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Un squelette dans le placard et un cadavre dans la rue [Asami Yamada]

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Asami Yamada

Humain(e)

Re : Un squelette dans le placard et un cadavre dans la rue [Asami Yamada]

Réponse 15 mercredi 27 février 2013, 22:54:35

Asami était déjà durement - Ou plutôt doucement si on s’intéressait aux sentiments qui l’envahissaient plutôt que la conduite de son ravisseur - traitée, écrasée entre un homme qui la prenait avec énergie et un meuble qu’elle mouillait de sa cyprine que lui arrachait chaque violent coup de rein. Mais celui qui soufflait puissamment à son oreille acheva de se transformer en bête lorsque, plus que de pétrir son corps pour son plaisir, il le griffa, laissant de légères marques rougissant à vue d’œil. De même que ses mains se transformaient en pattes, sa bouche qui jusqu’ici se « contentait » de caresser son cou de ses dents, devint une gueule qui plantait faiblement ses crocs dans la nuque de la jeune fille. Toutes ces incursions dans sa douce peau n’auraient du que la terrifier, l’alarmer, mais au fond le long tressaillement qui remontait son dos, effacé par la chaleur bouillante de l’animal, lui était bien agréable, lui arrachant des gémissements qu’on aurait pu et devrait méprendre comme des cris de plaisir et qui se mêlaient aux nombreux qui sortaient déjà de ses lèvres.

La lycéenne s’abandonnait elle aussi simplement à ses sensations, bien que cela n’engendrait pas de modification comportementales telles que celles de son ravisseurs, et il lui fallut facilement quelques secondes pour comprendre qu’un souffle parmi d’autres sur sa nuque était une question vaguement élaborée et non un râle comme tant d’autres. La réponse était simple, et s’il n’avait pas été dans un état aussi primaire, il aurait pu l’avoir d’un simple regard sur la jeune fille, tressaillant et gémissant sous ses pénétrations, la cyprine coulant de son intimité qui pulsait autour de son membre, mais actuellement, le ravisseur d’Asami semblait ne pas être capable de tourner son attention vers son corps frêle pour l’écouter, ou peut-être voulait-il simplement assouvir un désir de soumission et entendre l’aveu de sa bouche. Elle lui répondit alors - Car la situation et la force qu’elle subissait ne laissaient de place au refus - d’une voix extasiée et entrecoupée de gémissements :

« Ou-Oui...Ha~ ! J’adore ! Ha~n ! »

Mais à peine eut-elle prononcé ces mots que celui qui les avait exigés se retira d’elle sans aucune parole ni geste annonciateur, lui arrachant un dernier gémissement de plaisir dans son intimité lorsque son membre en glissa. Il la porta alors, ses mains chaudes et encore griffées posées sur son corps , sur ses genoux après s’être assis sur le canapé, l’empalant littéralement sur son membre, mais cette fois par son autre orifice. Evidemment, Asami fut surprise, et c’est pour cette raison qu’elle ressentit une vive douleur. Cette fois, le doute n’était pas permis, elle poussa un cri distinctivement de douleur, son corps entier se crispant, ses mains se serrant sur le canapé et sa lèvre inférieure mordue, alors que les mains de son ravisseur se reposaient sur son corps, continuant de caresser sa poitrine légèrement marquée de griffures rougeoyantes, et une main retournant surtout dans son intimité, qui se lassait presque d’être délaissée. La douleur qu’elle ressentait mit du temps à s’estomper, mais au moins l’animal avait-il eut la bonté ou l’instinct de laisser son membre se reposer en elle, la laissant lentement et doucement s’oublier à ses caresses, noyant le mal qu’il lui avait fait en étant si brutal. Lentement, les soupirs de douleur redevinrent des gémissements de plaisir, et son corps fondit dans ses mains, brûlant et palpitant sous ses doigts. Il devenait de plus en plus évident que la douleur avait disparu, et peut-être conscient de cela, Asami fut apostrophée par une morsure dans son cou, assurance s’il en fallait de son attention.

Avec un peu d’appréhension, la jeune fille se mit lentement à bouger ses cuisses, en même temps qu’elle tressaillait du troisième doigt en elle, sa cyprine coulant sur ses jambes à mesure qu’elle les agitait. La douleur se raviva alors légèrement, mais l’animal savait si bien y faire, la récompensait si agréablement et avait une telle emprise sur elle qu’elle ne ralentit à aucun moment, accélérant doucement son « empalement » comme il l’avait crument dit. Alors qu’elle prenait lentement goût à cela, la douleur s’estompant, ou peut-être ne la ressentait-elle plus, masquée par tout le plaisir qu’elle prenait, elle était en réelle extase, sa voix se perdant dans des cris de plaisir de plus en plus forts et son corps s’abandonnant à ce qu’elle faisait, tressaillant et brûlant, sa cyprine courant le long de ses jambes vibrantes pour obéir à l’ordre du ravisseur. Finalement, cet état fut tel qu’elle se laissa tomber en arrière, son dos échangeant sa chaleur avec le torse musclé de l’animal et sa tête reposant sur son épaule, position dont elle profita pour mordiller son oreille, y glissant ses cris de plaisir alors que lui mordillait son cou exposé.

Léona & les Artistes

Légion

Zed était tout simplement hors de contrôle. Incapable de contrôler ses pulsions sauvages qui avaient été relâchées par le corps divin de la jeune femme. Enfin. Si il devait craquer et devenir une bête à chaque fois qu'il était avec une femme belle, ça serait particulièrement compliqué. Cette femme n'était pas seulement belle et adorable: Elle était désirable. Et qui plus est, elle avait souhaité ce traitement. Que dis-je: Elle l'avait imploré! C'est pourquoi maintenant, elle ne pouvait plus que subir, incapable de s'enfuir face à ce prédateur qui n'avait pour simple envie que de la faire gémir de plus en plus fort jusqu'à ce qu'il lui arrache le cri caractéristique de l'orgasme. L'apogée du plaisir... C'était son objectif et pour elle, et pour lui. Mais pour tout vous dire, il ne pensait pas à ça. Il ne pensait à rien même. Tout ce qu'il faisait, là, dans l'immédiat, c'est à dire la forcer à s'empaler sur lui jusqu'à ce que la fin arrive, ce n'était que par pure et simple sadisme bestial. Une bestialité qui grandissait de plus en plus et laissait les plus bas instincts de l'homme contrôler cet ébat.

Ayant la main sur la situation, sans faire de jeu de mot vaseux, il massait le sein de la jeune femme en la griffant un peu, pinçant des doigts et non pas de ses ongles animaux les embouts rosés et durcis par l'excitation de sa victime. Son membre tendu et plus dur que jamais allait et venait à l'intérieur de cette splendide étudiante au rythme des coups de bassin qu'elle donnait. Elle s'appliquait à la tâche. Lui aussi! Ses doigts en elle étaient tout simplement divinement habiles et appliqués à caresser les zones les plus chaudes de cette partie érogène. Du trio de phalange, le plus long réussit à atteindre son point le plus sensible. Portant un lettre comme appellation, Zed ne lésine pas et le maltraite sans lui laisser la moindre chance de s'échapper. La chaleur monte, la jeune femme collé à lui l'excite dans ce rapport animal. Le contact est délicieux et ses cris de plaisir à son oreille pendant qu'elle lui mordille sont irrésistibles. Si bien que ses instincts s'éveillent à un point... S'en est inhumain: C'est devenu animal! C'est pourquoi dans un élan instinctif... Il reprend le dessus.

La jeune femme est soulevée pour être mise à quatre pattes, à même le sol. Derrière elle, le prédateur prend place. Ses mains parcourent Asami pour la caresser avec une fermeté certaine et au final, se poser sur sa poitrine pour la malaxer avec force. Pas une seconde après que la poigne se soit resserrée, il la prend avec une violence étonnante, son membre butant au plus profond de son utérus dans un claquement sonore. Il se penche sur elle et se met à pousser grognements et soupirs de plaisir, ses mouvements vifs et intensément brutaux. Dans cette levrette animale, plus rien ne comptait si ce n'était le plaisir et la force. Zed était totalement emporté, perdu dans ses instincts qui lui disait de la prendre ainsi. Peut être dû à la bestialité de la pose qui rappelle la reproduction animale? Qui sait. En tout cas, il suffisait de fermer les yeux et la belle pourrait croire que ce qui est derrière elle n'est pas humain. D'ouïe, ça ressemblait plus à une variante du chien en sûrement plus féroce vu les sons imposants qui étaient émis. Un animal. Tout simplement. Mais soudain, une lueur d'humanité se glissa dans l'ébat. Il lui embrasse l'oreille... Juste ça. Juste ça avant que l'ébat ne s'apprête à toucher à sa fin. Comme un signe ou une excuse? La violence est à son comble, les claquements de bassins sont sonore. Maltraité par cela, le fessier de l'étudiante se met à rougir et après encore un moment de luxure... Il se cale au plus profond de l'utérus de la jeune femme et pousse un puissant râle retenu vers la fin par ses crocs serrer avant de se déverser en elle. Une quantité de semence proportionnelle à la sauvagerie et au plaisir de l'ébat... Il la remplit. Au point de l'en faire déborder. Combien de temps qu'il n'avait pas jouit comme ça!? Il ne s'en souvient plus...

Le kidnappeur reprend son souffle, en sueur. Bouillant, il pose un baiser sur la nuque de la jeune fille avant de lui caresser le visage et lui relever, l'embrassant avec tendresse. Un baiser. Un doux baiser chaste jusqu'à ce que sa langue aille chercher la sienne pour la caresser un petit peu. Rompant ce contact, il souffle doucement

"... Les traces vont rester un peu je crois."

Il affiche un petit sourire en coin, dévoilant ses crocs aiguisés par les multiples actes de cannibalisme et la malédiction qu'il subissait. Il ne bouge pas. Il n'a pas envie de bouger... Il reste ancré en elle, son membre étant le seul obstacle qui empêchait cette quantité affolante de liquide de sortir. Pour une otage et un kidnappeur... Ils s'entendait bien non ?
« Modifié: lundi 01 avril 2013, 13:47:32 par Léona & les Artistes »


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