Un arrêt imprévu (PV |-| Sareeth)

Akane Inoujin est un citoyen japonais tout ce qu'il y a de plus banal. Le jeune homme vient de fêter récemment ses 20 ans avec ses amis qui ont voulu marquer le coup en lui payant une pro pour l'encourager à sauter le pas car c'est le dernier membre de son cercle d'ami à être encore puceau. Sauf que les choses ne se sont pas déroulées comme prévu. Un membre du groupe s'est retrouvé à vomir sur la jeune femme après une foudroyante intoxication alimentaire et autant dire que ni la star de cet évènement, ni celle qui devait l'accompagné pour le reste de la nuit n'avaient la tête à faire la chose.

En regardant le jeune homme on ne se dirait pas à première vue qu'il entretient son physique régulièrement à la salle de sport vu qu'il ne se dévoile quasiment jamais à son entourage. Sa chevelure occis entre le blond et le roux pour prendre une teinte orange assez claire. Au point que personne ne sait jamais vraiment quel terme utiliser pour la définir.

Aujourd'hui Akane est au volant de sa voiture direction le Comiket d'été, une convention qui rassemble tous les otakus et autres aficionados de culture japonaise. On trouve de tout là bas, des mangas -pros et amateurs-, des jeux vidéos, divers médias partagés et, surtout, du cosplay. Car si le jeune homme est de nature timide en général, il est également cosplayeur à ses heures. Et demain il viendra partager son art directement avec ses fans et les personnes avec qui il a pu faire connaissance depuis les deux dernières années.


- Allô, Akane ?
- Oui !
- Tu es toujours dispo pour demain ?
- Oui, oui ! Je devrais arriver ce soir.
- Pourquoi ce soir ? La convention n'a lieu que demain.
- Je sais... Mais j'aime prévoir les choses, ça me rassure.
- Tu changeras jamais. Et du coup tu fais comment pour ce soir ?
- Je vais sans doute dormir dans un manga café.
- Urgh ! Ces boites de conserves rikiki ?
- Ca fait le boulot.
- J'sais pas comment tu fais, mec.
- Question d'habitude.


A l'autre du fil se trouve Ryuto, un de ses amis d'enfance et, accessoirement, le gars qui avait commandé la fille de joie pour sa soirée de folie qui n'a jamais eu lieu. Les deux garçons se connaissent depuis le jardin d'enfant et sont devenus inséparables au fil des années. C'est d'ailleurs le seul membre de son entourage à savoir pour sa passion cachée.


- Au fait, tu peux m'envoyer le lien dont tu m'as parlé ?
- Euh... Ouais, attends...


Akane tourne la tête de chaque côté de la petite route isolée et visiblement déserte pour s'assurer que tout va bien et retire le téléphone de son socle pour pianoter brièvement dessus et envoyer un lien à son ami. Le téléphone reste ensuite plusieurs minutes dans sa main même après avoir raccroché lorsqu'il entend une sirène de police se rapprocher de son véhicule.
Sur le moment il ne fait rien de particulier et se contente de conduire normalement en tentant de se persuader que cette voiture va le doubler et passer sa route. Peut-être qu'il s'agit d'une voiture d'intervention qui doit se rendre quelque part.

Sauf que les secondes passent et la voiture qui se trouve derrière lui ne le dépasse pas. Pire, en regardant dans son rétroviseur il voit qu'on lui fait des appels de phares pour lui faire comprendre de se ranger sur le bas-côté. Chose qu'il fait au bout d'une centaine de mètres lorsqu'un endroit dégagé et isolé fait son apparition.
Le véhicule arrêté, sa main vient se saisir du frein à main pour le bloquer pour se saisir ensuite des clés de contact qui viendront couper le moteur.

Son coeur bat à cent à l'heure et quelques gouttes de sueur viennent probablement de faire leur apparition sur son front tant il commence à avoir chaud. C'est la première fois que la police l'arrête et il ignore comment réagir. Qu'est-ce qu'il a fait de mal d'ailleurs ? Son cerveau est en plein blocage et refuse de se souvenir des dernières minutes. Est-ce qu'il est bien garé d'ailleurs ? Peut-être qu'il devrait redémarrer pour mieux se ranger ? Non, ce serait un refus d'obtempérer.

L'angoisse commence à le gagner petit à petit...

Tsukiyo Kaisai est une jeune femme de vingt-six ans. Officier de police depuis peu, elle est sortie major de sa promo après s’être distinguée pour ses prouesses et son esprit malin. Mais elle ne s’est pas engagée pour des raisons louables. La policière apprécie prendre et mettre de la situation. Elle a réussi jusqu’ici à contrôler son instinct tordu… Mais elle a souvent frôlé l’abus de pouvoir et la bavure.


« Tsuki-chérie ! » Je reconnais derrière moi la voix de Naho, par son ton strident et ses surnoms nazes. On est entré ensemble à l’école de police puis on a réussi notre examen la même année. Comble de mon désespoir, on a été affecté dans le même commissariat, malgré notre différence de résultat. Je subis, depuis ce jour, ce pot de colle insupportable. Mes nerfs menacent de lâcher à tout moment. « Le chef nous a assignés ensemble pour la patrouille ! » Hors de question.

Je me tourne brusquement vers elle. Mon regard noir en indique long. Elle recule de trois pas, surprise et apeurée. Finalement, j’ai craqué. J’ai besoin de me débarasser d’elle, d’aller prendre l’air. Mais Naho ne comprend guère mes intentions et reprend avec douceur : « Si tu préfères…» Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase. « Non, laisse. Je m’en occupe. Seule. » Je jette un froid dans le commissariat mais j’attrape vite les clés d’une voiture de fonction et c’est parti !

« Tsukiyo…» Une voix tente de m’appeler derrière. Mais je n’y prête guère attention. Sauf qu’au volant, je me rends vite compte que je me suis trompée. Parmi nos véhicules, y en a un avec le chauffage bloqué. C’est trop tard pour changer… Je ne vais pas retourner à l’intérieur après mon un tel départ. Alors j’ouvre grand les fenêtres, je vire ma veste pour me retrouver en chemisier court qui laisse mon ventre à l’air et dévoile les ficelles de mon string montant vers mes côtes.

Il n’y a que moi. Ce n’est pas si grave.

Je roule et patrouille quand je remarque un véhicule devant moi. Je penche un peu sur le tableau de bord. Il a un truc de la main, non ? Comme une envie de me défouler, le conducteur devient la cible. Je le suis attentivement sur plusieurs mètres jusqu’à lui demander gentiment de se ranger sur le côté. L’endroit est désert. Pas de témoin pour remarquer les abus !

Je sors de ma voiture et toque à sa fenêtre. « Alors, on utilise son téléphone au volant, Monsieur ? » Je me penche pour mieux distinguer son visage. Il est plutôt mignon ! Lui a une sacrée vue sur ma poitrine enfermée dans ma chemise. La sueur l’a rendue transparente et laisse ressortir le rose vif de mes sous-vêtements. « Ou vous jouiez peut-être avec autre chose ? Il est clair que vous n’étiez pas très concentré sur la route. »

Une amende suffirait mais j’ai envie de jouer un peu plus avec lui et j’ai vraiment besoin de passer mes nerfs sur quelqu’un. Il est le candidat idéal !. « Sortez de votre véhicule. Je vais procéder à une fouille. »

Le pauvre Akane est sur le point de sauter de son siège et de se cogner contre le toit du véhicule quand il entend quelqu'un le sortir de son petit monde pour toquer à la vitre de sa portière. Sans réfléchir davantage un de ses doigts vient se poser avec difficulté sur le bouton qui fait glisser la vitre rapidement.

- Pardon ?

Son cerveau est toujours aux abonnés absents alors qu'il cherche tant bien que mal à retrouver son calme habituel. Et alors qu'il tente d'avaler sa salive pour formuler une réponse, l'énorme poitrine comprimée de la femme qui vient d'engager l'échange lui saute carrément aux yeux.
Est-ce qu'ils sont vrai ? Merde, il ne peut pas poser une question pareille même si ce n'est pas l'envie qui manque. Depuis quand les flics s'habillent comme ça d'ailleurs ? Personne n'aurait donné son autorisation à un agent pour travailler dans un accoutrement qui crie à des kilomètres l'attentat à la pudeur.

- Euh, non... En effet...

Il n'y a pas qu la route avec laquelle il a du mal à rester concentré visiblement. En plus d'avoir une paire de nichons comme il n'en avait encore jamais croisé jusque là, on pouvait clairement voir à travers le tissu transparent d'une chemise remontée ou tout simplement trop petite pour ses mensurations.

Lorsque la jeune femme lui ordonne de sortir de son véhicule, Akane met quelques secondes pour obéir. Son esprit est perdu entre la surprise, la gêne et une once d'excitation.

- Tout de suite mada-... mademoiselle l'agent.

Les mots sortent machinalement et sans conviction de sa bouche devenue sèche et pâteuse. Comment est-il censé réagir à ce qui est en train de lui arriver ? Cette jeune femme qui ressemble plus à une strip-teaseuse serait-elle vraiment de la police ? Ou alors est-ce qu'il s'agirait d'un plan tordu fomenté par son pote Ryuto qui veut se racheter après la soirée ratée ?

Obéissant sans riposter à ce qu'on lui demande, les mains du jeune homme se posent sur le toit chaud de la voiture en ouvrant légèrement les jambes. Un temps hésitant, il décide de prendre son courage à deux mains et de chercher une explication à cette situation. Ou plutôt de se convaincre que ce qu'il pense est bel et bien réel.

- C'est impressionnant vous savez ? Vous êtes actrice à côté ?

Tenter sa chance ne l'empêche pas d'avoir encore un peu peur et cela se ressent dans sa voix qui reste hésitante. Le garçon ne se démonte pas et poursuit en tournant la tête en direction de celle qu'il pense être une fausse policière qui joue un rôle.

- Je pensais pas qu'il irait jusque là pour me faire une surprise. Il faudra que je le remercie quand on se verra.

Au moins cette possibilité semble lui rendre un peu plus sa confiance.

C’est décidé. Aujourd’hui, je me tape tous les énergumènes du patelin. Après avoir subi Naho et en étant déjà bien sur les nerfs, je tombe sur un jeune conducteur - très mignon - mais complètement déphasé avec la réalité.

Ses réponses approximatives s’accumulent à un comportement suspect. Il prend son temps pour sortir du véhicule, comme s’il est plongé dans un état second. Mais dans l’habitacle, je ne sens aucune odeur de drogue. « Je n’ai pas toute la journée. » Ma patience s’érode vite aujourd’hui. Il a intérêt à se montrer obéissant avant que la situation ne dérape.

Enfin, je le vois bouger un peu. Il se met face à son capot, les mains en évidence dessus. « Actrice ? Pourquoi faire ? » J’arque un sourcil. Entre surprise et incompréhension, le message qu’il tente de passer me paraît plus obscur que son comportement. Je peine à cerner les rouages de sa réflexion. Pire encore, j’abandonne toute tentative de comprendre ses propos. J’en reviens vite à ma tâche. La procédure veut que j’enfile des gants.

Mon regard se tourne vers ma voiture de fonction. J’abandonne l’idée. Je dépose mes mains de chaque côté de son flanc. Par-dessus ses vêtements, j’explore et cherche toute sensation suspecte. D’abord le dos puis le torse. Pour poser mes doigts sur ses pectoraux, mon corps s’approche. Ma poitrine se compresse dans son dos et mes doigts furettent ici et là. « Hein ? Vous aimez tant que ça être fouillé ? »

Le pauvre homme va être servi. Cette fois-ci, j’adopte une nouvelle approche, loin d’être éthique. Mes mains passent en dessous de son t-shirt. Ma peau douce entre en contact avec la sienne dans des caresses légères et bien éloignées de tout acte professionnel. J’en tire un malin plaisir à découvrir chacun de ses muscles. Mais l’absence de contenu illicite abrège la fouille.

Nous n’en avons toujours pas fini pour autant. Je m’éloigne et m’accroupis derrière lui. Il est de coutume de débuter par les hanches mais ma paume se dépose sur son entrejambe. Mes doigts en tracent les contours pour terminer leur course dans leurs poches. Toujours rien. J’abandonne ici, baclant certes mon travail. Profiter de la situation nourrit mon plaisir. Je n’ai pas encore terminé de lui en faire voir de toutes les couleurs.

« Vous n’avez rien sur vous. Votre nom, vos papiers. Ouvrez votre véhicule pour que je puisse le fouiller. »

Chaque seconde qui passe semble aller dans le sens du jeune cosplayeur alors que la femme policière semble jouer l'innocente en évitant sa question. Peut-être qu'elle ne fait que jouer un personnage et que, lui aussi, est supposé faire semblant. Il s'agirait donc d'une espèce de jeu de rôle coquin en extérieur. Cette optique le stimule autant qu'elle le gêne et pourtant il va prendre sur lui.

Ses doutent s'envolent encore un peu plus lorsque l'immense poitrine de l'inconnue vient s'écraser en partie contre son dos. Pire encore, une remarque des plus tendancieuse vient se glisser dans ses oreilles alors qu'il est incapable de voir celle qui joue avec son corps dans ce qu'il interprète comme une danse sensuelle.

- C'est pas désagréable.

Même sa confiance prend son envol. C'est dire si il est persuadé de ce qu'il se passe en ce moment même sur cette route abandonnée. L'idée de s'envoyer en l'air est déjà folle dans l'absolu. Alors avec une bombe pareille ? Et dehors ? Son cerveau se remet à lui jouer des tours sans pour autant lui faire perdre les pédales comme cela était le cas plus tôt.
Un premier frisson lui parcours son corps qui gagne en température lorsqu'une main voyage sous son haut. Le contacte est bref mais il a le mérite d'exister et de stimuler autant son envie que son fantasme.

Son sexe se met à pulser par réflexe lorsqu'une paume solide vient se déposer délicatement sur son membre encore à moitié mou. Et si les choses continuent d'aller dans ce sens il ne le restera pas très longtemps. La respiration du garçon se fait plus haletante car il a de plus en plus de problèmes à garder son calme. N'avoir aucune expérience avec les femmes ne l'aide clairement pas dans cette situation.

- Je m'appelle Akane Inoujin et mes papiers sont dans la boite à gants.

Le regard baladeur et plein d'envie vient se déposer tour à tour sur l'énorme poitrine de la policière en plus de son cul qui n'est pas énormément protégé par cette petite jupe qu'elle porte.
Sans doute galvanisé par cet échange bouillant, Akane se lance dans un geste totalement fou qu'il n'aurait jamais osé tenter dans d'autres circonstances. Mais la femme devant lui est une actrice/prostituée payée par son meilleur ami pour l'aider à "devenir un mec" comme ils aiment si bien se le dire entre eux.

- Vous cherchez quoi ? Je peux vous aider ?

Alors que les mots sortent de sa petite bouche délicate et toujours aussi sèche, sa main droite vient se poser sur le derrière bombé de la fliquette à l'instant où celle-ci vient sonder l'intérieur du véhicule.
Qu'est-ce qui pourrait mal tourner de toute manière ? Ils sont tous les deux ici dans le même but. En tout cas lui s'est retrouvé embarqué dans cette folle histoire sans rien demander. Mais autant en profiter, non ?

La fouille s’est terminée. Nos corps se sont éloignés. Mais je me sens différente, envahie d’un étrange sentiment mêlé de frustration et de désir. Je l’ai pourtant à peine effleuré de quelques caresses sensuels. Il m’en faut tellement plus pour m’échauffer d’habitude. Entre la journée de merde que je passe et la chaleur estivale, c’est peut-être ça qu’il me faut pour me défouler. Il est réceptif à mes attentions. Avec un petit coup de pression, je suis sûre qu’on peut faire des merveilles.

J’avance à pas prudent. Seule une proposition indécente et lourde de sens daigne être dite : « Je peux te fouiller une seconde fois si tu veux. On est jamais sûr de rien, tu caches peut-être quelque chose. » Il est aussi vrai que j’ai bâclé mon travail. Trouver une preuve prometteuse pour l’arrêter pimenterait ce jeu dangereux. « Akane. » Je répète son prénom, d’une voix sensuelle alors que j’attends qu’il m’ouvre son coffre. Je regarderai l’avant et ses papiers après.

Quand je penche dans l’habitacle, ma jupe monte au-dessus de mes fesses rondes. Elle dévoile mon cul enfermé dans un collant transparent et une seule ficelle fuchsia au milieu. Je n’ai pas conscience de la vue obscène qu’Akane a sous les yeux. Mon travail passe avant tout. Je sors discrètement de mon décolleté un petit sachet d’herbes que je cache à un endroit que je n’ai pas encore fouillé. Prête à lui sortir un scénario limite, sa main se plaque au même moment sur mes fesses.

« Petit pervers. » Il n’entend aucune contrariété dans ma voix. Mon amusement transparaît. Je me relève rapidement pour lui faire face. Mais je commence vraiment à étouffer sous cette chaleur et mes joues rougies en témoignent. Je défais un peu ma cravate et ouvre ma chemise - il n’y a plus rien à y cacher .« Tu fais obstacle à la fonction d’un agent au service ? Ce n’est pas qu’une seule amende pour ton téléphone que tu vas prendre, Akane. »

Mes bras passent autour de son cou. Je glisse mes lèvres à son oreille. « Mais on peut peut-être trouver un arrangement. Tu en penses quoi ? Je te laisse cinq minutes pour y réfléchir. » Je m’éloigne de lui pour contourner la voiture. Il n’est pas trop question de lui laisser le choix… Ou enfin, je compte l’inciter à prendre la bonne décision. Mais pour l’instant, me préparant à l’éventualité d’un refus catégorique, je fais le tour de la voiture pour ouvrir la porte passager et récupérer les fameux documents dans la boîte à gant.

Sa prise d'initiative est rapidement récompensée par une vue directe et plongeant sur cette poitrine qui le fait loucher depuis le début. Le son de déglutition doit être audible à des kilomètres tant il se sent dépassé par la situation. Toute cette chaleur lui monte au cerveau et c'est presque comme s'il se voyait avec de la fumée qui lui échappe des oreilles tel un personnage de cartoon étranger.
En tout cas un long soupir d'envie quitte ses lèvres sans qu'il ne rende compte face à ce spectacle de toute beauté.

Le vouvoiement en place entre eux a également évolué pour un tutoiement plus intime. Une suite logique vu la façon dont la policière a de lui parler et de prononcer son prénom avec sensualité.

Son corps se fige alors que les bras fins et délicats de la belle viennent se glisser dans son corps pour approcher dangereusement leurs deux visages. Entendre sa douce voix de si près. Sentir son souffle dans ses cheveux et sur le lobe de ses oreilles lui procure un bien incroyable. Sans parler du parfum si particulier qu'elle dégage.

- Je... Oui...

A peine la jeune femme s'est-elle éloigné que son jean commence à déformer sous le signe de l'excitation. Voir ce cul si parfaitement galbé et rebondi n'aide en rien cette érection qui se veut de plus en plus visible et pressante sur sa braguette.
Elle veut faire ça ici ? Sur le capot ? Sur le siège arrière ? Dans l'herbe ?
Sur le moment les scènes pornos en plein air qu'il a vu par le passé lui reviennent toutes à l'esprit les unes après les autres. Parce que bon, du porno il en a vu un paquet durant son adolescence.

Sans ajouter la moindre remarque Akane vient se positionner de sorte à se retrouver devant la jeune femme lorsqu'elle aura terminé de vérifier le contenu de la boite à gants dans laquelle se trouve d'ailleurs une boite de capotes grandes tailles et encore avec son plastique d'emballage.

- Je peux peut-être payer autrement ?

C'était limite... Il était sur le point de sortir une réplique de vieux porno du genre Je peux payer en liquide. Peut-être que ça aurait pu marcher ou juste la faire rire vu qu'elle est là pour satisfaire ses envies. Les pros doivent avoir l'habitude des mecs qui roulent des mécaniques ou qui sont déphasés avec le monde réel.

La transpiration commence à se faire si pressante que son t-shirt se met, à son tour, à lui coller à la peau au point de le démanger. En bas ce n'est pas mieux vu que son membre gonflé à bloc est coincé dans un jean désormais trop serré pour lui.

Son regard est incapable de se détourner de cette paire de nichons et la phase suivante est lâchée avec une envie non dissimulée.

- J'avais jamais vu des seins aussi gros avant.

Heureusement qu'il se retient sinon il plongerait dedans tête la première pour faire puff-puff.

Pour fouiller dans la boîte à gants, je me suis assise sur le siège passager. Mes jambes sont à l’extérieur, croisées. Je l’observe me rejoindre et me positionner devant moi. Il est parfaitement dans l’axe de soleil. Je fouille sans trop lui prêter attention. Les papiers sont là mais derrière se cache une boite de capote inutilisée.

« Tu es ce genre de gars prétentieux qui achète deux tailles de trop ? » Mon regard se déporte sur lui de son visage jusqu’à son pantalon et cette protubérance, presque au niveau de mon visage. A vue de nez, ce n’est pas un menteur. « Tu l’as pas ouvert ? Tu préfères sans ? »

Je lui tends le paquet et récupère les papiers. « Tu peux. Mais il va falloir assurer, si tu ne veux pas finir la nuit au commissariat avec moi. » L’inverse peut arriver… Si jamais, il m’offre une trop bonne performance, ce serait mieux de me le garder sous le coude ! Je n’ai jamais autant abusé de mon pouvoir auparavant. Ce n'est pas l’envie qui en manque. Mais là, nous pourrions aller très loin et quitte à transgresser les règles, autant aller jusqu’au bout.

Enfin, rien n’est joué. Je ne lui prête pas plus attention que ça. J’abuse mais il faut tout de même que je procède à un minimum de vérification. Akane vient encore me troubler dans ma tâche. Cette fois-ci, c’est un commentaire élogieux sur ma poitrine. Je finis le contrôle et lui propose : « Ils te plaisent ? » Je me tourne complètement vers lui, toujours assise. J’attrape ma cravate dans la bouche et défait un à un les boutons tendus et prêt à lâcher mon uniforme. Mes seins tombent, enfin libérés de leurs prisons. A travers les triangles roses qui les retiennent, il peut remarquer la forme de mes tétons durcis.

« Tu peux toucher. » Ma main s’égare sur son jeans et presse la protubérance marquée. « Tu n’avais pas une telle bosse tout à l’heure… Je devrais vérifier que tu n’as rien cacher d’illicite dans ton pantalon. » Je quitte peu à peu mon sérieux pour jouer le jeu dans ce scénario digne d’un film porno. Son pantalon est défait et tombe le long de ses jambes. Dans le même temps, je quitte l’assise pour lui faire face.

Mes doigts suivent la forme dessinée dans son boxer. « Mmh. C’est une sacrée arme que tu as. » Perdant patience, ils trouvent le chemin derrière le tissu. Ma peau brûlante entre en contact avec son érection que j’attrape d’une main ferme. « Tu m’as toujours pas dit de quelle manière tu comptais payer. Tu as beaucoup à rattraper : téléphone volant, outrage à agent en fonction et obstacle à ma fonction. J'espère que tu es endurant. »

L'invitation est si généreusement faite qu'une main vient délicatement se saisir d'un de ses gros seins par-dessus son soutif l'espace d'un moment. Il ne peut en profiter qu'un bref instant car sa partenaire s'amuse à faire tomber son jean au niveau de ses chevilles.
Inutile de préciser qu'il est légèrement déçu de la voir se relever pour se retrouver face à lui. Son regard plongé dans le sien alors qu'une distance minuscule les sépare. Il devait s'attendre à autre chose vu leurs positions respectives.

Sa seule expérience à ce jour consiste à poser sa propre main sur sa bite pour s'astiquer devant des vidéos cochonnes dans sa chambre le soir. C'est probablement pour cette raison qu'il lui répond : - Bien sûr ! Je vais te faire jouir durant des heures !
Et avec une assurance non dissimulée pour ne rien gâcher.

Tout excité qu'il est, sa main vient se poser sur celle de la policière par-dessus le tissu de son sous-vêtement. Les doigts instigateurs de la femme lui font un bien fou et il ne peut s'empêcher de trembler d'anticipation. Il se met alors à appuyer dessus comme pour lui faire comprendre de façon implicite de bien le caresser. Qu'elle puisse sentir chaque veine de ce membre imposant qui n'a rien d'une exagération comme elle le laissait supposer l'instant d'avant.

Sa bouche si sèche vient se jeter sur un des gros seins de la fliquette en lui dévorant d'abord la chair à sa disposition. Rapidement sa main libre vient tirer sur le bout de tissu qui protégeait son mamelon pour venir le suçoter avec avidité à son tour.
Akane a toujours été un fan de grosse poitrine. Donc ce qui lui est offert aujourd'hui sur un plateau le fait vriller d'excitation.

- T'es tellement sexy !

Le compliment est placé entre deux léchouilles hasardeuses. Son manque de pratique est évident même si on pourrait le confondre avec une envie un peu trop forte de venir dévorer ce nichon. Quand il parvient enfin à cibler correctement le mamelon pour l'aspirer de toutes ses forces, sa langue entre dans la partie pour le titiller et le stimuler avant d'être recraché dans un bruit humide et dégoûtant.
Pourtant cela ne l'arrête pas car sa langue quitte de nouveau sa bouche pour attraper le filet de salive qui en coulait pour remonter jusqu'à son téton pour lui donner des coups répétés.

A l'étage en-dessous, son pouce vient se positionner sur l'élastique de son boxer. Puis, sans réfléchir, il tire dessus pour faire sortir sa queue dressée comme probablement jamais dans toute son existence.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Un courant d'air frais vient s'abattre sur la peau sensible de sa queue pour le faire frissonner. Et sa réaction est de venir saisir ses deux gros seins en même maintenant qu'il a sa seconde main de libre. Ses doigts viennent s'enfoncer dans la chair moelleuse et douce de cette poitrine alors qu'il passe au second mamelon pour vérifier si il a le même goût que le premier.

Assise sur le siège passager, j’ai une hauteur presque parfaite pour m’occuper d’Akane. Il me suffisait de me pencher et de baisser son boxer puis le tour était joué. Mes doigts baladeurs m’offrent cette possibilité. Toutefois, j’avorte ses espoirs quand je quitte le siège pour coller mon dos à la carrosserie. Sans la voir, il m’est facile de deviner sa déception.  Mais dans ma paume reste empoignée sa queue. La sienne la rejoint pour appuyer mes caresses fugaces. Il m’encourage à en prendre soin de son geste. Pour le contenter, ma seconde main rejoint la première. Il se retrouve emprisonné entre mes doigts curieux. J’en devine ses épaisses veines et son gabarit alléchant. Il me tarde déjà d’y goûter.

« Tu as intérêt à t’y tenir. » Sa conviction finit par m’atteindre et je crois réellement en cette promesse faite. Pourtant, ces gestes maladroits et sa précipitation ne semblent indiquer une grande expérience. Je finis par payer ces quelques pensées parasites, emportée par sa fougue et son excitation visible. Je lui laisse l’espace pour profiter de chacun de mes seins comme un buffet à volonté. Ses coups de langue chaotiques ne sont pas pour me déplaire. « Tu es vraiment pas non plus… Tu caches bien ton jeu. » Je jette ma tête en arrière, appréciant ses préliminaires aux hauts en couleur. « Utilise ton autre main pour me peloter… Occupe-toi des deux en même temps. »

Je ne comprends qu’après coup qu’il a libéré sa bite. Elle se dresse droite entre nous mais avec sa tête devant, je n’ai guère l’occasion de profiter de ce spectacle. Mais ses deux mains s’emparent de mes seins, sans comprendre qu’il ne la fait exprès. J’en exprime ma joie. « Comme ça… » Machinalement, mes doigts guident sa queue sous ma jupe. Avec notre proximité, elle n’a aucune difficulté à se frotter contre mes collants ni à sentir la chaleur qui se dégage de mon entrejambe. « Attends… Attends. » Mes mains le quittent et se posent sur ses épaules. Je le repousse.

« C’est à mon tour de goûter. » Je ne lui laisse pas le temps de protester que je suis déjà, à nouveau, assise devant lui. Cette fois-ci, son membre est tendu à quelques millimètres de mes lèvres. Il me paraît plus gros encore qu’entre mes mains. Je me lèche les lèvres à l’idée de déguster une telle queue. Mes doigts l’entourent à sa base et ma langue caresse sa peau. J’explore sa longueur et ses veines saillantes avant d’arriver au gland. Je le taquine de quelques léchouilles. Mes lèvres s’ouvrent en grand. Je lui permet d’entrer peu à peu et lentement.

Je prends mon temps et glisse ma langue contre sans peau. Je veux lui permettre de ressortir chaque centimètre entrer dans ma bouche jusqu’à sa garde. Il est énorme, il m’étouffe. Mais je n’abandonne pas. Je débute de lents aller-retours, à chaque fois jusqu’au bout, permettant à son gland de cogner contre le fond de ma gorge. Mon regard remonte vers lui. Je m’enquis de ses réactions, j’espère le voir se tordre de plaisir. J’accélère. De plus en plus, je viens combler ma bouche de sa grosse queue et m’étouffer dessus. Ma langue accompagne mes sensuels voyages pour lui offrir une myriade de sensations. Je prends un tel pied à le sucer ainsi que je ne compte pas m'arrêter jusqu'à obtenir ma récompense.

A sa demande Akane se régale littéralement avec cette paire de seins qui semble être venue tout droit d'une autre dimension. Il les suces, les aspirer et bave dessus plus que nécessaire pour lui prouver à quel point cette dernière lui faisait envie depuis que sa main est venue toquer à sa vitre.
L'excitation est telle qu'il ne sens pas qu'on vient se saisir de sa bite pour en frotter le gland sur le tissu rêche du collant. Sans une intervention directe de sa part il aurait pu continuer son petit jeu durant une heure sans se fatiguer.

C'est d'abord à contrecœur qu'il se laisse repousser. La sueur revient perler sur son front et tomber sur sa joue alors que sa respiration se fait de plus en plus difficile lorsqu'il l'entend dire qu'elle veut le goûter. Généralement ce genre de remarque n'a qu'une seule signification et le fait qu'elle retourne s'asseoir pour se retrouver le visage face à sa queue tendue ne fait que le confirmer.

- Kuuuuuh ! Hoooouuuu !

De longs gémissements de satisfaction s'échappent de sa bouche lorsque l'inconnue vient lui saisir sa bite pour y déposer les premiers coups de langue. Qu'est-ce qui est le plus dévastateur dans son cerveau entre les sensations et la vue de son sexe disparaître centimètre par centimètres dans cette bouche ?
C'est alors qu'il se souvient de la fois où ses potes l'avaient averti sur le phénomène.


- Fais gaffe lors de ta première pipe, mec !
- Comment ça ?
- Moi j'ai pas réussi à tenir.
- Pareil ! C'était super chaud.
- Vraiment ?
- Après tout dépend de la nana.
- Tu crois ? La mienne était pas aussi nympho que la tienne.
- Ta gueule !
- Quoi ? J'ai tort ?
- Non, mais ta gueule quand même !
- Ha ha !
- Tout ça pour dire que c'est super dur de tenir longtemps quand c'est une toute première.
- Après il y a des astuces.
- ...


Et à en juger par ses réactions ses amis avaient raison. Car le fait qu'elle le suce lentement n'arrange pas sa situation d'un iota. Son regard de braise planté dans le sien lorsqu'elle le relève en sa direction le fait gémir de plaisir sans rater.

- Hooo, c'est trop bon.

La chaleur humide qui entoure sa tige est aussi douce qu'enivrante. Chaque caresse de cette paire de lèvre qui vient parcourir chaque centimètre de peau ou passer par-dessus ses veines épaisses le fait trembler un peu plus. C'est alors que ses bras viennent se poser sur le toit de la bagnole. L'un au-dessus de l'autre et son front en sueur encore par-dessus. De là il ne voit que la bouche et le menton de sa partenaire dépasser et sa bite qui en entre et en sort de manière répétée.

Ses propres hanches viennent alors effectuer quelques mouvement vers l'avant lorsqu'il est sur le point d'être avalé. Tout ça n'a rien de volontaire. Le plaisir est en train de guider son corps, qu'il le veuille ou pas. Si on lui avait dit que se faire sucer pourrait être aussi bon il aurait tenter sa chance avec les filles de son lycée ou de sa fac bien plus tôt.
Ses épaules finissent par se redresser afin qu'il revienne dans sa position initiale tout en poursuivant ses mouvements de bassin dans cette bouche avide et légèrement baveuse.

C'est alors qu'un mouvement un peu trop ample fait ressortir sa queue qui, dans le mouvement inverse, vient se coller sur le visage à la peau brûlante de la policière. Et le garçon semble incapable de s'arrêter pour retourner dans le bon trou. Non, sa bite visqueuse vient se masturber sur les traits fins mais si séduisants de la policière.

- T'es tellement belle, tu sais ? Et tu m'excites trop !

Sa masturbation faciale dure plusieurs secondes et ce ne sera que grâce à l'aide de la jeune femme qu'il reviendra à l'intérieur de sa bouche dans un long et puissant soupir de satisfaction. La différence de température et de sensation sont tellement flagrantes que sa queue se met à pulser de manière répétée. Voir même à gonfler un peu plus en restant coincée dans cette bouche.

- Haaa, tu vas me faire jouir !

Il ne croyait pas si bien dire alors qu'il pousse ses hanches vers l'avant comme pour l'empêcher de réagir alors que son sperme vient exploser dans la bouche déjà bien occupée de cette nympho.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Au départ il s'était retenu une bonne semaine pour profiter pleinement de sa soirée d'anniversaire. Et malgré la frustration provoquée par cette opportunité avortée il n'avait pas eu la tête ou le temps pour se masturber. C'est donc un concentré de sperme crémeux qui vient inonder cette petite bouche dans une quantité plus que suffisante pour lui faire comprendre que si elle ne commence pas rapidement à avaler elle va devoir se libérer et recracher ce qui pourrait bien la noyer.

J’adore quand mes partenaires montrent leur plaisir sous mes attentions. Akane me donne envie de me dépasser pour le faire jouir. Je prends un malin plaisir à enfoncer sa queue jusqu’au fond de ma gorge à chaque fois.

Mes mains rejoignent parfois mes lèvres pour accompagner leurs sensuels caresses contre sa peau brûlante. Quand il s’appuie contre le haut de la voiture, des petits coups de reins accompagnent mes mouvements. Mes doigts tombent le long de ses cuisses pour ne pas le gêner à chaque fois qu’il la pousse dans ma bouche gourmande.

Elle s’échappe et se frotte contre ma joue. « Arrête de bouger… Laisse-moi la remettre… » J’essaye de lui demander, frustrée par son absence. Avec un peu de persévérance, j’arrive à la guider entre mes lèvres et la coince pour éviter qu’elle s’échappe une seconde fois. Ma langue appuie et la caresse sensuellement dans une vengeance bien orchestrée. Il ne me laisse guère le temps de me remettre que sa queue gonfle tout à coup. Son avertissement est trop soudain et sa semence jaillit dans ma bouche pleine.

Je n’ai pas le temps de réfléchir que j’avale la substance crémeuse. Elle déborde sur mon visage. Une fois que j’ai terminé seulement, je libère ma petite bouche malmenée et reprend mon souffle chaotique. Il me faut plusieurs secondes avant d’être capable d’aligner une simple phrase. « Ta queue va me rendre accro. » Dès que je me remets de mes émotions, j’attrape sa verge entre mes doigts et viens la nettoyer des dernières traces. Ma langue coule tout son long pour la laisser humide de ma salive.

« J’espère que tu es prêt pour la suite. » Mais je n’attends pas de réponse. Je me lève et me tourne sur le siège pour m’y installer à quatre pattes. Je creuse mon dos pour bien m’élever à sa hauteur puis je profite surtout qu’il est pas encore bouger et positionne mon cul contre sa queue. « C’est à ton tour de me faire du bien… » Malgré mes collants, j’arrive à la faire coulisser entre mes fesses charnues. Les lascives caresses me rendent folles.

« Déchire le collant et prends-moi... » S’il ne veut pas, je peux le faire à sa place. Ca sera toujours plus simple que de tenter de l’enlever. Je commence à perdre patience et après avoir goûté à son sperme, je n’ai qu’une envie qu’il essaye de satisfaire la nympho que je suis.

Akane est dans un état second après cette puissante éjaculation. C'est à peine s'il reconnaît son propre corps et la policière nympho ne l'aide pas en venant astiquer son frein comme une bonne petite salope. Tout ce qu'il sait sur le sexe provient de ses amis et ils étaient unanime sur une chose : une nana ne viendra jamais jouer avec ton sperme volontairement.
Soit elle décidera de le faire parce qu'elle veut te faire plaisir, soit c'est une pro ou une actrice de film qui sera payée dans les deux cas. Et e nettoyage à un effet dévastateur car sa queue luisante de salive ne flanche pas.

Le garçon jusque là timide est transporté par cet enchaînement d'évènements tous aussi fous les uns que les autres. Le doute n'est plus permis sur la situation et tous les conseils prodigués par ses potes et ses propres fantasmes viennent guider ses gestes et ses paroles désormais.

- Ouais, attends...

Ses doigts n'ont rien de ceux d'un artisan et on s'est souvent moqué de lui à ce sujet par le passé. Pourtant ils n'ont aucun mal à se saisir du collant de la jeune femme pour venir l'arracher dans un son si caractéristique qui doit faire comprendre à la belle ce qui se passe dans son dos.

Comme avec ses seins, les deux mains d'Akane viennent se saisir avec puissance de ce cul sans défense vu que la pseudo agente porte juste un string provocateur. Et cette fois ce sont ses dents qui viennent titiller la peau de pêche de ce derrière de compétition. Il appuie juste ce qu'il faut avec pour lui provoquer des sensations sans lui faire mal.

- Tu remues le cul pour que je te baise.

En même temps qu'il s'expliquer, le jeune homme se redresse et tire sur le string pour venir glisser une main sur sa fente histoire de s'assurer qu'elle mouille autant qu'il se l'imaginait. Encore une fois sa queue se met à remuer d'envie comme celle d'un petit toutou qui veut jouer.

Les deux semblent avoir oublier la présence des préservatifs alors que le gland gonflé et dégoulinant de reste d'éjaculation précédente et de la salive de la policière vient se positionner à l'entrée des lèvres de celle-ci. L'entraînement qu'il avait suivi en plus des révisions sur le net semblent payer.

Son corps tout entier se raidit alors que sa bite vient pénétrer lentement ce petit espace étroit et brûlant qui l'aspire de bout en bout. Sa respiration devient saccadée et difficile. Si la pipe était exquise, ce n'était rien comparé à ce qu'il est en train de ressentir.

- Haaaan, merde ! J'étais pas prêt pour ça !

Pourtant sa main droite viens claquer la fesses droite qui se trouve sous ses yeux pour s'y agripper comme si sa vie en dépendait. Ce plaisir si intense ne l'arrête pas et son pubis finit par venir se coller contre le pétard rebondit qui lui offre une caresse délicate sur l'instant.

Le jeune homme reste ainsi coincé en elle une dizaine de secondes avant de partir dans le sens inverse et soupirer tout aussi fort quand son gland se fait aspirer et masser en même temps tel un piège mortel. A tel point qu'il se sent obligé d'arrêter à mi-chemin pour revenir lui planter sa grosse et longue bite veineuse brutalement quitte à faire cogner son gland sur les parois de la belle.