Le « jeune » vampire était en compagnie de trois ou quatre gardes du corps, voyageant au crépuscule prêt à raser un village s’il le faut pour trouver une esclave potable, oui, incendier un village terranide, ou même humain ne le gênait pas plus que ça. Il était bien pragmatique. Les terranides et les humains n’avaient pas vraiment de capacités à faire autre chose que servir, et si un terranide était un sous homme, un humain était un sous vampire.
Mais voila, il avait du se déparer de deux de ses gardes du corps qui ramenaient au manoir les douze esclaves déjà capturés, provenant de trois villages différents.. Mais il n’avait pas trouvé sa perle rare. Il finirait bien par la trouver. Une humaine bien fourni en niveau courbes, des traits délicats et une peau douce. Voilà ce qu’il espérait trouver encore cette nuit..
Il avait décidé de ménager son cheval tout de même, pour le retour, cr soit i porterait sa victime en travers de sa selle, soit il iraut juste assez vite pour courir derrière la monture. Ce serait fonction de l’état dans lequel ressortirait la personne du « premier contact »…
Bien vite, il ordonna au reste de sa garde de rentrer, continuer seul serait plus discret. Et puis, disons que même ses gardes du corps devait supporter un rythme diurne. Il n’avait pas besoin d’eux la nuit, ils auraient été plus une gêne qu’autre chose. Et puis, il voulait tenter un endroit différent.
Et il fit bien de choisir cet autre endroit puisqu’il aperçut bientôt une jeune femme, installée là, en silence, elle semblait assez perdue dans ses pensées pour ne pas entendre l’arrivée du cheval. Il démonta dans le silence le plus complet. C’était l’avantage d’avoir ces capacités d’immortel chasseur de sang. Aussi silencieux que l’ombre. Il passa devant elle. Et passa sa main devant ses yeux qui semblaient fixer un point qu’elle ne voyait pas. Comme….comme si elle était ailleurs…
Il ne parla pas mais deant ce manque de réaction, une idée lui vint… une envie de jouer avec le coprs de la belle, ici et maintenant, mais à sa manière… et si les stimulis visueles ne faisaient rien, les stimulis physiques, eux, et bien disons qu’il les testeraient sous peu. Il sortit plusieurs rouleaux de corde. Pas des immenses, juste cinq rouleaux de 10 m chacun. Il examina la place. Il n’y avait pas grand-chose. Il y avait quoi ? Un étang, un arbre avec des branches plus ou moins hautes, mais bon, certaines belles étaient à 3-4m du sol, juste parfait pour soulever un corps.
Il fit passer une première corde par-dessus une branche à trois bons mètres du sol, puis il fit un nœud coulant de l’autre côté et le laissa, posé, juste derrière la miss. De même il passa une autre corde par-dessus une autre branche, légèrement plus élevée.
Soudainement, il lui saisit les bras, et exécuta une double clef de bras, lui rabattant les poignets dans le dos en les nouant ensemble au-dessus des jointures. Il serra fort histoire de ne pas être emmerdé par la suite. Dans le même ordre d’idée, il lui passa le nœud coulant autour du cou.
« Bonjour ma demoiselle, et bienvenue entre mes griffes… »
Il rit et tira sur les autres extrémités de la corde, la trainant avant de la soulever du sol grace au système de poulies fait par les branches d’arbre.
« Je sens qu’on va s’amuser…. »