Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Fuir à deux ! [PV Véro]

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Marine

E.S.P.er

Fuir à deux ! [PV Véro]

samedi 13 mars 2010, 23:11:59

Cela faisait déjà plusieurs jours que Marine et Véronique s’étaient échappées de chez leur esclavagiste, La Bruja. La jeune femme ne connaissait pas le territoire et l’inu n’en savait pas plus. Une chose était certaine, elles n’avaient pas intérêt à rester en ville où leur propriétaire risquait fort de les retrouver. Il y avait trop de personnes prêtent à tout pour l’aider surtout avec de l’argent à la clé. Elles devaient donc fuir. Marine avait choisi de partir dans cette direction arbitrairement. Celle-là ou une autre peu importait dès l’instant où elles quittaient cette ville.

Avant de partir, Marine avait réussi à voler un peu de nourriture mais ça ne les ferait pas tenir très longtemps. D’ailleurs leurs réserves étaient déjà presque vides.

Le vent violent vint frapper la jeune femme lui envoyant une nuée de terre poussiéreuse dans les yeux. Elle arrêta sa progression le temps que la bourrasque se calme. Puis, elle reprit son chemin. Son avancée était ralentit par la fillette qui l’accompagnait. L’inu avait marché pendant un certain temps mais sa constitution n’était pas habituée à tant d’efforts. Quand elle fut épuisée, Marine la prit sur son dos. Véro ne pesait pas bien lourd et la jeune femme avait l’habitude de l’effort.

Elle avait prit l’inu en affection. Cette dernière semblait la considérer comme une sorte de grande sœur ce qui faisait sourire la combattante. Elle qui était plutôt du genre glaciale avec les gens, se retrouvait avec une enfant sur les bras, enfin dans le dos. Au dire de la petite, elle aurait 13 ans. Difficile à croire quand on la regardait, elle n’était pas plus haute qu’une fillette de 7 ou 8 ans mais Marine la croyait.


Elle observa le terrain où elles se trouvaient. L’herbe de la savane était jaunâtre mais elle remarqua sur sa gauche, un peu plus loin, cette dernière semblait un peu plus verte. Elle espérait qu’un cours d’eau s’écoulait par là. Au bout de quelques minutes de marche, elle constata qu’elle ne s’était pas trompée, un cours d’eau serpentait sur le terrain sablonneux. Elles allaient pouvoir passer la nuit là. L’eau était l’élément crucial dont on ne pouvait se passer. L’herbe était plutôt sèche et, avec un silex, faire un feu serait simple.

Elle se mit à genoux et fit glisser sa « petite sœur » de son dos jusqu’au sol.


« On va faire une pause ici »

Elle laissa l’inu au sol pendant qu’elle allait au bord de l’eau voir si celle-ci était potable. Heureusement, c’était le cas. Elle se retourna et fit signe à Véro de venir pour s’abreuver. Elle se releva et se mit en quête d’un silex qu’elle trouva rapidement. Elle réunit un peu d’herbe sèche et quelques brindilles avant de frotter le silex contre une pierre pour produire l’étincelle désirée. Le feu prit rapidement. Au moins, cette nuit, elles auraient moins froid. La température chutait vite la nuit et elles ne portaient pas beaucoup de vêtement. La fille n’avait qu’un pull qui lui arrivait à mi-cuisses et Marine, un chemisier qui arrivait sensiblement au même niveau. La jeune femme s’installa auprès du feu et tira un morceau de pain de sa sacoche, volée, elle aussi. Ce serait leur repas, enfin celui de Véro. Marine préférait se passer de manger, sa petite sœur d’adoption en avait plus besoin qu’elle et ils ne leur restaient presque plus rien. Il fallait économiser. La jeune femme espérait trouver une solution rapidement ou sinon…
« Modifié: samedi 13 mars 2010, 23:53:05 par Marine »

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Veronique Hayes

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Re : Fuir à deux ! [PV Véro]

Réponse 1 dimanche 14 mars 2010, 12:47:44

C'était très dur pour Véronique d'être en cavale, de devoir s'enfuir. D'accord, la vie d'esclave était assez désagréable, mais au moins, elle avait droit à un bon nettoyage à la débarbouillette chaude, on peignait ses cheveux et on nettoyait ses oreilles, et elle avait un bon petit tas de chiffon pour faire dodo. Maintenant, elle devait suivre Marine dans les endroits qu'elle détestait le plus, soit les rues et ensuite un endroit tout vert où il n'y avait pas un bonbon à trois cent kilomètres, qui serait assez cinglé pour emmené une enfant dans un endroit comme ca? Ah, oui, elles n'avaient pas le choix. Elle devait vivre cela si elle voulait un jour s'en sortir.

Montée sur le dos de Marine, les yeux clos, laissant la jeune femme l'emmener où elle le souhaitait, elle écoutait la berceuse que faisait le battement de ce si grand coeur. Elle savait qu'elle ralentissait Ririne, mais elle ne l'a pas jetée, et pour cela, elle ressentait davantage d'admiration pour cette personne d'exception. Rares étaient les gens qui osaient confronter leur maître et s'enfuir en emmenant une gamine qui ne leur était pas liée par le sang. Mais pour Véro, Marine avait un grand coeur parce qu'elle, selon elle, aurait sauvé tout le monde.

Enfin, c'était la pause, et Véro avait faim. Normal, elle était encore une adolescente et soi-disant en pleine croissance. Le petit morceau de pain qui lui fut donné ne fit pas long feu, allant s'enfourner dans le gouffre sans fond qu'était celui d'une inu affamée et en famine depuis midi. Son pull tout bleu lui donnait presque envie d'en faire un petit déjeuné, mais le coton n'étant pas une très savoureuse denrée, elle s'en abstenait. Elle regarda avec un peu de découragement le morceau de pain puis décida d'aller chercher des souris. Ce n'était pas ce qui manque dans le coin. Peut-être même des serpents et des lézards.

Elle partit quelques minutes à cet espèce de jeu de chasse et revint avec deux couleuvres, un lièvre qu'elle avait eu la chance de trouver en pleine fornication (Stéréotype =P) ainsi que diverses herbes qui sentaient bon qui pourrait faire office d'épice si Marine pouvait faire un ragout avec le chaudron qu'elles avaient ramené. Elle avait aussi trouvé des fruits. Au final, elle était très contente de sa petite chasse aux aliments, puisque les terres sauvages représentaient une grande part de l'écosystème de Terra.

Toute contente, elle déposa sa récolte devant Marine et fit la belle, attendant d'avoir une récompense, peu importe ce qu'elle était, tout sourire. C'était une manie qu'elle avait acquise auprès de son frère, qui l'avait en quelque sorte dressée comme un chien. Après tout, c'était ce qu'elle était, c'est juste qu'elle avait une apparence humaine, tout comme lui était un loup qui avait la chair d'un homme.

Marine

E.S.P.er

Re : Fuir à deux ! [PV Véro]

Réponse 2 dimanche 14 mars 2010, 23:38:08

Marine fut surprise de voir l’inu s’en aller dans les hautes herbes. Elle s’en étonna et espéra que Véro n’aurait pas de problème. Elle attendit un peu en se demandant ce qu’elles allaient devenir toutes les deux. Dans l’idéal se serait de trouver une ville ou un village qui voudraient bien d’elles ou… trouver une faille ! Mais oui ! La faille leurs permettrait de revenir sur la Terre. Un terrain beaucoup plus familier à la jeune femme. Même si la petite n’était pas humaine, Marine arriverait à la faire passer pour telle. Le problème était de trouver une faille. Marine soupira. Elle y réfléchirait demain.

L’inu choisit cet instant pour ressurgir devant elle. Cette dernière présenta un lapin, des couleuvres, quelques fruits et des herbes aromatiques. Cela rendit le sourire à la jeune femme.


« Eh bien… tu es pleine de surprise et de ressource toi ! Au final, tu pourrais t’en sortir sans moi »

Marine se saisit des produits que Véro tenait et alla les déposer près du feu. Il fallait maintenant s’occuper des animaux morts. Première chose, le lapin. Véro pouvait peut-être le manger comme ça mais pas elle. La combattante sortit un couteau et entreprit de couper la tête de l’animal, lui ouvrit le ventre pour en faire sortir les viscères et, tenant le haut du lapin, elle lui arracha la peau comme on déroule une chaussette. Marine prit un morceau de bois et y embrocha l’animal avant de le mettre à griller sur le feu. Elle fit la même chose avec les couleuvres. Avant de mettre ces animaux à cuire, elle les avait assaisonnés avec les herbes ramenées.

Marine reprit sa place près du feu et attendit que le repas soit prêt. Elle tourna la tête vers l’inu.


« Avant de quitter la ville, en allant chercher de la nourriture, j’ai trouvé quelque chose pour toi »

La jeune femme attrapa la sacoche et en sortit quelque chose qu’elle cachait dans sa main. Elle approcha sa main fermée vers Véro et l’ouvrit. Trois bonbons s’y trouvaient. Marine connaissait bien le penchant de la gamine pour les sucreries. Ça lui avait pris de temps pour avoir ces quelques bonbons mais elle savait que ça aurait fait plaisir à l’inu. Cette idée avait suffit à la convaincre de les voler.

Merci Stephen pour la sign :)

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Veronique Hayes

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Re : Fuir à deux ! [PV Véro]

Réponse 3 jeudi 18 mars 2010, 02:14:17

Les yeux de la petite gamine s'élargirent immédiatement envoyant les petits jujubes saupoudrés de sucre et ne se fit pas prier pour se jeter dessus et l'arracher égoïstement des mains de Marine pour les engoufrer dans l'abîme sans fond de sa caverne buccale, d'où rien n'a jamais sortit, sauf quelques rares mots et un "Nuuuh" parfois agaçant. Elle mâcha les bonbons puis les larmes lui montèrent aux yeux. Elle était heureuse, mais maintenant, elle avait peur d'être rejetée par Marine et qu'elle lui demande de s'en aller pour une raison bien à elle. Elle aimait les bonbons, mais si elle agissait mal, un jour où l'autre, Marine voudra l'abandonner comme sa maman et son papa, et son grand frère chéri après eux. Elle alla immédiatement cueillir une énorme dose d'affection dans les bras de la jeune demoiselle, s'y réfugiant.

-"Nuuh..." Fit-elle d'une voix toute douce.

Mais une odeur vint chatouiller les narines de la petite puce. Une odeur enivrante, qui venait des épices... non, de la plante aphrodisiaque qu'elle avait probablement mit dans le tas à cause de sa bonne odeur. Elle sentait son esprit s'embrouiller, ce n'était pas bon signe... ou peut-être, elle ne savait plus trop. Est-ce que l'extase procuré par cette étrange substance était négative ou alors au contraire, il s'agissait d'une très bonne chose? Elle ne pouvait guère le dire, mais tout à coup, Marine lui semblait plus chaude et plus accueillante, et la température de son corps commençait à augmenter. Elle se sentait bien, mais cette soudaine béatitude lui faisait peur, et elle commença à nouveau à paniquer.

- "Nuuuh..." Gémit-elle, craintive et surtout fiévreuse.

[Mon incommensurable talent s'évanouit... Moi? Vaniteux? Naaan]

Marine

E.S.P.er

Re : Fuir à deux ! [PV Véro]

Réponse 4 jeudi 18 mars 2010, 14:52:19

Marine regarda avec plaisir la petite gamine avaler les bonbons. Ce spectacle valait bien les risques qu’elle avait pris pour les obtenir. Elle sourit devant la joie de la petite inu. Une fois les bonbons engloutis, elle se précipita dans les bras de la jeune femme. Marine fut surprise par ce geste. Elle n’avait pas l’habitude à ce que les gens agissent ainsi avec elle. La plupart du temps, elle agissait sur eux comme un répulsif mais là c’était différent. Elle appréciait vraiment la petite gamine qui se serrait contre elle.

Malgré tout ce qu’elle avait pu subir, Véro gardait une âme d’enfant ce que lui enviait beaucoup la combattante. Elle, elle avait perdu son innocence, on la lui avait pris. Elle n’avait pas eu d’enfance, elle ne connaissait même pas le goût des bonbons. Ceux qu’elle avait volés, elle n’en avait même pas goûté un seul. Elle avait découvert le chocolat, il y avait assez peu de temps. La petite jeune fille dans les bras, elle se rendit compte de tout ce qu’elle n’avait jamais eu. Elle se sentit terriblement triste. Elle la serra un peu plus fort contre elle. Elle la protégerait comme elle aurait voulu qu’on la protège.


« Nuuuh… »

Marine regarda la petite puce avec un regard interrogateur. Elle semblait s’agiter mais la jeune femme ne comprenait pas pourquoi. Lui aurait-elle fait peur ? Elle n’en avait pas l’impression. Elle desserra un peu son étreinte.

« Ça ne va pas ? »

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Veronique Hayes

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Re : Fuir à deux ! [PV Véro]

Réponse 5 jeudi 08 avril 2010, 02:11:40

La petite se sentait de plus en plus chaude au niveau de son bas ventre et des couinements parvenait parfois à s'arracher à l'étau de ses infantiles lèvres. La voix de Marine à ses oreilles semblait douce, chaude et invitante. Puis, c'était la sensation d'être prise dans un étau, entre Marine et une autre personne, plus masculine, plus forte... elle s'imaginait que c'était son frère plutôt que son désir grandissant qui poussa Véro à monter sur ses petits pieds pour aller cueillir soudainement un baiser plein de désir sur les lèvres de Marine, ses petites mains s'étant posées inconsciemment sur les seins (volumineux pour la petite taille de Véronique) de la dame. Elle ne se contrôlait visiblement plus.

Elle sentait parfaitement les lèvres de sa douce "soeur" sur les siennes. Chaque rayure ou douce surface de ces pulpeuses appendices buccales se faisait sentir, elle dévorait littéralement ces douceurs complètement divines par la faute de la fleur aphrodisiaque. Elle voulait que Marine lui caresse les oreilles, joue dans sa queue, qu'elle touche tout son corps pour lui faire du bien, et en même temps, sa nuit avec son frère la remplissait de crainte, puis le jour où elle fut prise par La Bruja dans la petite ruelle, davantage. Si Marine exprimait le désir de forcer davantage la petite Véro que ce qu'elle s'autorisait elle-même à donner, la petite deviendrait folle. Elle désirait ardemment Marine, mais le peu de raison laissée intact par la plante des plaisirs l'empêchait d'en faire plus pour le moment. Elle se retenait de plonger le visage dans le décolleté de la dame pour l'y embrasser, ou alors glisser sa queue agile entre les cuisses de cette dame si gentille mais pourtant qui lui faisait un peu peu.

La gamine leva ses yeux larmoyants vers ceux de Marine puis son coeur se mit à battre encore plus vite; et si elle avait fait une gaffe? Et si elle se faisait rejeter? Et si, et si, et si, tous les doutes de répercussion venaient troubler la pensée de la jeune demoiselle qui finit par fondre en larmes.

-Nuuuh...! Nuuh!

Elle aurait voulu s'excuser, elle aurait voulu lui dire de ne pas être fâchée, mais rien n'y faisait, elle n'arrivait pas du tout à s'arracher le moindre mot. Son salut reposait entre les feuilles de la plante brulée qui exacerbait visiblement les sens accrus de l'enfant. Les effluves gazeuses se rendaient pourtant au nez de Marine, maintenant.

Marine

E.S.P.er

Re : Fuir à deux ! [PV Véro]

Réponse 6 lundi 12 avril 2010, 17:49:00

Marine pensait que l’inu cherchait à s’éloigner d’elle alors que c’était tout le contraire. La jeune femme s’en rendit compte lorsque Véro se redressa et l’embrassa. Marine n’osa rien faire, elle était plus que surprise par cette… démonstration affective. Ça ne lui déplaisait pas, elle devait bien le reconnaître.

Les lèvres de Véro étaient douces, petites comme leur propriétaire mais si agréables. Le geste aurait pu paraître anodin si l’inu s’était décroché de la bouche de la jeune femme mais ce ne fut pas le cas. Leurs lèvres restèrent scellées un moment. Marine ne chercha pas à rompre le lien. Il était si tendre. Elle qui n’avait jamais connue que la violence, ce baiser était comme une oasis au milieu du désert infernal de son existence.

Les effets de la plante aphrodisiaque commençaient à se faire sentir sur la jeune femme. Ses sens étant moins développés que ceux de l’inu, les effets prirent plus longtemps pour agir sur elle. Elle ne s’en rendait pas compte. Son corps, lui, les ressentait. Ses seins commencèrent à se tendre sous les petites mains enfantines et la chaleur s’insinuait doucement dans son ventre.

Véro rompit le baiser et commença à s’affoler. Sa compagne ne comprenait pas sa réaction. Craignait-elle qu’elle la repousse ? Marine était un peu perdue par les réactions contradictoires de sa « petite sœur » d’infortune. Elle-même ne comprenait pas très bien son état mais elle voulait apaiser Véro.


« Calme toi – sa voix était extrêmement douce – Calme toi ! Je ne vais pas t’abandonner. Rassure-toi ! »

Elle lui sourit. Un sourire si rare chez la combattante. C’était comme un précieux diamant qu’elle offrait à la fille assise sur ses genoux. Elle enlaça le petit corps pour le rapprocher du sien, juste dans le but de la calmer et de l’apaiser. Marine se sentait étrangement bien avec cet oiseau tombé du nid.

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Veronique Hayes

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Re : Fuir à deux ! [PV Véro]

Réponse 7 vendredi 07 mai 2010, 16:11:39

Comment réagir autrement que chercher à reprendre contrôle d'elle-même pendant que tout ce qui l'entoure semble chercher à basculer d'un mouvement si brusque qu'il déchirerait le voile même du monde? Autrefois esclave maltraitée et mal aimée, elle avait gouté à la laideur de l'être humain, son frère l'avait bafouée, manipulée et détruite. Elle avait cherché à reprendre une vie normale à l'école, elle a finit par fuguer du monde même où elle est née. Elle avait seulement cherché à se remplir la panse, on l'avait ruée de coup de pied pour lui arracher un poivron vert. Alors qu'elle commençait enfin à se rétablir, un connard décide de la capturer et d'en faire une esclave. Et dès que la vie d'esclave commence à ne plus lui être si désagréable, Marine l'emmène avec elle dans un nouveau trajet à la fin incertaine, mais ce qui était sûr, c'est qu'elles allaient devoir se séparer, tôt ou tard, malgré tout l'attachement que lui portait la jeune femme.

Ces pensées parasites finirent par être supplanté par l'envie que la plante avait installé en les deux demoiselles. La plus petite renversa la plus grande d'une poussée des mains et des pieds, l'allongeant sur le sol.  Si quelqu'un les surprenait, ou plutôt la surprenait, l'honneur de Marine risquait d'être entaché, et Véro le savait, celui de son frère était tout sale à cause des femmes qui le salissaient, parfois même l'envoyait chez les flics qui l'affichaient partout par après. Maintenant, c'était elle qui allait peut-être forcer Marine à lui faire des choses, parce que quand Véro a une idée en tête, elle ne l'a pas ailleurs. Même avec toute sa volonté, on ne peut résister à cette enfant gâtée pourrie qu'elle était, sauf si on tient à perdre tout ce qui nous reste.

D'une griffe sûre, l'enfant détacha doucement le soutif de Marine, seul vêtement qu'elles avaient pu transporter, avec l'armure que Véro avait piqué. Ce n'était pas grand chose, mais cela protègerait ses points vitaux d'assaut inopiné d'un esclavagiste imprudent. Il n'y avait pas longtemps que Véro avait ses griffes, mais elle ne ratait jamais une occasion de s'en servir. Sans préavis, elle fondit sur la poitrine de Marine pour sucer un de ses énormes (encore pour elle) tétons et en absorba du lait. Sans raison évidente, toutes les femmes qui se faisaient traiter ainsi par la jeune demoiselle entraient en lactation tant qu'elle avait encore soif. C'était quelque chose de bizarre mais souvent apprécier chez les mères qui ne le faisaient pas naturellement. (C'était même une source de revenu, parfois)

Marine

E.S.P.er

Re : Fuir à deux ! [PV Véro]

Réponse 8 dimanche 09 mai 2010, 19:24:02

Marine essayait juste de calmer l’inu lorsque cette dernière la bascula en arrière. La jeune femme tomba assez violemment sur le dos, choc auquel s’ajoutait le poids de la gamine maintenant assise sur elle. Avant qu’elle ne reprenne ses esprits la gamine en question avait ouvert la chemise de la jeune femme avec ses toutes jeunes griffes et fit subir le même sort au soutien-gorge de la jeune rouquine.

Cette dernière rougit violement devant cette attaque mais n’osa pas repousser la fillette avec violence. La pauvre gosse en avait déjà vu des vertes et des pas mûres comme on dit. En même temps, les effets de la plante se faisaient aussi ressentir chez elle. Lorsque Véro lui attrapa un sein et se mit à le sucer, la combattante poussa un léger cri de surprise surtout quand elle comprit que du lait coulait de son sein et que la terranide s’en nourrissait.

La jeune femme n’ayant jamais eu d’enfant, elle n’avait jamais eu l’expérience de donner le sein mais curieusement elle appréciait le traitement infligé par l’inu. Elle laissa sa tête aller en arrière alors que la gamine s’activait sur sa poitrine. Elle ne comprenait pas pourquoi, ni comment mais elle commençait à être excitée par la situation même si elle refusait de se l’admettre. Son sexe commençait à dangereusement s’humidifier. Sa main alla se poser sur une  des cuisses de Véro et commença à jouer avec la petite queue toute douce alors que l’autre allait doucement appuyer sur la tête de l’inu et lui gratta derrière l’oreille. Elle ferma les yeux et se laissa aller à ses nouvelles sensations.

Merci Stephen pour la sign :)

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Veronique Hayes

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Re : Fuir à deux ! [PV Véro]

Réponse 9 jeudi 20 mai 2010, 13:41:01

Le lait de Marine était bon et chaud, si bon qu’elle ne put s’empêcher d’apprécier. Il était onctueux, bien dense et sous sa langue, le téton devenait plus dur, facilitant la tétée. Marine semblait aussi apprécier cela, car la petite sentait  l’odeur de la cyprine de là où elle était, ce qui la fit étrangement frémir de contentement, elle était très satisfaite de son effet sur la jeune femme, mais elle ne s’attendait pas du tout à ce que cela vire en caresses partagées. Alors qu’elle tétait, Marine lui caressa doucement la queue, lui arrachant un gémissement de plaisir. Eh oui, pour la petite Inu, la queue était une zone très érogène, à cause de sa proximité avec l’anus, mais aussi source d’embarras, car une fois sa queue maitrisée et caresser, elle pouvait perdre la tête, totalement. Marine ne semblait pas vouloir s’arrêter là et lui gratouilla la jonction entre l’oreille gauche et sa tête, lui arrachant un gémissement encore plus aigu, la forçant à relâcher le mamelon prit en otage pour respirer bruyamment de la bouche, tentant de se calmer, mais les caresses étaient bien trop bonnes pour qu’elle puisse arriver à reprendre pied, penser clairement et demander un temps-mort, et de toute façon, elle n’en voulait pas.

Trop excitée pour refuser les caresses de la jeune femme, la petite inu ne put que les savourer complètement, gémissant de plus en plus fort à chaque mouvement fait à ses oreilles et à sa queue, caressée dans le sens du poil… dans tous les sens du terme. Sa petite culotte, visible puisque, relevé par la queue, son pull ne la masquait plus, commençait à laisser paraitre une petite tache plus foncée, puis de plus en plus grosse; la petite s’échauffait et mouillait. Pour ne pas laisser tout le plaisir à elle-même, elle fit comme elle l’avait apprit au bordel avec les filles, elle mordilla la pointe dure de son téton gauche, pinçant et pressant l’autre d’une main gauche assurée, alors que sa main droit s’occupait à tenir le volumineux sein en place. Sans qu’elle ne s’en rende compte, la petite Hayes se mit à frotter son petit corps contre l’abdomen de Marine, se lovant et se blottissant contre elle, réclamant d’autres caresses tout aussi douces, car, malgré son apparence de gamine, elle restait une jeune fille qui allait bientôt « fêter » ses dix-sept ans, et donc qui avait des désirs refoulées pour son jeune corps. En état d’excitation, Marine et elle pouvait exactement comprendre le fonctionnement des symboles corporels de l’autre, sans qu’une gêne ne s’installe pour la petite Inu. Pour Marine, cela était peut-être une autre histoire, sa pudeur et sa droiture pourrait tout jeter en l’air et gâcher le moment, ce qui deviendrait une source supplémentaire de honte pour la petite qui ne se contrôlait plus et qui devrait probablement fuir vers les hautes herbes pour satisfaire ses désirs dans la pudeur, mais très certainement pas dans la dignitée.

Marine

E.S.P.er

Re : Fuir à deux ! [PV Véro]

Réponse 10 samedi 19 juin 2010, 21:46:27

L’inu répondait instinctivement aux caresses de la jeune femme. Cette dernière d’ailleurs avait fait cela de manière instinctive sans penser que la queue et les oreilles de Véro soient aussi sensibles. La petite avait repris son sein en bouche ou plutôt le téton et le mordillait alors que son autre s’occupait du sein laissé à l’abandon. Les vapeurs produites par la plante aphrodisiaque ajoutées aux caresses de l’inu, Marine commençait à sérieusement perdre pied dans la réalité. Son corps réagissait de plus en plus. Le petit corps se frottait contre le sien qui commençait à dangereusement y répondre. Son souffle s’accélérait, sa peau devenait beaucoup plus sensible tout comme ses seins ou son sexe.

Marine n’avait quasiment eu que de mauvaises expériences avec les hommes et notamment avec les esclavagistes, Don d’abord, la Bruja ensuite. A croire qu’elle les attirait comme un aimant. Les viols et les sévices qu’elle avait subi, elle avait arrêté de les compter. Elle ne savait même pas comment elle avait tenu le coup dans ces enfers. La deuxième fois, Véro n’y était pas étrangère, elle s’était beaucoup attachée à elle comme si c’était sa petite sœur. A tort peut-être mais cela lui avait permis de s’accrocher et de finir par arriver à fuir avec elle.

Là, tout était chamboulé d’un coup. Les effets de la plante exacerbaient ses sens alors que ses nerfs étaient déjà à fleur de peau. Elle qui avait toujours manqué de tendresse et d’amour. Bien sûr, là ce n’était pas de l’amour, c’était juste une envie corporelle, une alchimie due à des phéromones rien d’autre mais cela lui faisait du bien.

Une petite partie de son esprit cartésien reprit cependant le dessus, lui disant qu’elle était en train de faire quelque chose de mal et ça la fit revenir un peu à la réalité. Elle savait qu’elle ne devait pas mais son besoin était si grand. Indécise, elle cessa ses caresses mais ne chercha cependant pas à se dégager de l’étreinte de l’inu. Elle restait juste là, passive à l’extrême.


Merci Stephen pour la sign :)

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Veronique Hayes

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Re : Fuir à deux ! [PV Véro]

Réponse 11 lundi 21 juin 2010, 20:55:16

Marine ne la caressait plus. Véronique sentit sa queue reprendre ses battements dans l'air et son oreille cessa de lui faire du bien. Elle cessa de têter et de mordiller le téton de Marine et se redressa, curieuse de savoir pourquoi la belle demoiselle s'était arrêtée. Elle était devenue passive et ne faisait plus rien. La chaleur corporelle de l'Inu partit subitement, comme si le vent avait soufflé à l'intérieure de son jeune corps, la ramenant dans la froide réalité. Elle tenta de comprendre ce qu'elle avait fait de mal puis elle recula. Marine ne voulait plus jouer avec elle, et l'herbe aphrodisiaque avait enfin été totalement consommée par les flammes. L'enfant tenta de petits gémissements insistants, des bisous et tout, mais le corps de Marine ne se réchauffait plus, alors que celui de la petite réclamait des caresses. Sans préavis, elle se défit de la belle jeune femme et reposa le pied à terre, honteuse et triste, mais toujours avide. De gestes rapides et précis, si vifs que Marine, dont l’effet de la plante n’était pas encore dissipé à cause de la circulation lente du sang humain, ne pouvait rien faire, elle la rhabilla, rattachant le cordage coupé du soutif et de la veste. Ceci fait, elle recula vers les herbes hautes pour se cacher à l’intérieur. Là ou personne ne pourrait la voir. Comme les esclaves de La Bruja l’ont fait avant elle, elle se mit à caresser elle-même ses oreilles de chien, glissant une main entre ses cuisses et sous sa culotte, frottant son intimité pour se débarrasser de cette envie impérieuse qui naissait en elle. Elle frottait fort pour que cela lui fasse mal et que l’envie s’en aille, pincant fortement son oreille ou en arrachant quelques poils pour se faire souffrir. Lorsque toute trace de désir eurent disparus, elle fouilla dans son petit sac, prit sa petite culotte, se changea en enfournant la culotte souillée de cyprine dans la deuxième poche de ce même sac.

Elle ramena ses genoux contre sa poitrine et se mit à penser. Peut-être que suivre Marine n’était pas une bonne idée, peut-être que Marine ne voulait pas d’une telle chose et ne la considérait vraiment que comme une enfant. Elle en avait le corps et le caractère, mais sa libido en disait long sur son âge réel, il était si cruel d’être ainsi privée de sexe alors que, dans le « harem » de La Bruja, Véronique en avait eu pour des heures et des heures de caresses de la part de ses compagnes de bain. Marine faisait partie du groupe des aînées, alors, elle ne prenait pas son bain avec elle, mais toutes les enfants capturés, même les petits garçons, partageaient le même bain. Les filles trop criardes étaient soumises à une drogue, ce qui les rendait câlines et perverses, et comme Véronique n’était pas totalement une enfant, elle avait bien compris qu’elle finirait comme elles si elle ne restait pas tranquille dans son coin comme la bonne petite fille qu’elle est. Véro n’avait jamais été soumise au rejet, car les femmes comme les hommes n’avaient aucun tabou, dans cet univers qu’était l’esclavage, puisqu’elle était mignonne, les adultes ne se gênaient pas pour lui faire des trucs pas bien, mais les hommes évitaient de la pénétrer, car La Bruja l’aurait su, et très peu avaient envie de perdre leur sexe pour pouvoir abuser d’une gamine.

Enfin calmée, la petite revint vers Marine puis alla se lover contre elle, triste, les oreilles et le sexe douloureux d’avoir été maltraités, mais elle ne prononça pas un mot. Elle se mit à penser qu’elle aimerait avoir une personne rien qu’à elle, comme les adultes, une personne qui n’aimerait qu’elle et seulement elle, et qui lui ferait des câlins et des bisous tout partout pour le reste de ses jours, quelqu’un avec qui elle serait bien… son frère lui vint immédiatement à l’esprit.


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