j’en croyais Alexanders-senseï, je m’en sortais plutôt bien. En soi, c’était normal. On disait que, en matière de sexe, la théorie était sans importance... Mais ça, c’était ne pas tenir compte de toute la complexité du kinbaku, qui, avant d’être du plaisir, était à la fois un art et une science du corps humain. Il fallait une bonne maîtrise des différentes subtilités du corps humain pour maîtriser au mieux cet art sacré, typiquement japonais.

« Oh, et je serais ravie de voir ta collection, cela va sans dire. Entre professionnels, il faut bien s’entraider et partager nos expériences ! »

Je lui fis ensuite un tendre sourire, amusé, avant de me tenir face à lui, une main sur la hanche.

« Je suis prête ! »
DC d’Alice Korvander.

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