Au sein des Îles Mélisi, le sexe s’envisageait nettement plus facilement que sur la côte. L’Ordre Immaculé ne s’était jamais installé là-bas, et il suffisait de voir Astrid pour constater que la réputation sulfureuse qu’on attachait traditionnellement aux Mélisains n’était pas fausse... Et, ici aussi, ce n’était pas Adamante qui agirait à l’envers de ces clichés et de ces préjugés. La magicienne était également une superbe perverse, qui adorait le sexe, et coucher avec Astrid était un plaisir qu’elle comptait bien s’offrir. Ainsi, face au sexe de Jubal, les deux femmes s’embrassèrent goulûment une dernière fois, puis la magicienne ne put ensuite qu’acquiescer à la demande de la femme.
« Mais bien sûr, je ne vais pas te voler la vedette, voyons... »
La magicienne lui sourit tendrement, et regarda ensuite Jubal, qui avait une superbe érection, et un visage rubicond, marqué par le désir. Le pauvre en avait le souffle court, peinant visiblement à croire que deux superbes beautés se trouvaient en ce moment devant lui, et étaient fins prêts à lui faire joyeusement l’amour. Tout ce qu’il fallait espérer, c’était que le trajet vers le Palais d’Ivoire allait durer le plus longtemps possible. Astrid approcha ses lèvres de son sexe, et le prit en bouche, et, pendant quelques instants, Adamante se contenta juste de les regarder agir, un sourire amusé éclairant ses lèvres.
Ensuite, Adamante les rejoignit, et suça à son tour ce sexe Quand Astrid se retirait, Adamante le prenait en bouche, et relevait les yeux, croisant le regard de Jubal, voyant ce dernier se tortiller sur le banc, ses mains se crispant tendrement sur leurs cheveux, exprimant tout le désir que le brave homme ressentait. Elle le suça donc, s’enfonçant en lui, gémissant de plaisir, se retira, et, pendant qu’Astrid retournait s’y attaquer, embrassa et lécha la base de son sexe, ou ses testicules... Et, parfois, elles se contentaient toutes les deux de juste lécher sa queue, à gauche et à droite, leurs nez se titillant, tandis que leurs langues se rapprochaient, et qu’elles embrassaient ce sexe.
« Hmmm... »
Oh oui, la magicienne adorait ça ! Profiter de ce sexe à deux, avec ses vieux amis... Beaucoup de Nexusiens auraient été profondément choqués par cette relation incestueuse, mais, là encore, à Mélisi, il était courant que les frères et les sœurs couchent ensemble. La consanguinité n’était pas autorisée, pour des raisons génétiques, mais il était fréquent qu’on couche au sein de la même famille, afin de se former, transformant ainsi les mariages en magnifiques scènes d’orgie, dès que les enfants étaient couchés. Le sexe faisait tout simplement partie de la vie mélisaine.
Adamante soupira alors en sentant la main d’Astrid s’approcher de son intimité, et ne tarda pas à lui rendre la pareille, en abattant fermement sa main sur sa croupe, claquant ses délicieuses fesses, pour les malaxer et les presser ensuite, tout en approchant un doigt de sa croupe... Et, devant l’excitation prononcée de Jubal, la magicienne utilisa son autre main, et prononça rapidement un sort de magie rose, ce qui amena Jubal à sentir, pendant quelques secondes, une sorte de verrou magique se poser à la base de sa verge, la comprimant.
« Voilà... Comme ça, tu n’as plus à hésiter, Jubal, ce sortilège t’empêchera de jouir jusqu’à ce que j’en décide autrement... Tu peux laisser librement ton plaisir s’exprimer, mon beau ! »
Elle lui sourit à nouveau, et lécha brièvement le bout de son sexe.
« N’est-il pas formidable, hmm... Comme ça, Astrid, haaaa... ? »