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vengeance vampirique

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Edean

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vengeance vampirique

vendredi 03 août 2012, 21:16:26

Cela fait un an déjà… un an que je cache mes origines sur terre, je n’en peux plus. Portant l’uniforme du lycée de Seikusu, mes ailes replier dans mon dos étais cacher sous ma chemise. Je dois recruter des alliés, je ne peux pas attaquer le royaume de Nexus seul. C’est en ruminant ces sombres pensées que j’entrai sans faire attention dans un quartier mal famée. Des hommes défoncé au crac étaient affalés à terre, la rue était jonchée d’immondices en tout genre, le tout puait la mort. Je me fis aborder par une pute (enfin elle ressemblais à une pute), mais sans même jeter un regard dans sa direction, je m’éloignais d’elle. Je longeais le cimetière et en regardant les tombes je ne pus m’empêcher de me demander quel utilité peu avoir un endroit pareille ? Des cadavres enterré sur des kilomètres carrés… c’est bête, cette espace aurait pu servir à autre chose.

Des  pas derrière moi m’indiquèrent que quelqu’un me suivais. Je continuais ma promenade du soir, après le lycée j'aimais marcher un peu en m’extasiant devant les inventions terrienne. Depuis mon arrivé sur terre, je suivais les cours au lycée de Seikusu, pourquoi me direz vous ? Et bien c'est une bonne question...

Me tirant de mes pensés, mon instinct de survie m'indiqua que les pas derrière moi se rapprochaient. Calme comme une ombre je poursuivis ma route comme si de rien n’était. Les bruit de pas m’indiquèrent que mon poursuivant, en l’occurrence ma poursuivante, portait des talons aiguille et qu’elle se déplaçait légèrement, étrangement même, presque inhumainement. J’accélérais involontairement…
« Modifié: vendredi 03 août 2012, 22:56:14 par Edean »
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Chun

Créature

Re : vengeance vampirique

Réponse 1 vendredi 03 août 2012, 23:23:02

Chun était en chasse.
Elle n'avait pas faim, par contre, elle s'ennuyait. Et un petit peu d'exercice ne lui ferait pas de mal, pas vrai? Elle avait revêtus des vêtements absolument pas adaptés à la saison, mais qui faisaient diablement sexy sur ses formes généreuses. Son cache coeur en dentelle noire révélait un soutient-gorge rose des plus seyants, et sa minijupe en laine noire s'accordait parfaitement à ses escarpins à talon. Tout sauf pratique pour courir, cette affaire. Mais il était rare que ses proies la fasse courir, de toutes façons.

Elle sortait de sa planque, humant l'air pour détecter la proie la plus excitante. Le fumet le plus appétissant venait de sa droite, sans aucun doute, et s'éloignait rapidement. Elle se mit aussitôt en chasse, courut un peu pour se mettre à sa hauteur, puis le suivit en se dissimulant.
C'était un jeu d'enfant, le jeun homme ne semblait même pas entendre ses talons, qui faisaient pourtant un bruit d'enfer, marteler le sol.

Ça allait être un jeu d'enfant.

Lorsque le jeun homme accéléra, Chun accéléra également. Avait-il détecté  quelque chose? Elle évoluait pourtant avec toute la grâce et la légèreté des vampires, presque sans aucun son.

Trés bien, l'heure était venue de jouer.

Elle accéléra encore le pas, et déboucha dans la ruelle, bloquant le passage du jeun homme.

Elle prit une pause volontairement provocante, faussement innocente, profitant du fait que sa petite taille la fasse passer pour inoffensive.

Elle se carra devant le jeun homme, plus jeun qu'elle l'aurait cru au départ, les mains croisées sur son ventre, faisant volontairement saillir sa poitrine.

-Salut toi! Gazouilla t'elle avec un grand sourie. J'ai faim, tu sais? Dit-elle en passant sa langue sur ses crocs.

Edean

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Re : vengeance vampirique

Réponse 2 samedi 04 août 2012, 12:42:16

J’étais suivis, il n’y avait pas de doute à avoir la dessus. Mais qui étais en train de me déranger pendant ma promenade ? En tout cas ma poursuivante était diablement déterminée, mais pourquoi ? Je tentais de la semer, elle accéléra sur mes talons, une humaine ordinaire se serait laissée distancée depuis longtemps. Je m’arrêtai devant la grille du cimetière, lasser de cette poursuite infantile.
Lentement je me retournai et je la vis, ma poursuivante. Une jeune fille un peu rondelette, mais pas trop, des longs cheveux bruns, des lèvres rouges, la peau blanche comme du lait et une aura qui n'a rien d'humain.

Elle croisa ses mains son ventre, soulignant sa poitrine saillante. Un sourire étira ses lèvres et la jeune fille gloussa d’un ton faussement innocent :

-   Salut toi !

Je ne répondis pas, adossé à la porte du cimetière, je perdais mon regard dans son magnifique décolleté, laissant apercevoir les forme rond de ses seins. elle faisait plaisir à voir et je dus me faire violence pour ne pas céder à son charme.

-   J’ai faim, tu sais ?

Faim ? Je relevais la tête et portais mon regard sur ces crocs. Des crocs ? Un humain n’a pas de crocs… elle se lécha les babines. C’est alors que je tiltât, c’est moi qu’elle voulait manger, au sens propre. En un an sur terre j’avais forcément entendu parler des vampires, ces créature mort-vivante dotée d’une force et d’une intelligence hors du commun et qui se nourrissait de sang humain. J’avais cru que c’étaient un mythe qui n’existait que dans la tête des fous et des naïfs. Mais là j’étais coincé dans une ruelle sombre, au pied d’un cimetière, une jeune fille sexy aux dents longues me barrant la route. ce soir la lune était pleine et éclairait la scène d'une lumière surréaliste. je me recoiffa une mèche de cheveux rebelle, laissant apparaître la cicatrice qui me barrai le visage et traversait mon oeil gauche, cette cicatrice naissait d'une autre marque, un pentacle sur mon front. je ne sais pas si cela dévoila mes origines angélique à la vampirette, mais cela parut l'intriguer.

-   Viens me gouter si tu le peu, ma chère…

Je savais que ce n’était pas une bonne idée de répondre cela, mais tant pis. S’il faut se battre je me battrais…
« Modifié: samedi 04 août 2012, 17:48:04 par Edean »
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Chun

Créature

Re : vengeance vampirique

Réponse 3 samedi 04 août 2012, 23:38:18

-Viens me goûter si tu le peux, ma chère.

Haha. Hahahahahahaha. Dieu que c'était drôle. La jolie, la mignonne, la petite et insignifiante, insignifiante et minuscule distraction la provoquait. Elle. Mon dieu. Cela allait être drôle. Elle la ferait un peu courir, lui ferait croire que peut être elle pourrait s'en sortir, puis attaquerait. Et jamais la mignonne petite chose ne lui échapperait.
Chun fit encore un ou deux pas en avant, posant ses deux mains à plat sur son ventre. Elle lissa des plis imaginaires sur son cache coeur, et posa ses mains sur ses hanches, un sourie à la fois sincère et enjôleur sur son visage apparemment jeun et innocent d'adolescente de 15 ans qu'elle serait éternellement.
Souriant toujours, elle fit encore quelques pas vers sa proie, puis lança son charme vampirique à pleine puissance. Ce dernier la ferait apparaître aux yeux de l'innocent jeun homme comme la créature la plus désirable, celle sur qui se concentrait tout son amour. On ne pouvait pas lutter contre le charme vampirique. Il pouvait vous contraindre à faire des actes que vous n'imaginez même pas.

Penchant légèrement sa petite taille en avant, pour offrir à l'objet de ses convoitises, qui n'était qu'à un ou deux mètres d'elle, une vue plongeante sur ses seins généreux, ronds et fermes. Un argument de plus, même si non nécessaire.

-Ça ne fera même pas mal. Susurra-t-elle. Tu n'as pas envie d'essayer?

Edean

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Re : vengeance vampirique

Réponse 4 dimanche 05 août 2012, 15:27:15

Qu’es que ? Elle riait de moi… c’est vrai que la situation était plutôt risible, la mignonne petite vampirette s’avançait, je pouvais presque la toucher. Son petit visage souriant à quelque centimètre du mien, elle se pencha en avant, ses mains lissant son cache-cœur m’offrait une vue imprenable sur les seins de la vampirette. Je voulais les toucher, je voulais y gouter, mais je me retins. Je devais trembler comme une feuille et elle murmura :

-   ça ne fera même pas mal.

De cela j’en doutais fort, une morsure en plein dans l’artère jugulaire allai sans doute me tuer ou pire… mais je ne me laisserai pas faire. Elle continuait de s’avancer, souriant toujours de ses crocs saillant. Elle ne chassait pas pour se nourrir, mais bien pour jouer, et j’étais son jouet, allait-elle m’attaquer ? Que je puisse l’assommer d’un coup bien sentis au creux de la nuque en plaidant la légitime défense. Au lieu de cela elle me demanda :

-   tu n’as pas envie d’essayer ?

Présenter comme ça, je n’étais plus sûr de ce que je voulais. Une sorte de halo entoura la jeune fille, mais je pu facilement détecter une forme de magie démonique et l’abolir d’un simple mouvement du petit doigt. Il n’y avait pas qu’elle ici à ne pas être vraiment humain. Pour la première fois depuis le début de notre aventure, je pris l’initiative. Je brandis mon index et le posa sur le front de la créature, absorbant une partie de son énergie démonique. Retirant mon doigt le sort s’arrêta, la vampirette avait perdu de sa superbe.

Elle semblait jeune comme vampire, trop peu expérimenter pour m’aider à trouver des alliés… N’empêche quel m’a mis en érection, avec son petit manège. Je partis m’assoir sur le muret qui limitait le cimetière, je souriais à pleines dent de l’ironie de la situation : le chasseur chassé… je balançais mes jambes en l’air en attendant la réaction de la jeune fille, j’aurais pu facilement la tuer tout à l’heure, mais allez savoir pourquoi je n’en fis rien.

-   Alors, tu veux encore jouer ? je propose de se détendre avec une petite bière, je t’invite dis-je en montrant un bar au coin de la rue. Ou tu en redemande, dis-je en relevant mon index un sourire sadique m’étira le visage… c’était bon d’être puissant !
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Chun

Créature

Re : vengeance vampirique

Réponse 5 dimanche 05 août 2012, 17:12:50

Eeeeet merde. Merde. Merde. Merde.
Ce n'était pas un humain. Et il venait de lui faire mal. TRÈS mal.
Il lui avait suffit de poser un doigt sur son front -Personne, habituellement, n'osait toucher les vampires!- pour que Chun sente une douleur indescriptible irradier tout son corps. Ses os étaient devenus des lames chauffées à blanc, son sang était en ébullition, et son crâne était prêt à se fendre en deux.
Dans un effort violent, elle retint une vague de nausée, et s'accrocha pour ne pas tomber à genoux.
La chasseuse était devenue la chassée, et l'homme en face d'elle n'hésiterait pas à la faire souffrir. Il semblait même s'amuser beaucoup. Assis sur un muret, il balançait les jambes dans le vide, et la regardait en souriant.

-Alors, tu veux encore jouer ? Je propose de se détendre avec une petite bière, je t’invite.

Une bière? Il voulait boire une bière?

Chun détestait la biére. Et chun était en colére. Il venait de lui faire mal. C'était une première pour la vampire fraîchement transformée, qui s'était crue invincible jusque là.
Elle ne voulait pas de sa putain de biére. Elle voulait lui sauter dessus, elle voulait l'allonger par terre et le maintenir entre ses cuisses, elle voulait arracher la putain de chemise de ce putain d'imprudent, et le mordre jusqu'à ce qu'il crie grâce. Et dire qu'elle avait même envisagé de s'amuser un peu avec lui. Bah quoi? Les vampires aussi ont une libido. Et cet être était foutrement attirant.
Elle allait lui cracher au visage quelque chose qui lui ferait clairement comprendre qu'elle se contrefoutait de sa bière, mais elle avait trop mal pour parler.
Elle releva la tête avec difficultés, et l'homme agita un doigt avec un sourie sadique.
-Ou tu en redemandes?
finit la position de force. Elle était coincée.
-Va pour ta putain de bière, cracha t'elle, rageuse.

Edean

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Re : vengeance vampirique

Réponse 6 dimanche 05 août 2012, 23:28:52

-   Va pour ta putain de bière ! ragea la vampirette.

La jeune vampire était mignonne à croquer, avec sa longue chevelure brune, ses lèvres rouge, son petit nez et ses attributs de tailles, mais elle boudait en marchant vers le bar d’un air résigné. Je la laissais passer devant moi et la suivis, les femmes d’abord comme on disait sur terre. Nous étions dans un quartier des plus mal famée et je devais faire attention sinon les ténèbres pourraient me submerger. Nous rentrâmes dans cette buvette dont la porte en bois massif portait une tête de taureau à trois cornes en bronze, elle semblait plutôt bien tenue, il faisait très sombre et des habitués cuvaient dans l’ombre. Nous rentrâmes donc et nous assîmes au comptoir,  le barman, un grand blond borgne, salua ses nouveaux clients et demanda ce que nous consommerions :

-   Deux bières mon brave, dis-je en sortant un billet et le posant sur le comptoir, puis me calant sur mon tabouret je regardai ma compagne. Morte-vivante, soufflai-je entre mes dents.

Promenant mon regard sur les autres clients je m’aperçus que l’endroit était bondé, que de plus normal ? Un endroit aussi bien tenu dans un quartier si sombre attirait les lycéens à la fin des cours, les prostituées, les drogués, les malfaiteurs en cherchent d’une planque et surtout les vampires. Le barman nous servis nos bières dans deux petites chopes de verre, je pris la mienne et buvant à petite gorgées je ne quittai pas ma vampirette des yeux. Ce n’était pas un canon, mais avec son petit manège elle avait réussi à éveiller mon désir, peu de femme y était parvenue, c’était souvent une initiative de ma part. Je lui demandais presque gentiment :

-   Quel est ton nom ? tu as bien un nom ? puis en montrant le juke-boxe d’un signe de tête, tu as une musique favorite ?

Je voyais bien que ma question l’ennuyait, mais je tenais à repartir d’un bon pied avec elle. Elle baissa la tête, je sentais qu’elle brulait d’un désir de revanche, je connaissais bien ce désir, dans le cas de ma vampirette c’était son amour-propre qui était bafouer et criait vengeance. Comme une piqure d’insecte qui rendrait les coups plus violents et rendait les blessures plus insupportables. Je me penchais vers elle et susurra à son oreille en portant ma mains sur son cou, serrant quelque peu sa gorge, elle sursauta :

-   Ma jolie, même dans tes pires cauchemars tu ne pourras jamais imaginer quel souffrance j’ai dû endurer quotidiennement… ta haine ne pourras jamais égaler celle qui me brule… alors je lui renversai la tête en arrière et joua un peu avec sa gorge, je pouvais sentir sa trachée sous mes doigt, il me suffirais de presser pour la tuer…

Puis je la lâchai et finit ma bière d’un seul trait, elle devait me prendre pour un psychopathe, mais nous sommes tous des psychopathes en puissance. Cependant j’étais soucieux de repartir d’un bon pied avec elle et je lui laissai même une chance de s’en aller :

-   Si tu fais la tête, va-t’en, lui dis-je.
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Chun

Créature

Re : vengeance vampirique

Réponse 7 lundi 06 août 2012, 00:09:07

Il l'avait traîné dans un vieux bouge, la baladant dans la rue, son index toujours menaçant brandit vers elle.
Et ils allaient faire quoi après? Se taper la discute comme deux vieux potes? Parler de la pluie et du beau temps?
Haha. Chun ne savait pas comment se sortir de là, mais elle devait trouver, et vite. Ne jamais accepter le bonbon du monsieur. Ne jamais monter dans sa camionnette. Pourquoi n'avait elle pas respecté le vieil adage? Avec le recul, elle regrettait de ne pas être restée, de ne pas s’être battue, peu importe la douleur. Elle lui aurait cassés ses stupides doigt un par un. Au lieu de quoi, elle avait cédé avec une facilité risible à un stupide doigt baladeur. Quelle idiote!

Assise face à lui dans cette auberge crétine, elle regardait le tavernier déposer devant elle un godet de bière. Elle détestait la bière.

-Quel est ton nom? Quelle est ta chanson préférée?

Que c'était mignoooon. Il essayait de faire la causette. Et on ira danser un slow, après? Eut elle envie de lui demander, ironique.

Qu'il parle. Qu'il parle tant qu'il voulait. Il n'en aurait bientôt plus l'occasion.
Lorsqu'elle l'aurait attrapé, lorsqu'elle lui aurait brisés tous ses foutus doigts, un par un, lorsqu'elle se serait repue de son sang et de tout ce que son corps de jeun homme viril pourrait lui apporter, il se tairait à jamais, et dans la douleur. Elle allait d'abord le... Glups!
La main immense se refermant sur son cou interrompit ses plans de vengeance.

-Ma jolie, même dans tes pires cauchemars tu ne pourras jamais imaginer quel souffrance j’ai dû endurer quotidiennement… ta haine ne pourras jamais égaler celle qui me brule…
Hoooo! Le pauvre petit père avait bobo à son petit coeur? Mais c'était bien triste tout cela!
Même son ironie suffoqua lorsque, maintenant sa gorge en arrière, il pressa un peu sur celle-ci, manquant presque l'étouffer.

-Si tu fais la tête, va-t’en!

Ha par ce qu'en plus, il fallait qu'elle sourit? Nan mais, et puis quoi encore?!

Elle se leva de sa chaise, les deux mains bien à plat sur la table, devant lui. Elle regrettait soudain d'avoir mis des vêtements sexy. Aucun occupant de l'auberge ne pouvait ignorer son soutient-gorge rose vif au travers de son cache-coeur noir en dentelle transparente. Mais peu importait! Que l'homme en face d'elle ait quasiment sa poitrine sous le menton ne lui importait même plus, tant la rage lui brouillait la vue et la raison. Elle se pencha et lui souffla à l'oreille:

-Ecoute moi bien, monsieur je sais tout. Je ne partirais d'ici que lorsque j'aurais déchiré avec soin chacun de tes vêtements, lorsque j'aurais apposé la marque de mes dents sur chaque endroit de ton corps. Je ne partirais que lorsque j'aurais engloutit tout le sang que ton corps peut offrir, et lorsque j'aurais exploitées toutes les capacités d'un corps jeun comme le tien. J'esperts que tu me comprends.

Sur ce, elle lui mordilla légèrement le lobe de l'oreille, et fit courir un peu la pointe de sa langue dans son cou.

Elle se rassit ensuite, comme si de rien n'était, et poussa sa chope vers lui.

-Et je n'aime pas la biére.

Edean

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Re : vengeance vampirique

Réponse 8 lundi 06 août 2012, 17:04:47

Ma vampirette eut une réaction plutôt inattendue, elle se leva, posa ses mains sur la table devant moi me mettant presque la tête en ces seins et rageuse qu’elle était me souffla à l’oreille :

-   Écoute-moi bien, monsieur je sais tout. Je ne partirais d'ici que lorsque j'aurais déchiré avec soin chacun de tes vêtements, lorsque j'aurais apposé la marque de mes dents sur chaque endroit de ton corps. Je ne partirais que lorsque j'aurais engloutit tout le sang que ton corps peut offrir, et lorsque j'aurais exploitées toutes les capacités d'un corps jeun comme le tien. J'ésperts que tu me comprends.

Je la comprenais mieux que personne elle n’avait pas enregistré ce que j’avais dit tout à l’heure ? Peu importe enfaite, mais je n’aime pas trop le passage ou elle me suçait le sang. Elle me mordilla l’oreille, bien je restai le plus impassible possible, j’eu le plus grand mal à contrôler mes ardeurs. J’aimais ce contact, ma vampirette respirait lentement, je sentais son souffle s’engouffrer dans mon oreille. Ensuite elle sortit sa langue et me lécha le cou, la langue, le plus puissante muscle du corps. C’était trop, je ne pourrais pas me contrôler encore longtemps. J’avais envie de la prendre par les hanches, de la plaquer sur le comptoir en l’embrassant et en relevant sa mini-jupe…  Elle se rassit apparemment contente de son effet, mon visage s’empourpra légèrement et je sentis même les larmes me monter aux yeux. Je ne pouvais pas pleurer devant elle, devant cette espèce de zombie allumeuse.

-   Et je n’aime pas la bière, me dit-elle d’un ton piquant.

Me levant à mon tour je pris sa chope et la vida cul-sec puis je dis sans la regarder :

-   moi non plus, je ne raffole pas de ce breuvage… trop amer. Au fait tu ne m’a toujours pas dis ton nom, ma petite vampirette.

Sans lui laisser le temps de répondre, je tournai les talons et partis vers la porte, mais au moment de sortir je me retournai, mais mon expression avait changé et j’abordai le même petit sourire sadique qu’il y a peu. Elle avait failli faire resurgir les plaies de mon passée d’esclave et j’allai la punir pour ça ! J’écartais les bras et dis :

-   et bien va s’y qu’attend-tu, mords moi…

Mais je n’attendis pas qu’elle se lève et leva mes bas tendu vers la vampirette ils irradièrent une éclatante lumière mauve (j’aurai bien pu me passer de la lumière, mais je trouve que ça en jette), j’utilisai mes immenses pouvoir angélique et envoya la vampirette de son siège sur la seul fenêtre du bistrot, qui se brisa sous le choc. Je déposai un autre billet sur le comptoir :

-   Pour la vitre, dis-je en sortant.

Je fis le tour du bâtiment, un édifice de pierre noir, et je retrouvai ma vampirette sur un petit parking, assommé sur le bitume, en position fœtal, son propre sang de vampire coulait lentement. c'était beau a voir.

Trois hommes m’attendaient ils étaient fringuer gothique, vêtements noir, bijoux en forme de têtes de mort, piercings sur la gueule… tous trois montraient les dents et je vis leurs canines saillante. Des vampires et ils avaient l’air plus expérimenter que ma vampirette qui reprenait peu à peu ses esprits. L’un des trois me dit de ton des plus glacials :

-   Tu as fait mal à l’un des notre ! nous ne le permettrons pas sans se battre !

Malheureusement je ne pensais pas me battre aujourd’hui et avais laissé mon sabre à l’apart. A ce moment-là je défi ma chemise dévoilant mes superbes ailes blanches longues de deux mètres. Cela eu au moins pour effet de laisser mes antagonistes perplexes. Profitant de ce moment d’inattention, je mis un coup de poing dans le ventre d’un des hommes, me retournai soudain pour esquiver une morsure et en envoya un au tapis d’un uppercut dans le menton, d’un coup de talon dans la tête j’achevai celui que j’avais commencé. Le troisième se jeta sur moi, me plaqua au sol et voulut me mordre. Je lui enfonçai alors ma mains d’en la gorge et alors commença un furieux duel de force, moi tentant de le repoussé et lui voulant me mordre, ma force angélique égalait la sienne vampirique. D’un coup de genou dans les noix je fis retourner la situation en ma faveur, je pu retirer ma main et je lui collai mes doigt dans les yeux. Ses globes oculaires giclèrent en un flot de sang et avec un hurlement de douleur inhumain le vampire aveugle voulu me remordre, trop tard, il volais comme un fétu de paille et alla s’empaler sur le clocher de l’église non loin. Me relevant je regardais le parking : deux morts, un fuyard et ma vampirette tétanisé par je ne sais quoi.

Quand je pense que la journée avait plutôt bien commencé… et voilà qu’une petite minette voulait jouer à me mordre… Ah les femmes je vous jure… une sirène se fit entendre, mer…credi les flics. Je pris ma vampirette encore sous le choc dans mes bras et m’envola.
« Modifié: lundi 06 août 2012, 17:26:06 par Edean »
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Chun

Créature

Re : vengeance vampirique

Réponse 9 lundi 06 août 2012, 18:16:10

Chun se rassit en espérant avoir fait au moins un peu d'effet au garçon.
Il était diablement mignon. Le petit scénario que Chun avait imaginé avant de partir en chasse -trouver une victime au sang délicieux, lui en boire juste un peu, puis s'amuser avec lui pour leur plaisir commun- était en lambeaux depuis longtemps. Merdeuh!

Elle sourit en voyant l'homme descendre sa chope d'une traite. Ivrogne!

-Moi non plus, je ne raffole pas de ce breuvage… trop amer. Au fait tu ne m’a toujours pas dis ton nom, ma petite vampirette

Il partit sur ses derniers mots. Il posait des questions sans vouloir de réponses. Elle n'avait de toutes façons pas eut l'intention de lui répondre, alors, elle s'en fichait.
Elle lui laissait le temps de quitter l'auberge, avant de se mettre en chasse. Il n'avait pas intérêt à dormir des deux yeux, ou il ne se réveillerait jamais.

-Et bien, qu'attends tu? Mords moi!

Chun eut un sourire mauvais en pensant à son plan, avant de se sentir brusquement soulevée de sa chaise.

Les vampires ne pouvaient pourtant pas voler. Le choc de la vitre dans son dos arrêta nettes ses réflexions.

En une seconde, elle se retrouva sur le parking, son dos ouvert à deux endroits par le verre de la vitre. Et elle pissait le sang.
Complètement étourdie, recroquevillée par terre, Chun sentit confusément qu'on lui mettait des claques. Elle papillonna quelque peu des paupières, avant de réussir à fixer son regard fiévreux sur l'homme en face d'elle.

-Ca va ma jolie?

Il était grand, vêtu d'un long manteau de cuire noir, ses cheveux courts et bruns dressées en pics sur sa tête. Derriére lui se tenaient deux autres hommes, à n'en pas douter, deux autres vampires, un homme noir un peu plus petit que celui qui m'avait réveillée, et un blond qui devait mesurer dans les deux mètre.

Je n'eus pas le temps d'articuler une réponse, que le black grogna, et invectiva l'homme que je reconnus comme mon agresseur -agresseur agressé, il est vrai.

-Tu as fait mal à l’une des nôtres ! Nous ne le permettrons pas sans nous battre!

Chun, toujours en position foeutale sur le macadam, entendit alors les cris d'une violente dispute, des hurlements de rage, de douleur et d'efforts mélangés. Elle se cacha la tête dans les bras, tentant de reprendre ses esprits. Elle voulait aller aider les hommes qui avaient pris sa défense!
Ma sa tête, qui s'était écrasée contre le macadam lors de sa chute, refusait obstinément de se relever. Elle ne pouvait plus bouger, même rester allongée lui donnait la nausée.

Les bruits se turent, tandis que Chun se battait toujours pour se relever, sans résultat. Une sirène résonna au loin et elle sentit qu'on la soulevait sans ménagement, les blessures de son dos la faisant atrocement souffrir.

Elle sentit qu'elle s'élevait dans les aires, toujours maintenue par elle ne savait pas trop quoi. L'air frais et puissant -qui lui indiqua qu'elle volait à une grande vitesse- lui fit du bien, et elle ouvrit peu à peu les yeux.

ENCORE LUI!

Si elle ne s'était pas retrouvée à une telle hauteur du sol, elle aurait gigoté dans tous les sens pour se libérer. Au lieu de quoi, elle jugea plus prudent de s'agripper à ses épaules -il était diablement musclé, le bougre!- et sa tête finit par cesser de ballotter pour se pauser sur le torse de son agresseur.
Il ne sentait pas mauvais, c'était déjà ça.
Chun rougit, et elle ne dut encore une fois qu'à son altitude élevée son réflexe de ne pas mordre le jeun homme, lorsqu'elle réalisa que, s'il la portait pour ce trajet, l'une de ses mains empoignait sa fesse droite sans aucun scrupules. Bah voyons.

Et puis déjà, qu'est ce qu'il était comme créature, celui là? Depuis quand il savait voler? Depuis quand les proies savaient elles voler?

-Ou est ce qu'on va? Articula t'elle. Ou est ce qu'on vaaaa? Dit elle, plus fort, devant l'absence de réponse de son "pilote".

Edean

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Re : vengeance vampirique

Réponse 10 mardi 07 août 2012, 16:35:39

Alors que la sirène se rapprochait, mon cerveau fonctionna à toute vitesse. Ce n’était pas la première fois que je tuai quelqu’un, mais c’était toujours par légitime défense et si les humains voyaient mes ailes, j’étais bon pour le cirque ou pire les laboratoires de recherche de l’armée. Il falait que je me tire vite fait d’ici, en laissant le moins de traces possibles. Je ramassai ma chemise, mais ne la remis pas, le moyen le plus rapide de fuir serait la voie des airs. Alors mon regards se posa sur ma vampirette, je ne connaissais toujours pas son nom, j’hésitais un instant devant elle. Recroquevillé  sur elle-même, ses longs cheveux bruns tombaient sur sa douce poitrine, sur sa peau blanche ruisselait son sang écarlate. Elle pourrait donner mon signalement aux flics. Je décidai alors de l’enlever et de l’emmener avec moi.

Je lui passai un bras autours des épaules et posa ma main gauche sur son joli fessier, ainsi je m’envolai alors que les premiers policiers arrivaient sur la scène du crime. Je pris rapidement de la hauteur, nous étions à bien un demi kilomètre au-dessus du sol lorsque ma vampirette s’aperçut qu’elle était dans mes bras. Elle fut d’abord troublé, elle gigota un peu au début  puis s’aperçut de notre altitude vertigineuse, elle se cramponna à mes épaules calla sa tête contre mon torse.

-   Ou est qu’on va ?

Tient elle a retrouvé l’usage de la parole, je ne répondais pas ne sachant moi-même pas trop ou aller. J’hésitais entre plusieurs endroits…

-   Ou est ce qu’on vaaa ? cria-t-elle de sa voix aigüe.

J’hésitais encore un moment, puis je décidais de filer droit à mon appartement.

-   On va chez moi, dis-je en plein vol, je t’invite à boire un coup, réussis-je à ironiser. (pour ceux qui aurait pas compris, en fait je l’invite à boire mon sang alors que depuis le début je l’évite)

Je filai à toute vitesse en suivant un courant ascendant, elle était sexy, mais pesait son poids. Ma vampirette eu un regard apeuré sur le sol tout en bas.

-   Ne t’inquiète pas, lui dis-je, je te tien bien, au faite, je ne connais toujours pas ton nom…
Elle ne me répondit pas, se cramponnant toujours plus à moi…

 Je descendis vers un grand immeuble assez moderne aux murs blancs, et je me posai sur un balcon. Nous entrions dans l’appartement, une grand bibliothèque prenait presque toute la pièce principal, je m’étai passionné par la littérature terrienne, le reste était meublé par une petite table, une vielle chaine hifi des années 90 et un canapé en cuir. Ma vampirette perdait beaucoup de sang, aussi je traversais le salon pour la déposer sur mon lit. La posant sur le ventre, je nettoyai et pansai ses blessures au dos. Puis m’affalant à ses coté sur mon lit à  2 places, je regardai la pièce que je connaissais pourtant par cœur, les mur tapisser de papier peint orange et violet avec une étagère ou j’entreposais mes vêtements,  un petit bureau sur lequel était posé un ordinateur, une autre invention terrienne incroyable… je fermai les yeux et somnola légèrement aux coté de ma vampirette…
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Chun

Créature

Re : vengeance vampirique

Réponse 11 mercredi 08 août 2012, 00:13:17

Chun se réveilla sur un lit. Dans un appartement inconnu. Qu'elle n'avait donc jamais vu. Et à coté d'elle, somnolant, se trouvait son agressé-agresseur-re-agressé-puis-re-agresseur. Pas trés bon tout ça.
Elle tenta de se relever pour, par exemple, se tirer de là fissa, mais elle ressentit un tel élancement dans le dos qu'elle renonça, fissa.

Les souvenirs lui revinrent lentement. Cette saloperie d'ange, ou elle ne savait pas trop quoi, qui la balançait au travers d'une fenêtre. Son dos que se déchirait. Les yeux bleus lui demandaient comment elle allait. Ho mon dieu. Ces hommes étaient mort pour elle.
Elle se souvint s’être réveillée dans les airs, et accessoirement dans les bras de ... De... De TRUC!

Elle se souvenait vaguement de lui avoir demandé ou ils allaient, et ne se souvenait pas qu'il lui ais répondu. S'en suivait un trou noir béant dans son esprit, puis elle s'était réveillée sur un lit (ce qui, à tout prendre, était moins pire qu'une table d'autopsie -surtout que, de toutes façons, elle était déjà morte).

Tâtant précautionneusement son dos, elle réalisa qu'il était bandé. Par dessus le machin massacré qui lui avait vaguement servit de haut. Cool. Et son agresseur dormait à coté d'elle, sa respiration lente gonflait son cou, faisait enfler ses veines gorgées de sang.

Merde, elle était trop mal pour bouger. Avec la rapidité inhérente à son état de vampire, il lui aurait fallu moins d'une milliseconde pour être sur son cou. Là, dans son état, il faudrait une petite demi-heure. Sans compter que grogner de douleur ne rentre pas dans la catégorie discret.

Restant allongée, Chun essaya de se concentrer pour utiliser la régénérescence accélérée des vampires, qu'elle n'avait jamais correctement maîtrisée, mais les blessures étaient profondes, elle n'y arrivait pas. Ce ne serait pas pour tout de suite.

Elle ne savait pas quoi faire. Balancer son poing sur le nez de l'homme allongé à côté d'elle jusqu'à entendre le satisfaisant bruit de l'os se brisant sous ses doigts était tentant.
Cependant, mettre ce type en colère alors qu'elle ne pouvait guère bouger plus que les bras n'était pas une super idée. Vraiment pas.

Elle observa ce qu'il y avait autour d'elle. Le papier peint orange et violet -drôle d'association de couleurs- avait pourtant été choisit avec gout, et la pièce avait un coté vieillot, avec une vieille chaîne Hi-fi des années 90, et confortable.

Pour la première fois depuis deux ans, depuis sa transformation, des remords déchirèrent l'estomac de Chun. Quelqu'un vivait là, habitait cet endroit. Ces meubles étaient à lui, cette personne avait son univers, sa personnalité. Il avait peut être même des amis. Une famille. C'était un être humain, il avait une existence propre, le droit de vivre.

Chun, depuis sa transformation, avait en elle une rage certaine. Elle avait 15 ANS quand Thomas l'avait mordue. Sa vie s'était arrêtée à 15 ans. Et inconsciemment, elle avait commencé à se sentir toute puissante. A sucer, violer, tuer. Juste pour se distraire. Chun avait été une humaine particulièrement gentille et calme. Une végétarienne pacifiste. Et était devenue une vampire ivre de puissance.

Des remords l’assaillirent, et des larmes commencèrent à couler sur ses joues.
« Modifié: mercredi 08 août 2012, 00:19:21 par Chun »

Edean

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Re : vengeance vampirique

Réponse 12 mercredi 08 août 2012, 20:28:37

Je faisais souvent des micro-siestes comme ça, 20 minutes de repos et je suis en forme. Ma vampirette pleurait près de moi, elle était emplie de remordS et moi assit sur mon lit je la regardai elle, il y a peu si sure d’elle, versait des larmes en maudissant le destin qui nous avais rassemblé dans une ruelle sombre. J’en fus attendrit, je me penchai en avant et mon visage près du sien, je lui caressais tendrement la joue pour essuyer ses vilaines larmes. Ses plaies avaient finis de saignés et grâces à ses pouvoirs, seraient bientôt refermés.

Alors que je la regardai dans les yeux tentant de la sonder, me rapprochant toujours plus déposant bientôt mes lèvres sur les siennes, je la senti contracté tous les muscles  de son petit corps pour me repousser. Toutefois la maintenant fermement, ma langue explorait sa bouche suave, je fis glisser une main sur sa cuisse. Puis je sortis ma langue et la fit caresser la peau blanche de son cou de vampirette en posant mon autre main sur un sein rond et généreux. Je la sentais gigoter sous moi, une partie d’elle voulait me tuer et me saigner comme un porc, mais une autre partie de son être commençait à aimer ça… d’un geste précis, je relevai sa mini-jupe de laine noire et soyeuse et retira sa petite culotte rose. tout en malaxant sa poitrine (poitrine que je convoite depuis le début),  je déposais des baisers sur son nombril, ses hanches, jusqu’à embrasser ses lèvres intimes. J’insérai ma langue dans son sanctuaire, elle se cambra en lâchant un gémissement étouffer et grogna des menaces de mort et de torture toute plus extravagantes les unes que les autres. Tandis que je léchai la vulve de la vampirette, je lui lâchai un sein et voulut lui caresser les cheveux, quand elle planta ses crocs dans mon bras tendu. J’eu mal, mais je ne criai pas la laissant sucer mon sang qui coulait. Elle l’avait mérité et de toute façon elle ne m’avait tranché que quelque veine… je continuai à baiser son vagin tout en titillant le clitoris du bout de la langue. Ma vampirette continuait à proférée des menaces, mais n’y croyait plus elle-même et continua à sucer mon membre supérieur ensanglanté. Je continuai tranquillement mon cunnilingus en pensant à retourner titiller le clitoris, quand un bruit me dérangea, comme une piqure d’insecte.

Je réalisais que c’était ma sonnette de porte d’entrer et à contre cœur je me relevai, pris une veste pour couvrir mes ailes et alla pour ouvrir la porte. Je tournais la poigné, ma voisine, une mère de famille quadragénaire, se tenait devant ma porte un livre en main, elle me dit :

-   Bonjour monsieur Edean. Je viens vous rendre votre livre. Puis-je entrer ?
-   Bonjour madame Pennywinkle, non je suis occupé, répondis-je Alors que lui répondait, elle vit la jeune femme allongé sur mon lit au fond de l’appartement.
-   Je vois je vois, je ne vous dérange pas. Tenez, dit-elle en me donnant le livre.
-   C’est déjà fait, au revoir madame Pennywinkle.

Je refermais la porte « vielle bique »… puis décidant que puait la sueur et le sang, je parti vers la salle de bain me mettre un pansement et me passer un jet d’eau sur le corps pour repenser à toute cette histoire, je réfléchissais beaucoup mieux sous la douche…
« Modifié: dimanche 19 août 2012, 15:11:24 par Edean »
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Chun

Créature

Re : vengeance vampirique

Réponse 13 samedi 11 août 2012, 00:18:29

Le bruit de la sonnette ramena Chun sur terre.

Mais qu'est ce qui s'est passé?

Résumons. Chun était passée d’ennemie mortelle à partenaire sexuelle.
Il s'était réveillé, l'avait regardé avec tendresse -elle projetait de la tuer, quand même- et avait essuyées les larmes qui barbouillaient son visage.
Sa main était douche, légère, chaude et sèche. Elle n'était pas moite, grasse, froide. Il le la pinça pas, ne lui écorcha pas le visage.
Elle sentit un sentiment de bien être l'envahir. Elle qui s'auto convaincait depuis sa transformation qu'elle n'avait pas besoin d'affection, ressentait une paix intense à le voir la regarder autrement que comme une proie, un "truc à baiser" ou une chose dangereuse et dégoûtante. Il la regardait juste comme l'être humain qu'elle était, si peu de temps auparavant.

Lorsqu'il l'embrassa, Chun voulut le repousser, et faire taire cette partie d'elle même qui en demandait plus. Toujours plus. Elle contracta son corps, minuscule par rapport au sien, pour luter, autant contre lui que contre elle même. Elle lutta toujours plus lorsqu'il s'empara de sa poitrine, gigota, tenta de se dégager. Elle voulait fuir, prendre ses jambes à son cou.

Le reste était un brouillard flou. Le corps, les mains, la langue, du jeun homme était partout sur le sien. Elle ne comprenait plus rien, promettait de le tuer pour qu'il la lâche, sans convictions, elle voulait fuir, elle ne comprenait plus rien. Puis elle abandonna définitivement toute résistance, et se laissa faire.

La sonnerie de la porte la ramena sur terre. Le temps que le jeun homme la quitte et s'occupe de la visiteuse -qui avait la voix typique de la vieille rombière du quartier- elle tenta de remettre ses idées en place. Et d'abandonner sa hargne coutumière.

Le jeun homme ne revint pas vers elle. Il disparut dans le couloir, et elle entendit bientôt la douche couler.
Chun était couverte de sang, et du sueur. Une douche ne lui ferait pas de mal.
Se levant en grimaçant, elle retira sa jupe et les lambeaux de son soutient gorge et de son cache coeur, et poussa doucement la porte de la salle de bain.
Elle pénétra dans la cabine de douche, et, sans regarder le jeun homme, se glissa sous l'eau chaude.
Son acte était courageux, pensa t'elle tandis que l'eau dégoulinait de ses cheveux et effaçait le sang qui maculait son corps. Mais s'il était dégoûté par son corps? Chun n'était habituellement pas complexée par ses rondeurs, mais sans qu'elle comprenne pourquoi, le jeun homme la mettait mal à l'aise.

Elle était toujours à se triturer l'esprit lorsqu'elle sentit deux mains douces s'accrocher à ses hanches, avant de relever son visage. Elle se trouva face aux doux yeux gris du jeun homme, qui l'embrassa avec douceur.
Cette fois, Chun apprécia vraiment le baiser. Il agissait avec tendresse, mélangée de fougue. Il ne la ménageait pas, mais ne la forçait pas non plus. Pour la première fois, ils étaient deux égaux, l'un ne tentait pas de prendre l'ascendant sur l'autre.

Chun rompit le baiser, et fit un pas en arrière, regardant Ed dans les yeux. Elle posa ses mains sur son visage, et caressa du bout des doigt ses joues légèrement râpeuses. Elle fit glisser ses mains dans sa nuque, suivit le contour bosselé des muscles de ses épaules, puis ceux de ses pectoraux. Elle caressa ses côtes, et suivit ses muscles abdominaux. Elle fit d'un doigt le tour de son nombril, et planta légèrement ses ongles dans ses hanches. Elle massa ensuite légèrement ses fesses, et posa ses mains à plat sur ses cuisses. Elle s’accroupit, et suivit le contour de ses jambes, des caressant, fit délicatement jouer ses ongles derrière ses mollets.
Il la regardait faire sans bouger, elle ne pouvait lire l'expression de son visage.
Chun n'était pas particulièrement expérimentée. Ce qui s'était passé tout à l'heure dans la chambre était une première. Elle n'avait couché qu'ivre morte, avec des hommes dont elle ne se souvenait même plus le nom, le corps, l'odeur. Elle n'y avait jamais pris de plaisir, ne l'avait jamais vraiment désiré. Ce corps d'homme était le premier qu'elle se souviendrait avoir vu et touché dans son entier, le premier qu'elle prenait plaisir à visiter.

Se relevant, elle se positionna derrière Edean et embrassa son dos, la plus haute partie de son corps qu'elle pouvait atteindre. Elle caressa ses cheveux, courts sur sa nuque, et entreprit de masser doucement ses épaules, ses hanches. Elle passa enfin une main entre ses cuisses, et pour la première fois, le sentit frémir, tandis qu'elle découvrait la peau tendre, plus fine à cet endroit. Elle se replaça devant lui, et posa enfin ses mains sur son sexe, tâtant de l'une ses bourses douces et tendres.
Ed réagit cette fois franchement à ses caresses, l'empoignant par les hanches, et commençait à durcir dans sa main.

Edean

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Re : vengeance vampirique

Réponse 14 dimanche 12 août 2012, 13:53:57



Ma salle de bain était une petite pièce rectangulaire tapissée de carrelage vert foncée antidérapant. Je possédais une cabine de douche italienne, c’est-à-dire de plein pied, une baignoire et un lavabo blancs.

Une fois dans ma salle de bain, je me déshabillai, rentrai dans la cabine de douche et fis couler l’eau régler pour être à plus de 35° sur mon torse, nettoyant le sang et l’humeur aqueuse du vampire dont j’avais décroché les globes oculaires. Je me passai la main sur les paupières, j’avais l’esprit embrouillé. J’avais ramené la vampirette avec moi et j’avais même commencé à jouer avec elle. Je n’entendis pas la porte s’ouvrir… je ne connaissais toujours pas son nom, pourquoi m’avait-elle attaqué ? Étions-nous destinés à nous rencontrer ? Seul Dieu le sait. Je ne la vit pas se déshabiller… dois écouter mon corps qui me dit de retourner la baiser ou dois-je écouter ma raison qui me dit de la foutre dehors ? Mon cœur hésite. Je ne la sentis pas rentrer dans la douche… Dieu ! Que faire ? Comme d’habitude il ne me répondit pas et me laissa moi, pauvre néphilim, décider de mon avenir.

Je me retournai, encore hésitant sur quel pied danser, Elle choisit pour moi. Je la vit du haut de ses 1 mètre 57, petit cœur de femme dans un corps ingrat, mais cependant irrésistible de vampire. L’eau chaude fit dégouliner le sang coagulé sur son petit corps. Je m’avançais, la prenant par les hanches,  d’une caresse lui fit relever son joli minois et l’embrassa. Tendrement, sans la ménagée pour autant, elle ne se débattait plus répondant même  à mon étreinte. Je pus savourer pleinement le gout de ses lèvres mouillées, nos langues dansèrent ensemble en un balais énamouré.

Ma vampirette rompit cette folle embrassade pour poser ses mains sur mon visage, j’aimais ce contact. Elle fit descendre ses mains sur mes épaules caressant mes muscles, puis sur mon torse elle descendait toujours faisant le tour de mon nombril, ce qui me fit légèrement sursauté. Elle se risqua même à poser ses mains sur mes fesses et a m’écorché superficiellement les hanches. Elle s’accroupit devant moi ! Ses mains doucereuses glissaient sur mes cuisses, je sentis mon pénis durcir, bientôt il se dressera en braquant le joli visage de la vampirette. Je la regardai faire.

Elle se releva, alla derrière moi et déposa quelques doux baisers dans mon dos, mes ailes sensibles en frémirent, puis ma vampirette fit glisser ses mains chaude sur moi. Son corps toucha le mien, alors qu’elle caressait mon pubis, je frémis tout entier. Elle décida de se replacer devant moi et pris ma verge en érection dans ses mains. Elle se ré-agenouilla devant moi, tenant toujours mon pénis entre ses doigt, mon membre se redressa. Ma vampirette détourna le regard de mon sexe, je lui pris tendrement le menton pour ramener son regard vers moi. Je lui souris et lui dit :

-   Je ne connais toujours pas ton nom ma douce…
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.


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