L'ennui sur Olympie etait difficile a combattre. Arès avait la capâcité de mettre a mal tout ennemis venant se frotter au panthéon des Dieux Grecs, ou encore aux villes qui etaient sous sa divine protection, mais il ne pouvait pas grand chose face a l'ennuie. Chasser des Humains? Non pas envie... Violer une Humaine? Non plus, le jeu etait amusant un temps, mais passé vite de mode. Tuer demons, ou autres créatures? Fait il y avait peu de temps avec quelques unes de ses pretresses. Raven, Lame et les autres etaient d'excellentes combattantes, avec qui il etait plaisant de partir en chasse, mais aucunes d'entre elles n'avaient les qualité que possédait sa grande pretresse... Charlotte. Quelque peu folle, voir méme complétement, Le Dieu se voyait deja chanceux que cette pile avait rejoint son temple. Aprés tout, quel potentiel perdu si elle avait finit au service de Zeus, ou encore Appolon ou méme Héphaistos... Pour le salut de tous, Arés l'avait trouvé d'abord, et cela lui arracha méme un sourire triomphant.
Bien que Charlotte avait deja semé la crainte des autres Pretresses, la peur des serviteurs de son temple, la folie chez certains prétres, qui avaient jeté l'éponge a faire de ce phénoméne, une parfaite représentante du Dieu de la guerre. Pas de cérémonie, ni méme d'offrandes, Charlotte elle, se contentait de faire ce qu'elle faisait de mieux, a savoir, provoquer des affrontements. Et pour cela, il n'y avait personne qui lui arrivé a la cheville. Malgrés sa folie, malgrés son sens du devoir légérement poussé a son extréme, Arés avait une affection toute particuliére pour cette délurée. Un peu comme sa fille, sa soeur et son amante, Charlotte n'etait comprise de personne, mais c'est aussi pour cela qu'elle etait a ce poste la aujourd'hui.
Il sentit alors sa présence. Et de nouveau, un sourire du Dieu, en voyant debarquer une de ses pretresses, qui hurlé contre l'attitude de sa soeur d'arme a son encontre. Le Dieu mit fin aux gérémiades de la demoiselle par un geste ample, et fracassant, qui percuta rapidement la joue droite de la téméraire qui avait cru bon de hurler en présence du Dieu. Faute, qui, il le savait, ne se reproduirait plus a l'avenir. Il la laissa sur le seuil de son temple, et se dirigea quant a lui vers la salle d'entrainement, ou il pouvait entendre le sac de frappe bouger sous les coups puissant d'une de ses guerriéres. Il ne fut pas etonné de trouver Charlotte, en train de s'acharner sur l'objet innanimé, mais il perçut trés vite un plaisir dans chaques coups de la jeune femme... Les yeux trouvérent le pourquoi de ces plaisirs. Une plaie béantes a la main, qui devait, a chaque coups, faire monter la douleurs de la jeune femme.
Le Dieu s'approcha alors, silencieusement, observant les techniques de frappe de sa protégée. Un bon style. Tout en puissance, pas de stratégie, nulle besoin quant on est capable de tuer un homme par un simple crochet du gauche.
"Ta ballade a t'elle portait ses fruits?"
La question etait simplement la pour attirer l'attention de la jeune femme, et avant qu'elle n'esquisse un mouvement, le Dieu se saisit de la main bléssée, l'inspectant soigneusement. Il arqua un sourcil, la regardant droit dans les yeux.
"Une lame t'as donc touché..."
Son regard se fit plus froid, et sa main ressera la prise sur le poignet de Charlotte, marquant se dernier sous la pression. Son autre main se porta alors sur cette fameuse plaie.. Il appuya dessus, faisant sortir un peu de sang de l'estafilade provoqué par la lame.
"Je te conseil de ne pas bouger, ni méme de tenter de te dégager Charlotte."
Il avait parlé avec autorité, tandis qu'il continué a maltraiter la plaie. Ses yeux ne quittaient pas ceux de sa pretresse, durant toute la scéance de torture. Mais trés vite, il leva la main et un revers s'abbatut que le visage de la tendre enfant.
"Dois je te rappeler qui tu représente? Une blessure est innacceptable pour ma grande pretresse."
Il se saisit alors de son menton, ne lachant toujours pas son poignet, et ressera d'autant plus l'etau. Il rejetta finalement la pretresse au sol, a quelques métres de lui.
"Tu as bien raison de t'entrainer..."