Chasse au lapin [PV Fuyutsuki]

Mach errait dans les terres sauvages, mais pas sans but tout de même. En effet, ces terres étaient dangereuses et s’y aventurer sans être préparé, au risque de se faire tuer. Mais, pour le mercenaire ce n’était pas le cas, et cela ne l’était déjà pas en temps normal. Mais, cette fois, il était tout simplement en mission. En effet, l’homme avec accepté de chasser quelques monstres et donc devait se rendre ici. Après s’être suffisamment éloignée de Nexus, car trop prêt les monstres ne s’approchaient pas, sauf s’ils étaient sur d’avoir des proies faciles sans se faire blesser ou tuer.

Ainsi, le jeune homme avait marché plusieurs heures et atteint une forêt assez dense. Il ralentit d’ailleurs le pas à l’intérieur pour observer si une zone de celle-ci était fréquentée par les créatures, afin d’y poser des pièges. Il se mit donc à la recherches de traces diverses indiquant la présence des monstres ou autres créatures. Et, il ne tarda évidemment pas à en trouver. Il sourit alors avant de se remettre à fouiner. Pourquoi ? Et bien, tout simplement pour déterminer les meilleurs endroits où poser ses pièges.

Ainsi, il passa quelques heures à poser ses pièges, mais en faisant en sortes que ceux-ci ne soient pas mortels, et ne blessent pas ou qu’un minimum ses proies. Et pour se faire, il fallait que Mach soit minutieux, d’où le temps que cela lui prit.

- Bon, me reste plus qu’à me faire discret et attendre.

Dit-il s’une voix assez basse, comme si se faire entendre risquait d’effrayer les monstres alentours qui pourraient se faire prendre dans ses pièges. Il se mit alors à la recherche d’un endroit à couvert, mais suffisamment proche pour être sur que ce qu’il prendrait ne parvienne pas à se libérer avant qu’il n’arrive. Il finit par trouver un bosquet suffisamment dense, mais aussi avec suffisamment de place pour se dissimuler. Il y pénétra donc au milieu en essayant de déranger le moins possible le feuillage et l’arranger derrière lui. Il ne lui resta alors plus qu’) se placer de façon à être dans la direction des ses pièges, et rester silencieux le temps que cela serait nécessaire. Chose qui n’était guère difficile pour lui habitué à se montrer discret.

Tout allait bien dans le meilleur des mondes. Mes plus jeunes enfants venaient de me quitter pour mener leur propre vie dans l'intérêt de Kyo-sama et je marchai depuis quelques jours en direction de Nexus, espérant y trouver un nouveau mâle avec qui agrandir ma famille déjà considérable.
Je me nourrissais de ce que je trouvais sur mon chemin, ayant un régime alimentaire assez particulier. Ayant repéré un bosquet accueillant, je me dirigeais dans sa direction, quand tout à coup, je vis des feuilles tendres posées au sol. Me baissant pour les ramasser, quelle ne fût pas ma surprise de me retrouver piégée dans un grand collet qui me retenais au dessus du sol. J'aurais eu la tête en bas si j'avais marcher dessus, mais comme se sont mes mains qui le déclenchèrent, j'avais les bras levés, retenue par les poignets.

Ça faisait un mal de chien! J'espérais qu'on vienne me libérer sans tarder, mais je m'attendais bien évidemment à ce que celui qui était à l'origine de cette situation soit le premier à se montrer. Avec un peu de chance je ne serai pas le gibier qu'il aurait voulut prendre, mais il ne faut pas rêver, très peu relâcheraient une potentielle esclave.

Mon tortionnaire ne se fit pas prier et arriva rapidement. Il s'agissait d'un homme en tenue de camouflage avec une arme à la main. Je pu voir de la surprise sur son visage quand il me vit. Il ne devait pas s'attendre à une telle prise, sans compter que les terranides lapins ne sont pas les plus courants, malgré le nombre de mes enfants. Enfants à qui j'apprends qu'il faut se méfier des hommes et ne pas les approcher. Cela me fendrait le cœur d'en voir un réduit à l'esclavage. Les seules personnes en qui ils peuvent avoir confiance sont Kyo-sama, notre dieu bien-aimé, leurs frères et sœurs et moi-même.

J'entamais immédiatement la conversation tant qu'il semblait se demander ce que je faisait dans un de ses pièges. J'avais tout de même un sentiment de peur grandissant en moi qui me donnait du mal à articuler correctement.


B-bonjour monsieur! P-pourriez-vous me fai-faire des...descendre, s-s'il-vous-plait? J-j'ai mal aux poi-poignets.


Comme pour m'humilier encore plus dans cette position embarrassante, mon ventre se mit à crier famine par un grognement gargantuesque que l'homme ne manquerait pas d'entendre.



En tout cas je peux vous dire que ce balancer comme un saucisson pendu au mur n'a rien d'agréable.

Mach se territ en silence pour ne pas éventer ses pièges. Mais, il ne sut pas combien de temps, il dut attendre avant que quelqu’un ne vienne se prendre dans l’un d’eux. En effet,  le jeune homme n’était pas du genre à regarder sa montre, car cela faisait paraître le temps bien plus long. Mais, il fut tiré de sa patience par le déclenchement de l’un des ses pièges, ce qui laissa apparaître un sourire sur son visage avant qu’il ne se relève et sorte de son buisson.

Avançant alors sans crainte vers celui qui avait été activé, le mercenaire ne s’attendait pas à devoir se défendre et gardait son arme en position assez basse. Mais, il ne s’attendait pas à voir ce qu’il ne tarda pas à voir sous les yeux. La surprise ne fut pas tant le fait d’avoir capturé une terranide, bien que sa forme lapine soit peu courante, mais plutôt par la position dans laquelle elle se trouvait. En effet, quand un animal ou un homme se faisait prendre par un collet, en général, il se retrouvait tête en bas, car s’était ses pattes arrières qui avaient été prises. Alors que là, s’était ses poignets, et donc, la jeune femme se retrouvait debout, ballotant le bras tendu au dessus d’elle.

- Et bien en voilà une pose !

Commenta Mach, alors que certains auraient surement bien profité de la situation, et il était nullement besoin de faire un dessin sur la façon dont cela aurait servi.  En tout cas, la jeune lapine ne sembla pas plus effrayée que cela, même si sa voix fut bégayante, sans doute à cause de l’effort et la douleur qu’elle ressentait. Elle alla même jusqu’à le saluer avant d’y demander de la descendre, en disant que cela faisait mal.

- Je n’en doute pas…

Dit-il en se rapprochant d’elle pour se retrouve r juste devant, leur visage devenu très proches. Mais, avant que le mercenaire n’ait pu finir sa phrase ou la détacher, puisque s chasse n’était là que pour capturer des monstres, et non des créatures humaines pour l’esclavage cette fois, même si les sorts de ses proies seraient sans doute similaire. En effet, la demoiselle fit grogner son ventre, et donc le bruit fut non intentionnel, mais ne put empêcher Mach de rire, alors qu’il envoyait ses mains sur les poignets de la jeune femme pour en détacher la corde. Et dans la manœuvre, il caressa un peu les avant bras, sans que cela soit volontaire, ou n’ait un sens quelconque, comme le fait que leur corps se colla aussi l’un à l’autre, puisqu’il ne pouvait en faire autrement. Ainsi, la jeune femme ne tarda pas à être libre, et tomba dans les bras de Mach qui la réceptionna pour qu’elle ne chute pas lourdement au sol à cause de la surprise.

- Voilà vous êtes libre ! Il ne reste donc plus qu’à régler votre problème d’estomac !

Dit-il un peu amusé, en gardant pour le moment la jeune femme dans cette position, se disant qu’elle s’en libèrerait d’elle-même quand elle le voudrait et retrouver son équilibre surtout. Il venait donc de montrer qu’il avait remarqué son cri de famine, et qu’il se proposait donc de l’aider à le combler.

Il n'avait pas l'air méchant. J'avais de la chance. Un homme qui, non seulement ne profitait pas de la situation, mais m'avait également rattrapée, même si je n'en avais pas besoin, et me proposait à manger, ce n'était hélas pas tous les jours. Le fait que je sois pratiquement nue n'avait pas semblé le gêner outre mesure. Certainement un homme expérimenté.

Me dégageant de ses bras que je devinai musclés sous ses vêtements, je me redressai sur toute ma hauteur avant de faire jouer mes poignets endoloris.

Merci monsieur! J'avais vu des feuilles appétissantes par terre, et quand je me suis baissée pour les ramasser, le piège s'est déclenché, pyon.
Je comptais faire une petite étape dans ce bosquet avant de continuer ma route vers Nexus. Bien que vu comment l'esclavagisme y est répandu, je me demande si c'est une bonne idée.
Enfin, merci pour l'invitation à manger, c'est avec joie que je l'accepte. Comme vous pouvez le voir, j'ai tendance à voyager léger et à manger ce que je trouve sur la route. Fruits, légumes, racines et feuilles constituent la base de mon alimentation, vous voyez, donc je n'ai pas de problème à en trouver un peu partout en général, tant que je n'entre pas dans les landes dévastées, pyon. Contrairement à la plupart des terranides, les lapins comme moi ne sont pas omnivores, mais exclusivement herbivores. Peu de gens le savent étant donné la rareté de mon espèce.
Au fait, je m'appelle Fuyutsuki, ne me demandez pas d'où ça vient, je n'en sais rien. Par contre je me demandais ce qu'un bel homme comme vous peut bien faire à poser des pièges dans un coin comme celui-ci. Vous venez de Nexus? Elle est jolie votre barbiche, mais je suis sure qu'elle est moins douce que mon pelage, vous voulez comparer, pyon?
Ho! Mais c'est que je dois vous ennuyer à ne pas arrêter de parler et de poser des questions comme ça, vous me le dites si ça vous dérange, hein, pyon?

Je ne sais pas si c'était dû à la décharge d'adrénaline causée par la peur ou à l'excitation d'être en compagnie d'un si bel homme, puisque je suis constamment en chaleur, mais le moulin à parole était lancé et j'avais un mal fou à me réprimer. J'espérai qu'il ne me chasse pas pour ça, surtout que j'avais désespérément besoin de la virilité d'un homme dans les plus brefs délais.

Ayant fini de parler, j'ai ramassé quelques-une des feuilles du piège pour les manger, histoire de calmer un peu mon ventre. Je grignotais tout comme les lapins classiques, ce qui me donnait un air mignon à craquer auquel peu de gens résistaient, soudain pris d'une furieuse envie de me câliner.

De nouveau libre, la jeune lapine du nom de Fuyutsuki, comme elle finirait par se présenter, ne resta pas bien longtemps dans les bras de Mach, même si elle sembla apprécier la position. Sans trop savoir ce qui la poussa à parler, la jeune Terranide le fit, et ne semblait plus vouloir s’arrêter, si bien qu’elle débita un flot de réponses, informations et questions à l’attention du jeune homme de façon assez impressionnante. Si bien, qu’il avait un peu de mal à savoir par quoi, il devait commencer à répondre.

- Neuys est en effet assez risquée pour les Terranides seules, même si Terra en elle-même l’est au final !

Dit-il calmement avant de se présenter à son tour sous le nom de Mach, relevant à peine le compliment qu’elle lui fit. Toujours en l’écoutant, il se mit alors en quête de fruits pour la demoiselle, sans pour autant s’éloigner.

- Bah à quoi servent des pièges selon vous ? On m’a demandé de chasser des monstres, et s’est ce que je faisais !

Dit-il en décrochant des fruits d’un arbre non loin. Il en descendu un bon nombre, ne sachant pas quelle quantité la demoiselle en mangerait, et puis, il pourrait se servir lui aussi au pire. Quand il revint elle, alors qu’elle tentait de comparer la douceur de sa barbiche à son pelage, et qu’après l’avoir mit au défi de comparer, elle se tourna et se baissa pour ramasser des feuilles. S’est à ce moment là que le jeune homme posa une main sur les fesses visibles, ou du moins dans la position qu’elle prit pour ramasser ces feuilles, et les caressa le temps qu’elle se relève.

- En effet, il est bien plus soyeux !

Dit-il avec un sourire, sans savoir comment la jeune lapine allait prendre le geste de l’homme. L’ignorer ? Se sentir gênée ? Ou bien lui coller une baffe, comme beaucoup de femmes le feraient ? Les réactions étaient nombreuses, et cela dépendait souvent de l’état dans lequel se trouvaient les demoiselles à ce moment là. Sans compter aussi du fait de savoir si l’homme qui avait osé la toucher de la sorte lui plaisait ou non, ce qui semblait être le cas en tout cas, vu les propos qu’elle avait tenu.

En tout cas, le fait qu’il ne réponde pas aux excuses de la jeune femme sur son débit de paroles, se contentant d’esquisser un sourire montrait bien que cela ne le dérangeait pas. Il alla alors s’assoir contre un arbre, invitant Fuyutsuki à le rejoindre, car cela serait plus agréable de manger assit. Et s la façon de manger les feuilles qu’avait la lapine était mignon, Mach n’eut pas d’envie de la câliner, comme les gens de la ville habitués à leur vie pépère l’aurait fait, la comparant à un animal de compagnie ou pour se sortir de leurs habitudes quelconques.

L'homme décida de finalement comparer la douceur de nos poils en touchant mes fesses avec une de ses mains. Ça ne me gêna bien évidemment absolument pas, voir même le contraire. Cela prouvait qu'il était prêt à me faire l'amour si l'occasion se présentait. Il n'y avait plus qu'à foncer.
Je me relevais, mâchant mes feuilles, et alla le rejoindre à l'ombre, sous l'arbre. Il m'en fallait peu pour me rassasier. Du moins, tant que je n'étais pas enceinte. Trois fruits mûrs et un peu d'eau fraiche me suffirent, puis soudainement, je sautais dans les airs pour me retrouver sur ses jambes en tailleur, les miennes autour de sa taille.


Il y a un endroit encore plus doux que mes fesses. Mais pour les comparer, il va te falloir utiliser ça.


Une de mes mains était descendue sous mes fesses et pétrissait le paquet, visiblement correctement garni de Mach. Aussitôt ma phrase terminée, je l'embrassais, faisant passer ma langue dans sa bouche, allant chercher la sienne. Sa commençait à gonfler un peu dans son pantalon, et je sentais qu'il ne se refusait pas ce petit plaisir que je lui offrais de bonne grâce. Mon autre main, au départ sur son pectoral gauche, le chatouillant un peu, passa vite dans son dos, afin de le coller à moi. Ma poitrine vint s'aplatir sur son torse, la frottant avec insistance dessus.

J'espérais juste, et j'allai tenter de faire en sorte que, qu'il jouisse profondément en moi pour être le nouveau père de ma progéniture à poil doux.

La jeune lapine ne s’offensa visiblement pas du geste qu’avait eu Mach en caressant ses fesses. Au contraire, elle sembla ravie d’après le peu qu’il observa avant qu’il n’aille s’installer contre un arbre et lui proposer de manger. Ce qu’ils firent tranquillement avant que la demoiselle ne bondisse subitement. Le jeune homme en fut surprit, surtout qu’elle atterri sur ses cuisse, entourant les siennes autour de sa taille. Se demandant bien ce qu’elle mijotait, il ne tarda pas à le savoir lorsqu’elle prit la parole, en même temps que l’une de ses main vint se placer sur l’entre jambe du mercenaire, qu’elle commença à palper.

- Eh bien, et bien, on pourrait se demander si dans ce cas, te laisser attacher au piège n’aurait pas été une bonne idée…. Peut être y es tu tombée volontairement dedans même avec ce genre d’idées !

Dit-il un peu amusé avant que ses lèvres ne se voient scellées à celles de la Terranide, qui se pressait contre lui, se frottant même pour faire bien sentir sa poitrine à l’homme et l’excitait davantage. D’ailleurs, il n’y avait guère besoin de le forcer longtemps pour qu’il se mette à participer, comme la main s’occupant de son sexe, toujours à travers le pantalon pourrait le sentir. En effet, alors qu’il répondait au baiser des plus favorablement, son membre gagnait petit à petit en volume, bien qu’elle doive se montrer sans doute plus entreprenante si elle voulait vraiment l’exciter.

- Peut être, mais va-t-il falloir que tu me donnes suffisamment envie d’aller à sa rencontre !

Répondit finalement Mach, quand il le put, à la demoiselle sur sa remarque. Il accompagna alors ses paroles du geste en venant placer ses mains sur les fesses de la lapine, qu’il commença à malaxer tendrement, avant que sa bouche ne revienne quérir un baiser avant de dériver sur la joue et le cou, qu’il gratifia de baiser, de coups de langues. Il aurait bien écarter le corps de la jeune femme pour descendre sur la poitrine, mais, le contact avec son torse était tout de même agréable pour le moment, malgré que cela ne soit pas à même la peau pour l’instant.