Dans les bas-fond, si une femme fait sa loi d'une quelconque manière, il est de bon goût de lui faire comprendre que rien au monde ne le lui permet, spécifiquement quand celle-ci se permet d'éliminer quelques membres imposant d'un gang quelconque, ou encore cherche à ridiculiser certaines personnes influentes par son comportement outrancièrement provoquant ou grossier. Ce fut malheureusement le cas pour cette femme qui se fait appelée Yasuo, et alors qu'il y a moins d'une semaine elle venait passer dans une rue pour en ressortir après avoir estropié de manière particulièrement barbare le second du grand chef des lieux, Barfei Isidor, une prime fut mise sur sa tête pour quiconque vengerais le tout nouveau eunuque, ce qui ne risquait pas de tarder étant donné que la prime particulièrement élevée ne comportait que deux termes particulièrement facile à mettre en oeuvre : la laisser en vie pour qu'elle connaisse éternellement la honte de sa condition de faible femme, et la réduire à moins que rien en moins d'une journée, notamment en revendant son corps à l'un des esclavagiste les plus affluent de la ville, Maître Hesir. Bien vite, nombreux furent ceux qui écumèrent la ville à la recherche de la singulière demoiselle, bien décidé à la clouer au sol pour lui faire connaître une toute autre sorte de pilori, et si quelques uns avait déjà échoué dans cette tâche, et connu par là le tranchant miroitant de la lame de Yasuo, d'autres avaient prit le temps de réfléchir en profondeur à ce qu'ils allaient pouvoir mettre en oeuvre pour la vaincre, et une alliance s'était ainsi formée entre trois bon mercenaire qui souhaitait non seulement se partager la prime, mais en plus le gain significatif de la revente de la femme auprès de l'esclavagiste, si bien qu'ils s'étaient vite mis à la recherche de la femme... Et sitôt qu'ils l'avaient trouvée, ils n'hésitèrent pas le moins du monde à lui faire face :
- Coucou petite salope. Vois-tu, on est pas là pour faire du détail, donc on va te casser la gueule, puis le cul, et tu ne pourras rien faire, pas d'objections ? Très bien.
Ils savaient que si il lui laissait son arme, ils n'avaient pas beaucoup de chance, toutefois elle ne saurait vraiment se défendre au poing contre trois adversaires simultanément, et c'est bien pour cela que leur alliance allait leur être aussi profitable. Les deux premiers lui avait foncé dessus, cherchant à la prendre en tenaille tout en laissant au troisième assez d'espace pour agir, et sitôt que Yasuo avait tirée son sabre du fourreau, elle venait de signer son arrêt de mort. Ou plutôt sa reddition, de toutes manières le résultat fut instantané. La lame sortie au clair, la chaîne du troisième combattant fila pour la désarmer, et elle fut rapidement sans défense, un lourd coup de masse venant cueillir la joue de la femme pour la projeter avec violence au sol, puis ce fus un certain nombre de coups de pieds qui lui firent perdre toute contenance, une pointe lui arrivant dans l'estomac, l'autre en plein visage, un autre sur sa cuisse, puis encore un dans son dos, avant que la chaîne qui l'avait précédemment démunie de son arme vienne la battre au sol violemment, laissant de longues traces rougies sur sa chair. Un passage à tabac en règle, le pire étant que vu la rue dans laquelle ils se trouvaient, elle ne pouvait pas vraiment espérer que qui que ce soit lui vienne en aide, et encore moins pouvait-elle se permettre d'en demander, car une jeune femme qui se fait ainsi punir ne peux que connaître un châtiment des plus atroces si elle ose hausser la voix pour demander un brin de support, là où le moindre occupant des bas-quartiers ne ferait que profiter un peu plus de sa faiblesse de l'instant. En tout et pour tout, elle se prends coups et punitions pendant une bonne dizaine de minutes, et quand elle ne peux même plus bouger, au sol et vaincue, c'est celui qui lui parla en premier qui se mit à s'exprimer, apparemment ravi du travail auquel il s'est adonné jusqu'ici.
- Bon les mecs, on passe à la suite ? J'ai pas envie de passer en premier pour le coup, je crois que je vais plutôt veiller sur les environs. Je laisse ma place à qui veux !
- Allez moi je veux me détendre, exprima le types aux chaînes, avant de s'adresser au second malfrat. Tu me la tiens, vais la faire couiner la salope !
Qu'elle se défende ou non, le deuxième compère acquiesce avec un large sourire et la met sur le ventre avant de s'installer sur ses épaules pour l'empêcher de bouger, puis lui relève le fessier tandis que ses deux autres comparses vont à leurs affaires, l'un partant au bout de la rue pour s'assurer que personne ne vienne y passer, et l'autre se défroquant de manière bien salace pour libérer un sexe qui devait surement faire partie des records en terme d'épaisseur. Allez savoir pourquoi il fallait toujours que les pires des salauds soient équipés comme des étalons, en tout cas celui-ci n'hésita pas à s'approcher une fois Yasuo bien plaquée au sol par son camarade, le visage collée au dallage et les bras dans une position qui l'empêchait clairement de se défendre, puis qu'il s'installa derrière elle pour venir passer ses mains rêches sur le fessier rebondi et désirable de la demoiselle. Ses vêtements permettaient à l'homme d'avoir un accès tout privilégié à son intimité, mais pour le molesteur ce n'était pas encore assez pour qu'il puisse pleinement en profiter, si bien qu'il lui arracha de manière bien sauvage sa tenue, la réduisant en lambeau, avant de faire de même avec le sous-vêtements de la femme, la laissant donc avec uniquement quelques minces bouts de tissus sur ses fesses et autour de la taille avant d'approcher son sexe de la fente de sa victime, imaginant déjà les cris de la femme quand elle allait sentir le large barreau de chair pénétrer son intimité et lui écarteler ses parois sensibles. Il n'attendit d'ailleurs pas longtemps avant de le faire, s'enfonçant sans la moindre retenue et avec force pour réussir à passer ne serait-ce que son gland dans le sexe bien peu préparé de la femme, et continuant sans interruption avant de finalement parvenir à s'enfoncer au plus profond d'elle. Qu'elle soit vierge ou non, elle allait déguster !