Cette brave petite chienne ne se laissait pas abattre, bien, c'est ce que je voulais, ce serait bien plus amusant de la briser dans ces conditions. Elle ne connaissait pas la douleur ? Alors elle connaitrait d'autres formes de punition qui allait la dérouter. Mon pied se lève, je sors une petite corde fine mais solide de mon sac pour lui lier les deux poignets l'un à l'autre devant son corps, laissant un peu de mou pour qu'elle puisse marcher à quatre pattes d'une manière très serrée, mais rien de plus. J'en fais de même avec les jambes avant de sortir un sac plastique et une nouvelle ficelle du sac. La balader comme une chienne dans tout le lycée oui, mais seulement ? Non.
Hé brave petit toutou, j'espère que t'as une bonne endurance.
J'ouvre le petit sachet en plastique transparent et lui enferme la tête à l'intérieur, liant l'ouverture en maintenant la ficelle nouée vers son cou, sans l'étrangler. Non il ne fallait pas serrer son cou, il fallait qu'elle puisse conserver sa capacité à respirer pour souffrir d'avantage et s'épuiser dans ce sac plastique, dans lequel respirer deviendrait au fil des secondes, au fil des minutes, une vraie torture. Ce même fil autours de son cou me servit de laisse dont je pouvais tenir le bout dans mes mains. Comme ça si elle avançait pas assez vite je pouvais toujours la trainer au sol comme le vulgaire animal de compagnie qu'elle était.
Je t'explique ce qui va se passer maintenant. Tu vas respirer et recracher le même air en boucle, confiner dans ce sachet en plastique qui entoure ta tête. Plus tu le feras, plus cette oxygène sera usé. On verras si tu es toujours aussi difficile quand je te laisserais suffoquer sur le sol.
La descente des escalier se fit en douceur, pour le dernier étage par contre je l'envoyait bien valser en avant d'un grand coups de pied au cul. Outch, quel dégringolade, je n'aurais pas aimé être à sa place.
Relève toi, il faut aller faire ta balade. Lui dis-je en écartant la ficelle autours de son cou pour laisser une brève ouverture sur le sachet. Pas pour la laisser respirer, surement pas, mais pour cracher quelques bouffés de cigarettes à l'intérieur.
Une fois refermer, son visage était désormais prisonnier non seulement de cette prison de plastique étouffante, mais était de plus enfermé avec ce nuage blanc, néfaste, et chaud qu'était la cigarette, l'étouffant d'avantage. J'en éprouvais une joie malsaine, la voir s'étouffer ainsi dans le sac, de plus en plus, tout en enfonçant mon talon aiguille dans son cul lorsqu'elle n'avançait plus... c'était superbe.
Bientôt nous arrivâmes dans la cours de l'école. Le sac en plastique dans lequel il n'y avait plus d'air, collait à la peau de la pauvre Ayano. La condensation avec la chaleur de la cigarette avait humidifié tout le revêtement du sachet et désormais respirer était tout bonnement impossible, elle ne pouvait que suffoquer comme une chienne jusqu'à en convulser....
Pense à toute celle que tu as maltraité pendant ton châtiment, moi, je ne m'en lasse pas de te regarder.
Une justicière ? surement pas. Seulement un prétexte pour lui en faire baver.
Si tu veux pas t'asphyxier pour de bon, urine contre cette arbre comme la chienne que tu es et revient te coller à mes pieds.
Un violent coul de talon droit entre ses fesses la fit voler contre l'arbre, pendant que je m'étais assise sur le banc, contemplant son visage moulé par le plastique qui empâchait toute arrivée d'air. Cruelle ? Peut-être bien, mais c'était rien par rapport à ce qu'elle avait fait subir à d'autre.