(Images à caractères H)La cave d'Ahri résonnait de quelques gémissements étouffés qui n'étaient pas inconnus de la maîtresse de maison, elle en était l'élément déclencheur depuis plus de six ans sur un de ses futurs loyaux sujets, une
renarde à neuf queues blonde achetée six ans plus tôt qui a eu la mauvaise idée d'initier une cérémonie propre entre deux kitsunes à neuf queues, résultant au final à ce que l'une devienne la servante de l'autre. Ahri avait gagné, et, pour neuf ans - donc encore trois ans, pour ceux qui ont calculé - Ahri devait encore la violer tout les jours.
Lors de ce rituel, la gagnante peut décider de laisser d'autres de ses serviteurs la violer à sa place, mais sur ce point Ahri était catégorique, c'était elle et personne d'autre qui pouvait la violer pendant ce temps, comme l'atteste les nombreux sceaux étant apparus sur la seule entrée et sur les ouvertures hypothétiques de la cave, afin que même un rat ne puisse se glisser ici sans l'aval de la renarde.
Tamaki, cependant, était étonnamment résistante, pour une personne que je viole depuis si longtemps, je n'avais pas hésité, de plus, à user de mon propre sang, puissant aphrodisiaque, pour tenter de la faire plier à mon bon vouloir, sans que ça n'aie l'effet escompté. Cela aurait pu me contrarier, mais il n'en est rien, j'étais au contraire enchantée d'avoir bientôt un sujet loyal et aussi résistant à la corruption que Tamaki.
Le jeu terminé pour aujourd'hui, je repose mes divers jouets sur elle, un sceau sur l'entrée de son utérus pour que le jus d'homme ne puisse s'échapper, laissant son délicieux ventre rond de sperme, avant de replacer une
créature tentaculaire sur une bonne partie du corps de Tamaki afin de la garder prête au nouveau viol de demain.
Cette créature est ma seule exception. Pour avoir eu l'occasion de la tester longuement, ces tentacules se nourrissent d'eau et de cyprine et ne jouissent pas tout en stimulant les parties du corps qu'elle caressent pour une infinité de temps si on n'y touche jamais. Cela fait, et malgré les gémissements de protestations de Tamaki, je quitte la cave.
Bien que Tamaki me prenne une certaine partie de mon temps libre, il m'arrive aussi de m'ennuyer et de m'acheter d'autres jouets. Les plier selon mon bon vouloir est un jeu que je ne cesse de trouver amusant. Il était temps pour moi de me rendre au marché, avec une solide bourse pour pouvoir surenchérir assez haut en cas de besoin.
Les étals étaient toujours aussi bruyant. Même en vivant ici, j'avais parfois du mal à ne pas grimacer tout le temps suite aux bruits. J'avançais longuement, d'étals en étals, de rues en rues, sans trouver mon bonheur parmi les différents terrans à fourrures ou à écailles de formes et de tailles différentes. Il y a bien au cette sirène, dans les quinze premières minutes, m'ayant attiré, un peu, avant de me rappeler que je n'ai pas de piscine pour la garder, dommage. Après deux heures et demies de fouilles, j'allais finir par rentrer chez moi bredouille, Tamaki aurait eu une visite surprise... Mais c'était sans compter sur l'une des dernières boutiques à visiter, dans laquelle je vis cette kitsune nue à peau sombre remuants frénétiquement ses oreilles au vu des bruits ambiants, les mains attachées dans le dos n'aidant pas.
Le prix sur sa cage indiquais 2 et quatre zéro, ce qui était bien cher, mais au vu de la terrane et de l'absence d'enchères, il était sûrement justifié. Il ne fallut pas longtemps pour que j'en fasse l'acquisition. On me fit remarquer que la kitsune était étrangère à Nexus et maîtrisait assez peu la langue avant de me laisser l'approcher. Sans trop de cérémonie, je lui applique sans trop le serrer un collier en obsidienne au cou, avec une boucle supplémentaire pour y accrocher une laisse, avant de lui enlever ces menottes, afin qu'elle puisse à nouveau se couvrir les oreilles si l'envie lui fait sentir.
Je lui précise alors, quand elle ne se bouche pas les oreilles, la chose suivante:
-
Je me nomme Ahri. Dis-je avec une queue pointant dans ma direction,
je suis ta maîtresse à présent. ♥Même si je ne suis pas sûr qu'elle aie tout saisi, j'espère au moins qu'elle a compris mon nom.
Du fait qu'elle est entièrement nue, je sors de mon sac une simple chemise en jute que je lui fait enfiler, il manquerait plus que la garde me reproche de faire se promener mon jouet nu sur la place. Resserrant l'avant dernier bouton, je lui dit alors:
-
Suis moi, et ne tente pas de fuir, on va à la maison. Une de mes queues s'enroulent autour de la taille de la kitsune afin de l'inciter à me suivre au cas où elle ne m'avais pas comprise, et à la retenir dans le cas où elle songe à s'échapper. Il ne me fallait pas grand chose non plus pour que j'applique ma laisse sur cette boucle qui cliquette un peu à chacun de ses pas sur le collier qu'elle a désormais autours du cou.