1ier décembre 2012
Siège social de la Yoshikawa’s Saibatsu : 20 h 30
• * C'est toujours avant l'aube qu'il fait le plus sombre. *Voilà ce que je me disais dans ma tête, contemplant Seikusu plongé dans une nuit électrique, du haut de mon cinquantième étage qui m’offrait une vue panoramique sur l’ensemble de l’immense ville japonaise. En cette période festival de Noël, les gens se ruèrent dans les centres commerciaux pour ne pas louper les dernières soldes sur des objets de grande valeur à faire miroiter les yeux de leurs proches en l’apprenant. À une certaine époque, le fait d’avoir une mandarine pour noël donner la joie et le sourire à l’enfant qui recevait ce fruit, alors qu’un enfant contemporain ne ressentira aucune joie dans ce cadeau sans importance qu’il jettera aux ordures, déçues de ne pas avoir reçu le dernier jeu vidéo sorti. À présent il ne subsiste plus rien de spirituel de cette fête qui a vu son âme sombrer par la corruption par ce monde régit par la loi des marchés. Seul le corps de cette fête tient debout, plus ou moins altérer par le capitalisme libéral.
Courrez, courrez tous cherchez vos petites broutilles, misérables moutons ! Car aujourd’hui, Noël est à l’avance chez moi et le cadeau que je viens de recevoir augmente mon estime pour cette période festival humaine. Cela faisait un quart d’heure que je m’étais informé des dernières nouvelles de Razorwire sur ce fameux portail localiser dans une grotte perdue au fin fond d’une forêt, non loin de Seikusu. Les informations durent nombreuses, mais mon esprit se porta sur les plus essentielles a retenir : monde médiévo-fantastique, esclavagisme libéral, Nexus et bien autres qui portent tous mon attention. Difficile de croire en de telle ineptie, mais venant de quelqu’un en qui j’ai pleinement confiance et qui ne m’a jamais déçu jusqu'à maintenant, je regardais ce lieu d’un tout autre regard, à la fois admiratif et intrigué : je devais franchir ce portail coute que coute et dans les plus brefs délais !
Je souris rien qu’en pensant aux ressources que je vais y gagner grâce à l’expansion de mon entreprise dans cet autre monde. Un moment de réflexion qui s’évapora subitement par le bruit aigu de mon ordinateur, provoquant le réflexe de me retourner pour voir une fenêtre s’affichait en bas à droite de l’écran comme quoi j’aurais reçu un nouveau message. Impossible que cela vienne d’une quelconque publicité étant donné qu’elles étaient filtrées et bloquées par un antivirus dernier cri. Cela ne peut provenir que de quelqu’un. Je m’installe dans mon bureau une énième fois pour cliquer sur cette même fenêtre pour ouvrir un e-mail contenant une demande particulière d’une autre multinationale. Une invitation pour une question d’affaire pour être exactement. D’habitude, c’est moi qui ce charge généralement d’envoyer des mails à ma concurrence pour une OPA, mais aujourd’hui ce fut l’inverse. Qui m’avait envoyé le message ? Aucune n’idée, le destinataire s’est réfugié dans l’anonymat en masquant son identité. Aucune importance, je n’allais pas tarder à le savoir, c'est-à-dire maintenant ! Je me lève de mon siège et me dirigea vers mon parking privé en passant par les couloirs interminables de l’établissement afin de rejoindre l’ascenseur. Le tout en roulant du cul dans ma démarche féline et sensuelle libre de toute entrave par mon tailleur assorti à ma jupe ultra moulante que j’imitais, compressant chaque centimètre carré de mon hôte en s’insinuant dans la raie profonde de mon cul tout en faisant ressortir parfaitement mes mamelons à travers la texture symbiotique qui se meut dans une parfaite harmonie avec le doux rebondi de mon popotin. Nom d’un Xeno’tron en rute, quelle douce sensation ! Mes employés me laissèrent passer tout en touchant des yeux avec avidité mon boule se balancé avec grâce. L’odeur de spermes chatouillant brusquement mes narines me signale que l’un d’eux s’est éjaculé en me voyant passer et cela me faisait doucement sourire. Ces derniers faisaient des heures sup pour gagner mes faveurs et que j’accepte leurs requêtes de vouloir faire crac crac avec moi. La plupart d’entre eux eurent cette chance tandis que d’autres tombèrent malades par le manque accru de sommeil et l’accumulation du stress de plusieurs journées en une journée de travail, mais ça, je me fichais de leurs états de santé comme de ma propre merde.
Arriver au parking, je m’installai dans ma limousine « Lincoln town » au noir d’ébène et ordonna à mon chauffeur de me conduire à l’adresse imprimée de mon e-mail. Il hocha tout simplement la tête en guise de réponse et démarra le véhicule de luxe sans poser de question, le genre d’attitude que j’exige de voir toujours au lieu de blablater avec des broutilles inutile et monotone. Le centre-ville était bondé de monde à cette heure-ci et la circulation routière en était boucher, avec pour ambiance un capharnaüm de klaxons joliment jouer par des chauffeurs frustrer du cul gueulant comme des porcs pour que les autres voitures de rouler. Rhaaah ces humains, tous pareils ! Les aléas du quotidien quoi. Néanmoins je ne pouvais que cracher un juron du fait que j’allais être en retard à mon rendez-vous. Je ne supportais pas d’avoir des empêchements à mes rendez-vous et rien que ça cela me contrarier beaucoup. Alors pour passer le temps, rien de tel qu’une petite masturbation pour satisfaire mes pulsions sexuelles qui commençait déjà à faire gonfler mes lèvres intimes. Un long filet de sipprine s’écoulait lentement entre mes cuisses pour terminer leurs courses sur le sol velouté de ma limousine. Je me presse de glissait l’index de ma main droite dans la fente vaginale, taquinant tendrement se joli minou puis augmentant graduellement la vitesse de ma caresse tout en y introduisant mon majeur à l’intérieur de mon intimité. Jambes écartées jusqu'à être collé contre mes bras. Ooooh oui ! J’échappe de longs gémissements sensuels accompagnés de longs soupirs concupiscents, les yeux plissés, la bouche grande ouverte et le bout de la langue pendue. Mon cœur battait à cent à l’heure tandis que mon entrejambe éjaculait abondamment toujours plus de mouille, telle une fontaine. La moitié de toute ma jupe en était souillée, mais cela m’importait peu, elle était d’une étanchéité quasi absolue et se nettoyer très facilement avec de l’eau. D’autant plus que je sentais les gouttes de jus de chatte suintaient le long de ma jupe : c'est-à-dire moi ! Les vitres teintées et l’insonorisation, quelles magnifiques inventions terriennes au service des moments intimes ! Au moins personne de l’extérieur n’espionnait mon moment de plaisir, pas plus que mon fidèle chauffeur qui voyait cela comme étant monnaie courante dans son quotidien.
Au bout de 2 heures de trajet, nous étions arrivées en face d’un bâtiment imposant comme il y en a tant dans cette ville de débauche. La seule chose qui la différenciez des torchons et des serpillères du décor, c’est bien son style architectural assez particulier. Un mariage plutôt réussi du gréco-romain et du moderne. Du néo gréco-romain ? Probablement. Quoi qu’il en soit, mon chauffeur ne tarda pas à quitter son siège pour m’ouvrir la porte comme bon chauffeur qui se respecte, quittant à mon tour le véhicule en me levant de façon nonchalante. Faisant rebondir au passage ma somptueusement paire d’obus une fois debout, glissant une main sur une mèche rebelle obstruant ma vue, souffler par le vent ondulant ma longue chevelure coiffer en queue de cheval, comme j’en avais l’habitude. Mes talons claquèrent en direction de la porte d’entrée cristalline, toujours avec cette démarche féline et provocante faisant rouler gracieusement mon popotin. J’essuyais en passant quelques traces de mouille sur mes doigts, venant de l’intérieur de ma jupe que je venais tout juste de nettoyer en léchant toute trace de souillure par ma langue préhensile. Il ne fallait pas que je souille le siège de mon futur associé, ça serait mal vu ! La secrétaire installer derrière le bureau de l’accueil était très loin de réunir tous les critères de l’image caricaturale que l’on se fait d’elle. Ressemblant plus à une version japonaise d’Ugly Béttie que de la délicieuse Jessica Rabbit. Et à juger par son apparence juvénile, cela devait être une stagiaire en cours de formation comme il en a à la pelle.
- Bonjour mademoiselle ! Je suis venu voir votre patron pour le rendez-vous qu’il vient de me proposer.- Oui bien sûr, il vous attend au dernier étage. L’ascenseur et sur votre droite. Répliqua-t-elle en pointant du doigt un escalier.- Merci bien.Sans plus attendre, j’appuyai sur le bouton 30, pénétrant dans la cage d’ascenseur dès qu’elle s’ouvrit pour m’accueillir en son sein. Les doubles portes se referment et débutent 5 minutes d’élévation vers le nid d’aigle du PDG avec un petit lounge comme musique d’ambiance. La texture assez luisante de ma tenue exposait un jeu de reflet magnifique par les appliques incrustées au plafond. Il en découlait un charme particulier de mon accoutrement, aux grands plaisirs des yeux. Un tintement joua avec l'air encombré de la chaleur de cette pièce, venant mettre fin à cette monté par l’ouverture des portes, débouchant sur une pièce imposante qui avait de quoi imposer le respect, mais pas autant que la sienne. Contrairement au bâtiment lui-même, l’intérieur de l’endroit n’avait rien de bien impressionnant, un décor purement néoclassique comme on en voit tous les jours avec bibliothèque, statue et ornement raffiné. Rein d’originale. Au fond de la salle se tenait un bureau baroque devant un siège massif auquel trônait un individu qui saurait plaisir à la gente féminine par son physique de don Juan des temps jadis : Une magnifique chevelure blonde plaquée en arrière, encadrant un visage anguleux aux traits on ne peut plus soigner, au nez aquilin surplomber par des lunettes de soleil dissimulant son regard. Avec pour tenue un magnifique costume dont la cravate rouge et la chemise blanche contraste avec le noir de l’ensemble. Lui c’est clair et net qu’il avait du bon gout. Affichant un air neutre malgré l’apparence arrogante qu’il en dégageait par mes traits, je raccourcissais notre distance jusqu'à me tenir contre son bureau, tendant ma main vers lui pour une poignée de main chaleureuse qu’il effectua sans hésiter.
- Bonsoir à vous et désolé du retard. j’ai eu un léger contretemps venant de la circulation. Je suis Kasumi Yoshikawa de la Yoshikawa’s Saibatsu, mais ça vous le savez déjà, mhum ?