Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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et un rapt de plus, un ! Le quartier n'est pas sur ! (Pv Florah

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Liam Eckart

Créature

Le vampire soupira ; Il était en manque de sang, en manque de violence, en manque de peur Il lui fallait une victime de choix. Et justement, c’était ce genre de personne qu’il avait r repéré et qu’il suivait en voiture noire, feux éteints dans le quartier de la toussaint à cette heure tardive. Elle se promenait seule, ou rentrait chez elle, qui sait…la seule chose de sure, c’était qu’il était passé pour le moment inaperçu. Pourvu que ça dure.

Il tâchait d’être le plus discret possible. Bon, tant mieux, c’était préférable ! Il préférait que ce soit passé ainsi qu’autrement. Si elle l’avait repéré, oh, ça n’aurait pas empêché de s’amuser, mais il aurait été fiché, lui et sa voiture.

Finalement, semblant seuls sur cette voie, il préféra prendre les choses en main et fit accélérer son chauffeur pour qu’il la dépassât, et s’arrêtât un peu plus loin. Il sourit en sortant, un mouchoir imbibé de chloroforme dans la main. Il prit le devant et se dirigea vers la jeune femme à qui il donna un violent coup de point dans l’estomac avant de la prendre à la gorge, la soulevant légèrement du sol alors qu’il appliquait la dose de chloroforme sur ses orifices buccaux et nasaux. Il allait bien s’amuser…

Il la déshabilla sur place et la pris dans ses bras, nue comme un vers. Il la plaça sur un siège arrière de la Bentley et ordonna au chauffeur de rentrer à l’hôtel particulier, ce qu’il s’empressa de faire, espérant, le moment venu, qu’il aurait tout le loisir de jouer avec cette victime lui aussi, ce qui serait sans doute au programme.

Une fois arrivé à la demeure de lord Eckart, le vampire prit la jeune fille dans ses bras. Elle serait vraiment une victime parfaite, pensait-il en voyant la couleur de sa peau, diaphane, les coups de cravache ou autres s’y verraient davantage. Et ce n’était pas plus mal.

Il ferra les poignets de a jeune femme devant elle et accrocha autour de son cou un collier de métal qui, relié à une chaine, était fichée dans le mur, lui laissant tout juste un mètre de mou. Elle était seule.
« Modifié: mardi 11 octobre 2011, 21:14:36 par Liam Eckart »

Zynoe K. Florah

Humain(e)

Il était tard, ou tôt. Moi, j'm'en fiche, mais les patrons des bars, eux, non. Alors à la fermeture du dernier bar de la ville, je n'avais plus d'endroit où se poser pour m'amuser. Obligée de rentrer donc. Heureusement, j'avais l'adresse d'un ami avec qui je savais que je pourrais boire quelques bières autour d'une pizza en s'racontant des blagues vaseuses. Je passais par le quartier de la Toussaint pour me raccourcir. Juchée sur des bottines à talon particulièrement haut, je n'avais pas envie de faire le tour de la ville à pieds. Ma mini-jupe, plissée, blanche, dévoilait mes jambes allongées par les talons. J'avais une ceinture dorée pour maintenir la jupe sur mes hanches, et mon buste était recouvert par un bustier de lamé argenté sous une veste en lin blanche elle-aussi. En gros, j'étais dans les tons blancs. Avec ma chevelure neige, je paraissais comme un ange au milieu de l'obscurité de la nuit, surtout dans ce quartier dit mal famé.

Je n'entends que le bruit de mes pas sur les pavés, et le ronronnement des moteurs des diverses voitures. D'ailleurs, une voiture la dépassa. Feux éteints. Bizarre. Mais ils sont tous bizarres ici alors bon. J'hausse les épaules. Et je continue mon chemin. Jusqu'à ce qu'un homme sorte de la voiture garée un peu plus loin. La voiture qui vient de me dépasser justement. Je fronce les sourcils, mais je n'ai pas le temps de demander à cet homme s'il est perdu que je me plie en deux en laissant échapper un grognement de douleur, bien vite étouffé par la main qui me saisit la gorge pour me soulever un peu du sol et par le mouchoir plaqué sur mon visage. Je tente de respirer, une ou deux fois, inhalant la substance qui imbibait le mouchoir. Je suffoque un peu, puis finit par sombrer dans l'inconscience, dans une sorte d'espace cotonneux, alors que déjà l'individu inconnu la délestait de ses vêtements.

Je ne sentis rien de ce qui se passa ensuite, et fini par me réveiller dans un étrange lieu. Je tentais de bouger, de me relever, et senti du même coup que j'étais nue, et que j'étais enchaînée. J'étouffais un gémissement effrayé. C'est un sacré choc tout de même. Je frissonne et secoue la tête pour répartir ma chevelure immaculée sur mon corps, comme je peux. Pour me réchauffer. De mes mains enchaînées, je touche le collier de métal qui orne mon cou. Par-dessous, j'ai une chaîne en argent avec une perle en onyx en pendentif. J'essaie de retirer ce bout de métal relié au mur par une chaîne. Je m'escrimais à m'en débarrasser, en vain. Je me résignais donc à appeler à l'aide. Ou à demander si quelqu'un était là.


. Ohé ! Y a quelqu'un ?! Quelqu'un peut m'aider ? Ohé !
...

Liam Eckart

Créature

Caméras branchées, la pièce était complètement couverte. Aucun angle mort, rien, même sous  le lit. La jeune femme se trouvait dans une chambre assez spacieuse, si on omettait sa captivité bien sûr, et puis, qu’elle voit le bon côté des choses !  Elle était vivante, indemne, saine et sauve, et puis elle avait des draps en soie ! Voilà !  ça, c’était positif !

Elle semblait déboussolée et perdue, logique, et puis, le collier lui allait si bien si on considérait que son teint anthracite ressortait si bien sur sa peau pâle. Il y avait de quoi rêver de faire rougir celle-ci avec des coups de badine entre autres, et peut-être teinter sa peau de gouttelettes de son sang. Oui, l’albâtre teinté de vermeil, quel beau mélange. Il se délectait de cette idée, se délectant aussi du fait qu’elle n’arrivait à rien.

Quand le micro leur appris ses paroles, le vampire décida que c’était le moment d’intervenir, aussi descendit-il au sous sol, vers cette fameuse chambre. Il sourit et tourna la poignée pour entrer avec douceur. Non pas timidement, mais il savourait sa petite victoire.

Enfin, il entra et commença par superbement l’ignorer, appuyant sur un interrupteur faisant glisser la porte d’un placard dissimulé, révélant toute une panoplie d’objets des plus connus, comme les pinces électrifiées spécial tétons à des objets beaucoup plus incongrus, et à certains endroits, de petits objets faisant penser à des instruments de torture.

Il y récupéra une simple cravache et s’approcha de la jeune femme.

« Bonsoir, ou bonjour plutôt, car l’aube ne va pas tarder, et bienvenue chez moi ! Bienvenue dans l’antre de mes sévices ! »

Et sans crier gare, il fit cingler la cravache sur sa joue et sur sa poitrine. Il eut un sourire en voyant les marques laissées par ses violents coups de cravache.

« Pas besoin de t’expliquer pourquoi tu es là je suppose ! »

Zynoe K. Florah

Humain(e)

Re : et un rapt de plus, un ! Le quartier n'est pas sur ! (Pv Florah

Réponse 3 mercredi 12 octobre 2011, 00:03:21

Je réprimais ma terreur du mieux possible. Après tout, j'ai subi bien pire. Mais là, c'est surtout le brusque changement de situation qui s'est produit qui me choquais en fait. Mais passé le premier instant, ça allait mieux. Un peu. Je tirais toujours sur le collier, avant de me concentrer sur la chaîne. Je ne me recroquevillais pas. Je ne suis pas du genre pudique. Au contraire, je m'étirais de tout mon corps en tirant sur la chaîne. J'y mettais toutes mes forces.

Soudain, la porte s'ouvrit. Je me figeais. Mais l'homme, le même que j'ai aperçu avant mon enlèvement -faut dire ce qui est- tout à l'heure, m'ignore. Superbement. J'ouvre de grands yeux surpris et relâche même la chaîne que je tiens entre mes mains. Je suivis le mouvement du placard qui s'ouvrit. Avec un temps de regard, je m'aperçus du contenu de ce placard. J'haussais un sourcil, curieuse et vraiment surprise. Je crois que je viens de comprendre pourquoi je suis ici.

Il parla. Je soupirais. Donc personne ne viendra m'aider, apparemment. Soit. J'ouvris la bouche pour répondre, mais un coup cinglant me fit l'impression d'une traînée de feu sur ma peau. Je me rejetais d'un bond en arrière, ma main allant se placer sur la douleur qui file sur ma joue et ma poitrine, la fraîcheur apaisant un peu le feu du coup de cravache. Et il sourit le bougre, alors que je lève sur lui un regard à mi-chemin entre l'halluciné et le furieux.


. Je crois saisir en effet.

Mon ton est franchement ironique alors que je m'écarte de lui autant que me le permet la chaîne. Je tire même un peu plus, mais la chaîne et le collier sont trop solides. Je frémit en saisissant son regard, mais masque la peur qui revenait doucement mais sûrement. Et la pointe d'excitation qui faisait son petit bonhomme de chemin maintenant que j'ai compris ce qui se passait.

. Je suis sûre qu'avec les goûts que tu as l'air d'avoir... Peu de femmes acceptent de visiter cette pièce de leur plein gré...
...

Liam Eckart

Créature

Re : et un rapt de plus, un ! Le quartier n'est pas sur ! (Pv Florah

Réponse 4 mercredi 12 octobre 2011, 01:39:14

Il n’aima pas du tout son regard. Pas du tout du tout, et pour preuve, il sourit en lui envoyant une gifle aller et retour. Puis, il sourit et se pencha vers elle.

« Tu n’as pas idée de ta situation, petite chienne. Aaaaaaaah cete peur que je ressent, qui fait battre le cœur plus vite…quelle douce musique ! »

Il sourit et  repris la cravache en main, pour finalement aller la ranger. Il hésita longuement sur les objets à utiliser, puis il revint avec des pinces reliées à un transformateur, un fil et une aiguille. Il posa les pinces et le transformateur et utilisant la chaine, il la força à plier l’échine, et pour l’empêcher de se relever, il s’installa, un genou sur son abdomen.

« Bon,  commençons donc doucement ! »

Il prit l'un des tétons entre deux doigts et se mit à jouer avec violemment. Le pinçant, tirant, jamais avec douceur, allant même jusqu'à aller le mordre, alors qu’il lui giflait les cuisses de l’autre main. Le reste du matériel serait bientôt, mais pas maintenant. Ses mains lui suffisaient.

« Que je t’explique comment ça fonctionne ici. Tu obéis, tu vis, tu te rebiffe, et je te donne à grailler aux chiens ou je te vends comme putain dans la pire maison close du quartier de la toussaint.  Et crois-moi, je te traite bien comparé à eux. Vu ? Si tu as compris, écarte bien les cuisses ! »

Ce faisant il prenait les pinces et les plaçait en appuyant volontairement, sur les tétons, avant de commencer à mettre en route le transformateur. Oh il ne commença pas à grand-chose, seulement 2000 volts Il retourna prendre la cravache et se remit à faire s’abattre sur elle les coups un peu partout. Notamment sur le minou si elle avait obéit, particulièrement sur le  visage sinon.

« Allez, tu vois, c'est pas la mort ! »

Il augmenta de mille volts le dosage.

Zynoe K. Florah

Humain(e)

Re : et un rapt de plus, un ! Le quartier n'est pas sur ! (Pv Florah

Réponse 5 mercredi 12 octobre 2011, 02:06:05

Ouh, susceptible le monsieur. Je sens ma tête partir en arrière sous l'aller-retour qu'il m'offre gracieusement. Je gronde, sourdement, de douleur et ma main part masser mon visage, apaiser un peu la brûlure du choc. Une chose m'interpela... Il sentait ma peur ? Merde alors. Crotte même. Pourvu qu'il ne sente pas ce début d'excitation à peine perceptible qui commence à monter... Je voulu m'éloigner à nouveau, mais la chaîne était trop courte. Pire encore, grâce à elle, il avait une emprise sur moi et je me retrouvais bientôt allongée sans moyen de me relever car il m'écrasait de son poids. Je grimaçais.

Mais ce n'est rien par rapport au second grondement sourd qui m'échappa alors qu'il commençait à s'amuser avec la pointe de l'un de mes seins, qui s'érigea sous le "doux" traitement infligé. Je grondais une protestation, et me tortillais en tout sens pour lui échapper. Sans succès. Au contraire. J'ai eu l'impression qu'il me dominait encore plus à force. Mais peut-être était-ce parce qu'il frappait également mes cuisses, donnant l'impression d'être partout à la fois.


. Genre tu crois que je vais... Hééé ! Que... Haaaaaa !

Je me cambrais violemment alors que la décharge d'électricité parcourait mon corps et se propageait à partir de mes tétons, couvrant ma peau d'une sorte de chair de poule. Je criais aussi. Mais pas vraiment de douleur. De gêne. De surprise. Mes cuisses, que j'avais cessé de contrôler durant le laps de temps que dura la décharge, étaient écartées honteusement. Les coups de cravache me firent les resserrer, et je protégeais mon visage de mes mains. Je trouvais toutefois la force de ricaner à ses paroles.

. Parles pour toi..Aaaaaah ! Enfoiré...

Je serrais les dents alors que mon corps s'arquait à nouveau. Mes tétons étaient rougis par la pression de ces pinces et du courant qui passait, mais je ne pouvais m'empêcher de le provoquer, encore. Ma peau d'albâtre était à présent striée de rouge d'ailleurs. Différentes nuances. Du rouge rosé, au rouge vif, voir même au rouge sang sur quelques zébrures. La peur ne me contrôlait pas. Elle était à égale puissance que la douleur. Et cette maudite excitation qui montait toujours... Il faut dire que ça change de ces humains trop tendre, trop guimauve.

Je serrais les dents plus fort et resserrais à nouveau mes cuisses que j'avais laissé se rouvrir lors de la décharge. Mon corps était sensible, plus que jamais. Mes tétons surtout. Mais, en serrant les cuisses, je ressentis cette étrange chaleur au creux de mon ventre, et je luttais pour ne pas les frotter l'une contre l'autre. J'haletais alors, difficilement :


. Non.. Vraiment... S'tu crois que ça m'impressionne...

Provocations, provocations... Vous allez causer ma perte. Je tremble de tout mon corps, mais pas de froid ni de peur. c'plutôt un contre-coup immédiat du courant électrique. J'ai pas l'habitude de me prendre autant de puissance comme ça. Et putain, ça fait mal mais j'crois qu'j'aime encore mieux.

Bon, finalement, posté maintenant ^^.
...

Liam Eckart

Créature

Re : et un rapt de plus, un ! Le quartier n'est pas sur ! (Pv Florah

Réponse 6 mercredi 12 octobre 2011, 15:31:31


Les coups de jus qu’il lui offrait lui fournissaient de nombreux sourires, éclats de rire, ou autres, et cela avait le don de l’exciter à mort. Quand il coupa le voltage, il lui mit de nouveaux coups de cravache sur les joues, violemment. Mais contrairement à ce que l’on avait pu penser, il s’amusait comme un petit fou, il n’était pas indifférent à sa douleur et à sa peur, c’était juste terriblement bon, cela lui donnait du plaisir, tout simplement.

« Tu sais, je pense que tu désobéis car tu aimes ta punition, petite chienne perverse ! Sinon tu obéirais !  Mais puisque  tu insistes ! »

Il lui envoya de nouveau une décharge, augmentant à 10 000 volts la puissance, un taser basique en envoyait vingt fois plus. Ce faisant, il lui battait les flancs à coup de cravache. Puis il coupa le courant après une bonne minute de coups de jus. Et il lui écarta les cuisses de force, glissant ses doigts vers son intimité avant de changer d’avis. Il tira sur les pinces électrifiées jusqu’à ce que celles-ci se défassent dans la douleur de ses tétons avant de forcer le passage et lui pincer les lèvres intimes avec.

« On va continuer puisque tu aimes ça ! »

Il prit un de ses tétons entre ses dents et le mordit violemment alors qu’il lui pinçait l’autre entre deux ongles. Il relâcha tout pour envoyer une bonne décharge qui dura deux bonnes minutes avant d’arrêter, lui laisser à peine le temps de souffler, avant de reprendre. Il répéta cela deux ou trois fois.

« Tu sais, si tu n’e peux plus, il faudra que tu me supplies, mais au lieu de dire « je », tu devras dire : « votre petite chienne soumise, ou « votre petite pute bien obéissante » ou équivalent. Alors maintenant que tu connais les consignes, à chaque pause, je vais augmenter un peu le voltage. Supplie moi de te faire autre chose quand tu n’en pourras plus ! »

Il finit par une violente gifle  sur sa cuisse gauche avant de passer à 10500V. Il avait échangé la cravache contre un petit fouet, préférant désormais laisser des sillons sanguinolents. Du sang qu’il lècherait avec plaisir. Il visait particulièrement sa  poitrine déjà bien rouge, preuve que le sang était bel et bien en surface.

Zynoe K. Florah

Humain(e)

Re : et un rapt de plus, un ! Le quartier n'est pas sur ! (Pv Florah

Réponse 7 mercredi 12 octobre 2011, 17:23:03

L'arrêt du courant électrique me fit lâcher un soupir. Soulagement ou juste répit ? Je ne tardais pas à chercher à rouler sur moi-même pour échapper aux coups qui pleuvaient. Ma peau devaient être écarlate à force. Et comme je marquais rapidement, j'allais sûrement avoir de jolies marques durant un grand nombre de jours. Je grognais quelques insultes en réponse à sa théorie, mais je n'eus pas le temps de faire plus que déjà je m'arquais sur place sous le coups d'une décharge beaucoup plus forte que précédemment, sapant une grande partie de mes forces d'un coup. Je ne sentais que faiblement les coups de cravache sur mes flancs, haletant tout le temps que le courant parcourait mon corps. Une minute qui dura des heures. Puis il coupa à nouveau le courant, et mon corps retomba lourdement à plat.

Je n'eus même pas la force de résister alors qu'il écarta mes cuisses brutalement, voulant violer mon intimité avec ses doigts. Je ne sus pas pourquoi il changea soudainement d'avis. Au départ. Mais alors qu'il tira sur les pinces emprisonnant mes tétons, je lâchais un cri de douleur. Bordel, ça faisait vachement mal ! Je n'avais plus le loisir d'avoir peur. La douleur mobilisait toutes mes forces restantes. Et cette foutue excitation qui, malgré les aléas des sévices, continuait à serpenter au creux de mon ventre comme un serpent prêt à mordre. Je grognais des protestations alors que les pinces qu'il vient d'ôter de ma poitrine viennent mordre la chair de mon intimité.

Il me provoqua encore une fois (comme je m'amusais à le faire avec lui), mais ne me laissa pas le temps de répondre. je poussais un autre cri alors qu'il mordit l'un de mes tétons maltraités auparavant, pinçant l'autre férocement. J'allais avoir la voix éraillée plus tard, mais qu'importe. Je commençais malgré moi à apprécier ça. Je ne voulais pas pourtant. Sérieusement. Mais je glissais dans le monde du masochisme ou la douleur me rends encore plus excitée. Pour mon plus grand malheur car, alors qu'un nouvelle décharge de courant arquait mon corps, je sentis un fluide couler entre mes cuisses. Il laissa le courant plus longtemps, et d'autres cris franchirent mes lèvres. Mais moins de douleur pur, que de douleur mêlée à une sensation semblable au plaisir. Lorsqu'il arrêta, ce fut pour reprendre presque aussitôt. Et encore une fois. Je n'avais donc pas le temps de parler, pas le temps de le provoquer encore.

Il finit par arrêter à nouveau et je retombais à plat en haletant, le corps couvert de chair de poule et d'une fine pellicule de sueur. Mon corps était pris de tremblement convulsif alors que la douleur refluait doucement. Je repris mon souffle alors qu'il parlait, rassemblant mes forces pour une autre réplique mordante, mais étouffais un cri de plaisir (étonnamment) lorsqu'il gifla de nouveau l'une de mes cuisses. Les pinces sur mes lèvres intime paraissait être de métal en fusion, et lorsque la décharge reprit, je ne distinguais même pas le changement de voltage. Les coups suivant, par contre, je suis qu'il avait changé la cravache pour un fouet, car les lanières de l'instrument me frappèrent un peu partout sur le buste, martyrisant ma poitrine déjà bien rougie. Je saisis le moment exacte où le fouet mordit ma peau plus profondément, l'entaillant, laissant désormais perler sur sang à chaque application.


. Haaaan.. Ne... Haa... Ne crois pas... Que haaaa... Je me laisse avoir... Si ... Haaan... Si facilement !

Ma voix, entrecoupés de cris mêlant plaisir et douleur, était hésitante et rauque, mais lorsque j'ouvris les yeux, mon regard opaque luisait de fureur (contre moi-même), et d'un désir que j'essayais de réprimer.
...

Liam Eckart

Créature

Re : et un rapt de plus, un ! Le quartier n'est pas sur ! (Pv Florah

Réponse 8 mercredi 12 octobre 2011, 18:55:13


« Haaaan.. Ne... Haa... Ne crois pas... Que haaaa... Je me laisse avoir... Si ... Haaan... Si facilement ! »

Pourquoi insistait-elle ainsi, ses cuisses elles même montraient qu’elle aimait ça ! Il mit fin à la tension, pour glisser ses doigts entre ses cuisses et récupérer un peu de nectar pour y gouter. Il sourit tout en dents avant de s’approcher et se mettre à lâcher ses plaies sanguinolentes mordant, avec violence bien évidemment, les seins, et particulièrement les tétons au passage. Il continuait ainsi qu’il posait sa main sur son abdomen, et dans une légère hausse de chaleur et une douleur semblable à un remuage des entrailles de la victime, il lui fabriqua ou renforça, selon l’état dans lequel il était, son hymen. Quand il la prendrait, il voudrait que ça lui fasse mal à l’en faire pleurer. Il ne connaissait que sommairement la sensation qu’elle avait ressenti, tout ce qui était sur, c’est que suite à la métamorphose partiel de ses parois vaginales, une humaine normale en aurait hurlé de douleur.

Puis il remit le courant, poussant directement à 15000voltes, pour un meilleur effet, reprenant ses coups de fouets sur son corps.

« Alors, ça y est, tu te reconnais comme étant ma petite putain ? Regarde moi ça !  Tu mouilles comme une folle ! Tu adores ce que je suis en train de te faire !»

Il se permit de dire ça en  augmentant une énième fois le voltage. Il allait bientôt approcher des vingt mille voltes. Puis il la força à se mettre sur le ventre pour changer de place les pinces, enfonçant l’une dans son minou dégoulinant alors qu’il forçait, à sec, le passage de son sphincter anal pour y fourre la pince. Il fit redcendre le voltage à 15000 ce aisant.

Il remit en route le transformateur, ne l’arrêtant cette fois ci pas, laissant la machine en route alors qu’il lui flagellait le dos avec le fouet dans une main et lui giflait les cuisses avec la cravache de l’autre. Il laissa ainsi le courant pendant une bonne dizaine de minute. Puis il coupa le transfo, et lui releva la tête en lui tirant les cheveux. Il lécha chacune des plaies avant de lui murmurer :

« Qui est la petite salope du maitre ? Qui est ma petite chienne ? Qui aime être punie ? »



Zynoe K. Florah

Humain(e)

Re : et un rapt de plus, un ! Le quartier n'est pas sur ! (Pv Florah

Réponse 9 mercredi 12 octobre 2011, 23:08:05

Je serre les dents pour ne pas gémir de satisfaction alors que je sens ses doigts se faufiler entre mes cuisses rougies, et sent mes joues chauffer alors qu'il se rends compte de mon excitation. Je cherche à me dégager, mais mes poignets entravés m'en empêche, tout comme la chaîne autour de mon cou. Je crie une nouvelle fois alors qu'il viens me mordre après avoir léché le sang de mes plaies. Je gigote, cherchant à lui échapper, toujours, mais me raidit alors qu'il pose sa main sur mon ventre. Je ressentis une intense douleur alors que mon corps changeait. A cause de lui je suppose. Je lâchais un hurlement d'animal blessé quand je compris ce qui se passait en moi. Il venait de me revirginiser en quelques sortes. Cette virginité qu'un homme m'avait prise de force longtemps auparavant.

Je grondais à nouveau, fermant les yeux sous la douleur, et secouais faiblement la tête alors que mon corps s'arque à nouveau et que je laisse échapper quelques larmes de douleur alors que le courant est plus fort encore. Les coups de fouets semblent me chatouiller à côté de l'intensité électrique.


. Nnn.. Nooon !

Je réussis juste à lâcher ce cri du coeur avant de m'arquer à nouveau, serrant les poing devant moi. Mais ce qu'il disait était vrai. J'aimais ça. J'en redemanderais presque, si ça n'était pas fierté. Je résistais lorsqu'il tenta de changer ma position, mais je ne réussis qu'à le griffer légèrement, malheureusement. Et alors que je reprenais mon souffle, je criais à nouveau, m'étouffant presque. Une des pince métallique fut insérée de force dans mon anneau de velours, et je creusais le dos pour échapper à la douleur. Vainement. Le courant courrait dans mon corps épuisé. Et les coups de fouets et de cravachent qui striaient ma peau ne me faisaient plus rien à force. Les dix minutes qui passèrent me semblèrent des heures alors que mon esprit flottait entre douleur et plaisir. Intenable. Le plaisir en devenait douloureux, et la douleur devenait plaisante. Un foutu cercle vicieux. Et je criais. Encore et encore.

Le courant cessa enfin de courir dans mon corps. Corps épuisé et tremblant convulsivement d'ailleurs, alors que je grimaçais. Je laissais échappe un faible gémissement sortir de ma gorge. Sentir ensuite sa langue lécher le sang qui coulaient des entailles dues au fouet, c'était... Rafraîchissant. J'haletais. Je grimaçais. Mais la chaleur entre mes cuisses n'avait pas cessé. Je finit par capituler :


. Han.. Je... Moi... C'est moi...

Et je serre les dents pour m'empêcher d'en dire plus. J'ai déjà trop ravaler ma fierté, mais c'est.. Si bon et si douloureux à la fois...
...

Liam Eckart

Créature

Re : et un rapt de plus, un ! Le quartier n'est pas sur ! (Pv Florah

Réponse 10 jeudi 13 octobre 2011, 16:24:33

Il sourit quand enfin elle reconnu qui elle était. Il continua à lécher ses plaies sanguinolentes dans le dos. Pour accentuer le tout, il sourit et lui murmura dans le creux de l’oreille, griffant au passage ses plaies. Il lui murmura quelques mots dans le simple but qu’elle s’humilie davantage.

« Quoi, moi ? Tu es quoi ? Allez vas y dis le ! »

Il prit ses cheveux et tira fermement en arrière pour ller lui mordre l’oreille avant de la remettre sur le dos, et, faisant descendre une chaine depuis le plafond à l’aide d’un bouton, et il y accrocha celle qui liait ses poignets. Puis il détacha le collier et rappuya sur le même bouton, faisant décoller du sol la jeune femme, pendue par les poignets.

« Bon, petit jeu suivant…. »

Il sourit d’un air sadique alors qu’il prenait  l’aiguille et le fil de pêche. Il passa le fil dans l’aiguille et saisit un de ses seins qu’il pressa fortement. Il approcha l’aiguille du téton, et lentement, comme pour accentuer la douleur, il la planta jusqu’à percer le bouton de chair.

« Alors, tu te rends compte de ta chance ? Tu vas avoir de agnifiques piercings fais maison ! »

Il recommença sur l’autre téton, les deux tétons désormais reliés par le fil. Puis il prit les extrémités du fil et tira d’un coup sec en les croisant pour que  les tétons se rejoignent à s’en toucher. Il se déléctait de la douleur qu’il lui infligeait. Il fit un nœud et, reprenant l’aiguille, il se mit à jouer avec, l’enfonçant dans ses chairs pour mieux la ressortir, dans le seul but de faire couler le sang.

Il lui avait laissé les pinces, comptant bien les réutiliser par la suite.


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