Après un long sommeil. °Free°

Je m'éveille, doucement, comme au sortir d'une bonne et complète nuit de sommeil. Mais un pressentiment étrange me serre le coeur. Mes yeux s'ouvrent doucement, et examinent la pièce autour de moi. Je suis dans mon temple. Rin d'anormal à ça. Mais alors, pourquoi ais-je l'étrange impression et l'intime conviction que tout à changé ? Je l'ignore. Je me sens si faibl. Je baille, et je me lève.

La silhouette blonde au teint fantomatique se redresse en effet. Elle reprend des couleurs alors que son regard d'azur scrute la semi-pénombre dans laquelle elle est plongée. Ses pieds nus touchent le sol carrelé. Froid. Elle frissonne. Aphrodite avait de nouveau un surcroît de pouvoir, et voici qu'une nouvelle Déesse sort de son sommeil. Ou a été recréée. A vrai dire, nul ne le sait vraiment. Hébé. Déesse de la Jeunesse. De la Vigueur des Jeunes. De la Vitalité. Protectrice des jeunes mariées. Hébé. Autrefois connue, bien que mineure par rapport à d'autres grands noms comme ceux de ses parents, Zeus et Héra, ou bien ceux de ses frères, Hephaïstos et Ares. Hébé, qui a finalement été confinée sur l'Olympe par le Roi des Dieux à cause de ses frasques libertines et de sa maladresse.

Je frissonne. Le sol est froid. Je m'avance à petits pas, peinant à pousser la lourde porte en marbre qu'autrefois j'effleurais à peine. La lumière du jour est aveuglante, multipliée par de nombreux miroirs pour éclairer toute la pièce. Vu l'intensité de la lumière, il doit être aux alentours de midi. Je baille à nouveau. Pourquoi suis-je si fatiguée ? Moi qui suis d'ordinaire une véritable boule d'énergie ? J'ai pourtant eu une très bonne nuit de sommeil. J'entends quelques rires, et ça me réchauffe le coeur. Me redonne un peu de force. Assez, en tout cas, pour franchir la porte de la pièce qui me sert de chambre, et pour faire quelques pas sur les dalles de la pièce principale du temple. J'arrive dans le premier bassin. Il est l'heure du bain.

Hébé serre les dents en poussant sa porte depuis trop longtemps scellée. Elle ferme les yeux un instant, éblouie par la clarté du jour. Puis avance de quelques pas, après avoir entendu plusieurs rires. Sa toge blanche frôle le sol derrière elle. Le bout de ses pieds entre dans l'eau. Le bassin a des pentes, pour y entrer progressivement. Elle frissonne un nouvelle fois, trouvant sans doute l'eau fraîche. Ses doigts agiles viennent dégrafer l'attache de sa toge, qui glisse le long de son corps pour reposer doucement sur le sol, flottant à peine sur les quelques millimètres d'eau qu'il y a. Nue désormais, elle avance d'un pas plus assuré. Les rires s'éteignent alors qu'un cri de ravissement les remplace. Deux prêtresses, nues, aux longs cheveux (roux et d'ébène) tressés, se pressent vers la déesse qui les regardes, un peu hagarde. Les rires reprennent alors que les prêtresses s'occupent de ramasser la toge et de dénouer les lourdes tresses de la jeune déesse. Ses cheveux d'or cascadent sur ses épaules, couvrant son dos d'un toucher de satin, et brillent de mille feux sous les rayons lumineux que projette Helios, le dieu solaire.

Alors que ma toge tombe à terre gracieusement, je vois deux prêtresse qui sont devant moi. Elles rient. Lorsqu'elle m'aperçoivent, celle aux cheveux d'ébène lâche un cri, ravie de me voir. Elles accourent, toutes les deux, et reprennent des activités qui leur sont familière. Ma toge est ramassée et pliée sur le bord du bassin, alors que je sens mes cheveux dévaler mon dos, me procurant une douce chaleur bienfaisante. Je sens leurs mains qui m'accompagnent alors que je m'enfonce dans l'eau, arrivant bientôt à être immergée jusqu'à la taille. Leurs mains volent sur mon corps, baignant ma peau veloutée avec douceur, la flattant avec un gel parfumé aux agrumes, me savonnant avec amour sur le moindre centimètre carré de ma silhouette. Je ferme les yeux, sentant étrangement que ce plaisir m'a été longtemps refusé. Pourtant, je me souviens d'avoir pris un bain hier. Ce n'est pas si long une nuit ?

La Déesse est lavée, parfumée, baignée avec tendresse. Les deux prêtresses rient toujours, redonnant plus de couleur à Hébé. De même, celle-ci entends de lointains éclats de rire, et son sourire se place doucement sur ses lèvres alors que ses yeux recommence à pétiller de joie, de bonheur et d'énergie. La fatigue s'envole à mesure que les mains des prêtresses prennent soin de son corps. Elles s'attaquent à présent à sa chevelure, la peigant de leurs doigts, l'imbibant d'une huile végétale parfumée avant de la rincer doucement, de la parfumer et de la tresser à nouveau. Les tresses sont longues, s'arrêtant au creux des genoux de la déesse alors elle en font un chignon, remontent les tresses sur le haut de son crâne, et pour finir, c'est comme si sa chevelure lui descendait jusqu'au creux des reins. Hébé ferme béatement les yeux, retrouvant peu à peu une infime partie de son pouvoirs, et se laisse flotter dans l'eau tandis que ses prêtresses jouent et rient. Rien ne pourrais gâcher son bonheur, mais une visite impromptue est si vite arrivée...

De retour à Nexus pour se changer un peu de Seikusu, Mach avait rapidement fait le tout des bars en regardant les tableaux de chasseurs de primes pour y étudier les diverses affiches et têtes mises à prit. Mais, jusqu’au dernier bar, le mercenaire n’avait fait que soupirer devant celles-ci en voyant que les missions étaient soit peu intéressantes, soit mal payées. En effet, la plupart n’était que des chasses aux trésors et étaient rémunérées sous les 1000 pièces d’or. Ce qui n’avait donc rien d’attrayant pour lui, même s’il devrait se résigner sur l’une d’elle une fois le dernier bar atteint. Pas qu’l manquait d’argent, mais plutôt d’actions, car cela faisait déjà plusieurs jours qu’il n’avait fait que se reposer, sans même une distraction féminine, à cause d’une mauvaise blessure lui laissant une nouvelle cicatrice sur le torse.

Mais, la chance lui avait souri sur le dernier bar qu’il visita dans les bas fonds. En effet, une affiche sur le panneau des avis de recherche attira son attention. Naturellement, il se dirigea vers celle-ci et la décrocha pour mieux la lire. Et s’est alors que le phénomène étrange se passa. Mach se sentit étrange, comme si une présence se faisait sentir dans les environs. Elle n’avait pourtant rien de menaçante simplement laissa des sensations étranges au mercenaire.

S’est alors qu’il remarqua que le paysage, et donc l’intérieur du bar, devint flou et puis bien plus lumineux. Quand cela se termina, sous la stupéfaction du mercenaire, le lieu avait totalement changé. En effet, à la place d’avoir une salle bordélique, salle, remplit d’ivrogne et à l’architecture des plus médiocre, l’homme se trouvait en un lieu splendide, au plafond très élevé, qui semblait fait de marbre blanc, et très spacieux, en plus de lumineux et richement décorés.

- Que s’est-il passé ? Et où suis-je d’abord ?

Dit-il en ne se souciant même plus de l’affiche qu’il tenait dans les mains, et qui concernait une mission évidemment. Non, son regard regardait le lieu qui se trouvait autour de lui, qui ressemblait à un grand hall. S’st alors que l’architecture lui rappela alors celle qu’il lisait sur les cités grecques, ou romaines de l’antiquité. Mais, comment cela pouvait-il être possible ? Il ne savait pas qu’un tel lieu existait sur Terra.

Celui-ci était d’ailleurs très calme, comme s’il n’était pas habité. Et Mach finit tout de même par se décider à bouger et chercher quelqu’un qui pourrait le renseigner sur l’endroit où il se trouvait, tout comme la façon dont il y était parvenu. Il marcha dans ce lieu désert, de ses habitants, puisqu’il croisa tout de même des plantes, des pilonnes surmontés de bustes ou statues, et cela lui faisait de plus en plus penser à l’idée qu’il avait eu sur ce que pouvait être ce lieu, même si cela semblait loufoque pour lui. Jusqu’au moment ou des rires se firent entendre, et il se dirigea vers eux se disant qu’il allait pouvoir en apprendre un peu plus enfin. Arrivant alors devant une grande porte décorée, Mach frappa avant de pousser, sans trop savoir ce qui l’attendait derrière.

- Il y a quelqu’un ?

Demanda t il pour se faire confirmer. Comme s’il craignait d’entendre des voies ! Ce qui expliqua aussi qu’il était entré dans la pièce sans trop attendre de réponses.

(Je change ma façon d'Rp, j'teste autre chose ^^ et désolée du retard, ma livebox était morte >_<)

Je souris à mes prêtresses, attendrie devant le spectacle qu'elles offraient. Je sors de l'eau, à pas lents, alors qu'une voix retentit. Troublées, les prêtresses poussent un cri perçant et se refugie contre les bords du bassin, se masquant à la vue de l'étranger qui s'aventure ici. Un non-divine d'ailleurs, car je ne ressens rien qui émane de lui. Je fronce les sourcils, et m'avance. L'eau coule sur mon corps nu, alors que mon visage se ferme, offrant une expression méfiante et mécontente.

- Bien sûr qu'il y a quelqu'un. Qui es-tu ?

Ma voix est glaciale, peu amène. C'est un mortel. Dans mon temps. Quelle impudence ! Même si je n'ai rien contre les mortels d'ordinaire, le fait que celui-ci soit en Olympe, dans mon temple, m'intrigue et m'irrite un peu. Voir beaucoup.

- Et comment êtes-vous arrivé ici, mortel ?

(désolée, c'est court)

Mach se retrouvait dans un lieu qui lui rappelait la Grèce antique, voir l’Empire Romain. Ainsi, comme tout être humain normal, il était à la fois surprit, mais aussi sur ses gardes, au cas où cela soit un coup fourré. Mais, personne n’était aux alentours, et il finit par partir à la recherche d’informations. Cependant, le silence ambiant et la recherche veine depuis quelques minutes ne tardèrent pas à lui faire donner de la voix. Tout cela en poussant une porte où il avait cru entendre des voix. D’ailleurs, il ne se trompa pas, puisque trois femmes vinrent bientôt entrer dans son champ de vision. Celles-ci se montrèrent inquiète, et se cachèrent le corps, ce qui en réalisant l’endroit où il se trouvait fut bien naturel.

Mais, il n’eut pas le temps de se montrer délicat en aucune façon, comme faire demi tour pour laisser leur intimité aux demoiselle, que la troisième s’avança vers lui, tout en restant à bonne distance. Mais, ce qui attira plus l’attention du jeune homme sur elle, était le fait qu’elle lui adressa la parole. Son regard ne se posa pas sur son corps qu’elle ne cachait pas, contrairement à ses amies, mais sur son visage. Pourquoi ? Parce que le ton de la demoiselle était des plus mécontents, voir presque sur celui de l’agression. Ce qui avait donc fait poser les yeux de Mach sur son visage, pour croiser son regard, plutôt que sur ses atouts féminins.

-Je pourrai répondre la même question ?.....Haaaaa…. Je m’appelle Mach, et vous ?

Par reflexe d’autodéfense, la première réponse du jeune homme avait été dite sur le même ton que son interlocutrice. Mais, il soupira bien vite quand il se dit que s’était lui l’intrus dans cet endroit et non l’inverse. Il se calma donc avant de se présenter rapidement pour ensuite redemander le nom de la jeune femme. Celle-ci enchaîna alors directement sur une autre question, en employant un terme qui ne manqua pas de surprendre Mach.

- Mortel ?

Lâcha t il en même temps qu’il prenait un air des plus surprit. Pas que le fait qu’il était mortel soit nouveau, mais le fait qu’elle l’appelle de cette façon laissait justement penser qu’elle ne l’était pas. Ce qui le ramenait donc à sa question sur l’endroit où il se trouvait.

- Alors là, j’aimerai bien le savoir moi aussi !

Répondit-il toujours en regardant la jeune femme, la fixant beaucoup moins, bien qu’il ne la quitte pas des yeux pour ne pas s’égarer.

 - J’étais en train de prendre mon prochain travail, quand quelque chose dont je ne saurai expliquer m’a conduit ici !

S’expliqua t il, en se disant que peut être que la jeune femme pourrait lui répondre sur ce point.

- Et je ne sais pas où je suis, …mais, j’ai l’impression que vous pourrez répondre à cette question au vu de votre réaction à mon arrivée ?

Poursuivit-il alors de façon bien plus calme qu’à son arrivée, son regard quittant pour la première fois la demoiselle pour balayer la pièce, qui était visiblement une salle de bain, même si ce n’était pas celle dont on se faisait généralement l’idée et que tout humain connaissait. Il posa un moment aussi sur les deux prêtresses toujours inquiètes, mais ne s’attarda pas pour éviter justement d’aggraver son cas.

Mon visage se ferma plus encore alors qu'il commença à répondre. Je suis peut-être une gentille déesse, et ce genre d trucs, mais je tolère mal que l'on s'invite chez moi et qu'on ait l'audace de répondre insolemment. Heureusement pour lui, ils se reprit. Bien. Il a semblé se rendre compte que c'était lui l'intrus ici. Au moins ça de positif. Je le laissais s'exprimer tout son saoul, mon regard froid posé sur lui. Et je repris.

- Hébé. Et je ne peux expliquer ton arrivée ici Mortel.

Je le toisais encore un moment, avant de lui tourner le dos pour aller prendre ma toge suspendue à un crochet. Je m'en parais, faisant comme si j'étais seule, avant de me retourner vers le mortel, un peu adoucie.

- Peut-être est-ce un de mes frères qui a jugé bon de faire une blague...

Je réfléchis encore, faisant signe à mes prêtresse d'aller se vêtir. Sans leurs rires, mon temple paraissait glacé. Je me dirigeais vers la pièce la plus proche, où j'allais m'installer sur mon trône en faisant signe à l'humain de s'approcher.

- Quoiqu'il en soit, c'est dangereux pour toi d'être ici. Les mortels ne sont d'ordinaire pas admis sur l'Olympe. A moins d'être prêtre ou prêtresse, et d'avoir ainsi acquis l'immortalité.

Je laissais mon regard le détailler plus attentivement, avant de souffler :

- Mercenaire, non ?

Sans attendre de réponse, je repris le cours de mon explication, comme si je n'avais pas prononcé cette question.

- Je ne peux malheureusement pas te renvoyer d'où tu viens tout de suite. Et je doute que tu sois bien accueilli si tu vas à la porte de l'Olympe demander à sortir. Tu peux rester un peu. Le temps que je puisse te renvoyer d'où tu viens.

Puis je bâillais, et me détendis contre le trône d'ébène et de marbre, aux dorures et aux incrustations de pierres précieuses.

- Dis-moi donc, en attendant... Comment se débrouillent les mortels en ce moment. Je n'ai guère eu l'occasion de sortir récemment.

Suite à son emportement vis-à-vis de la situation, et la réponse froide d’Hébé, comme la jeune femme se présenta, Mach s’était calmé et avait répondu aux questions de la demoiselle. Celle-ci se montrait nue, sans pudeur aucune devant le jeune homme auquel elle dit qu’elle ne savait pas comment il était arrivé ici. Le mercenaire en soupira, comprenant qu’elle ne pourrait lui dire ce qui était arrivé et surtout pourquoi. La déesse alla donc se vêtir un minimum avant d’émettre une hypothèse.

- Mais pourquoi ?...

Demanda t il sans vraiment attendre de réponse à ce sujet tout de même. Mais, le moment fut venu de quitter les bains, et la jeune femme demanda à Mach de le suivre dans une piève voisine, alors que ses prêtresses s’éclipsaient. Il la suivit sans un mot, alors qu’elle s’installait sur un trône et commença à expliquer la situation du jeune homme. Elle lui révéla aussi enfin le nom du lieu où ils se trouvaient, l’Olympe. Et même si cela n’eut rien de drôle ou amusant, Mach sourit en se disant que le lieu des Dieux de la mythologie grecque existait finalement réellement.

Mais, avant qu’il n’ait le temps de faire un commentaire, alors qu’Hébé le scrutait du regard, celle-ci reprit la parole. Tout d’abord, cela fut pour révéler son métier, montrant un bon sens de l’observation, ou de l’utilisation de ses facultés. Mais, une fois de plus, elle ne le laissa pas répondre pour lui annoncer qu’il se retrouvait coincer dans ce lieu, et visiblement avec une liberté de mouvement des plus restreint. Mais, la déesse décida de l’héberger un temps, le temps qu’elle trouve le moyen de le faire rentrer sur Terre.

Il fallut bien avouer que le fait qu’elle ne puisse pas le faire dans l’immédiat le surprit un peu, puisqu’elle était une déesse tout de même, et devrait donc avoir assez de facilités pour faire ce qu’elle voulait.

- Dois je me considérer comme prisonnier ?

Demanda par simple politesse Mach, alors que la déesse semblait s’ennuyait désormais, comme si l’arrivée de cet humain était déjà loin derrière elle, et donc sa surprise et colère aussi. Bien sur, cette réaction lui laissait penser que cela ne serait pas le cas, mais, il valait mieux mettre directement carte sur table. D’autant plus qu’il allait falloir qu’il trouve de quoi s’occuper en attendant qu’il puisse rentrer. Mais, pour cette seconde partie, Hébé lui donna une brève occupation puisqu’elle lui demanda ce qu’il se passait sur les mondes mortels puisqu’elle ne s’y était visiblement pas rendue depuis longtemps. Et quel en aurait été l’intérêt pour une déesse hein ?

- Bah comme on peut s’y attendre, chacun cherche à tirer profit de quelques choses. Même si certains se contentent de plaisirs simples et de vies paisibles D’une certaine façon, s’est la loi du plus fort qui l’emporte. Et cela l’est bien plus visible sur Terra que sur Terre ou l’évolution de la société à rendu ses habitants plus fourbes et leur faire dissimuler leurs intentions sous des masques d’indifférence ou de comédie. Enfin, je parle d’évolution, mais ne peut dire cela qu’avec ce que l’on nous apprends dans les livres d’Histoires, et la réalité avant ma naissance était peut être tout autre….

Le portrait qu’il venait de faire n’était guère réjouissant, mais était il réellement faux ? Loin de là puisque finalement quelque soit la forme et le régime de la société humaine sur Terre ou Terra, chacun prêchait souvent pour sa propre paroisse au détriment des autres personnes les entourant. Et que ceux-ci le masque sous de fausses bonnes intentions ou non, la nature de l’homme était ainsi faite au final. Oh, il y avait des exceptions bien sur, mais elles étaient tout de même assez rares.

- Est-ce indiscret de vous demandez pourquoi vous vous êtes cloitré dans l’Olympe donc ? Enfin, si cela est de votre volonté bien sur !

Demanda Mach en réponse à la remarque sur le fait qu’elle n’était pas sortie depuis longtemps. Il cherchait donc à savoir si s’était de son propre fait ou non donc.