La nuit ét&ait claire à Seikusun claire, douce, chaude, une nuit sans nuage, une nuit parfait où l'on voyait la lune briller de mille feux dans le ciel. Sans la lumière des réverbères, on aurait pu distinguer la myriade d'étoiles, symboles de mondes mointains existants sans doute au delà de tout ce que l'homme pouvait imaginer. Ah, l'astronomie, une bien belle science ! Mais pourquoi Aetius s'intéressait-il à la science au juste ? Et bien c'était tout ce qu'il y avait de plus simple à comprendre en fait, la science d'aujourd'hui était la magie d'hier, en somme, en étudiant la magie Aetius apprenait la science de l'avenir, et ça, c'était passionnant ! Ais en comprenant les sciences actuelles, il apprenait la magie de l'histoire et l'astronomie était ans doute la plus belle de celles-ci, l'astronomie avait le don de faire voir le passé, un passé où le monde n'extait pas encore, un passé avant que le monde soit monde, un passé avant meme que les étoiles ne soient toutes allumées, et c'était ce qui rendait la chose intérressante.
Mais depuis son chez lui, ce n'était pas cela qu'il guettait, non, il guettait plutôt autre chose ! Il guettait la mort d'une étoile suite çà un avertissement. Il savait quelle étoile mourrait, mais cela n'tait qu'un signal pour autre chose, autre chose de plus important. Mais pour que vous compreniez, revenons quelques temps en arrière, une petite semaine en réalité. Il faisait un froid de loup qyuand Aetius était passé chez une petite commerçante encore plus vieille que lui (façon de parler, hein!) pour acheter de nouveaux ingrédients dont il navait besoin pour ses poptions, éllebore, racine de mandragore, napel, et autres produits divers et avriés comme des yeux de tritioons et des queues de rats ou des langues de salamandres. Et sur le chemin du retour, quelqu'un l'avait abordé.
Il avait mis un peu de temps à le reconnaître, mais finalement, ça lui était revenu, c' »était un très vieil ami », le genre d'ami que l'on fréquente de manière plus que mesurée, pour notre propre sécurité, cela faisait peut être bien un quart de siècle qu'ils ne s'étaient vus ! Et il n'avait pas changé d'un pouce, si Aetius semblaitun peu s'approcher d'un prédateur, il apparaissait comme un minet devant un tigre, en effet, cet homme là avait l'auir d'un vrai prédateur, un vrai carnassier, dans ses prunelles et même partout sur son visage on voyait un air saique alors que le reste du corps semblait particulièrement dangereux, oui, cet homme était dangeruex ! Ce n'était peut être qu'un amateur en magie à côté d'Aetius, mais il avait d'autres critères de dangerosité, ceux qui vous font facilement hérisser le poil en le voyant au coin de la rue !
Chose assez commune vis à vis d'Aetius, sa connaissance venait lui demander un service ! Logique ! Enfin, inutile de s'apitoyer sur la qualité des amis d'Aetius, il ne recherchait pas cette mièvrerie qu'est l'amitié désintéressée ! Ça l'aurait fait vomir plus qu'autre chose ! Mais revenons à nos moutons. Il voulait montrer à Aetius une jeune femme qui semblait prometteuses dans les arts magiques. Un bon apprenti était toujours le bienvenu chez Aetius, mais il avait ses conditions, lui rappela-t-il, il ne prenait pas n'importe qui comme élève, loin de là, des fils de rois lui avaient été proposés, et il avait refisé catégoriquement, ce n'était pas une question de dn, mais une question de raisons ! Quiconque voulait recevoir son enseignement devait s'en montrer digne.
Bien qu'il lui ait assuré qu'elle en était digne, le magister ne voulut rien savoir, cd'était sa condition majeure pour avoir le droit de recevoir son enseignement, il testait lui même la valeur de ses élèves, et après d'âores négociations autour d'une chope d'une excellente bière, il capitula et laissa le mage imposer sa condition, pour le reste, ce n'état que du menu détail. Donc cela n'avait aucune forme d'importnce, il lui avait donné une adresse où venir la chercher et le signal qui indiqueraiit qu'elle était à la place où il la trouverait.
Ce signe, Aetius l'artendait, c'était pour ce soir à ce que l'on disait. Il regarda l'étoile en question, particulièrement brillante cette nuot, scintillant d'un éclat bleuté dans le ciel nocturne quand il y eu comme un cligontement de celle ci, et elle disparut. Elle était à, en route, le quartier de la toussait n'était jamais bien sur, il valait mieux rester prudent, très prudent !, et vite aller la récupérer. Mais pouraquoi aller la réciupérer en personne et se fatiguer à la convaincre de venir ? Il avait une bien meilleure idée. IL s'assit en tailleurs sur la table et fixa ses pensées sur la ville, ciblant toujoçurs davantage jusqu'à atteindre ce qu'il chevchait : une tatue d'ange, et elle était juste appuyée contre...fort bien...elle était plutôt jolie d'ailleurs ! Mais ça, il avait bien évidemment oublié de le mentionner, et le connaissant, il avait du pas mal en profiter....enfin bref.
Il fixa ses pensées sur la statue, insistant jusqu'à ce qu'il sente la statue autour de lui, comme si il était à l'intérieur de celle-ci. Alors il parla, mais ce ne fut pas sa voix, il ouvvrit les yeux, mais ce ne furent pas les sien, il bougea, mais son corps ne broncha pas. Il manipulait l'ange comme s'il était l'ange. Ses yeux se baissèrent sur la jeune femme et il dit d'une voix rocailleuse, semblable à un roulement de tonnerre :
« Bonsoir Chiara, que fais-tu ici et maintenant ? Que cherches-tu ? Qui es-tu vraiment ? Qu'est-ce que tu souhaites le plus au monde? »
Il se tut, histoire qu'Aetius choisisse bien ses mots et il reprit la parole, d'une voix sereine :
« Nous avons un ami commun je crois, un ami qui veut que tu viennes à moi, viendras-tu Ciara ? Viendras-tu ?