Bonjour à tous, je m'appelle Lust est mon but est toujours d'avilir l'humanité pour gagner en puissance et modeler ce monde à mon image. L'un des meilleurs lieux pour faire succomber les faibles humains à mes vices est sans conteste l'auberge. De belles filles y servent de grosses doses d'alcool à des messieurs ma foi bien vulgaire et il suffi d'un petit rien pour rendre la situation très intéressante de mon point de vue. Et comme je suis bien plus qu'un petit rien je vous laisse imaginer le bordel que j'avais fichu ce soir là. J'avais commencé par déclencher quelques émeutes pour m'échauffer mais, bien vite ce ne fut plus très marrant, ce vice étant beaucoup plus drôle en temps de guerre. J'ai commencé à libérer mon aura de luxure sur ce petit monde et tout de suite les choses sont devenues très intéressantes, les serveuses ont été particulièrement sollicitées et je ne doute pas que plus d'une se réveillera demain avec un mal de fesses assez incroyable.
Depuis que je fréquentais cet endroit il était devenu un véritable lieu de débauche et les clients affluaient de plus en plus, preuve que sans être connue j'étais tout de même très populaire. Passablement éméchée je me suis mise à faire n'importe, dont le classique "danser à poil sur une table", bien sur quelques messieurs passablement éméchés eux aussi en ont largement profité.
Toutefois je fut bien vite fatiguée, cela faisait un moment déjà que j'utilisais mes pouvoirs de manière abusive et je commençait à penser que j'allais finir par dormir sur une table. J'eus tout de même le réflexe de monter dans une chambre mais, avant cela j'ai bien entendu libéré mon aura de gourmandise pour pousser les gens à se saouler comme jamais.
Le résultat final était assez chaotique et surréaliste, des serveuses à moitié nues étaient embrochées sur plusieurs mâles et tout ce beau monde dormait à point fermé, terrassés par l'alcool. Moi je roupillais dans un lit, moi aussi j'étais à moitié nue et complétement ravagée par la boisson, ce que je n'avais pas vu en revanche, c'est que la porte de ma chambre qui donnait sur l'escalier était restée ouverte et était bien visible d'en bas.
Ce que mon esprit était également trop embrumé pour percevoir, c'est qu'une puissante créature venait de passer la porte de l'établissement et semblait apprécier les fesses offertes du rez de chaussée. Néanmoins ma porte ouverte a dû l'intriguer car elle monte les escaliers, mais je ne le sais pas encore, d'ailleurs à l'heure actuelle je ne sais même plus comment je m'appelle ...