Une exposition bien spéciale. (Libre)

Des gémissements ponctués de petits gruinements résonnaient dans la chambre luxueuse, le tout mêlée de claquements de peau. Kei servait encore une fois de jouet à un autre pervers qui avait l'or pour s'offrir tous les esclaves qu'il voulait. Elle se faisait cette fois prendre en levrette dans le grand lit à baldaquin, en subissant les habituels "compliments" qu'elle devait chaque fois subir.

-Quel cul, t'es vraiment une grosse truie bonne à baiser!

Kei ne dit rien, seul des gruinements et des gémissements sortaient de sa bouche. Elle était habituée à ce genre de paroles mais ça restait désagréable à entendre. La verge du noble la ramona avec force, s'enfonçant toujours profondément. Le maître lâcha bientôt un grognement avant de déverser sa semence dans la chatte de la porcinette avec un rictus satisfait.

-Héhéhé ... vraiment bonne ....

L'homme la repoussa du lit sans douceur, s'étendant dessus. Il avait réussi à louer cette esclave à bon prix. Même si cette terranide était basée sur un animal de ferme, ça restait plutôt excitant, étrangement. Le noble aurait cette cochonne pour lui pendant deux longues journées, il fallait en profiter au maximum .... et une idée lui germa en tête. Kei se releva, gardant une main entre ses cuisses pour éviter que la semence de son maître du moment ne tache le sol, sinon elle savait qu'elle allait subir le fouet encore une fois.

-Va te laver, grosse truie et te casse pas la tête à mettre tes chiffons, on va faire un petit tour dehors, héhéhé!

-Bien, maître ...

Kei inclina la tête, submissive. Elle se dirigea vers la salle de bain, où un bac d'eau fût chauffée. Elle profita de cette occasion de pouvoir se sentir propre, même si elle se doutait que ça ne durerait pas longtemps. Lorsqu'elle eût terminée et qu'elle revînt voir son maître, des poignets et ses chevilles furent enchaînés. Le maître et ses gardes personnels la forcèrent à avancer dans les rues d'Ashnard complètement nue, elle fût amenée dans les quartiers pauvres et mal-famés, où n'importe quel gueux pourrait aisément décider d'égorger le noble ou bien de chercher à violer l'esclave qui y était amenée de force. Les gardes tinrent fermement les chaînes reliées aux liens de Kei alors que le noble dévoila le programme.

-Héhé, comme je suis généreux, je vais laisser ces pauvres crottés du quartier jouer avec mon esclave, j'espère que tu offrira un bon spectacle, gros jambon!

Kei répondit par un simple gruinement, le regard baissé. Les soldats installèrent des râtelier contenant des jouets et des accessoires de toutes sortes. Il y avait même des costumes de toutes sortes et, bien sûr, des fouets et des cravaches. Kei allait subir tous les caprices des gens qui passeraient dans le coin, une journée horrible s'annonçait. Elle serait frappée, violée, humiliée ... L'ignoble noble se mit à crier pour attirer de potentiels "clients".

-Allez, allez, venez voir la plus grosse cochonne d'Ashnard! Noble ou gueux, vous pouvez lui faire ce que vous voulez! Fouets, costumes et accessoires fournis!

L'endroit était vide pour le moment mais nul doute que l'occasion serait trop belle pour les gens du quartiers qui ne pouvaient même pas se payer une fille de joie ...

Mach avait rejoint le royaume d’Ashnard pour y rencontrer son futur employeur. Mais, évidemment, il était là bien trop en avance. En fait, il avait même quelques jours d’avances, puisqu’il avait décidé, comme à chaque nouvelle venue dans une ville, surtout qu’il ne connaissait pas, de faire du repérage. Ainsi, cela lui permettait de se trouver des voies de secours sures en cas de pépins, mais aussi les lieux où il pourrait s’approvisionner à moindre frais, sans compter les hôtels où passe r l nuit.

Ainsi, une fois cette dernière chose de fait, le jeune homme se mit à parcourir la ville, en regardant discrètement tous les lieux où il allait pour les garder en mémoire et analyser cela une fois au calme. En tout cas, la ville était assez calme pour le moment, et peu de personnes dans les rues, ce qui était sans doute à cause de l’heure encore assez matinale qui régnait sur Terra.

Cependant, le mercenaire ne tarda pas à entendre, puis à voir lorsqu’il suivit le son, un homme en train d’appeler la foule pour jouer avec son esclave. Mach regarda alors dans la direction de celle-ci.  Celle-ci était une terranide porcine, ce qui le surprit plus que sa nudité, puisqu’il n’en avait encore jamais vu. Mais, elle était plutôt jolie et bien formée, malgré que la position dans laquelle elle était enchainée et maintenu par des soldats devait être loin d’être confortable.

- Ca m’a l’air d’être intéressant tout çà !

Dit Mach avec un sourire, alors que son regard se posait dorénavant sur la table avec les divers jouets qu’avait installés un autre groupe de soldat. Il s’avança alors vers le petit groupe avant de s’arrêter devant la femme porcine. Mais, son regard était posé sur le noble qui venait d’arrangeur la foule.

- On peut faire réellement ce que l’on veut d’elle ? Même la soustraire à vos liens !

Demanda t il avec une once d’humour. Mais, plaisantait-il réellement ou était-il sérieux. En tout cas, son regard montrait bien qu’il avait envie de s’amuser avec la demoiselle, sur laquelle il avait reposé les yeux, devant donc baisser la tête. D’ailleurs, son pantalon ne tarda pas à montré une bosse sur son entre jambe, alors qu’il avait une vue superbe sur tout e corps de l’esclave cette fois.

Quelqu'un osa finalement s'approcher de l'attraction de l'endroit, enfin quelqu'un qui voulait jouer publiquement avec la Buta retenue par des chaînes aux poignets. Elle était intimidée, évidemment, même si elle avait déjà subit pire. L'homme qui se présenta vînt s'adresser au maître. L'individu voulait être sûr de pouvoir faire ce qu,il voulait, apparemment, il posa la question aux nobles, faisant même ce qui devait être une blague en demandant s'il pouvait lui retirer les liens qui l'entravaient.

-Si c'est plus commode, et bien oui mais je vous averti: Si vous essayez de partir avec, mes hommes auront tôt fait de vous saigner à blanc!

Kei, elle, garda les yeux rivés sur l'homme, elle savait bien qu'elle n'allait pas passer un bon moment, elle se ferait encore une fois tripoter par des mains indésirables, elle prendrait peut-être des coups de fouet ou de cravaches, et sans doute qu'elle devrait porter des tenues gênantes ... c'était le lot d'une esclave Terranide à Ashnard. La porcinette resta bien docile, soumise au moindre traitement des gens qui approcheraient.

-Et bien, si tout est clair, amusez-vous avec cette grosse truie. Il y a des cravaches, des costumes, des jouets de toutes sortes. Nous avons même un pilori!

Le noble pointa la petite structure de bois non-loin, qui laissait de la place pour la tête et les mains, permettant de retenir une personne prisonnière. C'était là la façon parfaite de prendre la pauvre Buta en levrette de façon humiliante, en ajoutant peut-être une pancarte remplie de choses insultantes. Sentant l'humiliation arriver, Kei lâcha un petit gruinement effrayé ...

Mach avait rejoint la zone où une esclave était mise à la disposition de qui voudrait bien s’amuser avec elle. Et, ayant pas mal de temps à perdre, l’homme décida donc qu’il en ferait partie. Il était donc venu se placer devant la Buta qui le regardait avec inquiétude, alors qu’elle était attachée par des chaînes. Ce qui dans certaines conditions et positions n’était pas forcément pratique pour prendre du plaisir. Si bien qu’il demanda à son propriétaire, qui n’était en fait qu’un locataire, bien que le jeune homme ignore ce fait, s’il avait le droit de la détacher. Et s’était bien le cas, même si le noble le mit en garde, et ses soldats posèrent leurs mains sur leurs épées en signes approbateurs. Mach se contenta de sourire.

- Vous n’avez qu’à essayer…Mais, à vos risques et périls !

Dit-il alors qu’il rendit son arme à feu bien plus visible d’un geste de la main. Mais, il ne s’en préoccupa pas plus que cela, alors que les soldats reprenaient leur calme, certains déglutissant légèrement en montrant qu’ils savaient les effets d’une telle arme. Le jeune homme, dont le sexe commençait à durcir, se tourna alors vers l’esclave toujours inquiète, mais qui ne semblait pas refuser son sort, au contraire, elle semblait si soumettre assez aisément.

- Si cela peut te rassurer, je n’ai pas l’intention d’utiliser de fouet ou de cravache, sauf si tu le demandes bien sur !

Marmonna t il à son oreille, alors qu’il la détachait de ses liens. Son propriétaire reprit alors la parole pour l’encourager à commencer son petit jeu. Mach s’éloigna alors de la terranide, en direction de la table, et regarda un peu ceux-ci. Il fallait dire que le choix était impressionnant, et il ne savait par où commencer. Si bien qu’il se tourna vers l’esclave.

- Et si tu venais choisir un costume qi selon toi serait le plus à même de faire monter mon excitation ?

Dit-il assez calmement en se disant que cela serait de toute façon plus facile de choisir après une petite séance d’essayage. Et cela, même si le fait qu’il lui laisse choisir la surprendrait peut être. Et puis, rien ne lui empêchait de la faire se changer, aussitôt vêtue, puisqu’il était le nouveau maître pour un temps.

L'homme jouait les arrogants, ce qui ne plaisait pas au noble. Les gardes avaient leur main posées sur la garde de leur épées, mais l'individu n'hésita pas à montrer un objet interdit: une arme à feu. Le noble fût mal à l'aise, reculant de quelques pas. L'homme, quant à lui, vînt marmonner à l'oreille de Kei pour la rassurer en lui disant qu'il n'utiliserait pas le fouet ni la cravache. Il amena la Buta à la table où les divers costumes étaient posés, il lui demanda même quel costume elle préférerait. Kei poussa un gruinement surpris, d'habitude, on ne lui demandait pas son avis ... celui-là était libre de lui faire porter n'importe quoi, costume de soubrette, habit de sado-maso avec culotte sans fond, même une tenue en cuir moulant qui n'avait des ouvertures que là où ça comptait ... Kei ne pu que répondre que ce qu'elle savait répondre.

-Je ... je ne sais pas maître, je porterai ce que vous désirez.

Pendant que l'homme était occupé à vérifier les costumes disponibles, le noble en profita pour chuchoter à l'oreille de l'un de ses subordonnés, qui s'éloigna des lieux discrètement. Le noble en profita pour faire ses propres suggestions en matière de costume.

-Faites-lui mettre celui-là, messire, il lui va très bien, je vous l'assure!

Le noble pointa une sorte de costume de serveuse de taverne, qui avait une jupe très courte et qui laissait les seins à l'air, laissant un accès facile à l'anatomie de la porteuse.

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Pour sa part, Kei ne protesta pas, elle attendit simplement l'avis de l'homme inconnu avant d'enfiler quoique ce soit.

La jeune femme le rejoint bien vite près de la table quand il lui demanda de venir choisir s propre tenue. Demande qui sembla la surprendre, et auxquelles, elle n’apporterait finalement pas de réponse. Cependant, pour la première fois depuis son arrivée, la buta prenait la parole, et sa voix était plutôt jolie à entendre. Mais, cela n’allait pas aider le mercenaire dans son choix. Il tourna alors son attention sur la table à regarder les diverses tenues  disponible.

Mais, son regard ne tarda pas à être aussi attiré par le noble qu’il vit murmurer quelque chose à l’oreille de l’un de ses soldats avant que ce dernier ne s’éclipse en pensant être discret. Ce qui venait d’être raté, même si la seule chose qui pourrait laisser penser que Mach l’avait vu était le sourire qu’il afficha alors, bien que cela pourrait aussi signifier qu’il avait trouvé ce qu’il allait faire porter à la jeune femme. Mais, une chose était sure, s’était que ce que le soldat était allé chercher risquait d’être une source d’ennuis pour Mach. Mais, ce dernier laissa cela de côté et gèrerait la chose le moment venu.

En tout cas, voyant son hésitation, le noble suggéra alors une tenue à faire porter à son esclave. Par politesse, le jeune homme regarda la tenue présentée, et il était vrai que s’était plutôt pas mal. Mais, son regard était tombé sur autre chose, même si cela pourrait surprendre de le voir ici alors qu’elle était originaire de la Terre. S’est d’ailleurs en voyant cela qu’il eut une nouvelle question pour le noble.

- Ses affaires étant votre propriétés, je me demandais, si cela avait de l’importance, si dans le jeu que vous avez instaurez, je venais à en abîmer certains, surtout dans les tenues ?

Demanda t il en regardant l’homme. Mais, il n’attendit pas spécialement la réponse de ce dernier pour se tourner vers l’esclave, un maillot de bain scolaire à l main.

- Bon, si on commençait par celle là, hein !

Dit-il avec un sourire malicieux en tendant le maillot à la jeune buta, qui ne semblait montrer aucun remords ou réticence à se prêter au jeu de son maître, alors qu’elle savait ce qui allait lui arriver.

- Et une fois que tu l’auras mise, que dirais tu de commencer à t’occuper de moi ? J’en connais un qui ne semble attendre que cela ! A moins que tu ne préfères m’exciter davantage en te donnant toi-même du plaisir ?

Dit Mach avec un sourire avec un sous entendu évident, lorsqu’on voyait la bosse au niveau de son entrejambe. S’était un nouveau choix qu’il faisait à la demoiselle, même si cette fois, quelque soit celui  qu’elle ferait, elle n’échapperait de toute façon pas à l’autre non plus.

Le "client" fît le tour des tenues, l'habit de tavernière ne semblant pas à son goût, il jeta son dévolu sur un vêtements de la Terre, c'était en réalité un maillot de bain une pièce qui venait d'un lycée terrestre, bien que le noble n'en savait rien. Il avait tout simplement acheté ce truc d'un marchand ambulant qui avait simplement dit que "ça venait de très, très loin". L'homme voulu savoir si l'état des vêtements importait au noble.

-Évitez de les réduire en lambeaux, si possible, pour qu'elle puisse les réutilisez.

Comme le choix était fait, Kei enfila le maillot, qui moulait bien ses courbes. Alors qu'elle finit de se vêtir du maillot, Kei fût confronté à un nouveau choix: se masturber pour offrir un spectacle ou bien commencer tout de suite à s'occuper des besoin du client. Ne sachant trop que choisir, Kei s'agenouilla devant Mach à tout hasard, lui défaisant son pantalon pour sortir la verge dressée. Lâchant un petit gruinement, Kei se mit à lécher l'organe et à finalement le prendre en bouche, offrant une fellation à l'homme. Et visiblement, elle en avait l'habitude, ce qui est peu étonnant vu le nombre de fois ou une quéquette lui avait été enfoncée dans la bouche de force. Ses doigts glissèrent au même rythme que ses lèvres sur la verge, Kei fît de son mieux pour satisfaire le client, de peur de prendre des baffes si ce n'était pas suffisant. Elle continua ainsi jusqu'à ce que le client décide de passer à autre chose. Pendant ce temps, le noble admirait la scène avec un rictus aux lèvres.

Bon, s’amuser à déchirer le maillot à un moment pour en dévoiler les meilleurs morceaux, du corps de la buta évidemment, serait donc à proscrire au vu de la réponse du noble. Bien qu’en y réfléchissant bien, il y aurait surement un moyen de le dédommager par la suite, ne serait ce qu’en lui en ramenant un nouveau pour le remplacer. En tout cas, l’esclave fit rapidement son choix et ne perdit pas de temps pour le mettre en application. En effet, le mercenaire ne tarda pas à sentir les mains de celle-ci descendre s sa braguette pour en sortir le pénis et se mettre au travail.

- Hmmm…Tu fais cela bien….Je vois que je ne suis pas le premier à te tester…

Dit-il , bien que cela était une évidence, puisque le noble avait déjà du prendre son pieds avec cette dernière. Mach avait penché légèrement la tête en arrière alors qu’il profitait pleinement de la fellation. Puis, se reprit, sans faire cesser l’esclave, qui pouvait sentir la queue de l’humain frémir et grossir au fur et à mesure que l’excitation montait.

- Je vais tout de même prendre cette liberté, si vous le voulez bien. Mais ne vous inquiétez pas, je sais où m’en procurer d’autres pour les remplacer.

Dit-il à l’attention du noble pour le rassurer, alors qu’il pouvait donner l’impression d’avoir laissé de côté l’esclave. Mais, il vint rapidement y poser ses mains sur la tête et imposer son propre rythme de pénétration buccale. Ainsi, il finit par lui baiser littéralement la bouche, faisant par moment entré profondément son membre en elle.

- Bon, aller, passons à autre chose !

Dit-il avant de faire cesser la fellation et releva la jeune femme pour qu’elle soit debout. A ce moment là, il la colla à lui et l’embrassa fougueusement d’un long baiser où leurs langues se rencontrèrent. Ses mains vinrent se placer sur les fesses de la buta qu’il se mit à malaxer fermement pendant quelques temps avant de s’écarter légèrement, conservant leurs bassins collés. D’ailleurs, son membre bien raide s’était glissé entre les cuisses de la jeune femme et se frottait à présent sur la partie du maillot couvrant son intimité.

- Et si vous me disiez ce que votre soldat est aller faire ?

Demanda t il au noble sans pour autant le regarder, alors qu’il préférait la jeune femme qu’il avait sous les yeux.  Une man quitta alors les fesses pour récupérer un gode, qu’il vint alors frotter contre la raie anale de la buta.

- Alors, tu aimes ?

Demanda t il avec un sourire malicieux alors que le jeu ne faisait que commencer.

La bouche  de Kei se fît aller plus vite lorsque la main du client se posa derrière a tête pour imposer un nouveau rythme. Elle sentit ses lèvres toucher le pubis de l'homme tellement il enfonçait sa verge bien profondément. La porcinette ne broncha pas, continuant à engloutir cette bite avec vigueur. Peu après, elle se releva et ses lèvres s'écrasèrent contre celles de Mack, sa langue jouant avec la sienne.

-J'espère que vous dites vrai, ce vêtement inconnu m'a coûté un bras!

Les mains de l'homme agrippèrent les fesses bien en chair de la Buta pour les tripoter pendant le baiser langoureux. Kei pouvait sentir son engin entre ses cuisses, frottant sur le tissu du maillot, bien qu'elle n'ait pas spécialement de plaisir, Kei commençait à mouiller, réaction naturelle du corps face à l'excitation. Mach demanda au noble ce qu'il avait dit au garde. Bien qu'agacé, le noble évita de le montrer, se contentant de répondre.

-Rien d'important, juste d'aller régler une petite affaire que je n'ai pas envie de régler moi-même pour le moment.

Kei sentit un godemiché de bois verni frotter contre sa raie, ce qui la fît frissonner un peu. Son anus allait apparemment se faire étirer aujourd'hui, même s'il elle s'y attendait plutôt. Après tout, elle était une esclave exposée publiquement, les gens pourraient mettre leur engin où ils voulaient et elle ne pouvait pas protester.

-O ... oui, maître.

Ce n'était pas vrai, évidemment. Kei ne faisait qu'obéir, si elle avait eût le choix, elle aurait été s'établir ailleurs et jouir de sa liberté, au lieu d'être à la merci des humains. Mais elle n'avait pas ce choix, ne l'avais jamais eu et n'espérait pas avoir un jour sa liberté. Tout ce qu'elle pouvait faire, c'était obéir en espérant tomber sur un maître moins dur que les autres.

Alors que Mach mettait fin à la fellation faite par la femme porcine, l’homme qui en avait la charge s’inquiéta alors du fait de retrouver son vêtement intact, doutant visiblement du fait que le mercenaire serait apte à lui en ramener de nouveau. Mais, avant de lui répondre, se demandant même s’il le ferait, le jeune homme s’occupa de la buche de la demoiselle, sans se soucier du fait que cette dernière venait d’y avoir son pénis.

- Vous semblez ne pas me croire ? Pourtant, sur mon monde natal, on en trouve à la pelle !

Dit le mercenaire, sans se préoccuper du noble, mais bien de la femme avec laquelle il se trouvait Ses mains malaxant ses fesses, alors que son sexe s’était glissé entre les cuisses de la Buta, frottant dans de lents vas et viens l’intimité protégée de son amante. Celle-ci commençait d’ailleurs à mouiller et cela plu à Mach qui en sourit. Et alors qu’il posait une nouvelle question au noble, qui lui répondit de façon agacé qu’il ne devait pas s’en préoccupé, l’une des mains de Mach, agrippa le maillot et tira de façon à ce que la surface protégeant la vulve et l’anus de l’esclave soit de plus en plus fine et étroite à la manière d’un string. Ce qui améliora de façon non négligeable les sensations qu’il eut sur son membre, toujours en mouvements, alors que la demoiselle devait aussi mieux le sentir, malgré peut être le fait de se sentir un peu tirée par l’élasticité caoutchouteuse du maillot.

Il avait d’ailleurs agrémenté cela d’un autre contact sur l’anus puisqu’un gode avait été récupérait et frottait la raie autant que Mach lui laissait d’espace avec sa queue. La réponse, hésitante que lui fit alors la jeune femme ne lui sembla alors pas sincère, du fait aussi que son visage ne semblait pas exprimé de plaisir particulièrement. Mach libéra alors le maillot qu’il tenait d’une main, celui-ci venant claquer sur les fesses de la Buta, alors qu’il reprenait sa forme du mieux qu’il le pouvait

- Cela ne m’a pas l’air très sincère comme réponse çà !

Dit alors le jeune homme avant de venir embrasser la jeune femme fougueusement, rencontrant avec une certaine avidité sa langue.  Il s’écarta alors avant de retourner, peut être un peu brusquement la jeune femme, avant de l’inciter à se pencher sur la table avant qu’il n’y passe derrière. Sans savoir comment elle prendrait appui, le jeune homme s’accroupit alors, posant ses mains sur les fesses de la jeune femme, les écartant avant de venir y lécher l’intimité. Dans un premier temps ses mouvements de langues, suffisamment amples pour passer à la fois sur ses lèvres intimes et son anus, le firent à travers le maillot.. Mais, il finit par venir l’écarter d’une main, pour venir la passer directement sur la peau et ses zones sensibles.

- Alors, est ce que tu apprécies ? Et sincèrement cette fois ?

Demanda t il avant qu’il ne passe sa langue, l’enroulant autour du clitoris de la demoiselle avant de remonter, la faisant se faufiler entre les grandes lèvres, mais sans pousser bien loin avant de remonter. Arriver au bout de celle-ci, il redescendit et commença ses mouvements de monter descente, s’enfonçant ou non un peu dans la chatte humide de l’esclave.

Kei se redressa, ses lèvres rencontrant celles de l'homme, elle tâcha de se placer de façon à ce que son groin de gêne pas le baiser. Elle frissonnait en sentant la verge caresser son intimité à travers le maillot de main, alors que le gode en bois, lui, frottait contre sa raie. Elle lâcha un petit gruinement de surprise lorsque Mach tira sur le maillot, le faisant se resserrer sur ses parties intimes. L'homme n'était pas convaincu par la façon dont Kei avait répondu à sa question, Kei n'appréciait pas spécialement le traitement, c'était quelque chose de plutôt normal pour elle, un peu comme on ne prend pas spécialement de plaisir à coller une amende lorsque l'on est policier. Elle le faisait, et c'est tout. L'inconnu finit par la retourner afin qu'elle se penche sur la plus proche table, elle s'exécuta sans protester. Elle sentit les mains de l'homme se poser sur ses fesses et sa langue caresser son entre-jambe à travers le maillot, lui arrachant de doux gémissements ponctués de légers gruinements comme elle en avait l'habitude. La langue gourmande finit par entrer en contact direct avec la chair, le maillot écarté et Mach réitéra sa question en demandant une réponse sincère. Kei s'efforça d'être plus convaincante, cette fois.

-Aaah ... oui ... maître ...

Elle ne pouvait nier que la langue de Mach lui offrait des sensations plaisantes, du moins, plus que lorsqu'un gros pervers la sodomisait à sec sans lui demander son avis. Pour elle, ce n'était tout de même pas vraiment agréable, juste "moins pire". Sa chatte, par contre, semblait croire autrement, vu la cyprine qui s'écoulait pour lubrifier l'antre chaud et alléchant de la terranide. Le noble continua d'observer, la scène le détendait un peu, il était moins préoccupé. Il regarda autour, voir si d'autres gens n'allaient pas décider de participer, cela donnerait un excellent spectacle, une buta servant de jouet pour une petite foule d'inconnus, surtout que les clodos du coin devaient s'être passé de baise pendant pratiquement des années.

Kei se retrouvait désormais coucher sur la table, ou du moins penchée dessus, alors que Mach, accroupie, s’occupait de léchait son entrejambe. Celle-ci mouillait plutôt abondamment, si bien, que ces propos, en réponses aux questions du mercenaires, avaient beau être mitigés, et pas forcément convaincant, même si on notait un certain effort, son corps, lui appréciait le traitement. Si bien que l’homme, qui malaxait ses fesses en même temps, finit par y faire entrer sa langue, dans le vagin humide, pour en fouiller l’antre .Et, il ne se priva pas pour y aller aussi loin qu’il le put, alors qu’il entendait gémir l’esclave

- Et bien, je vois qu’on s’amuse bien ici !

Dit un homme qui arriva de derrière le noble, et qui avec un sourire des plus ravie regardait la porcine se faire lécher. A son allure, on voyait clairement qu’il s’agissait d’un clochard, voir même sans doute déjà bien éméché au vu de la bouteille qu’il tenait en main. Mach, l’entendit et le vit alors approcher avec l’approbation du noble. Mais, le mercenaire qui n’avait pas l’intention de s’arrêter ne s’en préoccupa pas. Ses mains caressèrent alors ses hanches, remontant le corps pour venir prendre la poitrine des plus voluptueuses en main, et la choyer à son tour de caresse et de massages.

-  Je suppose qu’une queue de plus ne te déplairait pas demoiselle hein !

Dit l’homme qui baissait déjà sa braguette devant le visage de l’esclave. L’odeur de l’homme, déjà peu agréable par la saleté qu’il portait depuis le temps, ne fit que s’aggraver avec l’odeur de cette zone. Même Mach pouvait la sentir, et ne l’appréciait guère. Il était à deux doigts de se relever et de dire à l’homme d’aller se laver d’abords quand ce dernier reprit la parole.

- Allez ma belle enfourne là !

Chose qu’il ne lui laissa même pas le temps de faire, puisqu’il lui ouvrit la bouche et lui inséra directement, en commençant des vas et viens assez brutaux. Mais, sa queue était bien plus petite que celle de son partenaire, occupé à fourrer sa langue dans la vulve porcine et en récupérer le nectar. Si ce dernier avait espéré en profiter seul, il venait de voir cela passer sous son nez, même si en utilisant la force, il pourrait l’en empêcher,, bien que cela déplairait surement au noble.

Le noble étira un rictus amusé face à la scène, un autre individu avait décidé de se joindre à cette petite sauterie, rien de moins qu'un malodorant clochard sale et répugnant. Kei frissonna de dégoût lorsque son groin détecta l'odeur de l'individu crotté qui venait se placer devant elle afin de lui enfourner sa verge dans la bouche. La Buta était habituée à bien pire mais ça lui déplaisait tout de même, bien qu'elle ne broncha pas. Elle poussa des gémissements étouffés en sentant la langue de l'homme derrière elle, le clodos lui prenant la tête en bougeant le bassin pour se complaire dans la bouche de la porcine.

-Mettons un peu de piquant, messieurs, voulez-vous?

Le noble s'approcha de la table d'accessoire pour y prendre une cravache, avec laquelle il claqua l'une des fesses rondes de l'esclave en faisant attention de ne pas frapper le client au passage. Kei lâcha un petit cri étouffé, le noble frappa à nouveau mais sur l'autre fesse, cette fois, en ricanant. Il déposa ensuite l'accessoire sur la table.

-Laissez-vous aller, cette petite traînée prendra tout ce que vous lui donnerez!

Kei avait maintenant les fesses rouges, le clochard prenait son pied, amusé par ce que le noble venait de faire subir à l'esclave. Comme le noble leur avait dit de faire ce qu'ils voulaient avec Kei, le gueux ne se retînt pas d'être un salaud, giflant la terranide.

-Allez, bouffe-la, grosse truie! Hahaha!

Kei s'efforçant d'offrir une meilleure fellation, la joue rouge. La pauvre terranide n'était décidément pas au bout de ses peines ...

Alors que Mach jouait de sa langue sur les lèvres vaginales, l’anneau rectal et le clitoris de la Terranide, le clochard fraichement arrivé, ne s’était pas privé pour venir lui enfourner son gourdin dans la bouche et la baiser littéralement. D’ailleurs quelque chose dans les mouvements que fit Kei sur le moment, lui laissa penser que cette nouvelle arrivée n’était pas de son goût, et rien qu’à l’odeur que le mercenaire pouvait sentir  d’où il était, il en comprenait un peu les raisons Mis, pouvait il y faire quelque chose, surtout que la Buta se mit étrangement plus à mouiller, cyprine qu’il récupérait facilement dans sa bouche.

Cependant, il ne tarda pas à entendre le noble prendre la parole, se réjouissant visiblement de la scène qu’il avait sous les eux. Mais, quelque chose de malsain transparaissait de lui, et le jeune homme accroupit derrière la croupe de la jeune esclave ne tarda pas à comprendre quoi. En effet, un claquement de fouet ne tarda pas à arriver sur les fesses de la demoiselle, manquant de peu de toucher Mach au passage. Ce dernier leva les yeux vers le noble, le foudroyant du regard, presqu’en le menaçant d’ailleurs

Mais, en tout cas, son geste semblait avoir excité le badaud qui se mit aussi à battre Mach, qui aurait bien envoyé tout le monde boulet si le nombre n’était pas contre lui. Il se contenta donc de jouer avec l’intimité de Kei. Sa langue finit par quitter l’intérieur de l’antre chaud et confortable pour remonter sur son anus. Sans attendre, il fora l’entrée de ce dernier, sans violence pour autant, contrairement à son partenaire. Une main quitta le corps de la demoiselle pour venir farfouiller sur la table, et récupérer le gode précédant.

- Alors on aime se faire prendre de la sorte ?

Demanda t il d’un air faussement méchant pour tromper son entourage surtout. Sa queue toujours en érection, montrait en tout cas, qu’il y prenait toujours un certain plaisir. Ramenant sa main avec l’objet sur les fesses de la Buta, ce dernier commença à les caresser avec ‘objet, ce qui devait sans doute laisser croire que l’homme remplacerait sans doute la langue par ce dernier.  Cependant, la langue ne sortit nullement de son antre anal étroit, qu’il ramonait calmement, puisqu’il fallait tout de même lutter contre les parois et les réactions de la jeune femme. Non, le gode vint titiller les lèvres vaginales et le clitoris un moment avant d’écarter les premières pour s’enfoncer profondément en l’esclave. D’ailleurs, Mach le poussa du maximum que l’objet le pouvait avant de commencer de lents vas et viens, alors que le clochard s’occupait toujours de sa bouche. D’ailleurs, ce dernier semblait sur le point de se vider en elle, en y prenant beaucoup de plaisir.

"L'exposition" se poursuivit, la porcine servant de jouet à un mercenaire et un clochard qui passaient dans le coin. Kei sentit la langue de Mach glisser sur son sphincter alors que le puant clochard continuait de lui baiser la bouche dans aucune retenue. La Buta se retenait de vomir à cause de l'odeur dégoûtante. Ses lèvres vaginales furent bientôt stimulées, la faisant frissonner alors que le mercenaire derrière elle continuait de la lécher tout en frottant doucement un gode sur son intimité. Elle poussa des gémissements étouffés lorsque l'objet la pénétra, pendant ce temps le clochard lui tenait la tête à deux mains, comme si  c'était un objet qui servait à se masturber. Il accompagna le tout de mouvements de bassin, relevant la tête en grognant après quelques instants. Il relâcha sa semence dans la bouche de Kei, dégoulinant de ses lèvres avant de retomber sur la table. L'homme sale lâcha un rire, satisfait, avant de ranger sa virilité dans son pantalon.

-C't'une putain d'bonne truie! Héhéhé. J'fais une pause mais t'en fait pas, la grosse, après j'viens défoncer ton gros cul, hahaha!

Le noble, lui, était bien amusé par l'humiliation que devait subir la porcine, il ne manqua pas de passer sa main à son entre-jambes, caressant sa virilité à travers ses vêtements. Les gémissements de l'esclave se firent entendre plus clairement, maintenant qu'il n'y avait plus de phallus sale et puant pour lui remplir la bouche. Le noble se rapprocha avec sa cravache et frappa de toutes ses forces au niveau des reines de la porcine, au-dessus des fesses, lui arrachant un cri de douleur. Le vil noble s'esclaffa avant de recommencer, n'ayant visiblement pas la moindre considération pour la Terranide.