L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

C’était si agréable d’être allongé dans ce lit à coté de la belle terranide que j’avais sauvé des esclavagistes un peu plus tôt, elle ne cessait de me fixer, de me dévorer tout entier de ses beaux yeux mauves tandis qu’elle m’embrassait avec passion. Après quelques longues secondes de baiser langoureux, Ophélie alla loger son museau dans le creux de mon cou après avoir poussé un petit soupir de satisfaction afin de passer une jambe par-dessus mon corps dans le but d’enserrer mon bassin de ses cuisses chaudes et athlétiques. Une fois à califourchon sur moi, la belle défit rapidement sa queue de cheval, laissant ses longs cheveux noir comme le jais cascader le long de son dos jusqu’à sa superbe chute de reins qu’une de mes mains caressait tendrement. Alors que je ne cessais de promener mes doigts fins sur le doux poil d’Ophélie, celle-ci défit lentement les boutons de ma chemise blanche avant de caresser mon torse glabre aux muscles finement dessiné.

Mes caresses la faisaient ronronner et gémir doucement, prouvant qu’elle aussi éprouvait du plaisir, ainsi c’est avec délice que je m’appliquais à cajoler son corps de courtisane avec une passion de plus en plus forte. Je pouvais la sentir frémir sous mes doigts adroits tandis que je prenais en main un de ses seins généreux que je me mis à malaxer avec habiliter, sa poitrine était ferme, généreuse, voire opulente même, mais pas excessivement pour autant. Le duvet rose clair qui recouvrait ses globes de chaires, son ventre lisse et son dos gracile, me donnait une agréable sensation au toucher, c’était comme si le corps d’Ophélie était recouvert d’une fine couche de velours. Puis tandis que mes autres doigts continuaient de voyager sur son mont de chaire gonflé de désir, je pris avec adresse le petit téton rose de la belle, déjà dressé, entre mon pouce et mon index pour le pincer délicatement.

-   Tu aime ce que je te fais Ophélie ?

Bien évidemment, je connaissais déjà la réponse à cette question, je voulais l’entendre le dire, je trouvais ça si excitant quand mon amante gémissait tout près de mon oreille pour me faire comprendre qu’elle aimait ça. Au bout d’un petit moment Ophélie tâta mon entrejambe qui formait une belle bosse dans sa prison de tissu, tandis qu’une de mes mains alla glisser entre ses cuisses généreuses entament de léger va et viens contre son bikini. Puis après quelques caresses, j’écartais délicatement le bout de tissu violet qui masquait le vagin de la lynx afin d’y glisser mon majeur pendant que mon pouce massait son clitoris avec tendresse.

Sentir le corps chaud de l'ange près d'elle, contre elle, contre ses flancs, ses hanches, blottit contre son corps … C'était un plaisir dont on se délecte longtemps. Etre accrochée au chevalier servant qui sauvait les princesses des griffes des esclavagistes, c'était comme un rêve d'enfant devant un vieux conte.  Un fantasme d'esclave qui voulait être une princesse, fantasme d'une Déesse qui adorait être sauvée par des nephilims aussi beaux. Le baiser dura de longues secondes où la langue d'Ophélie jouait doucement avec celle d'Edean. La Déesse se délectait du baiser et elle passa par-dessus lui avec un sourire malicieux, les yeux pétillants de joie, son regard joueur. Ses légers mouvements, rapides et lestes pour charmer encore plus son amant mettait en valeur son corps et elle frissonnait en sentant sa main contre la chute de ses reins, la chatouillant légèrement. Elle eut un nouveau sourire, et plissa ses beaux yeux d'un air amusé. Elle eut un léger ronronnement, suivi d'un miaulement rapide en sentant ses doigts sur la totalité de son corps, la faisant frissonner. Elle défit enfin finalement la chemise, totalement, pour avoir une vue dégagée sur le torse de l'ange, fin et musclé.

Le plaisir qu'elle éprouvait était celui calme et terriblement délicieux des caresses sur son corps, douces et agréables. Il était agile avec ses doigts et la Déesse ne pouvait que ronronner d'un manière régulière. Elle frémissait, terriblement heureuse d'en être arrivée là, elle frissonnait, gémissait, ronronnait, toujours plus avec une indéfinissable tendresse. Chaque caresse trouvait écho dans la totalité de son corps frissonnant, tremblant de désir et de plaisir. Ses doigts sur sa poitrine eurent un effet immédiat, elle gémit un peu plus, cambrant légèrement pour pousser sa poitrine dans la main jeune homme, pressant de plus belle ses lèvres contre celles du jeune homme, partageant sa fièvre de plaisir à travers son haleine chaude et parfumée. Sa langue jouait avec celle de l'ange tout doucement, tendrement alors que ses mains parcouraient son torse descendant enfin vers son entrejambe qu'une patte pressa avec douceur. Elle gémit quand il pressa son téton dressé vers lui qui ne demandait que ça. Elle vint mordiller sa lèvre inférieure passant enfin sa patte dans le pantalon qu'elle avait déboutonné.

"Je n'aime pas… J'adore Edean .. C'est si bon de le faire avec toi … Là, maintenant .. Je te dirai un secret, plus tard .. Embrasse-moi, Edean ..." Susurra-t-elle avec un sourire malicieux en posant de nouveau ses lèvres brulantes sur celles du jeune nephilim. Elle gémissait doucement, adorant son traitement, ses pincements sur son téton dur. Son ronronnement était doux et incessant, elle se collait contre lui, sa queue venant caresser ses jambes de haut en bas dans un long mouvement.


Elle gémissait maintenant de nouveau à son oreille. Oreille qu'elle léchait, mordillait avec douceur, venant y apposer des gémissements de plaisir toujours plus ardents. Sa patte était allée chercher le membre de l'ange qu'elle commençait à doucement masturber dans un mouvement constant de va et vient. Son mouvement se faisait un peu plus rapide au bout de quelques minutes alors qu'elle gémissait à la sensation de la main du néphilim contre son intimité déjà humide. Elle reprit ses mouvement de main, avant de glisser légèrement vers l'arrière, léchant un peu le haut torse du d'Edean pendant qu'elle se cambrait en le sentant la pénétrer. Elle plissa ses yeux mauves en gémissant de plus belle, venant jouer avec sa langue rappeuse avec le téton du jeune homme, sa patte continuant ses mouvements sur son membre. Elle glissa enfin, obligeant Edean à retirer son doigt de l'intimité humide de la Déesse, elle glissa son museau vers l'entrejambe du jeune homme. Doucement, sa langue entoura le membre, alors qu'elle pressait le gland contre l'entrée de ses lèvres, l'y enfonçant enfin, l'entourant de ses babines chaudes, enroulant sa langue autour du membre pour faire de légers mouvements réguliers. Il pouvait sentir son souffle chaud.

Mes mains sur le superbe corps d‘Ophélie caressaient soigneusement son pelage avec délice, mes doigts passaient sur ses courbes alléchantes avant de prendre d’assaut sa poitrine nue seulement recouverte d’un fin duvet rose. Tandis que je malaxais sa poitrine d’une main et que de l’autre je continuais de dévaler sa chute de rein inlassablement, la belle m’ôta ma chemise blanche dévoilant à ses yeux mauves mon torse glabre aux muscles fins. Ophélie se cambra délicieusement sous mes caresses tout en poursuivant notre langoureuse embrassade, nos deux langues valsaient sur un rythme tendre dans une bouche puis dans l’autre pour un baiser des plus suaves. Une fois ma chemise envoyé valdinguer à l’autre bout de la pièce, la belle lynx caressa mon torse avec gourmandise, faisant naviguer ses coussinets tout doux sur mes muscles imberbes me procurant des frissons de plaisir. Lentement, elle fit glisser une de ses pattes tout le long de mon torse, lui fit dévaler mon abdomen, jusqu’à ce qu’elle arrive à mon pantalon que la belle entreprit de déboutonner rapidement avant d’y engouffrer sa patte baladeuse pour faire jaillir mon sexe en érection. Ophélie prit ma verge toute dure entre ces coussinets avant de me masturber d’abord avec de longs mouvements qui devinrent de plus en plus rapide au fur et à mesure que le désir montait entre nos deux corps.

-   Je n'aime pas… J'adore Edean... C'est si bon de le faire avec toi … Là, maintenant... Je te dirai un secret, plus tard... Embrasse-moi, Edean ...

Ces quelques mes, susurrer à mon oreille quelle s’amusai à mordiller tendrement avec un petit sourire joueur, ne firent qu’accroitre encore plus mon excitation avant qu’elle ne plaque à nouveau ses lèvres contre les miennes avec passion cette fois. Alors qu’elle était allongée sur moi entrain de m’embrasser et de me masturber avec fièvre, je ne cessais de jouer avec sa poitrine généreuse, parfois je pinçais entre mes doigts son petit téton tout rose au garde-à-vous ce qui la faisait délicieusement gémir. Ma deuxième main se mit alors à se balader entre les cuisses chaudes et humides d’Ophélie, caressant lentement  son intimité avant d’y plonger mon index fin entre ses lèvres vaginales pour la doigter avec tendresse.

 Pendant qu’elle gémissait sous le traitement que je lui faisais subir, la belle glissa sur mon torse nu, sa bouche arrivant à hauteur de mes tétons d’homme,  elle ne put résister à la tentation d’y gouter du bout de sa langue râpeuse. Puis elle continua sa glissade me faisant ressortir bien malgré moi mon doigt de son intimité chaude et humide, avant de se retrouver avec mon membre dressé tel une lance de chaire braqué sur sa tête. Tout en poursuivant sa masturbation, Ophélie amena son museau vers mon pénis qu’elle prit en bouche pour une délicieuse fellation, c’était bien la première fois que je recevais un fellation de la part d’une féline, mais ce n’était pas désagréable.

Sa langue rose venait s’enrouler et se dérouler frénétiquement autour de mon gland tandis que la belle amorçait de longs mouvements de va et viens, engouffrant mon gros membre de plus en plus profondément dans sa bouche chaude. Avec passion et douceur à la fois, ses lèvres glissaient sur mon sexe marbré de petite veinules bleuté et palpitant, j’adorais ça, cette sensation et je ne pus retenir un soupir de plaisir alors qu’elle continuait sa succion goulûment. Au bout de quelques instants je fis jouer mes muscles abdominaux pour me mettre assis faisant face à la belle qui, la tète entre mes cuisses me prodiguait une fabuleuse fellation et passant une main dans ces doux cheveux de jais, je me mis à accompagner ses mouvements. Ma main qui appuyait sur ça tête, sans être brutale se faisait de plus en plus insistante et au bout de quelques longues secondes, je rejetais la tête en arrière tandis que mon sexe se contractait dans la bouche de la belle qui poursuivait sa fellation. Puis alors que je lâchais un râle jouissif, j’éjaculais dans la bouche d’Ophélie en libérant de longs jets de sperme blanc, chaud et laiteux.