Hayasa venait de se faire voler, comme quoi, même les voleuse ne sont pas à l'abri d'un cambriolage, bon elle avait largement de quoi se racheter les affaires perdu, sans compter l'assurance qui s chargeait de tous ce qui est vestimentaire, par contre tous ces sex-toys et autres outils de plaisir n'était pas remboursés, fichu petit caractère.
Aussi la voleuse fit-elle les magasins, pour les affaires, elle avait fait suffisamment d'achats, elle reviendrait plus tard, elle avait de quoi s'habiller normalement, il restait les sous-vêtements, que se soit classique ou affriolant, mais avant toute chose elle avait faim.
Elle passa dans une boulangerie pour prendre un sandwich spéciale végétarien, le légumes n'apportant pas trop de matière grasse et s'éliminait facilement dans l'organisme, elle acheta aussi une banane, elle adorait les bananes, allez savoir pourquoi.
Elle erra pendant près de deus heures dans le centre commerciale avec ces paquets sous le bras,
habillée dans sa tenue de lycéenne, qu'elle ne portait que par contrainte, étant la seule chose qui restait dans sa penderie, le voleur avait tous de même eu assez de pitié pour laisse un string noire, une paire de chaussette blanche et les soulier bleu foncé allant avec la tenue.
C'est alors qu'elle trouva enfin le magasin quelle a temps cherchée, un sex-shop bien dissimulé au fond d'une des voie marchande, elle était venue le jours de son arrivé à Seikusu et la jeune demoiselle s'occupant de ce magasin avait trouvée une cliente conquise. Hayase se demanda si le magasin était toujours aussi bien fournis en curiosité, même si 95% des objets vendus dedans était inconnue pour la demoiselle, elle avait beau demandé son cerveaux assez bridé aux stade du sexe simple, c'est à dire trois étape, masturbation, fellation et pénétration, voilà à quoi se butait l'esprit de la gosse de riche.
Elle ouvrit la porte faisait tinter un petit carillon, puis dit d'une vois forte pour se faire entendre à l'autre bout du magasin. La gamine avait toujours ces quatre paquets dans les bras et elle n'allait pas les laisser, on l'avait déjà volée une fois. Vous avez remarquez que je n'ai pas parlé de ces rollers ... et non elle n'ont pas été volé, mais la demoiselle ne les portes pas sur elle.
- Bonjour c'est pour des achats et des conseils.La phrase était tous bonnement stupide, on entrait pas dans se genre de magasin pour taper la discute sur Pierre, Paul ou Jacques.