Un jour comme un autre dirait-on en temps normal. Et même si d’une certaine façon s’était bel et bien le cas, même pour Mach. Ce dernier était plus un jour de repos après un retour de mission périlleuse. Cependant, le jeune homme n’était pas du genre à veiller tard, ou du moins dormir longtemps. Si bien qu’il s’était levé assez tôt, un peu après le levé du jour. Le mercenaire avait tout de même prit son temps pour se préparer et prendre son petit déjeuner. Si bien qu’il était bien dix heures du matin lorsqu’il quitta son appartement. Son but était surtout de faire les quelques courses journalières comme acheter le pain, des cigarettes, le journal, et peut être allé prendre l’apéritif dans un bar.
Mais, comme le jeune homme n’eut pas envie de se presser, il décida de faire le tour par le parc qu’il fréquentait d’ailleurs assez souvent. Sans compter qu’en cette journée ensoleillée, s’était l’un des rares endroits plus ou moins à l’ombre et frais, sans que la pollution ne gêne trop les passants. Il marcha donc tranquillement, une cigarette au bec, en regardant plus ou moins les autres personnes. Mais, il ne manqua pas de voir la jeune femme emmitouflée dans ses vêtements, et donc qui par cette chaleur ne manquerait pas d’avoir chaud. E, il n’était visiblement pas le seul à la regarder, puisqu’elle était loin de passer inaperçue.
Un homme l’aborda alors, avec des intentions claires, mais qui firent fuir la demoiselle alors qu’il devenait vulgaire. Mach la vit courir dans le parc, la suivant du regard, mais sans plus. Il continua donc sa marche tranquillement jusqu’au moment, quelques minutes plus tard, où il revit la demoiselle, de nouveau abordée par l’homme précédant. Celui-ci n’avait pas lâche l’affaire et se trouvait à présent devant la jeune femme, visiblement paniquée, le visage enfin visible. Celle-ci avait en effet vu ses lunettes tombées et sa capuche rabattue en arrière, et se trouvait tétanisait alors que l’autre homme reprenait son cirque.
- Et bien, aucune tenue ces jeunes désormais !
Marmonna Mach en voyant que le dit individu ne devait pas encore avoir la vingtaine. Il se dirigea alors vers eux, puisque personne d’autre ne semblait vouloir intervenir. Il arriva alors derrière le jeune qui avait visiblement perdu les pédales avec son vocabulaire.
- Dit donc jeune homme, tu ne vois pas que tu importunes la demoiselle ?
Dit-l calmement en prenant son bras dans une de ses mains pour lui faire cesser le contact avec la joue de la jeune femme. Il espérait que le fait d’être dérangé allait perturber le jeune et que ce dernier détalerait sans demander son reste. En effet s’acharner sur une jeune femme était facile, mais quand un autre homme s’emmêlait cela se compliquait. Et de nos jours, les jeunes préféraient souvent fuir plutôt que d’affronter la menace ou leur responsabilité.