Commande spéciale. [Miva Ril]

Le jeune démon est à la boutique aux abords de la place publique de Nexus. Il gère la boutique qu'il y tient aujourd'hui, car il n'a pas de cours particulier sur Terre. Ou plutôt la bonne excuse est qu'il sèche le sport pour augmenter son capital de revenus.  Un bien pour un mal pense t-il alors que la lame est rougeoyante il la pose sur son plan de travail et vient taper dessus avec son marteau pour créer une nouvelle lame pour refaire son stock. Bien sur il utilise des gants pour se protéger et avec des lunettes de chimies en plastique pour se protéger les yeux en cas d'imprévus.  Il travail sa lame, mais ce n'est pas du métal ! C'est un composant encore plus rare et plus solide. Ce pourquoi il doit s'appliquer.  Après un bon moment de travail il laisse la lame se reposer et va à la caisse s'occuper sur son ordinateur derrière le comptoir de l'accueil.  

La boutique est assez rustique en bois.  Le comptoir lui aussi est en bois et les tabourets en face sont faits de cuivre avec un pilier en bois foncé également. Cela permet aux clients et aux clientes de s'assoir et de discuter tranquillement.  Dans son frigo ou ses tiroirs il peut aussi proposer du thé ou des rafraichissement selon les individus qui se présentent à lui.  Sur les murs ont peut y voir des crochets dépasser et dessus il  y a des sabres exposés horizontalement en colonne sur toutes  leurs  longueurs. Il y a aussi des tables ou il y a des vitrines de protection pour protégé les différents sabres organisés par date de fabrications et par tailles. Il y a même  proche de la caisse des sabres dans un seau vide qui eux sont posés et entassés. Il fabrique aussi des wakizachi qui sont entreposés dans un coin de pièce, des petits sabres à peines plus grand qu'un couteau, le genre assassin japonais ça rend classe et ça se vend bien, car c'est très maniable ça se cache partout et c'est facile à transporter. La boutique ressemble à un véritable musée pour sabre sauf qu'on peut  acheté les articles.  

Sur la porte en verre menant l'accès à la boutique de Terra on peut y lire un écriteau : ouvert du lundi au vendredi et de 8h à 22h. De plus sur la carte que propose Anzo affichée dehors on peut y lire que la création de sabre personnel est possible sur commande spéciale.  Il y a aussi des photos prises par Anzo afin de montrer des aperçus de son savoir faire. On y voit la forge, l'arrière boutique avec tous les outils pour travailler les sabres. En train de mettre le fil pour décorer des manches. Un marketing tout ce qu'il y a de plus efficace pour attirer du monde dans sa boutique.   Il travaille tranquillement sur son ordinateur pour s'occuper de la gestion des stocks et du budget, car n''ayant pas de secrétaire il fait toutes les taches lui même pour gérer sa boutique.    

Lorsqu'il fini de pianoté sur son clavier il va à sa cafetière et se fait un délicieux café avant d'aller dans l'arrière boutique. Il doit changé le manche de son sabre qui s'est cassé lors du dernier combat contre un inconnu alors il retire le cassé après une certaine manipulation et remet un manche noir à son katana. Après avoir remis à neuf son sabre il part faire des essais sur un bambou stocké dans un coin de la boutique pour essayer les sabres. Il le découpe net en diagonale. Le sabre est opérationnel et il sourit satisfait. Il rengaine son sabre personnel en tendant ses bras en avant pour le remettre de façon bien classe et regagne sa place derrière le comptoir. Il le pose sur les crochets vide derrière lui et entend alors quelqu'un pousser la porte de la boutique. Ca a pour réflexe de lu faire tourner la tête alors qu''il boit sa tasse de café.   Il attends un petit moment avant de lui demandé si elle a besoin de quelque chose.  

-Bonjour et bienvenue à la boutique Hatori. Je peux vous aider mademoiselle ?    

Anzo n'a l'air que d'un lycéen, mais vu sa nature démoniaque il est parfaitement  apte à vendre ses sabres. La demoiselle qui vient d'entré n'est pas courante du tout il s'agit d'une elfe et il le remarque au premiers coup d'oeil. Il boit tranquillement sa tasse de café sans bouger du comptoir  tout en regardant les actions de la jeune fille dans sa boutique.   On pourrait croire qu'il n'est que le stagiaire de service, mais en fait c'est lui le patron.  La preuve en est sur les photos à l'entrée du magasin. Il y a des bokens en  bois également pour s'entrainer au sabre. Il en vend à ceux et celles qui débutent cet art, même si parfois il les offres. Il y a vraiment de tout. Chez Anzo il n'y a que du beau. Comme le dis son slogan. C'est ringard, mais ça fait rire les trois quarts des clients, mais au  final ça marche comme technique.  

Miva se baladait toujours dans Nexus, il faut dire qu'il y a deux jours, elle était tombé sur Diane et qu'il fallait du temps pour se remettre de ses émotions. Au moins, Diane, en plus d'être une succube qui aurait pu la tuer avait servi à quelque chose. En effet, avant sa tentative de manipulation mentale, Diane lui avait expliqué l'origine des katanas et qu'on trouvait pas mieux que chez Anzo. Miva avait beaucoup réfléchi à ses paroles et c'est vrai que sa vieille épée reçu à ses quatorze ans commencé à sacrément vieillir et qu'il peut être temps de changer.

C'est ainsi qu'elle pénétra dans la boutique. Elle remarqua vite fait le garçon derrière la caisse sans doute un vendeur. Et, regarda de stupéfaction les katanas, ils étaient magnifiques et extrêmement cher aussi. Miva ne roulait pas sur l'or et le prix d'une de ces beautés lui vaudrait un bon moi de pillage intensif. Miva ne savait pas si elle pouvait se le permettre. Mais, en même temps qui résisterai à l'attraction d'un superbe katana? Certainement pas une jeune femme comme Miva, mais toutefois, elle retint son geste.  C'est  parce qu'elle n'ait pas chez elle que elle se dirigea vers le vendeur.

Miva détailla un peu plus le jeune homme. Il semblait jeune, il n'était peut être pas mineur, elle n'en savait rien. Ses cheveux étaient noirs et son regard portait quelque chose de rougoyant en lui. Elle était face au bureau. Elle posa ses mains sur le bureau, elle était toujours un peu nerveuse quand elle s'adressait à un inconnue. Puis, elle lui indiqua:

-Excusez-moi, Serait il possible que vous me renseigner sur les katanas? J'ai pu constater que c'était des purs beautés. Mais, j'aimerais l'avis d'un expert, je suis une fine lame mas je n'ai pas l'habitude des katanas. Il me faudrait quelque chose qui tranche bien, vif, agile et qui possède un certain sens du rythme.

Elle parvint à lui sourire. Miva n'était ps la plus douée dans le social. Elle était plutôt une femme d'action. Elle n'aimait pas s'en remttre à d'autre et encore moins à un jeune homme tout droit sorti du ventre de sa mère.

 

La jeune femme attire le regard d'Anzo, car elle pose ses deux mains sur le comptoir en face de lui pour venir lui adresser la parole. Elle a besoin de renseignement ? Il lui prête toute l'attention qui lui est du.   Elle cherche des sabres maniables pour rester sur le devant de la scène. Il regarde un petit moment la jeune femme devant lui avant de sauter de son tabouret.  

-Merci pour les compliments. Vous cherchez donc un sabre capable d'être à la fois léger et pas trop long...    

Il se dirige donc vers une allée du magasin et arrive devant une étagère de sabre. Il en ouvre la vitrine pour laisser la jeune femme essayer les armes. Elle semble très à l'aise avec une épée et c'est en général le genre de personnes qui rentrent chez lui. Des combattants de tous les niveaux. Il a apprit à les distinguer. Cette jeune elfe semble savoir y faire tout comme lui, il ferait donc mieux de ne pas la sous-estimer.   Elle aime être au cœur de l'action elle.  

-Vous aimez donc être au coeur de l'action n'est-ce pas ? Je vous propose ces sabres-ci... Tout comme...  

Il va de l'autre coté et ouvre une autre vitrine avec sa clé passe-partout. Cela lui évite d'avoir quinze milles clés chez lui.  Il retourne entre les rayonnages. Les sabres  que montre le jeune homme montre, il y en a de toutes sortes et de toutes tailles. Des bleus, des noirs, des verts, des rouges. Il y en a pour tous les gouts. Il sourit alors en finissant sa phrase.  

-Ceux-la.   Ils sont légers et facilement transportable. Ils devraient vous convenir.  N'hésitez-pas à les prendre en main pour les essayez sur le bambou la-bas... La première impression est très importante lorsque l'on veut acquérir une nouvelle arme. Rien de mieux que de les tester pour ça.  

Ayant fournit toutes les informations à la jeune femme il regagne sa place au comptoir pour observer ce qu'elle va faire à travers la boutique et se resservir en tasse de café. Vu qu'il a une cliente il lui propose même une boisson. Il est assez partageur et comme le client est roi autant donner bonne impression.   Malgré sa nature de démon il cache bien son jeu et n'a vraiment pas l'air dangereux du tout.  

-Désirez vous un rafraichissement ?  J'ai du thé, du café... Un peu de tout...  

Il prend une gorgée de café bien chaud en tenant sa tasse avec ses deux mains  et pose sa tasse tranquillement sur le comptoir. Si Anzo peut lui faire une petite réduction alors il ne s'en privera pas.   Les sabres paraissent tous très cher, mais  il y a toujours moyen d'en tirer un excellent prix et c'est ce qui fait le succès de sa boutique, mais pour l'heure il ne dit rien et la laisse admirer les sabres et les essayer.   Il lui précise que si elle a besoin d'un espace elle peut aller dans la mini cour prévue pour essayer les sabres autrement que par tranchage.  

-Si vous le désirez je peux vous dire qu'il y a une mini cour à la porte  à ma droite. Elle sert pour tester les sabres également dans un plus grand espace. Si aucun ne vous convient je peux en fabriquer un sur mesure.  

On peut clairement voir que le sabre noir derrière lui posé sur le mur n'est clairement pas un modèle à vendre et que ce dernier possède des signes démoniaques sur le fourreau. Lui aussi sait ce battre contrairement à ce que l'on peut croire et ce sabre est quand même assez long comparé aux autres sabres.  Il en est assez fier et en cas de pépin il lui suffit de s'en saisir pour se défendre, mais pour l'heure il regarde la cliente faire ses trucs dans la boutique tout en profitant de sa bonne tasse de café, car il n'a aucune raison de se méfier de cette elfe.

Miva était dans la panade. Elle n'avait clairement pas assez pour un katana de cette qualité. Miva avait flashé sur katana de couleur rouge. Il manquait quelques détailles qu'elle aurait bien aimé avoir comme des runes elfiques afin de protéger l'arme contre les attaques de certains monstres. Elle ne savait pas si c'était possible et se doutait que le prix augmenterait encore plus dans ce cas précis.

Elle prit l'arme en main et testa sa lame avec quelque moulinet puis elle fit semblant de perdre l'arme. Elle amortit toutefois le choc avec son pied. Il était inutile d'abîmer un tel chef d'oeuvre. Miva se pencha pour récupérer l'arme. Son corps était situé entre l'arme et le bureau. Donc, en se penchant pour ramasser l'arme, le vendeur pouvait admirer ses magnifiques petites fesses car le pagne qu'elle portait était un tissu fin, très fin.

Elle fit durer l'action que quelques secondes ce qui était suffisant pour émoustiller un jeune lycéen. Elle se redressa et se rendit au comptoir en rougissant.

-Désolé, cela ne se reproduira plus.... Je vais l'essayer...

Elle se rendit dans l'arrière cour afin de tester l'arme. Le katana était très fluide, elle n'avait jamais vu ça. Miva adoptait un style plutôt agile et le katana suivait chacun de ses mouvements comme si c'était une extension de son bras. Elle était plutôt contente de ce katana et nul doute qu'il lui irait comme un gant. Elle revint donc devant le comptoir.

-J'aime beaucoup votre katana rouge. En plus, il est de la même couleur dque mes cheveux...

Miva lui sourit gentiment et reprit:

-Vous n'auriez pas une tasse de thé qu'on puisse discuter de deux trois petites choses que j'aimerais avoir sur mon katana... Vous y connaissez vous en runes elfiques? N'auriez-vous pas un endroit où je puisse m'asseoir qu'on puisse en discuter au calme. Je suis sur qu'on a des tas de choses à nous dire qu'en pensez vous?

Miva réagissait comme une bécasse. Elle n'aimait pas ça tout comme elle appréciait pas les hommes. Toutefois, elle était près à céder son corps pour ce magnifique sabre. Bien sur, elle restait fier et voulait soumettre cet homme, posséder son nouveau katana en contrôlant l'homme qui l'avait crée. Le comptoir la gênait mais elle espérait qu l'homme était déjà tomber quelque peu sous le charme.