Lui donner encore plus? Ouh là... elle en demandait pas mal, là, si on considère que je suis en train d'étouffer sous l'important flot de cyprine qui s'écoulait d'elle. Oui, je voulais lui en donner plus, mais avec son goût exquis dans la bouche, ses gémissements dans mes oreilles, son odeur dans mes narine, la douceur de sa peau sous mes mains et sa beauté sous les yeux, réfléchir me semblait soudainement très difficile et même inapproprié, je laissai mon expérience me diriger.
Ma langue, qui, jusque là, s'occupait de son clitoris, se détourna pour s'occuper de son vagin, dont les parois, en manque de coït, s'étaient ressérées. Inacceptable, bien sûr. Doucement, j'enfoncais mon appendice buccal dans le plus gros trou de la vulve de mon amante et je me mis à en titiller les parois élastiques, les étirant comme je le pouvais. De leur coté, ma main droite, qui s'occupait de son vagin, remonta vers la poitrine de la demoiselle pour prêter main forte à sa soeur. Elles se mirent à masser la poitrine de mon amante avec une grande douceur, avec de amples mouvements, puis pincèrent les mamelons très durs puis les étirant pour lui accorder de plus tendres sensations. J'avais très hâte de nous réunir à nouveau, que nos corps ne fassent plus qu'un mais... pour l'instant, la demoiselle semblait bien aimer ce traitement et je ne tenais pas vraiment à la contrarier.