[HJ]Oui, pour une fois j'étais inspirée![/HJ]
« Brave petite pute. »
Arillë observait attentivement Tasha passer sa langue sur la semelle de sa botte. Cet ordre avait pour but de tester Theorem, du moins, sa réaction inexistante. Un ordre qui, bien que fétichiste des chaussures et bottes, aurait écœuré rapidement Arillë, mais ce n’était pas le cas du travesti. Une fois sa semelle humide, elle autorisa d’un coup de tête et d’un claquement de doigt à ce que le Terranide parte chercher de quoi s’amuser. Dans la tête d’Arillë, ça cogitait, elle cherchait des moyens de tourmenter Tasha. Theorem revint rapidement avec ce qu’avait ordonné Arillë.
« Bien, maintenant, remonte sur scène. Et tu vas très lentement te déshabiller devant moi… Compris ? Maintenant au travail. »
Pour Arillë c’était noël avant l’heure. Elle hésita un long moment avant de mettre Tasha sur ses cuisses pour la fesser avec la planche ou lui tourner autour pour le fouetter aléatoirement à l’aide de la cravache. Elle examina le contenu de la mallette et observa son contenu. Pour tout dire, elle était plus passionnée par la mallette que le strip-tease de Theorem ce qui explique que dans son esprit, Tasha n’était qu’une jeune Terranide, une adolescente qui devait faire plaisir aux pédophiles, si elle savait… Theorem devait se douter de ce que l’elfe lui préparait quand elle prit en main le lubrifiant et le gode-ceinture. Elle posa enfin les yeux sur Theorem, qui était dos à elle. Il fallait faire un choix et vite ; une sodomie sans ménagement ou une fessée sur ses genoux ? La balance penchait plus sur la saillit, et elle s’imaginait déjà griffer le tatouage de Tasha. Puis Theorem se retourna lentement vers elle, montrant au grand jour sa condition de travesti. Il exhibait son sexe prisonnier fièrement, ce qui agaça Arillë. Elle avait commandé une fille, pas un travelo ! Mais peu importe, elle n’allait pas faire un scandale. Et puis, Theorem lui appartenait pour la nuit, alors autant s’amuser !
« Mon sexe en chasteté vous plait, Maitresse ?
J’ai… Clairement exigé que l’on me donne une fille, une femelle… Tu comprends donc que ta petite queue d’impuissant me répugne, et si je m’écoutais, j’aurai arraché ton membre pour te sodomiser avec. Mais à la place, je vais prendre le plus grand plaisir à te tourmenter… »
Arillë parlait doucement, avec une légère note énervement dans la voix et rangea donc le lubrifiant et le gode ceinture ; pour le moment. A la place, elle sorti deux bandeaux, l’un pour les yeux avec une fermeture éclair pour chaque œil, et l’autre pour la bouche. Ce dernier possédait un anneau forçant le porteur à garder la bouche grande ouverte, et que l’on pouvait boucher à loisir avec un bouchon semblable à une douche. Elle s’approcha doucement de lui et lui agrippa les testicules avec sa main libre plantant doucement ses ongles dans ses bourses. Elle lui murmura sensuellement dans le creux de son oreille poilue.
« Regarde bien mon beau visage, car ce sera la dernière fois que tu le verras avant un long… long… long moment… Et à partir de ce moment… Je t’interdis de parler à la première personne… Tu ne te désigneras que par « Votre esclave impuissant »… Et ce, jusqu’à ce que je te baptise... Est-ce bien compris ? Dis-le… »
Pendant qu’il obéit, elle remua doucement ses doigts de droite à gauche et passa sa langue lentement sur sa joue avant de l’embrasser sur le front. Elle relâcha son scrotum et s’éloigna de son oreille, parlant d’une manière toujours sensuelle.
« Bien… Ouvre grand la bouche… »
Elle plaça en premier le bandeau-bâillon, et essaya de refermer sans violence la mâchoire grande ouverte du terranide. Puis elle posa son index et son majeur dont seules les dernières phalanges s’échappaient des mitaines de l’elfe. Elle caressa doucement sa langue.
« Tu as du en sucer des queues… Des grosses bites… Je le sens à ton haleine… Un véritable sac à foutre
vivant… Ça a quel goût le sperme ? Tu as du en boire des litres… Tu remercies tes violeurs quand ils éjaculent dans ta bouche ? »
Elle fit ce petit jeu de longues minutes, passant lentement sa langue sur ses lèvres ou mordillant sa lèvre inférieur. Puis, elle s’en lassa, et retira ses doigts avant de cracher sur Theorem. La salive de l’elfe arriva sur le coin de l’œil du soumis, elle recadra son tir au deuxième essai et cette fois ci, le cracha atterrit dans la bouche de Theorem et le gifla
« Tu apprécies le cadeau de ta maîtresse j’espère ? Pardon ? Je ne comprends pas. »
Elle le gifla à nouveau tout en ricanant perversement. Arillë mit le bandeau sur les yeux de Theorem, les fermetures éclair étaient encore ouvertes. L’elfe lui souriait de la manière la plus douce possible afin de lui laisser le souvenir de son angélique visage. Elle déposa un baiser sur son front, comme pour lui souhaiter une bonne nuit et ferma doucement les fermetures éclair, le plongeant dans le noir. Arillë se pencha vers la mallette pour récupérer deux paires de menottes. Avec, elle attacha les poignets de Theorem à ses chevilles et le poussa violement pour le faire tomber sur le ventre. Allongé sur la scène privée, elle le traina pour mettre ses fesses face à elle. Arillë récupéra le kit de piercing et caressa l’espace entre le scrotum et l’anus de Theorem du bout des ongles.
« Tu as du avoir de nombreux maîtres et maîtresses… Mais je vais te laisser un souvenir de ma personne. Je vois que tu aimes les piercings et les tatouages… Ça te dirait d’avoir un piercing là où sont mes doigts ? Ou plusieurs… Derrière tes petites couilles de tante ? Ça ne te dérange pas ? Et bien d’accord ! »
Arillë avait répondu à la place de Theorem et prit une aiguille. Elle tira la peau à l’aide de ses ongles et approcha l’aiguille. Elle essayait d’aligner le plus possible la trajectoire de cette dernière afin de faire un piercing perpendiculaire à cette bande de chair, reliant son sexe à son anus. Arillë, bien que ne ressentant aucuns plaisir particulier, se forçait à gémir quand l’aiguille perça la peau de Theorem. Elle ne cherchait pas à le massacrer, mais, elle ne souhaitait pas que ce soit indolore pour autant. Quand l’aiguille ressorti, Arillë la fit remuer afin d’élargir les trous et les deux centimètres de peau qui séparaient l’entrée et la sortie de l’aiguille. Un peu de sang s’échappait et elle n’essuya le sang que dans le but de repérer les nouveaux orifices qu’elle venait de créer. L’elfe fit passer un piercing à l’image de ceux qui passaient par ses tétons, une tige en métal avec deux boules dévissable aux extrémités. Arillë installa ce nouveau bijou à Theorem et non sans ménagement. Une fois que tout ceci fut terminé, elle caressa les cheveux de Theorem, avant d’agripper une de ses couettes et de la tirer vers le haut.
« Je crois que tu as oublié de remercier ta maîtresse… Sale chienne ! » Elle le fessa et le questionna.
« Tu es un terranide chien… Mais es-tu tout bonnement laid ou es-tu le fruit du mélange de deux races ? En gros, si ton cerveau limité ne comprend pas, je te demande si tu es un sale bâtard ou juste un cleps dégueulasse ? Dans tous les cas, tu es à l’image de tes parents, une pute bonne qu’à uniquement vendre son cul»