la traque de l'esper [ Eyrion ]

Nexus ville aux nombreux secrets, à chaque coin de rue vous découvrez de nouvelle chose et c'est ce que faisait Nanase dans ses courts moment de repos qui était arrivée dans cette ville déjà depuis plusieurs semaines. Le temps passe vite, mais la mercenaire vit chaque moment avec énergie et détermination. La jeune fille vit dans une petite maison pour le moment pas très propre et surtout vide, car ça ne fait que deux jours qu'elle ce l'ai acheté. Alors pour la combler Nanase partit dans un magasin d'ameublement et vit que le prix avait augmenté depuis la dernière fois, donc qu'elle n'allait pas avoir assez d'argent pour s'acheter ce qu'elle voulait. Nanase partit du magasin sans rien acheter et n'avait pas le choix la mercenaire devait trouvé un travail, puis partit en direction de la guilde des mercenaires en espérant qu'ils y auraient de nouvelles annonces.

Après une dizaine de minutes de marche Nanase arriva devant la bâtiment et y rentra, à chaque fois qu'elle rentrait tous le monde la regarde bizarrement, mais maintenant elle avait l'habitude. Nanase alla vers le tableau de mission et vit qui avait une nouvelle mission qui pouvait l’intéressé :

" capturer vivant ce bandit qui contrôle les âmes " dit-elle à voix base.

La mercenaire prit l'affiche et alla à l'adresse du client qui était derrière l'avis de recherche, quand elle arriva Nanase regarda par deux fois l'adresse c'était une grande demeure qui coûtait un moins une vie de salaire. La mercenaire rentra sur la propriété et frappa à la porte, c'est un majordome qui ouvrit il regarda de bas en haut la jeune fille :

" Désolé nous avons tout le personnel possible et mon maître ne prend que des filles de luxe au revoir "

Et ferma la porte sans qu'elle puisse dire un mot, la mercenaire s'énervait à pas qu'un peu, car ce type venait de la traité de pute. Nanase serra son poing fortement puis prit plusieurs grande inspiration pour ce calme et refrappa à la porte le même majordome ouvrit :

" Vous voulez quoi à la fin, nous avons pas besoin de vos services "

Il referma la porte, mais cette fois-ci la mercenaire mit son pied pour bloquer la porte et montra l’affiche :

" Je viens pour la mission, donc si vous voulez bien me faire rentrer pour que je parle à votre patron, ça serait gentil "

Le majordome ouvrit la porte et la fit rentré :

" Désolé je ne le savais pas, je vais prévenir le maître de maison "

" Vous avez de la chance certains mercenaires auraient put vous tués pour moins que ça "

Le majordome partit, pendant ce temps Nanase regarda la maison de la où elle était, cherchant quelques informations sur le propriétaire pour savoir si il était correct ou nous non, mais il y avait rien d'alarmant. Le majordome revint peut de temps après et il demanda que je le suives dans une pièce où le maître de maison était, la mercenaire rentra et s’essaya sur le fauteuil désigné par le patron :

" Alors vous êtes mercenaire et vous êtes intéressée par ma mission ?"

" C'est exact sinon je ne serais pas là, donc est ce que vous aurez plus d'information sur ce bandit ? "

" Je n'est pas beaucoup d'information seulement qu'il était dans cette ville, qu'il est dangereux, qu'il a un pouvoir lier au mort et qu'il est fort probable qu'il soit enfuit sur les terres de Tekhos "

" Sur des terres neutres, je vois pourquoi vous engagez des mercenaires, vu votre fortune vous devez avoir une influence sur ces terres et ne pouvez pas envahir une terre neutre "

" C'est exact, vous vous y connaissait bien pour votre âge "

" J'ai eu de bons professeurs, mes tarifs sont 25% tout de suite et le reste à la livraison "

" D'accord ça me va, voilà la première partie (déposant l'argent sur le bord du bureau ) vous en aurez pour combien de temps environ ?"

" En comptant la route et la recherche sur ce grand territoire je dirais un mois et si j'ai pas encore trouvé au bout de trois semaines je vous enverrais un message "

"D'accord marché conclut "

La mercenaire serra la main de l'homme et partit de la maison, quand elle fut assez loin Nanase se parla à elle-même :

" Je ne fais pas confiance à ce type, il put la corruption à plein nez "

Puis elle partit chez elle pour prendre ses affaires, vêtements de rechange, chargeurs, armes et de la nourriture pour la route puis sur la route pour Tekhos. Le chemin était long même en prenant les transports rapides, c'est au bout de six jours qu'elle arriva dans la première ville de Tekhos. La mercenaire commença son investigation allant dans les endroits les plus bondés pour faire des recherches montrant juste la photo, si l'homme viens de Nexus il a de grande chance qui soit passé par là pour faire un ravitaillement. Au bout de deux jours de recherche personnes ne l'avait vu, ce qui voulait dire qu'il était passé par la forêt qui est un peu plus bas sur le territoire pour se nourrir et s'hydrater correctement.

La mercenaire partit alors dans la forêt et à son arrivé chercha des traces de pas d'une seule personne, déjà qui devait pas avoir beaucoup de groupe de gens qui doivent passé par ici alors une personne seule encore moins. Après plusieurs heures la mercenaire trouva des traces de pas presque effacer datant d'au moins une quatre jours puis elle prit sa carte :

" Selon la chemin qu'indique ces pas l’homme se dirige vers cette ville là et il faut mettre environ une semaine en passant par ce chemin donc si je cours, je pourrais l’attrapé à la fin de la forêt en espérant que se soit lui. "

La mercenaire rangea sa carte et commença à courir en direction de la personne en faisant attention à que la route de la personne ne change pas et faisant un minimum de bruit. Nanase courra pendant une semaine s'arrêtant tout les deux jours pour dormir et mangea, buvait tout en courant, au bout du septième jours la mercenaire trouva des traces fraîches. nanase avança maintenant plus doucement et après quelques heures trouva la personne qui était la personne qu'elle recherchait

" j'ai de la chance aujourd'hui "

La mercenaire s'avança silencieusement et espionna le jeune homme, mais plus elle l'observait moins elle voyait un bandit en lui. Alors Nanase fit confiance à son instinct et marcha en direction du garçon ses mains bien en évidence :

" excusez-moi est ce que vous serez pas perdu par hasard ? "

Ce fut la première phrase qui sortit de sa tête et c'était pas terrible.

Aya, où es-tu ? Depuis ce triste jour qu'est celui de ta disparition, je n'ai de cesse de te chercher. Fais-tu de même ? Ou bien m'attends-tu quelques part ?
Sur les routes du monde, j'arpente les sentiers de l'inconnu, je traverse forêts et plaines, je vis dans la solitude. Comme j'aimerai te serrer dans mes bras, te raconter tout ces paysages que j'ai pu voir.
Je me sens seul... si seul...

« HEY GAMIN ! ON SE REVEILLE ! »

Je me retournais vivement au son de cette voix qui m'était maintenant familière et me retrouvais face à face avec une peluche en forme canard plus ou moins fidèle à la vraie apparence de cet animal. Les peluches avaient parfois de drôles de formes décidément.
Mais pourquoi suis en train de me faire réprimander par une peluche me direz vous ? Et bien c'est d'une terrible simplicité mais je regrette parfois le jour où je l'ai appelé. Une nuit, m'endormant silencieusement dans une ruelle, je fus réveillé par un chat qui me faisait face. Celui-ci parti aussitôt en renversant au passage diverses cartons. Dans un de ceux-ci, se trouvait la dite peluche à la voix si douce le matin...
Mais je me sentais seul... c'est pourquoi je pris la décision de tester de nouveau mon pouvoir, d'invoquer une âme, une seule et de l'introduire dans le canard. Prenant mon recueil à deux mains, je tournais les premières pages, parcourant les lignes de mon doigt. Je finis par stopper ma lecture. Un homme, décédé une nuit, abattu dans une ruelle semblable à celle où je me trouvais. D'après ce que j'avais pu apprendre, il voulait une famille, un fils, une femme, des gens à chérir. Mais à son enterrement, il n'y eut rien de cela. Seulement quelques rares amis...
Observant la photo de l'homme, je murmurais son nom. Je focalisais mes pensées sur son visage, sur son nom, me remémorait son passé et ses envies. Je le comprenais, je l'appelais.
Ouvrant les yeux, j'observais la peluche, murmurant toujours le même nom, Alistar Herst.
Le canard bougea, se mit debout, observa la ruelle et posa ses yeux de verre sur moi. Il ne devait pas comprendre ce qui lui arrivait et cela était normal après tout, non ?
Depuis cette nuit, je cherche ma sœur aux côtés d'une …. peluche canard du nom d'Alistar Herst. Cela peut paraître étrange mais on s'y habitue, et je pris peu à peu plaisir à lui parler. Pourtant, malgré sa présence, je me sens parfois seul... toujours seul comme cette nuit là.

« TU VAS ARRETE DE M'IGNORER OUI ? »

« Hein ? Quoi ? Qu'est-ce qui se passe ? »

« Ah enfin un peu de réaction, j'ai cru que tu étais encore reparti dans ta déprime habituelle. Allez ! C'est reparti ! On risque pas de retrouver Aya en restant planté là, en pleine forêt. »

« Oui, tu as raison »

Je me relevais, pris nos affaires et parti, droit devant moi à travers les bois. Je marchais lentement, ne me méfiant pas. Je ne pensais pas qu'ici, en pleine forêt, quelqu'un pouvait connaître mon secret. Et puis Alistar savait être discret quand il le fallait... mais aussi terriblement bruyant quand il le souhaitait.
Nous marchions droit devant nous, espérant bientôt sortir de cette interminable forêt, silencieusement pour ma part, Alistar, quand à lui, chantant diverses chansons dont quelques airs m'étaient familiers depuis le jour où je commis l'erreur d'entrer dans une taverne. Enfin, cela m'était l'ambiance.
Soudain, il se tût, murmurant que l'on était suivi.

« Tu en es sûr ? Je n'ai rien entendu moi »

« Tais toi et fais moi un peu confiance idiot ! »

Sur ces mots, je me tus et continuais ma route avant de m'arrêter à un petit cours d'eau. J'y remplis-y rapidement ma gourde et se faisant, me raidit quand les buissons bougèrent derrière moi.
Je sortis ma gourde de l'eau et fixait d'un air apeuré les bois.
Une jeune femme ne tarda pas à en sortir, m'abordant d'une manière bien... maladroite.

" excusez-moi est ce que vous serez pas perdu par hasard ? "

Depuis quand une personne honnête abordait une autre personne de cette manière ?

« Non non, je sais où je vais, merci quand même... »

Alistar avait raison, elle me suivait et en avait après moi mais... pourquoi ? Une simple voleuse ? Ou bien connaissait elle mon secret ? Non ! Impossible ! J'avais fais attention et personne n'avait remarqué ce canard insupportable qui me servait de compagnon de voyage... alors, une voleuse. Oui sûrement.

Je refermais ma gourde alors pleine, me levait, et m'en allait sans oser jeter un seul coup d’œil en arrière.

Nanase savait que ce qu'elle faisait été à l'encontre de son travail, mais elle avait trop de doute que la mercenaire n'a pas eut d'autre choix que de l'aborder, * mais qu'est ce qui m'a prit de lui demander ça, perdu pourquoi j'ai dit ça *, le garçon lui répondit non, comme si il allait dire oui et partit assez rapidement. Nanase fit un pas en avant le bras vers le garçon comme si elle voulait l'arrêtée :

" Attend je ne suis pas quelqu'un de... "

La mercenaire s'arrêta dans sa phrase et le jeune homme partit *c'est les personnes les plus louches qui dit ça * elle resta figée un instant puis se retourna allant dans le côté opposé faisant semblant de partir. C'était une méthode simple pour tromper les ennemis, mais souvent efficace Nanase resta bien à l'égard pour pas se faire voir, analysant la proie. Le jeune garçon avait l'air d'une personne à peut près normal entendant de temps en temps du son de sa voix probablement, mais comprenant pas ce qu'il disait *ça arrive de parler seul même pour moi *. La mercenaire traqua sa cible pendant plusieurs heures sans trouver de solution, elle monta dans un arbre bien haut et vit que fin de la forêt est bientôt proche, alors elle se décida à passer à l'action :

" C'est un peu radicale comme approche, mais au moins avec cette méthode je serais sûr que cette personne est un criminel ou non, désolé pour ce que je vais faire. "

La mercenaire s'approcha comme une ombre du jeune homme laissant le vent faire plus de bruits qu'elle et quand Nanase fut assez proche de lui, la posa sa main sur le manche de son katana puis se téléporta tout en sortant son arme le bruit du dégainement de celui-ci cachant par la téléportation. La mercenaire se trouva juste à côté du garçon le katana frôlant la gorge du jeune homme :

" Si tu tiens à la vie assis-toi et dit-moi ton nom "

Son regard froid et vide, signe qu'elle serait sans pitié.

Une... tueuse ? Qu'était-elle en réalité ? Elle m'aborde d'une manière des plus suspects faisant mine d'être de pure bonne foi et la voilà me menaçant d'une lame légèrement trop proche de ma gorge à mon goût. Elle me fixait d'un air froid, ce qui, étrangement, me rassura. Après tout, les plus dangereux sont rarement ceux qui souhaitent se montrer comme tel. Si elle avait besoin d'afficher une telle expression pour me prouver quelle est sérieuse et bien, soit, cela n'était pas plus mal pour moi.

" Si tu tiens à la vie assis-toi et dit-moi ton nom "

Que faire d'autre que d'obéir ? Sa lame parlait pour elle et la raison ne me poussait étrangement pas à jouer les héros. Il ne me restait plus qu'à m'asseoir gentiment et à voir ce que me voulait cette charmante demoiselle à l'éducation si... particulière.

Je m'assis alors, la fixant avec colère.

« Mon nom ne vous regarde pas ! Que me voulez vous ? Si c'est de l'argent et bien c'est raté, je n'en ai pas alors laissez moi partir maintenant »

Je serrai mon sac dans mes bras, redoutant qu'elle fusse réellement une voleuse. Après tout, mes affaires étaient les seules choses qu'il me restait aujourd'hui. Je ne voulais rien perdre, pas même ce canard horripilant.
Je fixais toujours la jeune femme dans les yeux, espérant y trouver une once d'humanité, une once de quoi que soit qui puisse me permettre de croire en une possible survie.

Aya... Je ne peux pas mourir maintenant, non, je ne peux pas mourir ! Je te retrouverai, je te le promet...

La mercenaire regarda fixement le jeune garçon qui s'asseyait en face de lui, elle faisait attention à chaque mouvement qu'il faisait dans le cas où cette personne contre-attaquerait, mais rien ne se passa. Le regard de jeune homme montrait de la colère cependant ce n'était pas la même colère que celle qu'elle connaissait avec les malfrats en tout genre, la mercenaire pensait qu'en l'attaque le garçon aurait eut que deux réaction, la colère de cet fait avoir et alors elle l'aurait assommée puis ramenait à son employeur ou la peur de se faire tué et là elle aurait les armes, mais les hommes sont si imprévisible. Nanase resta de marbre quand cette personne lui répondit :

" Je vois que tu es courageux ou fou pour ne pas répondre à ma question, alors que mon arme est à côté de ton cou prêt à te tranchait la cou. Et non je ne suis pas la pour ton argent, pourquoi je m'attaquerais à quelqu'un de seul alors que je pourrais me faire une diligence. Donc dit -moi ton nom et qu'est ce que tu fais ici dans ce coin perdu en plein forêt et surtout pourquoi quelqu'un comme toi qui a l'air plutôt futé est seul et sans arme en plus ? "

La mercenaire le bombardait de question pour qu'il craque et lui dise tout, c'est ce qu'elle espérait car si Nanase le ramenait à son employeur et qu'il est en fait innocent elle s'en voudrait beaucoup, mais c'était pas le moment de penser à ça. La mercenaire reprit son regard sérieux qu'elle avait perdu quelques secondes et vit quand elle bougea ses yeux autre part que sur le visage du garçon que celui-ci avait prit son sac dans ces mains :

" Qu'est ce que tu es dans ton sac pour que tu le tiennes aussi bien ? "

Nanase continua de l'interrogeait en espérant que le jeune homme parla rapidement, car la mercenaire ne savait pas si elle était la seule sur la piste de cette personne, l'annonce était quand même dans la guilde des mercenaires.