Une aide pas si désintéressée (avec Misaki)

Voilà un peu plus d’un an que j’ai pris mon ministère dans la ville de Seikusu, et presque autant que j’ai pris mes fonctions d’enseignant en théologie au lycée Mishima. Jamais, je n’aurais imaginé que ma vie en serait bouleversée. D’abord par le choc d’une civilisation que je n’imaginais pas ainsi, ensuite par une liberté de mœurs dont je ne m’attendais pas à profiter, au détriment même de mes vœux, notamment celui de chasteté.
Il faut dire que les lycéennes ne semblent guère farouches ; mais je ne sais si ce sont mes tempes grisonnantes ou mes origines européennes qui les séduisent. Je devrais avoir honte d’être un tel pêcheur, mais j’avoue que, entre mon bureau de cours ou mon canapé dans la sacristie, sans oublier d’autres endroits, j’ai connu des plaisirs qu’il aurait été dommage d’ignorer, fut-ce en une vie dédiée au Seigneur.
Le plaisir n’empêche pas le sérieux, et mes cours de théologie et de civilisations européennes passionnent de plus en plus d’élèves. En fait, il y a de plus en plus de filles, ce qui compense la défection de quelques garçons. Pour une matière ne présentant nul caractère obligatoire, et très peu enseignée par ailleurs, hormis dans certains établissements hyper-spécialisés, c’est une belle réussite dont je suis fier.
Alors, que ce soit pour mes cours ou pour ma personne, peu importe ; le Saint-Siège ne pourra qu’être heureux de ma réussite. Enfin, quand je parle des élèves passionnées, au-delà même des cours, il en est une que je n’arrive pas à cerner, et qui répond au prénom de Misaki. Je pense que je ne dois pas être le seul à me poser des questions, car elle semble comme mise à l’écart par les autres élèves.
Certes, ses cheveux couleur lavande et ses yeux dorés ont de quoi surprendre ; mais, de nos jours, avec les teintures et autres ajouts, plus rien ne me semble impossible. Plus curieuses sont ces petites oreilles, comme des oreilles de chat ; certes, j’ai déjà entendu certains parler d’une sorte de monde parallèle, nommé Terra, où il y aurait des créatures mi-humain mi-chat. Mais ce doit encore être sorti de l’imaginaire adolescent, car nulle mention n’en est faite dans les textes sacrés.
Misaki m’intrigue donc, a fortiori parce qu’elle reste aussi dans son coin, une sorte de méfiance semblant répondre à celle des autres. Curiosité donc sur ce qu’elle est et sur les raisons de tous ces « accessoires », mais souhait sincère de ne pas la laisser isolée du groupe. Dieu, je te promets que, même si elle adorablement délicieuse, je ne me détournerai pas de mon ministère, du moins je ne pense pas.

Cela faisait plusieurs mois déjà que je m'étais installé dans ce nouveau monde et jusque la mes efforts pour retrouver ma sœur n'avais rien donné. L'école était grande et abritait un grand nombre de personne; je ne pouvais donc pas fouiner partout sans me faire prendre ou être vu par quelqu'un. J'avais déjà attiré l'attention avec mes oreilles et mes cheveux de couleur particulier, plusieurs soupçonnaient mon origine et les autres pensaient simplement que j'étais fantaisiste. D'ailleurs un de mes professeur semblais me prêter attention plus que les autres enseignants. Le Père Yves, qui enseigne la théologie, semblait me fixer dans les couloirs et poser des questions a mon sujet. Il a beau être charmant et faire fantasmer toutes les filles du lycée il ne m'inspire pas confiance, comme tout les autres. Quelle genre de prêtres se dirait encore au service de Dieu alors qu'il met dans son lit toutes les étudiantes de la ville?

Je devais justement commencer ma journée avec un de ses cours. Assise dans le fond de la classe j'espérais qu'il me regarde le moins possible. Les filles s'étaient assises au premier rang et relevaient leur jupes pour se faire remarquer. Les gars étaient eux aussi au dernier rang mais le plus loin possible de moi. Quand le Père Yves entra dans la classe, je pouvais entendre les gloussements des idiotes de devant. Il leurs fit son sourire de séducteur et commença la leçon. Le cous se déroula comme à son habitude et je fut soulager quand la cloche sonna pour annoncer la pause déjeuner. Le reste de ma journée se résumait à essayer de ne pas le croiser et a souhaiter la fin des cours, qui selon moi étaient interminable. Les cours terminés et le lycée fermer, je décida qu'il était temps de fouiller un peu.

Je commença par la classe de théologie, plus précisément le bureau du prof. Les couloirs étaient vide et le gardien dormait comme à son habitude. Personne n'aurait envi de rester après les cours, à part moi. J'arriva devant la porte, l'ouvrit délicatement et me faufila dans le pièce. Les placards et les tiroirs du bureau étaient fermé à clé et ne voulaient pas céder. Cela me paraissait suspect et m'intriguais. Il fallait que je me procure cette clé.

C'est une impression bizarre ; Misaki doit avoir un sixième sens, elle doit savoir certaines choses, et cela peut me nuire. Je n'aime pas les gens trop effacés, ils cachent des secrets et peut-être même cachent-ils ce qu'ils savent des secrets d'autrui. Elle observe avec des yeux de chat, elle semble jalouser les filles qui aiment me montrer leurs jupes, et surtout ce qu'elles ont dessous. Etrange atmosphère, entre celles dont j'en ai baisé plusieurs, et ce regard qui m'épie. Pourquoi ? Elle est trop secrète pour aller le raconter à la Direction ; alors, c'est qu'elle emmagasine de quoi me mettre en difficulté, sans que j'en sache la contrepartie. Mais on va voir qui est le plus fort à ce jeu. Ce n'est pas à un vieux missionnaire, qui a passé des dizaines d'années à être sur le qui-vive dans des pays dangereux, que tu vas apprendre ça !
Manque de chance, je l'ai, en cours, en matinée, ce qui ne me laisse pas le temps de la voir en aparté. Mais, fidèle à son habitude, elle scrute et elle note, elle répond avec brio à mes questions, elle ne se mélange pas aux autres. Et, sitôt la cloche retentie, elle s'éclipse. Même pas possible de la voir pendant la pause déjeuner, comme si elle s'est volatilisée. Je n'aime pas ça ; elle m'espionne, je ne sais pourquoi ni pour qui, et je dois avoir un œil sur elle. Si je n'y fais pas attention, elle va mettre à mal ce que j'ai bâti ici.
Même pas présente dans les élèves qui sortent, une raison de plus de m'inquiéter. A priori, elle a suivi les cours de l'après-midi ; donc, elle est peut-être encore en bibliothèque. Pas dals le gymnase, car il paraît qu'elle ne fait aucun effort en sport. Non, plutôt dans les zones où elle peut chercher, fouiller, recueillir je ne sais quelle information. Mais pas de trace d'elle au milieu des rayonnages de livres ! Elle est dans les murs, j'en suis sûr, et cette chasse prend une dimension imprévue.
Je dois même être prudent ; elle peut à tout moment me surprendre, et je ne dois pas oublier que le gardien fait parfois ds rondes. L'autre soir, il a failli nous surprendre, Ayaki et moi, tandis que je la culbutais dans la salle des profs. Tiens, justement, si j'y allais vérifier ; après tout, pour une élève, c'est le plus sûr antre de renseignements. Porte doucement ouverte, pas feutrés et souffle retenu, j'entre, mais rien de rien. Elle n'est pas là, non plus ; j'espère qu'il ne lui est rien arrivé de fâcheux. Distante comme elle est avec les autres élèves, nul ne s'inquiéterait de son absence.
Allez, Yves, réfléchis vite ! Pas chez le gardien, pas dans la salle des profs, mais une envie profonde d'en savoir davantage sur moi ; il n'y a que ton bureau qui est possible. Cette fois, j'avance doucement ; si elle est occupée à fouiller mon bureau, ça confirmera que c'est moi suis vraiment dans son collimateur. Pourquoi ? On verra ça plus tard... Il faut l'empêcher de mettre le nez où il ne faut pas !

L'inspection de cette salle n'avait rien donné mais j'y reviendrai avec la clé en main. Il faudrait surement que je la vole demain et pour cela la séduction d'un pervers semblait le moyen le plus rapide d'obtenir l'objet convoiter. J'échafaudais un plan dans ma tête en sortant de la salle pour passe a la fouille de celle d'a coté. Pile quand j'allais sortir de la classe je me retrouve nez à nez avec le Père Yves qui attendait derrière la porte. Le voir devant moi à me regarder intensément me met mal à l'aise. C'est une chance que j'eu fini ma petite enquête sur son bureau quelques minutes avant mais je n'avais pas la certitude qu'il ne m'observait pas depuis plusieurs minutes maintenant et je ne voulais pas vraiment m'attarder pour le savoir. Le sans le sang me monter dans les joues a fur à mesure qu'il s'avance pour mieux me regarder. J'essaye de me trouver une bonne raison d'être retourné dans sa classe après les cours, une meilleure raison que la vérité. Je doit vraiment sortir le plus vite possible avant qu'il commence à me poser des questions.

Je bafouille une pale excuse et essaye de me faufiler entre lui et la porte mais il me bloqua le passage. J'étais coincé dans la salle à sa merci sans pouvoir faire quoique ce soit. Il me fixe avec son regard et je jurai qu'il essayait de me déshabiller des yeux. Je n'aimais pas ce sentiment d'impuissance, ne pas pouvoir sortir de la salle et surtout devoir lui fournir une explication. Il était surement la dernière personne au monde que je voulais croiser ce soir. J'essaya de réfléchir calmement à un moyen de sortir, sans suces.

En même temps je pourrais essayer de le voler la clé au passage, pas besoin d'attendre demain. Je me mis sur la pointe des pieds pour être à sa hauteur et agrippa sa chemise de prêtre avec mes deux mains pour le plaquer contre le mur. Je le regardais droit dans les yeux. Nos visages étaient si proche que je pouvais sentir son souffle contre mes joues. Je me serra un peu plus contre lui et essaya de tâter ses poche pour repérer la clé. Je pouvais sentir son corps sous mes doigts, un corps assez musclé pour un prêtre. Je me disais que dans d'autre circonstances je l'aurais trouver sexy. Ses mains avaient commencé à se balader elles aussi sur mon corps et me retenaient de partir.

La voilà ! Cette petite garce était donc dans ma classe. M'attendait-elle, avec l'envie de se faire trousser sur mon bureau ? Hum, petite cochonne, en voilà une qui cache bien son jeu. Pas si timide que ça, avec ses faux airs de Sainte Nitouche ; ça fait sa prude en classe en snobant les autres, mais ça demande tout autant à se faire baiser. La porte de la classe est fermée sur nous, il ne doit plus y avoir personne dans les locaux à cette heure. Hum, tu vas pouvoir crier, ma cochonne, quand je vais te défoncer.
« Alors, Misaki, que fais-tu là ? Tu veux des cours particuliers ? »
Sa réponse, à peine bredouillée mais surtout inaudible et incompréhensible, je m'en moque ! Elle est là, seule avec moi.
« Ne cherche pas d'excuses ; je sais pourquoi tu es là ! »
Elle est sexy comme ça, avec ses longs cheveux défaits et ses yeux perçants, mais surtout son adorable robe moulante et ses bas qui montent très haut. Hum, de la chair fraîche à trousser, juste la robe à relever et hop sur le bureau à la hussarde. Oh, Yves, tu as raison d'être revenu à ton bureau ; ça va être l'extase !
Sauf que je n'ai pas du tout prévu ce qui arrive, et c'est elle qui me saisit au col. Plaqué au mur par l'une de mes élèves, ça alors, ça ne m'était jamais arrivé ! Une gourmande, voilà ce qu'elle est. Hum ça va être chaud... Ses yeux brillent, oui, elle en veut du sexe, et elle va en avoir. Je la prends aussitôt par la taille, une petite taille comme j'aime, bien moulée dans sa petite robe, des hanches serrées et une chatte accueillante ça va être le pied. Et elle en veut aussi ; j'adore ses mains qui vont partout sur mon torse à travers la chemise, et même sur mon pantalon. Parti comme c'est, ce sera sans préliminaires ! Et mes mains poursuivent, descendant de sa taille à ses cuisses, remontant sous la robe à ses fesses. Hum, le tissu d'une petite culotte, je suis certain que sa chatte mouille déjà.
« Ne te retiens pas, sors mon sexe ; il est déjà prêt à te prendre ! »
Je lui ai dit ça droit dans les yeux, de beaux yeux dorés qui me fascinent. Comme il doit être bon de s'y perdre en la baisant ! Et je ne vais pas perdre de temps... Mes mains remontent encore, ses petites fesses, et... Mais c'est quoi, ça ? Une queue animale ? Soudain, toute ma litanie religieuse revient au galop, les images de démons à la queue fourchue, ces mêmes démons déguisés pour corrompre les hommes d'Eglise. Qui est-elle ?

Je ne peux pas dire que ses caresses étaient désagréable, elles me m'étaient inconfortable et un peu mal à l'aise mais je ne les détestaient pas pour autant. Au fur et à mesure qu'il remontait ma robe je pouvais sentir mes jour rougir, les rumeurs à son sujet étaient donc vrai: il sait comment utiliser ses mains. Il devient de plus en plus difficile de me concentrer et de chercher cette foutu clé. Il me regarde droit dans les yeux et je lui rend son regard de pervert en me rapprochant encore plus de lui.
« Ne te retiens pas, sors mon sexe ; il est déjà prêt à te prendre ! »
Je pouvais en effet sentir son sexe dur contre mon bassin, prêt à servir. Mes idées étaient pour le moins confuse, mon but premier m'était complètement sortit de la tête et mes envies avaient pris le dessus. Je me sentais d'humeur à l'allumer tout en profitant de l'occasion. 
« La patience n'est-elle pas une vertu des hommes d'Église? »dis-je en me décollant un peu de lui.
Je venais de finir de fouiller ses poche avant, plus que celle de derrière. Néanmoins, l'avoir coller contre le mur ne m'arrangeais plus autant que ce que j'avais pensé. Ses mains s'étaient faufiler sous ma robe et se promenaient sur mes fesses. Elles croisèrent ma queue de chat et la peur se lisait à présent sur le visage du prêtre. Je ne pouvais pas vraiment savoir ce qu'il pensait mais j'étais prête a parier qu'il m'imaginais étant un monstre diabolique. J'étais partagée entre l'idée de lui faire peur et celle de le laisser en plan et partir. Après tout il n'allait probablement pas bander dans les prochaines minutes. Je fis attention à ce que la porte soit bien fermer, une autre personne pourrait me voir et j'aurais de gros problèmes. Je ne savais pas encore comment allait réagir le prêtre et j'espérais franchement qu'il n'ébruite pas sa découverte.
Je m'assis sur le bureau et regardais l'expression du père Yves. Chacun avait sa manière de gérer la découverte et j'avais appris à leur laisser du temps.

« La patience n'est-elle pas une vertu des hommes d'Eglise ? », maudite soit-elle d'avoir osé cette phrase en me repoussant. Oui, tu es un prêtre, Yves, et, dans les autres vertus des hommes d'Eglise, il y a aussi la chasteté, celle-là même dont tu ne te soucies plus. Tu es même prêt à copuler avec un être diabolique à la queue fourchue, juste pour satisfaire tes instincts bestiaux quitte a enfanter un nouveau Diable !
Cette queue insolite au pelage soyeux ne peut être... Non, ça ne colle pas, pas un quelconque diablotin dont la queue fourchue brûlerait comme les flammes de l'Enfer ! Serait-ce donc ça les êtres différents dont j'ai entendu quelques rumeurs ? J'avais répondu par le mépris à ces fadaises que la Bible ne citait pas, à ces histoires d'êtres mi-humains mi-chats, sans doute issus de quelque légende locale, mais, là, j'y suis vraiment confronté.
Pas une queue accessoire de mode ou de style, mais une vraie queue qui a bougé sous mes mains, comme réceptive. Oh, ça doit être bizarre de sodomiser un... une personne comme ça ! Mais, au lieu de me refroidir, voilà que cette image redonne soudain de la vigueur, de l'excitation même, sous mon pantalon, et je regarde Misaki de nouveau, à la fois condescendant et excité.
« La patience est certes une vertu, mais elle n'est pas toujours indispensable. Il faut aussi se laisser guider par ses sentiments, sans réfléchir à leur propre bien-fondé. »
Autrement dit, j'ai envie de toi alors je te prends, une théorie que j'ai déjà appliquée avec succès à d'autres lycéennes, quand ce n'était pas elles-mêmes qui le faisaient aussi. Misaki est là, seule avec moi a priori, dans une jolie petite robe, sous laquelle j'ai même palpé un joli petit cul.  Comme les autres, elle a une chatte (hum, quelle expression insolite dans ce cas!) et un fondement, et je ne pense pas qu'elle soit pucelle. Ramenons-la donc à ce qu'elle est, une lycéenne que j'aimerais bien me faire.. Et tous les arguments seraient bons, pour parvenir à mes fins, fussent-ils disons peu amènes !
« Et là, même si j'avoue avoir été surpris par ce qui devrait, je pense, rester notre petit secret, ça ne change rien à ce que je désirais... »

« Et là, même si j'avoue avoir été surpris par ce qui devrait, je pense, rester notre petit secret, ça ne change rien à ce que je désirais... »
Décidément il me voulait vraiment et ne se laissera pas arrêter par un petit détail, le gros pervers. Je réfléchis un peu... Valait il vraiment le coup de se mettre dans une tel situation? Avait il les réponses que j'étais venu chercher dans se bureau? Rien ne me prouvait que j'allai en avoir pour mon argent et pourtant coucher avec lui me semblait une bonne idée. Idée qui me perturbât grandement. Je ne m'étais jamais vu désirer qui que ce soit auparavant. 
« Jusqu'ou êtes vous prêt a aller pour m'avoir? Qu'es que vous êtes prêt a me donner? »
Les risques que j'allais prendre dépassaient largement les siens. Une élève qui couche a droite et a gauche n'a pas vraiment une bonne réputation, et puis si il en venait a en parler a quelqu'un les autres profs commenceront a me faire des avances douteuses. J'étais prête a lui donner se qu'il voulait a condition que j'aie ce que j'étais venu chercher au départ: la clé de son bureau. Un échange qui était selon moi assez équitable.
«En échange de ce que vous désirez, je veux quelque chose qui vous appartiens : la clé de votre bureau et son accès sans que vous y enleviez le moindre papier »
Il réfléchit un instant. Pendant ce temps je pouvais m'apitoyer sur mon sort, j'étais devenue une sorte de prostituer pour prêtre pervers qui demandait des clé comme payement. Une petite larme discrète perla sur le coin de mon œil. Je l'essuya discrètement sans qu'il me voie. Dehors le soleil se couchait a l'horizon dans une lumière tel des flammes. Cela me fit penser a l'enfer et au pacte avec le diable que j'allais peut-être passer.   
« Avons nous une entente ?? »

« Prêt à te donner quelque chose ? Hum, voyons… J’ai, dans ma classe, une élève avec une petite particularité féline. Je pense que je pourrais juste te donner ma parole de ne rien dire à ce sujet, si tu sais être gentille avec moi. »
Il ne faut jamais abattre ses cartes tout de suite, et commencer une négociation très haut ? c’est comme ça que j’ai eu certaines lycéennes ; la discussion commençait aux antipodes, et finissait pr l’échange entre une partie de jambes en l’air et une bonne note. Seulement, Misaki semble avoir des exigences haut placées, et elle doit aussi savoir négocier.

« La clé de mon bureau ? Et puis quoi encore ? Celle de ma chambre aussi ? »
Mais ce qui aurait pu être de l’humour est plutôt un propos de défense. Que peut-elle espérer trouver dans mon bureau ? Il n’y a pas la moindre clé USB avec les photos de mes conquêtes, aucune petite culotte ni aucun préservatif ; tout ce qu’il y a, ce sont des documents collectés de ci de là sur les élèves, pas forcément leur vie sexuelle, mais leur vie privée simplement, allant de leurs fréquentations sur les réseaux sociaux jusqu’à leurs soirées entre élèves.

Elle a une idée en tête, pas forcément celle que je pensais ; comme elle semble y tenir, autant monter les enchères plus haut encore, quitte à les renégocier après.
« Sais-tu ce que je désire, Misaki ? Pas une simple partie de jambes en l’air, ici à la va-vite ! Quitte à passer un accord, je veux bien autre chose que tirer un coup en position du missionnaire. »
A elle de comprendre, et de comprendre précisément. Moi, je sais ce que je mets sur la table, et ce que je risque. Mais, elle, elle peut avoir davantage à y perdre, son pucelage, sa réputation, sa tranquillité.

« Avons-nous une entente ? »
Je l’ai laissée venir, c’est elle qui est demandeuse. D’un mot, je peux tout aussi bien la faire renvoyer de s’être introduite dans ma salle pour voler, ou je peux tout autant révéler qu’elle a un appendice caudal qui doit être excitant quand on la prend par derrière.
« Possible… A toi de voir jusqu’où tu es prête à aller. »
Cette fois, mon esprit calculateur a pris le pas sur mon esprit chrétien. Et je la veux !

Il avait marqué une pause avant de me répondre. Il semblait lui aussi vouloir bien calculer son coup. Il n'était pas bête, ou alors il avait de l'expérience dans le domaine du marchandage. Je me doute que je n'étais pas la première avec qui il passe un marché. Une bonne note contre une baisse contre un bureau, il devait surement passé ce genre de contrat. 

« Possible… A toi de voir jusqu’où tu es prête à aller. »

Pensait-il que je n'était pas prête à faire ce qui devait être fait? Que j'étais comme l'une de ces étudiante qui renonce dès que sa devient intéressant... Désoler mais ce n'est pas mon cas. Lorsque j'ai une idée en tête je ne m'arrête pas facilement; et j'espère que le prêtre le sais. Je me lève donc du bureau et m'avance vers lui.

« Aussi loin qu'il le faut... et même encore plus loin »

Je commence donc a défaire les bords qui soutiennent ma robe, la laissant tomber a terre. Une chance pour moi que j'aie eu la bonne idée de mettre des sous-vêtement qui m'avantagent. Une petite culotte en dentelle noire, très fine ornées de fils rouge sur les bords; s'harmonise très bien avec mon soutien gorge, lui aussi en dentelle noire, légèrement transparent qui épousait parfaitement la forme de mes sains. J'avais gardé mes bas qui arrivaient en haut de mes cuisses, mais détacha mes longs cheveux. Je laissa tomber par terre tout ce qui restait sur mon dos. 

Je m'avança encore un peu plus jusqu'à ce que j'arrive à sa hauteur. Mes mains recommençaient a suivre les fromes de son corps, non pas pour chercher quelque chose, mais pour lui enlever ses vêtements. Mon corps était presser contre le sien et ses mains ne se faisaient pas attendre pour se balader.
 
Le soleil s'était coucher, comme tout le monde sait : les démons sortent la nuit...