Un blessé indésiré [PV Shika Hanamy]

Le jour commençait à peine lorsque Mach pour se réfugier, s’était retrouvé dans l’enceinte du Lycée. Mais, ce choix avait eu aussi une autre raison pour le pousser à pénétrer dans ce lieu d’étude. En effet, le jeune mercenaire visait l’infirmerie du Lycée pour soigner une blessure qu’il avait à l’épaule. Il était tombé dans une échauffourée, et un gars armé d’un couteau avait réussi à le lui planter dans celle-ci.  Et même si le combat avait finalement bien tourné pour lui, le jeune homme avait une blessure à soigner à présent.

Après quelques temps de recherches, alors que l’aube se levait sur la ville, Mach finit par trouver la salle qu’il cherchait. Malheureusement, cette dernière n’était pas vide, puisque l’infirmière avait été matinale et se trouvait déjà là. Bien sur, il aurait pu, et imagina même, la réduire au silence, mais, il fit du bruit, et attira l’attention sur lui. Il se prépara donc à mettre son plan à exécution, quand le demoiselle lui demanda de se calmer et d’approcher pour soigner sa blessure. Avec suffisamment de calme et de volonté pour que Mach lui fasse confiance.

Elle le fit alors s’installer sur un lit, et se mt à le soigner. Si bien qu’à la première heure de cours qui fut marquée par un son de cloche, Mach avait son épaule bandée, et se reposait sur un lit de la pièce. Il ne dormait pas certes, mais, prenait du repos dans un lieu sur. Surtout que la demoiselle l’avait coupé du reste de l’infirmerie en tirant les rideaux séparant sa zone du reste, un peu comme un box. Il put donc entendre les élèves souffrant, ou simulant, puisque l’infirmière était assez jolie, passé dans l’infirmerie, sans qu’il ne voit le temps passer, même si ce dernier lui paraissait long.. Il se distrayait des remarques qu’il entendait, lui faisant parfois afficher un sourire amusé.

Les cours avaient commencés , et je m'ennuiais a mourir . Les mathématiques étaient la matiêre que je détestais le plus au monde , tout ces chiffres , ces racines , ces carrée  sa me passer au dessu de la tête . Aussi , ce matin-ci , je décida de trouver une excuse pour échaper a cette heure . Mon cerveau cogité , cherchant un pretexte pour atteindre l'infirmerie , une maladie que l'on ne vérifie pas ... le mal de ventre , cela me semblais crédible , je me leva donc et expliqua en deux mots mon " mal de ventre " et elle me laissa partir immédiatement . eh oui , voilà a quoi sa sert l'intelligence , prenez exemple sur moi . Enfin bref , lorsque je poussa la porte de l'infirmerie , je vis que l'infirmière était partis ... tant pis , au moin , je n'étais pas en math et c'étais le principale . Je m'avancais tout de même , la pièce semblait vide , mais la véritée était tout autre . En effet , un homme semblait se reposer sur un lit , bizzare , m'enfin je passa devant et pris place sur un lit.

Mach se reposait donc tranquillement à l’infirmerie du Lycée de Seikusu. Et même s’il serait bien parti, puisque sa blessure n’était pas si grave, le repos serait mérité, et pendant ce temps, au moins, il n’aurait pas à craindre de se faire arrêter. A moins que l’infirmière qui l’ait soigné ait décidé d’alerter les autorités. En effet, voir arriver un homme armé dans un établissement scolaire n’avait rien de rassurant, surtout qu’en étant blessé on supposait aisément qu’il n’était pas net. Mais, une part du mercenaire se disait qu’elle ne dirait rien, surtout à la façon dont elle l’avait presque forcé pour le soigner

La demoiselle était donc partie, laissant le jeune homme seul dans l’infirmerie dans un box isolé pour éviter d’attirer l’attention sur lui. Combien de temps, il s’écoula avant que la porte s’ouvrit de nouveau ? Mach l’ignora, mais il ne broncha pas non plus, jusqu’au moment, où il vit une autre jeune femme passait au pied de son lit, lui jetant à peine un regard, alors qu’elle cherchait l’infirmière visiblement.

- Si tu cherches l’infirmière jeune fille, elle est sortie il y a de cela un petit moment !

Dit-il calmement en jetant un regard à la demoiselle, plutôt jolie, alors que celle-ci s’allongeait sur un lit. Il ne se demandait pas la raison de la présence de l’étudiante, se disant que cela devait être un problème typiquement de jeunes actuels qui s’avéraient moins résistants qu’à son époque, même si le jeune homme n’ait jamais vraiment allé à l’école. La vie l’avait simplement formé et il n’enviait pas l’état d’esprit des jeunes d’aujourd’hui.

Il resta donc allongé sur  son lit, replongeant son regard sur le plafond, n’ayant pas grand-chose d’autre à faire de vraiment excitant, alors que l’ennui prenait place.

Eh mince elle était vide .. mais attendez qu'est - ce que je raconte moi ? c'est mieux qu'elle ne sois pas là , au moin je n'aurais pas à faire semblant de quoi que ce soit .

- Si tu cherches l’infirmière jeune fille, elle est sortie il y a de cela un petit moment !

- Merci , ce n'est rien , je vais me reposer quand même ..

 je partis donc vers le lit  , mais qui était-il au juste , plus tôt je ne m'y était attardée que très brièvement mais .. maintenant que je suis allongée sur un lit et que je n'ai rien d'autre a faire que de réfléchir , je dois bien convenir que sa présence ici était très peu normale , bah c'est vraie quoi , un homme en tenue de combat  blessé ainsi , il ne pouvait guère s'être fait cela au réfectoire ou bien en sport d'autant plus qu'il n'avait vraiment pas l'apparence d'un élève ou d'un prof . Je jeta vers lui un regard interrogateur , mais je détourna le regard c'était mal polie de fixer les gens ainsi mais je rougis tout de même , d'après l'examen physique que j'avais fait de lui , il était plutôt beau garçon , oui moi tout les genre ou presque je les trouvés beaux après tout chacun a s on charme . Je me mis alors a regarder le plafond ne sachant pas trop quoi faire ... je vais vous décrire la pièce tant qu'à vous compter cette  histoire n autant vous donner le plus de détails possible non ?
Alors voilà , les  murs blancs caverneux me donner la chaire de poule , un grand bureau trônait au milieux de la pièce , en pin me semblait-il  , pas de rideaux aux fenêtres , enfin peut-être avait -il était enlevé peut m'importe . Plusieurs lit répartis en box se trouvaient au fond de la salle , voilà , peut être ais-je oubliée quelque détails mais ils ont une importance bien  moindre pour la suite . Mais je ne pouvais sortir cette homme de ma tête .

- Que faites - vous donc ici ? vous n'êtes certainement pas un élèves ou un prof ... sans vouloir être indiscrète .   

Une jeune femme était entrée dans l’infirmerie, cherchant visiblement l’infirmière, et faisant presque pas attention à Mach, bien que cela ne le dérange pas. Ce dernier fit tout de même un commentaire sur le fait que l’infirmière n’était pas là, cela éviterait que la demoiselle ne la cherche en vain. Celle-ci le remercia alors avant de s’allonger sur le lit voisin de celui du jeune homme.

Ce dernier retourna alors un temps à ses occupations, qui n’étaient autres que s’ennuyer en fait. Puisqu’il n’y avait rien d’autre à faire.  Ainsi, de temps à autres, il regardait la jeune femme, encore adolescente à ses côtés, et ne tarda pas à s’apercevoir que la demoiselle lui lançait parfois des regards elle aussi. Serait-il à son goût ? Se demanda t il calmement avant qu’elle ne tourne à nouveau le regard pour le poser sur lui, cette fois, accompagner d’une prise de parole. Elle semblait d’ailleurs hésitante, comme s’il allait la manger si elle faisait une bourde.

- Je me suis fait soigner même si l’infirmière de ton école m’y a forcé. Comme tu l’as dit, jeune fille, je ne suis pas un étudiant, et me suis retrouvé dans l’enceinte du Lycée un peu par hasard, et suis tombé sur l’infirmière, ce qui m’a amené ici.

Répondit-il calmement, montrant que cela n’était pas indiscret, bien qu’il ne donne tout de même pas toutes les raisons qui l’avaient conduit ici.

- Et toi ? Tu ne sembles pas spécialement malade on dirait ! Alors pourquoi quitter l’horaire de cours ?

Il lui renvoya donc la question, pour maintenir la conversation ouverte, puisque celle-ci brisait l’ennui qui s’était installé chez le mercenaire jusqu’à l’arrivée de la jeune femme. Il la regardait d’ailleurs à présent, sans montrer de gêne quelconque, ou penser que cela serait impoli.

Couchée sur mon lit , je regardais le plafond , en pensant a tout et a rien , mais surtout a cet homme a côté , je me faisais violence pour ne pas le regarder mais mon regard était irrésistiblement attirer vers lui , comme  un aimant . je Retourna alors mon regard vers lui pour le regarder de nouveau , lorsqu'il me dévisagea aussi , mon teint vira au rouge écarlate , des rougeurs inattendues , il me regardait , je me sentais plus démunie et gênée que jamais je reporta alors mon regard sur les rideaux affreux de la pièce .

- Je me suis fait soigner même si l’infirmière de ton école m’y a forcé. Comme tu l’as dit, jeune fille, je ne suis pas un étudiant, et me suis retrouvé dans l’enceinte du Lycée un peu par hasard, et suis tombé sur l’infirmière, ce qui m’a amené ici.
 
- oh je vois , j'espère que ce n'est pas trop grave

- Et toi ? Tu ne sembles pas spécialement malade on dirait ! Alors pourquoi quitter l’horaire de cours ?

- eh bien . j'avoue que je cherchais un prétexte pour éviter un cour plus qu'ennuyeux hihi

Je commencais a ne pas regretter d'avoir commencer une conversation mais mon regard ne cessait de deriver vers lui , c'est très gênant , mais peut être comprendra - t -il qu'il me plait de lui même , m'évitant ainsi de le dire a voix hautes plus tard ce qui provoquerais surement un rougissement plus intense .

L discussion avait bien commencé entre les deux personnes allongées sur les lits voisins à l’infirmerie. Bien sur, les raisons de leurs présences ici étaient différentes, et Mach expliqua en partie la sienne à la jeune femme. Celle-ci répondit alors qu’elle n’espérait que cela ne fût rien de grave, et le mercenaire lui sourit de façon rassurante.

- Non, ne t’en fait pas , j’ai déjà vu bien pire.

Dit-il calmement alors que la jeune femme, qui ne cessait de le regarder répondit à la propre question qui lui fut dressée. Il se mit d’ailleurs à sourire en l’écoutant, puisque la demoiselle venait de lui dire qu’elle faisait en quelque sorte l’école buissonnière. Il la vit d’ailleurs rougir quand elle croisait son regard, et cela semblait devenir fréquent, si bien que Mach finit par s’assoir sur le lit, se tournant pour glisser ses pieds dans l’espace séparant les deux lits.

- Tu sais, tu n’as pas à te sentir gênée, à moins que ses rougeurs sur tes joues n’aient une autre signification ? Comme, par exemple, je serai ton type et cela te donnes des idées !

Cela pouvait paraître bien direct comme remarque. Mais, il aurait &en futile de chercher à tourner autour du pot. Après tout, il ne se savait pas moche, même s’il ne se considérait pas non plus comme un canon de beauté, et la demoiselle aussi était attirante, et si elle s’avérait consentante pourquoi ne pas en profiter non plus hein ? Mais, si certains se seraient peut être jeté sur la demoiselle pour assouvir leurs pulsions, Mach préférait s’assurer du consentement et des sentiments de la jeune femme, même pour une aventure d’une nuit. Il attendit donc assit ce que sa voisine allait répondre ou comment son corps et visage allait bien pouvoir réagir à cette remarque.

- Non, ne t’en fait pas , j’ai déjà vu bien pire.

- okay

Je le regardais toujours , mais cette fois-cis , je me tourna vers lui sur le flanc , en souriant . Il sourie a mon aveux , oui je séchais mais bon , pour l'instant ce n'était pas important . Il s'assied et me regarda , je lui sourie en regardant sa position , assie sur le lit , plutôt l'air sévère .

- Tu sais, tu n’as pas à te sentir gênée, à moins que ses rougeurs sur tes joues n’aient une autre signification ? Comme, par exemple, je serai ton type et cela te donnes des idées !

Mais comment avez-t-il fait ? je n'avais pourtant pas dit la moindre chose sur cela , même si mes rougeurs en disaient beaucoup plus long que des mots , et mes regard incessant vers lui que je ne pouvais contrôler non plus , trahissait surement l'attirance qu'il m'apportait .

- je .. excuse moi .. je ou i tu m'attire  irrésistiblement je ne sais pas pourquoi mais je ne peux m'empêcher de te regarder et de vouloir être contre toi , sa m'arrive rarement , mais sa ne m'étais jamais arriver avec cette force , j'ai très envie de toi ...

Je rougis violemment et plus qu'avant , je n'avais jamais dit cela et mes joues s'enflammaient  vite .

La jeune femme lui avait envoyé quelques sourires en réponses à ceux qu’il lui avait fait, alors que la conversation continuait. Elle s’était tournée vers lui, et ne tarderait pas à rougir sur la dernière remarque du mercenaire, qui visiblement avait fait mouche sur ce que ressentait la demoiselle à son égard.  D’ailleurs, elle ne tarda pas à lui répondre que s’était bien le cas. Sa voix était tremblante alors que la honte montait en elle, autant que les rougeurs sur ses joues.

- Ah bon, à ce point !

Dit Mach avec un sourire satisfait d’avoir vu juste, alors que la demoiselle avait tout de même quand même assez de courage pour maintenir son regard sur son compagnon.  Mach se leva alors de son lit pour se rapprocher de la jeune femme et resta quelques secondes debout à côté du lit. En tout cas, le temps devait sembler bien plus lent pour la jeune femme, alors qu’elle le vit se pencher, tout en posant une main sur l’épaule de cette dernière pour la ramener doucement sur le dos, en plaçant son visage au dessus du sien.

- Je suppose que tu seras d’accord pour ce qui va suivre donc !

Dit-il avec un peu de malice. Mais, avant qu’il ne l’a vraiment laissée répondre, les lèvres du jeune homme vinrent se poser sur celles de la demoiselle. Puis quelques secondes plus tard, il les lui fit écarter pour faire pénétrer sa langue dans la bouche de la jeune femme, lui laissant aller visiter celle-ci et faire connaissance avec son homologue féminine dans un lent ballet. La main qu’il avait posée sur l’épaule de la demoiselle s’était alors glissé dans une lente caresse sur la hanche de celle-ci, alors que la seconde vint servir d’appui en se posant sur le lit lui-même. Et après quelques instants supplémentaire, Mach rompit le baiser, laissant un filet de bave relié leur bouche.

- En tout cas, puisque tu as envie de recevoir tant de plaisir, je vais t’en donner jeune femme !

Dit-il en ressoudant leurs lèvres dans un nouveau baiser. Celui-ci fut aussi plus fougueux,  et plus court, puisque la bouche du jeune homme alla baiser sa joue, son cou, donnant quelques coups de langues aussi, plus ou moins rapides, tout en jouant parfois avec le lobe d’oreille de la demoiselle.  Pendant ce temps, la main remontant sous l’uniforme de lycéenne de la demoiselle, caressant son ventre à même la peau pour venir toucher le soutien gorge et le sein qu’il protégeait. Il se mit à le caresser, et le malaxer tendrement sans violence, et même avec beaucoup de douceur. En effet, son bout était de faire du bien à la jeune femme et non de lui faire mal.

Oui , je lui avais tout avoué et pour tout dire sa faisais du bien , un poids en moins . Et puis après tout il n'y  avait aucune honte à avoir de l'attirence c'est même plutôt normal non ? imaginez on n'étaient jamais attirés par quelqu'un ce serait grave non ?  . Soudain il s'approcha de moi et me regarda dans les yeux , il m'allongea sur le dos . M'affirmant que je serais sans doute d'accord avec ce qui aller suivre . Et je n'en doutais pas non plus

- je n'en doute pas non plus ....

Sur ces mots , il commenca à m'embrasser , je l'attira a moi tendrement et profita de ce baiser et , peu après , il fit pénétrer sa langue dans ma bouche , la mienne l'acceuillit , la caressant , l'enlacant . Il mit fin au baiser , un filé de bave restant .

- super ... vien à moi ...

Elle l'attira sur le lit aussi et pris sont visage en main , l'embrasse tendrement puis l'écarte legèrement , l'embrassant toujours , sucotant sa langue . Il se mit a embrasser mon cou , ma joue agrémenrés de coups de langues , il caressa mon ventre puis , sous mon uniforme , mon soutient gorge et ma poitrine . Toutes ces caresses et baisers étaient exquis , jouissif , tendre , me faisant frissoner , frémir soupirer de plaisir .

Shika ne repousserait pas les avances physiques de Mach pour passer un moment charnel. Bien au contraire, elle l’y invitait davantage avec ses paroles et ses gestes. Si bien que lorsque le premier baiser fut échangé, il ne leur fallut pas longtemps pour que leur ballet buccal commence. Le jeune homme se vit d’ailleurs bientôt attiré sur le lit complètement, passant au dessus de la jeune femme, sans pour autant s’appuyer sur elle, alors qu’elle avait entouré son cou de ses mains, pendant qu’ils échangeaient un nouveau baiser.

D’ailleurs, quand Mach écarta la sienne légèrement, la demoiselle s’amusa à sucer sa langue avant que le mercenaire blessé ne mette un terme à cela avant de visiter le reste du visage en le parsemant de baisers. Ses mains n’étaient pas restées inactives. Non, celles ci s’étaient glissées sous le haut de l’uniforme de lycéenne de sa partenaire et caressait en remontant lentement le ventre. Les frémissement que ressentit la jeune femme le furent aussi par son amant qui sourit en voyant que cela lui faisait de l’effet.

- On est bien réceptive dis donc ! Serais tu en manque ma chère ?

Demanda t il, alors que ses mains venaient se poser sur les seins encore protégés de sa partenaire. Ses lèvres vinrent d’ailleurs aussi se sceller une nouvelle fois à celle de l’étudiante et sa langue s’unir à son homologue, pendant que ses mains massait la poitrine déjà bien prononcée de son amante. Il ne tarda pas d’ailleurs à les glisser sous le soutien gorge, toujours attachés pour sentir directement le contact avec la douce peau. Il ne tarda pas à sentir les tétons dressés de sa compagne, et esquissa un nouveau sourire, alors qu’il vint les titiller avec les doigts, les tournant, pinçant par moment ou les tirant légèrement.

- On est déjà bien excité à ce que je sens…Voyons voir à présent !

Dit-il en plongeant son regard dans celui de sa partenaire avant de s’écarter, alors que ses jeux de mains cessaient pour redescendre sur le ventre. Mais, tout cela dans le but de soulever le tee shirt de sa camarade, suffisamment haut pour dévoiler les seins dans leur soutien gorge, qu’il ne tarda pas à abaisser. Il n’avait pourtant retiré aucun vêtement pour le moment, mais s’en fichait un peu, puisque la vue sur la poitrine de sa partenaire était déjà fait.

- Et bien, que s’est jolie tout cela, et donne bien entendu envie de les goutter.

Aussitôt dit, aussitôt fait, alors qu’il se pencha de nouveau, posant une main sur un sein qu’il malaxa de nouveau, alors que l’autre se vit baiser, lécher, et le téton sucer par la bouche du mercenaire, qui jouait adroitement de sa langue sur la peau et le téton de ce dernier pour donner des sensations de plaisirs à sa partenaire.

Dans son état à lui, son pénis était bien entendu en érection, mais, il aimait prendre son temps pour donner le plus de plaisirs possible à sa partenaire. Bien sur si celle ci lui laissait faire ce qu’il voulait et non se jetait sur lui pour avoir tout tout de suite.

Ses mains faisaient des merveilles , sa langues aussi , je la caressais autant que je le pouvais et ne me lassais pas de son goût . Il me caressait , et mes frissons , remontèrent jusqu'à mon échine , oui j'étais réceptive mais pas assez a mon goût j'aurais aimé pouvoir continuer ce baller buccal a longueur de temps mais bien évidement , nous fûmes obliger de le stopper a ma grande déception .

- On est bien réceptive dis donc ! Serais tu en manque ma chère ?

- Oui mais j'aimerais l'être encore plus ...

Il est vrai que j'aurais aimé pouvoir ressentir encore plus les sensations qu'il m'offrait . Je répondis au baiser en collant nos  lèvres de plus en plus jusqu'à ce que nos visage semblent collés Et il se mit a masser ma poitrine et titiller mes tétons ce qui me fit lâché un gémissement un peu aigu et d'une voie qui ressemblait a un carillon qui résonna dans l'infirmerie , oui j'étais extrêmement sensible de la poitrine mais pas autant que de l'oreille .

- Et bien, que s’est jolie tout cela, et donne bien entendu envie de les goutter.

- oh oui goutte je t'en supplie ...

Je rougis fortement a ma phrase mais je ne regretterais ma phrase pour rien au monde . Mon plaisir était a son comble et je n'avais plus le contrôle de rien , je descendis ma main sur son bas , le déboutonna et descendit comme je le pouvais pouvais puis je caressa son érection impatiente de la toucher de main propre .

La première réponse de Shika quand Mach lui demanda si elle était en manque, entre deux baisers et caresses, surprit un peu le mercenaire blessé. En effet, était ce une réponse sur le fait d’être réceptive ou en manque ? Il ne saurait le dire et décida de considérer les deux possibilités. Si ben qu’l avait accentué les caresses sur les seins, y mettant aussi plus d’intensité. Jusqu’au moment de les dévoiler à l’air libre et aux regards du jeune homme. Ceux-ci pointaient en effet déjà, et iil pressa un peu les tétons de ses doigts avant de faire un commentaire.

Il se mit alors à prendre l’un d’eux en bouche, jouant de la langue sur les tétons, ou le mordillant très légèrement. Il ne voulait pas non plus faire mal à son amante, cela n’était pas le but.  Celle-ci semblait d’ailleurs bien excitée, au point d’en être presque impatiente au vu de sa réponse, qui lui rougit les joues. Cependant, son compagnon ne le vit pas, puisque s bouche était occupée avec l’un des seins. L’autre se faisait toujours malaxé de la main.

- J’avais raison, ils sont délicieux !

Dit le jeune homme qui avait relevé a tête et regarder de nouveau le visage plein d’émotions, transmettant le plaisir principalement, de sa camarade.  Mais, le but de cet arrêt était simplement pour lui permettre de changer de sein, et venir s’occuper de l’autre avec sa bouche, alors que le précédant se voyait alpaguer par l’autre main. Il aurait été impoli de laisser un sein sans avoir reçu le même traitement. Ceux-ci se virent donc malaxer, lécher, pincer, tirer de diverses façons.

Cependant, sa partenaire ne resta pas non plus inactive, et montra de nouveau ses envies, en glissant ses mains vers le bas du corps de son amant, pour commencer à lui faire baisser son pantalon. Mais, elle ne le fit que de peu, puisqu’elle était plutôt mal positionner pour. Elle fut tout de même suffisante pour que la demoiselle puisse venir poser une main sur le caleçon de Mach, et commencer à caresser le sexe en érection de son compagnon. Celui-ci s’arrêta alors, ou du moins avec sa bouche pour regarder sa camarade.

- Tu veux en profiter hein !

Dit-l avec le sourire, en se disant que Shika, bien qu’excitait et appréciant le moment, s’ennuyait peut être de ne rien faire.  Suite à ce commentaire, Mach se redressa, lâchant finalement les seins de la jeune femme. Il se mit alors à califourchon au dessus de la jeune femme, après avoir retiré son pantalon tout de même pour ne pas avoir de gène. Mais, il se positionna de telle façon, que la bosse sous le caleçon fut presque au dessus du visage de la jeune femme, son fessier à lui, au dessus de la poitrine de sa compagne.

- Et bien, fait toi donc plaisir !

Dit-il avec un sourire, avant d’attendre que la demoiselle s’occupe donc de lui. Pendant ce temps, une man glissa dans son propre dos, pas qu’il voulait se caresser lui-même, non, il vint tout simplement empoigner tendrement de nouveau l’un des seins de la jeune femme qu’il se remit à malaxer.