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Le dieu et l'immortelle

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Selene

Créature

Le dieu et l'immortelle

mercredi 24 février 2010, 21:02:06

Les terres sauvages. Elles n’avaient pas volées leur nom. De la végétation envahissante, des animaux féroces et des tribus humanoïdes. Des peuplades pour qui le mot qui signifie « étranger » est le même que celui qui signifie « ennemi ». Et pour couronner le tout, la région était infestée de charmants insectes volants.

Selene écrasa pour la nième fois un moustique sur sa nuque. Mais qu’est ce qu’ils bouffent quand ils n’ont pas d’immortelle sous la main ? Selene était habillée de son habituel gilet bleu et de son short noir. Elle avait, toutefois, troquée ses chaussures de ville pour des bottines mieux adaptées à la marche. Cependant, la vie sauvage avait fait perdre de sa prestance à l’immortelle. Ses habits déchirés par endroit et sa coiffure avait connus des jours meilleurs. Ce qui n’empêchait pas notre immortelle d’avoir une démarche altière et une expression impassible comme il sied à une grande dame.

La jeune fille aux allures de princesse sauvageonne n’avait aucune idée de sa position. Elle grimpa sur un rocher qui surplombait les hautes herbes et mit sa main en visière pour observer les environs. Des hautes herbes, encore des hautes herbes et, oh, toujours des hautes herbes. Dépitée Selene s’assit sur le rocher et poussa un profond soupir. Elle était perdue. Cette région est un vrai labyrinthe végétal. Impossible d’en sortir.

Le moral dans les chaussettes, elle décida de faire une halte. Après s’être débarrassée de son sac de voyage, elle enleva ses bottes de marches pour laisser reposer ses pieds endoloris. Selene farfouilla dans son barda et sortit un sabre. De toute façon il n’y avait pas grand chose d’autre dans son sac. Pas de provisions, pas d’ustensiles de cuisine. Seulement de l’amadou, un briquet, une boussole, des vêtements et des armes. Ca faisait plusieurs semaines qui Selene n’avait pas mangée. Son estomac la faisait souffrir le martyr mais elle n’avait aucuns problèmes d’inanition. Son pouvoir lui permettait de voyager sans avoir besoin de se restaurer même si la sensation d’avoir toujours faim était extrêmement désagréable.

Avec précaution, elle prit de l’huile de girofle et commença à entretenir sa lame. Une activité totalement inutile puisqu’elle le faisait presque tous les jours, mais ce rituel lui permettait de se calmer et de réfléchir. Il n’y avait rien d’intéressant dans ces contrées. Son voyage avait donc été inutile. Il s’agissait maintenant de retrouver la civilisation. Au point où elle en était, elle pleurerait de joie si elle tombait sur Ashnard au hasard de son errance. C’est dire, si elle était désespérée

L’huile coulait sur la lame, diffusant son doux parfum dans l’air. Elle jeta un coup d’œil aux alentours. Le champ de hautes herbes ondulaient comme une immense harpe manipulée par le vent. Les ondes se propageaient sur le paysage semblable à un océan de verdure. Puis, vint une discordance dans cette symphonie muette.

Quelque chose faisait bouger les herbes et ce n’était pas le vent. Une pierre siffla et une vive douleur explosa sur le front de l’immortelle. Elle dégringola du rocher et tomba lourdement sur le sol. Une fronde… Désorientée, elle n’entendait pas les cris de guerre qui se rapprochaient d’elle. Puis le rideau d’herbe s’ouvrit pour laisser passer un terranide loup armé d’une lance. La créature s’élança… et mourut.

Selene secoua son sabre pour en enlever l’excédent de sang. Elle jeta un coup d’œil méprisant au terranide éventré qui gémissait sur le sol et reporta son attention sur les clameurs qui se rapprochaient. Des sauvages surgies de nulle part foncèrent têtes baissés sur l’immortelle. Une parade, une riposte et une autre âme avait rejoint ses ancêtres.

Les terranides s’étaient arrêtés net devant la femelle étrange qui portait une arme inconnue et qui donnait la mort en un éclair. La femelle ne bougeait pas. Elle les regardait, telle une statue, attendant le prochain candidat pour les limbes. Elle devait être prise vivante. La fronde l’avait pourtant touchée au front et elle n’avait pas une égratignure. Le terranide portant un collier en os qui montrait son rang, s’humecta les lèvres. S’il parvenait à ramener cette femelle au village, sa réputation de guerrier serait incontestable. A force de sifflements codés, il donna des instructions à ses guerriers qui encerclèrent la femelle. Elle ne bougeait toujours pas. Son regard améthyste était fixé sur lui et ça le rendait mal à l’aise. La colère fit revenir son courage et il se lança sur sa proie avec un cri de guerre.

Selene cueillit celui qui semblait être le chef alors qu’il tentait une estocade maladroite. La lame s’enfonça dans la fourrure du terranide et trouva son cœur. Aussitôt, Selene sentit une douleur qui lui déchira le flanc. Une lance s’était enfoncée dans son flanc puis était ressortie, laissant échapper le sang qui sortait de la plaie à gros bouillon. Aussitôt son pouvoir se réveilla, circulant librement dans les veines de sa protégée. Les artères sectionnées furent raccordées et l’hémorragie s’arrêta. Les organes blessés furent revitalisés et l’épiderme reconstitué. L’immortelle hurla de douleur. Un terranide qui n’avait pas vu le prodige et qui n’était donc pas abasourdi asséna un violent coup de hampe à la jeune fille qui s’écroula, assommée pour le compte.

Le terranide se pencha prudemment sur le corps inanimé pour s’assurer que la femme n’allait pas leur sauter à la gorge. Puis elle fut ficelée et un guerrier la jeta négligemment sur son épaule alors que la troupe délestée de trois de ses membres se dirigea vers le village.
« Modifié: mercredi 24 février 2010, 23:08:34 par Selene »

L'immortalité rend dingue...

Ares

Dieu

Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 1 jeudi 25 février 2010, 02:02:52

Fin spectacle, douce musique de lames retentissantes, s'entrechoquants l'une et l'autre, faisant fremir de plaisir l'acier trempé, et de si belle facture... Ainsi, Le Dieu avait devant lui des héros du panthéon, Achille, Hector, Paris, et autre guerriers d'un temps passé, qu'il s'amusait a faire guerroyer ici méme, en olympie, juste pour le tenir alerte, et surtout lui passer le temps, qui devenait d'une longueur monotone insuportable, surtout quant on est immortel... Ares regardait avec attention les deux hommes, deux guerrier Grecs, s'adonner à ce qu'ils savaient faire de mieux... Se taper dessus. Franche rigolade, méme les autres Dieux du panthéon avaient pariés sur le vainqueur possible. Voila l'ambiance du Mont Olympe, qui fait rever tant d'humains. Si ils savaient la chance qu'ils ont, ils arréteraient sans doute de prier a tout bout de champ...

Alors que le premier sang coulé, et que l'acclamation sortit des tribunes montées a cet egard, Asmodé, le serviteur du Maitre de la Guerre, se porta auprés de son seigneur, la téte baissée, comme a son habitude, pour murmurer quelques mots a son oreille, sortant Ares de sa contemplation des gestes Martiaux si bien exécutés.


"J'espére que tu as une raison valable de me déranger en plein tournois"
"Il... y a un autre spectacle qui devrait vous interesser Oh mon Maitre... Sur le... GLobe."

Le regard bleu glace du Dieu de la guerre se porta immédiatement sur son imbécile d'esclave. Il sentait la colére légendaire d'Ares, fils de Zeus, lui couler dans les veines... Regarder le Globe etait proscrit pour tout étre Hormis le Dieu en personne... Cadeau de son pére, afin de plannifier des stratégies depuis son temple, l'objet magique n'avait servit qu'une seule et unique fois a d'autre fin...
La main a la poigne de fer se porta sur le cou du serviteur, qui ressera quelques peu les dents, ne pouvant plus respirer, tentant de se libérer sans succés.


"Ne t'avais je pas prévenue a propos du Globe?! Decidément, les esclaves de nos jours, c'est plus ce que c'etait..."

Il balanca le pauvre Asmodé quelques métres plus loin, avant de se lever. Sous le regard étonné des convives, il leur adressa un signe de la main, en guise d'autorisation a poursuivre le spectacle. Tous retournérent a la contemplation, tandis que le Dieu Guerrier retourna vers son temps, n'oubliant pas la tignace d'Asmodé au passage, la prenant entre ses doigts, refermant son poing, le trainant jusqu'a sa demeure. Il relacha enfin l'étre, le jetant au devant de lui, pour terminer sa course prés de piedestal qu'il avait fait spécialement faire pour le globe de vision. Cet objet magique etait une merveille... Création de Zeus, au temps de sa gloire, il y avait également quelques enchantements de la medium... Un don de vision, de quoi voir ce qu'il se passe sur les autres plan de cet univers qui ne ressemblait decidement plus a rien. Frolant le globe, ce dernier emis une légére lueur, avant de progeter l'image des Terres sauvages. Vaste terrain de jeu pour Ares, il y menait ses expérience avec les indigénes du coin. Pas redoutables, encore moins intélligents, il avaient par contre l'avantage de ne jamais poser de question, quelques tours de magie, et il vous prenez immédiatement pour un Dieu bien plus puissant que vous ne l'étes rééllement. Mais une chose marqua le regard du Dieu, a qui rien n'echappait... Et généralement, les petits details avaient leurs interets, et se montré générallement trés interessants..

Il n'avait rien raté du spectacle... Cette femmelle... Un immense sourir parcourut le visage fermé habituellement du Dieu Guerrier, qui trouvait la enfin une occupation des plus... Innatendu, mais d'autant plus joyeuse. Cette jeune femme avait prit une lance dans les cottes, et la plaie s'etait trés, trop méme, rapidement refermé. Elle avait de bonne compétances martials, mais insuffisante contre une bande entiére d'indigéne en furie. Tuer leur chef avait été un acte de grande bravoure, mais également sa perte. Arés pivota vers son imbécile de toutou.


"Comment as tu trouvé ce prodige?!"
"Par chance Mon Seigneur. Je regardais l'évolution du chez de tribus, et j'ai apercu cette jeune femme en abbatre trois de sa lame. J'ai donc pensé..."
"Ne pense pas Asmodé, tu le fait trés mal. Parfait parfait..." Ajouta t'il avec un sourir mystérieux aux lévres, alors qu'il enfilé ses tenues de sortie...
Asmodé n'ajouta rien, c'etait sa tét qui risquait de lui manqué si il continué a parler au seigneur alors qu'il etait deja loin d'Olympie par la pensé. En un clignement d'oeil, le Dieu disparut, réapparant dans les terres sauvages, ou il etait toujours maitre de son pouvoir... Il s'interposa alors rapidement au groupe de guerriers, qui le reconnurent immédiatement. Finalement, il avait bien fait de les éduquer a l'ancienne tradition... Souriant, il avait sauvé cette femme du viol collectifs par le village, avant de finir comme plats principale a une de leurs innombrable orgie. Indiquant l'immortelle du doigt, Ares reclamé son dut, au nouveau chef de la tribut... Ce dernier semblait hésitant, pas Ares, qui etait deja derriére l'indigéne, qui n'eu méme pas le temps de se rendre compte que sa téte venait de heurter le Sol, alors que son corps lui, n'avait pas bougé... Devant une telle indication, les autres posérent sans ménagement le colis au sol, avant de détaler en trombe... Il venait de préserver cette erreur de la nature, ce don bénie des dieux, mais qui n'etait pas de leurs création... Un Prodige rare. Il la ramena alors au campement de fortune qu'avait préparé Asmodé il y avait deja quelques années, tandis que son Maitre s'intérréssé a ces terres Sauvages... La trainant par le poignet, il la jetta sur le mattela, la regardant, la détaillant... Il souleva son tee shirt, poussant son gilet bleu ridicule, pour regarder ses cottes, ou il y aurait dut avoir une blessure mortelle. Mais au lieu de cela, il ne trouva qu'une peau soyeuse, une peau de Noble. Un sourire, et il alluma un feu. Il avait beaucoup de chose a demander à cette femmelle, et bien d'autre choses a faire aussi avec une créature si... Appétissante?.
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

Ares 's Théme


Selene

Créature

Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 2 jeudi 25 février 2010, 12:37:38

Les rêves s’entremêlaient, incohérents et agités. Un kaléidoscope d’événements passés marqués par la peur et la souffrance. Puis le retour à la réalité se fit lentement. Selene avait de nouveau conscience de son corps. Ses sens se réveillèrent et lui permirent d’appréhender son environnement ; les liens qui entravaient ses poignets et ses chevilles, le contact du matelas et le crépitement du feu. Sa conscience se fraya un chemin dans son esprit et dissipa son demi-sommeil. Elle ouvrit les yeux.

Devant elle, un feu dansait dans un foyer, projetant sa lumière fantomatique qui léchait les murs d’un d’abris. Elle n’avait mal nulle part, malgré le coup de bâton que lui avait administré le sauvage et qui l’avait assommé. C’était le problème avec son don. Il y avait toujours un instant de latence entre la blessure et la guérison. Ce qui fait qu’un coup bien placé ou une blessure qui tuerait un homme sur le coup, l’étourdissait pendant plusieurs heures. Ce qui laissait tout le temps à son adversaire de la maitriser ; puis, de s’amuser avec elle…

Un homme la regardait. Une menace pour elle. Il l’avait attaché donc c’était forcement un ennemi. Elle posa ses yeux violine sur l’homme. Chacun des traits de l’immortelle exprimaient la haine qu’elle lui vouait. Elle le détailla rapidement pour évaluer sa force et son état d’esprit. Un corps svelte et musclé mais pas assez pour s’opposer à elle. Sa décision prise, elle se ramassa sur elle-même pour bondir sur son ennemi, mais elle se figea lorsque ses yeux se posèrent sur le regard pénétrant de l’homme. Il en émanait une assurance que la déstabilisa. Des yeux qui n’avaient jamais connu la servitude et qui ne toléraient aucune insolence. Le contraste avec son visage doux était saisissant.

Sans le quitter des yeux elle se redressa. Réanimant se qui restait de sa dignité, Elle lui lança un regard circonspect qui brillait sous l’effet de la colère.

Libérez-moi, demanda-t-elle d’une voix impérieuse.

Ce n’était pas une requête. C’était un ordre. Selene ignorait les liens qui la mettaient à la merci de cet homme. Elle se fichait de savoir qu’il pouvait la mettre en pièce quand bon lui semble. Pour elle il ne s’agissait que d’un valet créé pour accomplir ses quatre volontés.
« Modifié: jeudi 25 février 2010, 14:01:21 par Selene »

L'immortalité rend dingue...

Ares

Dieu

Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 3 jeudi 25 février 2010, 21:54:06

Regarder les étres d'en bas etait une activité des plus ennuyeuse, sauf pour le Dieu de la guerre, qui ne se lasse pas d'imager les sombres réves qui peuvent hanter les tétes pourtant bien vides des habitant de cette terre. Mais cette créature la était bien étrange, et par bien des façons... Elle ne s'agitait que trop peu dans son sommeil. Elle avait frolé la mort aux mains des indigénes, mais finalement, elle n'avait méme pas sourciller. Son pouvoir devait y étre pour quelque chose sans aucun doute, l'immortalité ou du moins le pouvoir de guérison, avait la capacité de rendre les gens téméraires, mais tellement stupide. Guérir de tout etait certes un don, mais aussi une malédiction. Subir, la douleur, la souffrance, et en guerrir pour mieux la retrouver ensuite. Paradoxe d'un cercle vicieux, mais qui avait aussi son charme pour l'olympien, adepte de certaines pratique mélangeant plaisir sauvage, et douleur erotique. Il en sourit, tandis qu'il s'occupé du feu, de loi, d'un geste de main, faisant l'air danser au dessus de lui, pour mieux le faire vivre.

Soudain, la dormeuse s'agita, le Dieu pivotant pour ne pas manquer sa téte, face au changement de situation. Mais ce qu'il y trouva le laissérent quelques peu amére. Il s'attendait a plus de surprise, ou plus de classe... Pas a... Ca. Autaine, et si sure d'elle, il avait face a lui une noble, ou une reine dechue qui pensait avoir toujours son pouvoir d'antan, ou qui avait pour habitude de mater tout les probléme du coin. Mais Arés n'etait pas du coin, et il n'etait pas un probléme, mais bien LE probléme de cette jeune femme pour le moment. Mais tout cela, elle le decouvrivrai bien assez vite. Il la laissa alors tenter en vain une echapatoire, il devait quant méme lui reconnaitre une certaine forme de courage... Méme si inutile en ce cas présent. Il la toisa, de son regard bleu glace, qui alla effleurer la violine de l'iris de sa prisonniére... QUi etait elle? D'ou venait elle mais surtout, comment avait elle eu un tel pouvoir.

Enfin le son de sa voix resonna dans la hutte. Une voix sans faille, qui cachait méme la peur de la prisonniére. Etonnant. Mélange de noblesse et d'autorité a la fois, sans la touche "débilité" qui accompagne généralement ce genre de comportement. Elle etait lucide qu'elle n'etait pas dans la meilleur des situation, cela pouvait se lire dans son regard, et pourtant elle avait suffisement de reflexion pour ne pas le menacer, méme si son ton de commandement, etait tout ce qu'il y a de plus inutile. Il continua de la regarder, tout en s'approchant lentement, appuyant sur son front de la paume de sa main droite pour la recoucher a plat dos sur le lit, sans ménagement aucun. Si il le fallait il utiliserait la magie, mais pour le moment, inutile de sortir les grands remédes... Il comptait l'etudier, voir jusqu'ou portait son potentiel, et en faire soit une cobaye, soit une alliée, pour ne pas dire une servante dans son language a lui...

Ares eu un sourire carnacier, alors que sa poigne se fermé sur la machoir de sa "victime", laissant glisser sa main le long de son cou, ses yeux ne quittant toujours pas l'ocean violet.


"Reste tranquille, j'ai encore beaucoup de chose a apprendre de toi avant que je ne suggére de te relacher..."

L'ongle de son index poussa alors lentement, pour former un micro lame, tranchante comme le sabre qui reposé dans le coffre scéllé un peu plus loin, et qui appartenait a la jolie prisoniére. Le bout de l'arme naturelle glissa alors le long de son cou, faisant couler une goute de sang, qui perla et se laissa tomber entre ses deux seins apparants. La vue du sang avait un effet perturbant pour Arés, qui ne pouvait nier adorer ce petit jeu... Il allait prendre plaisir dans cette etude, il le savait deja. Il poursuivit donc, laissant son doigt couler et suivre le chemin de sang, pour s'arreter a la naissance de ses deux seins.

"Ton nom est ma premiére enigme..."

Lentement, le fin tissus qui recouvrait le haut du corps de séléne s'ouvrit, se dechirant par une force invisible mais puissante. Le Dieu etait joueur en cette belle journée. Enfin, une moitié de sein sortit de cette taniére de tissus. Il se hata d'y faire jouer son ongle, qui perça la chair, qui se ressoudé instantement..

"Tu es simplement incroyable pour une... Humaine."
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

Ares 's Théme


Selene

Créature

Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 4 vendredi 26 février 2010, 00:42:07

En guise de réponse, l’homme l’avait repoussé sur le lit. Elle ne résistait pas alors qu’il la malmenait. Il était rude et aimait asseoir sa domination sur une femme attachée. Son ongle affuté glissait sur sa peau en la déchirant. Celle-ci se refermait comme l’eau derrière un navire.

A quel genre de sadique avait-elle à faire. La souffrance de Selene semblait l’exciter. Elle opposa d’abord une résistance à la douleur en se cachant derrière un masque d’impassibilité. Mais alors que l’ongle progressait vers des zones plus sensibles, elle grimaça sous ses effets lancinants. La lutte était vaine, surtout depuis qu’elle était inutile. C’était le sillon de sang qui intéressait le dieu. Il regardait les lèvres de la plaie se refermer aussi vite qu’elles s’étaient ouvertes. Il s’agissait d’une étude dont elle était le cobaye. Le plaisir sadique était facultatif.

Elle ne répondit pas lorsqu’il lui demanda son nom. S’il voulait appeler son nouveau jouet, il n’avait qu’à lui donner un nom lui-même. Mais une force invisible lui fit changer d’avis. Quelque chose venait de déchirer son corsage, pourtant l’homme ne l’avait pas touché. Ca changeait tout. Cet homme n’était peut-être pas qu’un simple illuminé sadique qui compensait son impuissance en maltraitant les femmes qui avaient le malheur d’être à sa merci. Sa haine et son mépris était toujours aussi grand mais elle le prendrait un peu plus au sérieux dorénavant.

Je m’appelle Selene, lui annonça-t-elle avec une voix que la haine faisait trembler.

L’immortelle est fascinante. Ou pour reprendre les termes de son geôlier : Elle était incroyable. Le compliment lui passa par-dessus la tête. Elle avait l’impression d’être un phénomène inconnu qu’on étudie. Si cet homme était intéressé par son don, ses expériences risquaient d’être extrêmement douloureuses. De plus, il lui faudrait des années avant d’en percer le mystère. Et pourquoi ? A part, satisfaire sa curiosité, cela ne le mènerait nulle part.

Tout d’abord il fallait chasser la colère qui submergeait Selene. La colère est inutile et très mauvaise conseillère. La maitrise de soi est essentielle, un exercice que l’immortelle maitrisait parfaitement. Sa haine se dissipa progressivement alors qu’elle cherchait un moyen d’échapper au griffe de son tortionnaire ; au sens propre comme au figuré.

Sans geste brusque, elle posa ses mains liées sur celle de l’homme qui s’attardait maintenant sur son sein. Elle resserra ses doigts sur l’instrument de sa souffrance et tout en douceur, ôta l’ongle qui plongeait dans sa chair.

Messire, cessez de me faire souffrir. Si vous me faites ce plaisir ma coopération vous est acquise.

Malgré des siècles de souffrance, Selene n’avait jamais appris à supporter la douleur. C’était son ennemi de toujours. La peur de la souffrance avait remplacée son instinct de survie qui n’avait pas lieu d’être pour une immortelle. Le marché qu’elle proposait à son geôlier était sensé et envisageable. De plus sa réaction allait lui donner de précieuses informations sur son caractère. Ce qui facilitera de futurs échanges.

Elle esquissa un sourire avenant. Un rictus insolent dans une situation comme celle-là mais le caractère de l’immortelle était ainsi. Elle était lunatique. Capable d’arracher la tête de quelqu’un qui ne s’incline pas sur son passage et capable en même temps de sourire à un homme qui la maltraitait. Une pièce de théâtre vivante, jouant en permanence. Simulant la vie sans vraiment s’y impliquer.

L'immortalité rend dingue...

Ares

Dieu

Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 5 vendredi 26 février 2010, 19:09:05

Le dieu laissa son don d'empathie se diriger vers sa victime présente. Non qu'il se nourissait de sa souffrance, mais il voulait connaitre ce joyaux de la nature, méme ses pensées les plus secrétes... D'ou venait elle deja? Depuis combien de temps etait elle sur cette Terre... Une demi Déesse? Encore un de ses fréres, ou méme son propre pére qui aurait culbuté une humaine, et qui aurait donné naissance a cette femme la? Non, il avait recensé deja les demi dieux ici bas, juste pour contrer le groupe de tueur d'olympien.. C'etait donc inconcevable qu'elle fut d'essence divine. Et pourtant son don venait bien de quelque part. Etait elle une sorciére? Qui avait enfin trouvé le sort de l'immortalité? Cela aussi il en doutait, mais il finirait bien par le savoir. Il continua donc son jeu, tout en observant maintenant l'ensemble de son corps rester stoïque devant le traitement. Il ne pouvait le nier, elle avait un caractére puissant... Imbus au point de ne pas montrer sa douleur. En bien des points, elle lui ressemblé finalement.

Mais les mains douces de sa captive arrétérent alors le supplice du Dieu et se posére sur son ongle sanguinolant. Il arqua un sourcil, tandis qu'il la devisageait d'un oeil critique. Elle lui donné son nom... Etrange, mais surtout bien trop facile quant on a bien cerné le personne de la captive... Séléne se répéta t'il en téte, afin de bien l'imprimer. Ainsi donc la victime tenté une nouvelle méthode. Fini l'arogance, place à la soumission? Il en doutait fortement, se demandant si elle ne tentait pas en vain de le rendre plus maléable avec son petit sourire. Ainsi donc, elle ne savait toujours pas a qui elle avait affaire. Qu'importe, il se decida d'ignorer, allant reprendre son jeu, quant les mains se firent plus présente sur la sienne. SOn regard se posa sur les doigts fins de la captive, avant de revenir sur son visage qui affichait toujours son sourir avenant. Elle se proposait méme de... Coopérer. Il ne put retenir un leger sourire, tout en se levant, laissant sur le matelas Selene.

Il analisa rapidement la situation dans laquelle etait la jeune femme... Captive d'un Dieu, méme si elle ne devait pas encore trés bien s'en doutait, attachée, martyrisée, mais malgrés cela elle gardait sa prestance et sa condescendance... Alors qu'est ce qui avait changé en si peu de temps? Il la toisa un instant, regardant tout son corps, pour rester bloqué sur la tache de sang qui seché sur son chemisier arraché... Il comprit enfin... Elle ressentait la douleur. Certes elle n'en mourrait pas, et pouvait guerrir de tout, mais la douleur elle ne l'avait pas totalement effacé, et elle continué a la ronger. Un sourire satisfait apparut sur le visage froid du Dieu, non par sadisme, mais pour se flatter d'avoir un tout petit plus comprit cette femme et son don incroyable.

Posant une main sous son menton, Ares se mit a reflechir. Que risquait il a la liberer de toute maniére? Rien. Elle n'avait aucun moyen de le maitriser, et si elle s'y amusé, elle connaitrait milles souffrances au coeur des enfers dans lesquels il la ménerait via le portail Olympien... Arquant un sourcil, il fint par claquer des doigts, ce qui eu pour effet de laisser glisser les liens qui la tenaient prisonniére le long de ses bras et jambes, finissant leurs courses au sol. La voix du dieu s'éleva alors dans les airs.


"Et quelle genre de coopération propose tu Humaine?... Il va falloir te montrer trés persuasive pour me convaincre de l'utilité a te laisser tes mouvements..."

Il sourit, plus encore, presque charmeur. Arés était joueur, parfois méme... Seduisant. Ici, il etait un peu de tout a la fois. Il n'avait rien contre Séléne, mais son pouvoir devait étre elucider, et quel mal y avait il de se faire plaisir tout en analysant son cobaye? Le Dieu de la guerre resta planté au centre de la hutte, regardant sans cesse la jeune femme se frotter les zones de peau attaqué par la cordes, marques qui disparurent rapidement, laissant un rire joyeux sortir des lévres d'Ares... Decidement, cette humaine était trés prometteuse...
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

Ares 's Théme


Selene

Créature

Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 6 samedi 27 février 2010, 01:21:22

Selene était prête à tout pour ne pas souffrir. Rien que l’idée que son ravisseur lui fasse du mal l’angoissait au point d’en oublier sa dignité. Pourtant, l’immortelle avait souffert au-delà du supportable durant sa très longue vie. Torturée, violée, asservie, brulée ; tant d’humiliations et de souffrances qui au lieu de mutiler son corps, avaient déchirées son esprit. Son don était une malédiction. Maintes fois, Selene avait subit des atrocités dont la plupart des mortels auraient été dispensés en mourant. Mais pas Selene qui devait tout supporter tandis que son don cruel la maintenait en vie.

Pauvre petite fermière ignorante. Modeste paysanne dont le seul rêve était d’avoir sa ferme à elle et un époux aimant. C’était une époque sans ambition. Les hommes vivaient simplement et adoraient des dieux païens. Dieux qui avaient sans doute maudit la petite fermière innocente. C’était en tout cas ce que pensait son géniteur ; une bonne raison pour rouer de coups son monstre de fille. D’où venait son don, Selene n’en savait rien mais d’autres s’étaient fait une opinion ; malédiction d’après les barbares, empreinte du diable d’après l’inquisition et tant d’autres plus grotesque les unes que les autres. Alors, la paysanne avait changée, les flèches du temps laissaient son corps indemnes mais elles lacéraient son esprit jusqu’à ce qui ne reste plus rien de cette fille dont la vie aurait du être insignifiante… et heureuse.


Libre. L’immortelle se massa les poignets ; un pur réflexe car sa peau n’avait pas souffert de la rudesse de la corde. Hors de question de le remercier évidemment. De toute façon ce n’est pas comme si ces liens avaient une utilité. Cet homme était tout à fait capable de la neutraliser et elle n’allait pas lui donner de raison de le prouver. Selene se leva et vint se placer tout près du dieu. Bien que son attitude fût celui d’une femme soumise, les yeux de l’immortelle ne pouvaient s’empêcher de défier l’homme qui avait eu l’impudence de la ligoter et de faire couler son sang. Elle avait une furieuse envie d’arracher sa gorge avec ses dents mais au lieu de ça, elle lui sourit.

Si vous me dites ce que vous voulez de moi, je veux bien faire tout ce qui est en mon pouvoir pour vous plaire, mon seigneur. Je vous dois la vie.

Elle n’en pensait pas un mot. La gratitude est un sentiment totalement inconnu pour l’immortelle. Et puis, la façon dont cet homme l’appelait « Humaine ». Ce mot chargé de mépris, elle voulait lui enfoncer dans la gorge. Son ravisseur exigeait de la dévotion, Selene lui en donnerait. Tant que cela sert ses intérêts. Et après… Qui sait.

Selene plongea son regard violacé dans celui du dieu. Un sourire vicieux naquit sur ses lèvres. Elle savait ce qu’il lisait dans ses yeux ; le mensonge et l’hypocrisie. Son geôlier n’était pas dupe mais bien qu’elle en soit consciente, ça l’amusait plus que ça ne l’inquiétait.
« Modifié: samedi 27 février 2010, 01:27:10 par Selene »

L'immortalité rend dingue...

Ares

Dieu

Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 7 samedi 27 février 2010, 22:36:51

L'iris violine ne pouvait mentir, méme si la jeune femme le faisait a merveille, il suffisait de lire dans son regard, afin de connaitre la haine qui la rongeait en ce moment méme envers le Dieu de la guerre, qui se delecté de ce puissant sentiment. Antipode naturel de l'amour, il y avait pourtant entre les deux une trés fine parcelle. Il etait l'opposé logique d'Aphrodite, et ils etaient pourtant les plus proches de l'Olympe. Paradoxe étrange et pourtant si logique a bien y reflechir. L'un ne pouvait vivre sans l'autre... En ce moment méme, une guerre etait enclanché dans l'esprit de l'humaine... Ceder a sa haine, ou resister et eviter ainsi la souffrance. Séléne en etait a se faire plus souple, plus soumise, méme si ce devait étre bien loin de son personnage, bien loin d'elle méme. Il le voyait dans son regard qui ne pouvait lui, trahir ce qu'elle etait. Une femme fiére, si fiére, mais qui avait une peur de la douleur qui allait bien au dela de son étre.

Un sourire naquit sur les lévres du Dieu, tandis qu'il la voyait approcher, mi féline, mi tueuse. Oui, elle comptait bien assouvir ses caprices plutot que de retrouver la déchirure de ses chairs, et reconnaitre la douleur une nouvelle fois. Ares, regardant cette femme, devinait facilement son état d'esprit. Lui aussi devait se retenir de sauter a la gorge de Zeus, Hades ou Poséïdon, méme si son envie en etait forte, pour la simple et bonne raison qu'ils etaient les primaux, les premiers d'entre eux et donc, techniquement, les plus puissants. Mais ici, le phénoméne etait suffisement rare pour le noter. Généralement les humains etaient des rebelles, mettant de cotés leurs instincts de survie pour ne plus penser qu'a se rebeller. Idiots Mortels, eux qui connaissaient la joie d'un jours trépasser, gacher leurs vie en des combats perdut d'avance...

Tandis que la jeune femme s'arréta pret de lui, le Dieu l'interrogea du regard, quant il l'entendit étre préte a tout pour assouvir ses désirs. Son sourire s'effaça quelques peu, alors qu'il s'installait sur le fauteuil juste a coté de lui, toisant cette humaine qui ne manquait pas de cran, mais qui avait suffisement de reflexion pour ne pas tenter le diable face a lui. Il hesita alors.. Continuer, profiter de ce moment de soumission? Ou la laisser partir, simplement par respect pour ce qu'elle vivait et qu'il vivait lui aussi... La malédiction de l'immortalité. Mais la curiosité fut la plus forte, et il voulut alors savoir jusq'ou elle etait capable d'aller pour eviter de souffrir. Comprendre les humains et leurs peurs, pourrait un jour lui permettre de chasser les siennes... Inclinant le visage en ne la quittant pas du regard, il ouvrit doucement la bouche...


"Tu ne me dois rien, et tu le sais tout aussi bien que moi Sélene, mais si tu veux me plaire..."

Il reflechit un bref instant, mais finalement, il trouva le meilleur moyen de voir jusqu'ou elle pouvait aller...

"Deshabille toi, et danse pour moi... Montre moi si les humaines d'aujourd'hui, ou d'hier dans ton cas, savent encore allumer la flamme du désir"

Le test etait lancé, sans detour, aucun.
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

Ares 's Théme


Selene

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Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 8 lundi 01 mars 2010, 11:20:08

Ares avait vu le petit jeu de l’immortelle. Mais celle-ci faisait tout pour. Sa soumission était trop rapide pour être sincère et ses propos inondés par la politesse sonnaient faux. Le Jeu avait commencé. Le perdant était celui qui s’amusait le moins et pour l’instant Selene était convaincue d’être en tête. Le dieu était terriblement attirant, le Jeu allait être exquis et pas forcement à ses dépends. Selene se mordit la lèvre inférieur pour réprimer un sourire emplit de désir. Bien sur, elle détestait toujours cordialement l’homme qui l’avait fait souffrir et qui la retenait prisonnière. Cependant, la colère était presque éteinte et la haine n’était plus qu’une fumée qui noircissait son cœur sans le consumer.

Le dieu hésitait. Selene le regardait alors qu’il prenait son temps pour prendre une décision. A quoi pouvait-il bien penser… Alors Ares dit une chose qui n’aurait jamais traversée l’esprit étriqué de l’immortelle. Elle écarquilla les yeux dans une expression de franc étonnement. Il fallut un certain temps pour qu’elle enregistre totalement l’information et qu’elle prenne conscience de ce que l’homme venait de lui demandé. Quand ce fut fait, un son cristallin, doux et harmonieux sortit de sa bouche.

Elle rit…

Ce son était agréable. Les traits de Selene exprimaient tout le bonheur que ce rire transmettait. Cependant, il ne servait qu’à calmer la colère que menaçait de surgir. Or, celle-ci fut étouffée dans l’œuf. Dans sa longue vie personne n’avait osé lui demander de danser nue comme une vulgaire catin ou alors il n’avait pas vécu assez longtemps pour finir sa phrase.

Son rire mourut finalement et laissa sa place à un sourire jovial. Selene était prête à sauter sur Ares. Elle savait exactement ce qu’elle allait faire. Bondir sur lui alors qu’il était encore assis. D’un revers de son bras gauche, elle écarterait le bras qu’il aurait levé pour se protéger. Elle ouvrirait sa main droite et d’un mouvement précis de bas en haut, elle appliquerait un coup de paume sous le nez de l’homme. Ce coup briserait son os nasal qui s’enfoncerait dans le cerveau. Durée de l’opération : une seconde et mort instantanée.

Selene fixa le dieu. Son sourire était toujours présent mais ses yeux exprimaient sa soif de sang. Cependant, elle ne bougeait pas… Hésitante. Ce coup n’avait aucune chance de raté et il tuerait sans problème un homme… Un humain.
Finalement, elle s’inclina.

J’en serais ravie messire, annonça-t-elle d’une voix aussi froide que la mort qu’elle voulait donner. J’aurais besoin mon sabre pour ça. Je suis sûr que ma danse de l’épée saura vous combler.

Elle tendit sa main ouverte vers le dieu. Attendant son arme. Selene savait parfaitement manipuler ses expressions et elle s’était peint un masque de mort pour l’occasion. Elle voulait qu’Ares soit conscient de ce qui se passerait au moment où les doigts de l’immortelle toucherait le manche du katana. Si le dieu avait assez de cran pour lui faire une telle demande, il en aurait sans doute assez pour donner une arme à une personne dont toutes les pensées néfastes sont tournées vers lui.
« Modifié: lundi 01 mars 2010, 17:28:29 par Selene »

L'immortalité rend dingue...

Ares

Dieu

Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 9 lundi 01 mars 2010, 20:11:38

La foudre se croisé entre les deux Iris. Le dieu et l'immortelle etaient lancés dans un duel silencieux, mais de plus attisant. Tant pour les nerfs, que pour le plaisir. Voila bien longtemps que le Dieu guerrier n'avait pas rencontré une femme pareil. Tellement peu naturel, elle parvenait toutefois a jouer une comédie presque parfaite, pour tout hommes qui ne prendrait pas le temps de lire son regard magnifique certes, mais révélateur de ses plus sombres pensées. Un spécimen de femme rare, et d'autant plus précieuse aux yeux du Guerrier, qui savait reconnaitre un joyaux, méme dans une mine de Diamants. Et ce rire qui sortit des lévres pulpeuse de Sélène, ne fit qu'asseoir ce qu'Ares pensé deja. Elle etait comme une piéce, un coté pile, un coté face. Parfois méme les deux, pour le plus grand plaisir de l'Olympien, qui etait lui aussi, Lunatique.

Sa demande vint alors le rassurer, tout en le faisant sourir. Finalement, elle etait egal a elle méme. Demander son sabre, en sachant que n'importe qui refuserait, sachant aussi qu'il en deduirait qu'elle tenterait de le tuer. Mais elle avait quant osé, et c'est bien cela qui la rendait attirante, attisante, sublime. Lorgnant ce bout de femme, le Dieu ne pouvait retirer son sourire des lévres. Amusé par ce jeu qui avait prit forme entre ces deux là. Il avait decidé de s'y plonger totalement, en ayant un net avantage sur l'humaine... Certes, tout deux etaient immortels, mais a la différance de Séléne, il ne connaissait pas la douleur, pas sur les coups d'une simple femme en tout cas. Seul un Dieu, a la condition méme qu'il soit plus puissant que lui, pouvait lui faire le moindre mal. Mais les armes et les coups des Mortels, et immortels humains, n'avaient pas la moindre chance de l'achever. Ainsi donc, le jeu etait loin d'étre equitable, mais Séléne, de part son coté feline et si féminine mélangé a ce coté guerriére, méritée de jouer, mérité méme plus, mais tout viendrait a temps...

Il regarda alors la caisse, ou se trouvait le sabre de belle facture de la jeune femme. D'un geste de la main, il fit avancer le coffre fermé, qui s'arreta juste a coté du fauteuil ou était assis le divin. Il replaca son regard dans celui de l'humaine a moitié nue deja, claquant des doigts, et faisant virvolter la lame, qui se posa dans la paume ouverte de la main du Dieu. Il regarda la lame, la faisant méme scintiller devant elle. Alors, lentement, il se leva, pommeau vers la jeune femme, avant de s'arreter, posant cette derniére dans sa main, restant face a elle... Avec un sourire charmeur, il s'appuya alors sur la pointe de la lame, juste au dessus de sa poitrine... Une légére goutte de sang perla alors, et il fit descendre la lame, qui traca un leger scillons, ouvrant méme sa chemise, devoilant son torse nue...


"C'est tentant n'est ce pas?"

Un leger rire sortit de sa gorge, alors qu'il lachait l'arme, et se tourna, laissant méme tout le loisir a l'immortelle de le frapper. Mais étrangement, il se doutait qu'elle ne le ferait pas si il n'en etait pas conscient. Non, elle etait bien trop joueuse, et respecté les régles de ce jeu silencieux entre eux.
Se replacant sur son fauteuil, il lui sourit, posant sa téte sur son poing, attendant maintenant le spectacle, alors qu'avec une puissance hors norme, il sentait le desir grimper pour cette femme, la chaleur qu'elle faisait naitre chez lui ne pouvait plus étre maintenue longtemps. Mais patience.. OUi, patience, elle etait tellement belle dans ce jeu la, qu'il voulait encore en profiter un peu avant la libération...


"Maintenant, fait bruler mon desir, Séléne."

Ses yeux brulaient d'envie, tandis que ses lévres s'étiraient d'un sourire sincére. Il ne regerettait rien en ce moment là. Cette femme etait... Un Joyaux!
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

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Selene

Créature

Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 10 mardi 02 mars 2010, 18:57:39

Selene sentit une décharge de puissance la traverser lorsque ses doigts fins effleurèrent le manche du katana. Elle se doutait que l’arme était inutile puisque le dieu la lui avait donnée sans la moindre appréhension. Toutefois, c’est agréable d’être armé.
L’immortelle n’avait pas répondu à la question. C’était de la pure rhétorique ; évidemment qu’elle serait ravie d’enfoncer un mètre d’acier dans le corps de cet abject personnage. Elle se retenait pourtant. Lui donner ce qu’il veut était plus sage pour le moment.

Les yeux violine de l’immortelle se fermèrent. Elle était maintenant concentrée. La lame fend l’air en laissant échapper un doux sifflement. Selene réitéra l’opération plusieurs fois tandis que l’acier libérait ses cris fluets, tantôt menaçants, tantôt taquins. Puis le corps entreprit de suivre la lame comme un serpent charmé par le sifflement de l’acier. Selene s’arquait, ondulait, dardait de son sabre. Celui-ci n’était que le prolongement de son corps, zébrant l’air qui émettait des plaintes déchirantes, composant ainsi une symphonie mélancolique.

Puis, elle changea de rythme. La lame accéléra crescendo et la mélodie suivit. Celle-ci avait gagnée en vigueur et imposait un rythme quasi-irréel. L’immortelle suivait la cadence infernale de son arme qui virevoltait à une telle vitesse qu’elle devenait invisible. Seul de brefs éclats de lumière trahissaient la présence de la lame qui reflétait parfois le feu à la manière d’un miroir capricieux.

Alors que Selene dansait, un petit morceau de sa tunique se détacha. Puis un autre… et un autre. Le sabre invisible taillait de ci et de là, tranchant impitoyablement le tissu sans toucher la peau d’albâtre. La précision et la vitesse de l’immortelle était telles qu’une pluie de tissu tombait sur le sol. La fleur ainsi dépouillée de ses pétales s’arrêta brusquement. Le sabre redevint visible et apparut devant les iris azur du dieu. Elle ouvrit de nouveau les yeux.

Sans bouger la lame, Selene s’approcha de l’homme qu’elle tenait en joue. Elle lui décocha un sourire satisfait et se pencha pour poser ses lèvres sur les siennes. L’immortelle était presque nue. Seuls quelques morceaux de tissus masquaient encore les endroits les plus intimes.

Selene s’était surprise elle-même en tailladant ainsi ses précieux vêtements. Des automatismes du temps où elle était esclave avaient sans doute ressurgi. Quand au baiser c’était plus une envie qu’un acte réfléchi.

A votre tour, messire, de me régaler d’un spectacle captivant, susurra-t-elle en interrompant le baiser.

Selene enfonça sa lame dans la chair… C’était presque aussi jouissif que le baiser.

L'immortalité rend dingue...

Ares

Dieu

Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 11 samedi 27 mars 2010, 14:26:20

Le spectacle en valait vraiment la peine. L'humaine, ou quoi qu'elle puisse étre, n'en etait pas à sa premiére demonstration a en croire les mouvements parfaits qu'elle etait en train de réaliser. Peu a peu, sa peau apparut sous le regard enjoleur du Dieu, qui se delectait d'une telle vision de charme. Cette Séléne savait trés bien comment allier colére et sensualité, rien de mieux pour mettre en combustion la libido incommensurable du dieu guerrier. Plus elle tournoyé, plus il la voulait. Cercle vicieux du maitre des combats. La lame faisait des eclairs d'une blancheurs eclatante, fendant l'air dans un son parfait, juste le bruit de l'air tranché par cette arme manié a la perfection. Sans vraiment le remarquer, la jeune femme s'était subtilement rapproché du Dieu.

Jeux interdits entre deux étres dotés de pouvoirs qui sortent de l'immaginaire méme des humains communs des mortels, les deux personnages se regardaient longtemps, leurs Iris de croisant dans un duel et une seduction silencieuse. Mais Ares finit par sentir la lame se coincer sur sa poitrine. Il ne regarda méme pas la pointe, restant ancré dans la violine sulfureuse des yeux de la demoiselle. Un mince sourire s'étira sur son visage, tandis qu'elle l'embrassait avec malice. Elle etait de plus en plus attisante... Et ne manquait pas de suciter l'interet du Dieu de la guerre, alors qu'enfin elle terminait son show pour lui. Sa voix suave prédit la suite des événements, et le dieu sentit enfin la lame traverser lentement sa poitrine, ne s'arretant que par la géne du siége dans son dos. Le visage de Séléne laissait comprendre le plaisir qu'elle prenait a voir ainsi son arme percer la chair de cet homme qu'elle haissait... Sublime enfant.

Doucement, Ares posa sa propre main sur celle de l'immortelle, se levant, s'approchant d'elle, la faisant méme reculer, un sourire graver au visage. Pas la moindre douleur, seulement ce petit chatouillement que pouvait faire une arme non celeste sur les Dieux de L'Olympe. Serrant sa poigne de fer sur la main qui tenait la garde de l'épée, le dieu finit par s'arreter a quelques centimétres a peine de la noble jeune femme. Il la poussa avec puissance sur le lit, gardant sur lui l'épée, regardant méme le bijoux de conception qu'etait cette lame. Finalement, il la retira tout aussi lentement qu'elle etait entrée, sans une goutte de sang dessus, avant de la poser avec delicatesse aux cotés de Séléne. Il avait un immense respect pour les armes de guerre, tant elles lui rendaient des services.

Il posa de nouveau son regard sur elle, et son sourire ne s'eteigné pas...


"Le spectacle etait il aussi bon que celui que tu m'as offert?"

Il rit légérement, avant de la prendre par le poignet, son autre main se placant derriére sa nuque, pour venir l'embrassait avec une fougue a peine contenue, sa langue partant a la recheche de celle de sa partenaire de jeu. Une fois le baiser achevé, il se recula légérement, admirant ses formes, et se fendit d'un sourire d'autant plus grand. Claquant des doigts, les quelques bouts de tissus qui avaient survecues aux coups de lames, se volatilisérent, emporté par une combustion spontanée... Il voyait enfin ses seins, son ventre plat, ses fesses rebondits et galbées, son sexe attirant.

"Voila qui est bien mieux, tu ne trouve pas?..."
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

Ares 's Théme


Selene

Créature

Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 12 dimanche 28 mars 2010, 18:39:55

Les yeux fermées, les sens en éveilles, l'esprit vidé de ses angoisses. Toute l'attention de Selene était dirigée sur le manche qu'elle tenait. L'épée lui transmettait par vibration tout ce dont elle avait besoin. Le pouls du dieu, les obstacles que rencontrait la lame, la lente respiration semblable au flux et reflux des marées, le roulement des muscles de ce corps qui survivait à la blessure pourtant létale. Puis la divinité mit un terme à l'étude de son corps en se redressant. La connexion rompue, l'immortelle ouvrit ses yeux améthystes. Ils replongèrent dans ceux de sa victime, qui s'affranchissait apparemment de ce titre. Pas de colère. Ou du moins, elle n'arrivait pas à en déceler. C'était étrange pour quelqu'un qui vient d'être empalé. Elle voulut retirer la lame mais une main ferme et autoritaire l'en empêcha.

Une poussée. C'était inattendu et la jeune fille perdit l'équilibre. Son sauveur, le sommier, la rattrapa dans sa chute et elle s'y étala. Elle regarda avec un certain intérêt, le dieu extraire la lame immaculée. Celle-ci renvoyait toujours des reflets argentés qui narguaient la souillure du sang qui aurait dû ternir sa beauté. Elle répondit en hochant la tête à la question de son... ravisseur? Geôlier? Ou hôte? Elle ne savait pas encore comment le qualifier. Son regard était fixé sur l'épée sans maitre qui gisait à portée de main. Puis, une bouche audacieuse vint violer le sanctuaire de ses lèvres. Elle ne les repoussa pas, à l'instar d'un peuple soumis, accueillant son envahisseur et priant tout bas pour qu'il ne le détruise pas. Et comme promis, l'envahisseur se retira de lui-même. La défaite était agréable, même si elle laissait un goût indéterminable pour l'immortelle dont la situation était des plus complexe ; elle n'était pas en mesure de résister à cet homme. Elle se sentait faible et fragile, couchée sur un lit où le dieu allait la consommer.

Et il y avait de quoi. Un simple claquement de doigt plus tard et les derniers vestiges de pudeur s'étaient volatilisés. Instinctivement, l'immortelle resserra les cuisses et mit une main sur ses seins. Recroquevillée, les joues rosies et les yeux baissés, elle offrait le moins de résistance possible à ce vent froid et libidineux qui émanait du regard de l'homme. Elle se sentie alors ridicule, parée d'une pudeur et d'une timidité inhabituelle. Mais cet homme lui faisait peur. Même s'il ne pouvait pas la tuer, son destin était entre ses mains. Pourtant, l'inconscience légendaire de Selene ressurgit lorsque le dieu lui posa sa seconde question.

Pas encore, lui répondit-elle dans un souffle.

De nouveau, elle prit le sabre dont elle avait du mal à se séparer, malgré son inutilité. La pointe d'acier se posa sur la tunique de l'homme et s'enfonça dans le tissu gardien de la pudeur. Le vêtement crissa sous le fil impitoyable de l'arme de guerre qui officiait maintenant en tant qu'ennemi de la chasteté. Un demi-sourire s'étira sur le visage de Selene lorsqu'elle écarta du bout de son arme les pans des guenilles qui tentaient vainement de cacher le torse du dieu.

Mieux, confirma-t-elle d'une voix plus assurée.

Elle se redressa et capta le cou de l'homme qu'elle emprisonna dans un carcan de bras. Elle força ses lèvres entrouvertes qui, elle s'en doutait, ne devait offrir qu'une résistance très symbolique. Lestée de sa nouvelle prise, elle se laissa aller contre le torse mis à nue et l'entraina impitoyablement sur la couche. Elle affermie sa prise en passant une jambe autour de la taille du dieu qu'elle embrassait toujours avec une douceur infinie. Sa langue caressait avec amour chaque parcelles de la caverne buccale dans laquelle elle avait élue domicile. L'homme allongé sur elle la dominait de par sa position et elle ne fit pas mine d'en changer. Sa puissance la rassurait. Elle était parvenue à retourner sa peur en un sentiment de sécurité qu'elle affectionnait par-dessus tout. Le dieu ne la menaçait pas ; il la protégeait.

L'immortalité rend dingue...

Ares

Dieu

Re : Le dieu et l'immortelle

Réponse 13 lundi 29 mars 2010, 19:50:59

L'intimité de cette hutte, le calme de cette soirée en terre Sauvage, tout ici ne pouvaient laisser à penser qu'une bataille avait lieu en ce moment méme. Et pourtant, il y avait bien des combattants, s'adonnant a une lutte silencieuse, la guerre des nerfs, du désir, de la passion. Séléne etait une adversaire des plus agréable a contempler, des plus dangeureuse a affronter pour qui craint les armes ou la morsure de la mort. Mais pour un Dieu, surtout le Dieu de la guerre, elle etait une perle rare, un don caché sur cette terre peuplé de mortels ennuyeux. Il etait tombé par hasard sur elle, mais ne regrettait rien. Elle avait cette sensualité que seul un véritable combattant avait le pouvoir d'observer. Il n'avait rien raté de tout le spectacle, méme lorsqu'elle le transperça de sa lame, jouissant de ce spectacle rare, car rare etaient les mortels ou immortels a avoir eu l'honneur de toucher de leurs armes, la peau Divine d'Ares.

Mais tout n'etait que continuité. Séléne venait de comprendre, regardant sa lame inutile finir sa course au sol, tandis qu'Ares s'amusait comme un enfant. Mais le baiser etait celui d'un homme, un homme conquerant de cette terre sauvage, attirante, mystérieuse. Quelle armée s'arréteraient a l'entrée de cette immensité qui lui tend les bras? Aucune, mais encore moins le Roi de toutes. Degustant ses lévres, il finit par relacher la jeune femme, la regardant de ses Iris de Glace. Les derniers tissus en moins, il découvrit l'ensemble de son corps, qu'elle tenta de cacher. Charmante enfant, mais elle redevient rapidement femme, en se levant, en reprenant cette air assuré, confiante, telle qu'elle avait réussi a l'attisé, a l'attirer a elle...

Elle etait comme cette conquérante qui rend les armes. Comme Vercingétorix face a César, valeureux adversaire, mais qui avait terminé dans la défaite sous le poid des armes romaines. Non qu'Ares etait le meilleurs, mais sa puissance d'Olypien ne laissait rien capable de le défaire. Hormis Aphrodite, et sa puissance incroyable depuis ses créations. Qu'importe en ce moment, il sentait la lame courir le long de son torse, ce qui lui tira un sourire immense, regardant faire cette beauté sauvage. Avec une magnifique élégance, le fil de l'arme termina sa course a la ceinture, fendant le haut du dieu, qui termina au sol, tandis qu'il etait attiré vers elle, ses lévres prisent entre celle de séléne, sa langue chaude se glissant tendrement le long de la sienne, Ares ajoutant ses mouvements a ceux de la Muse, pour creer une valse sensuelle.

Les jambes fines de l'immortelle se glissérent autour de sa taille, il en profita pour se coller encore un peu plus contre elle. Son torse sentit la poitrine généreuse de la jeune femme s'écraser sur sa peau, et sa chaleur se répandre entre eux. Une douce nuée de désir à nouveau, encore une, tandis qu'il glissait, trés légérement, contre elle, ses bras puissant s'enroulant autour de sa taille, ses mains prenant possession de ses fesses, les decouvrant, comme un Héro accédant enfin au panthéon. Trés rapidement, il quitta les lévres de la jeune femme, ses Iris plongeant dans les siennes, le bleu caressant le violet, avant que sa bouche ne vienne se poser avec delicatesse sur la peau tiéde de son cou nue. Il mordit légérement, juste de quoi emoustiller la peau, avant de glisser de baisers, parcourant le haut de ce corps qu'il voulait plus que tout en ce moment.

Il passa au dessus de ses seins, prenant le temps, de decouvrir le premier, le chérir, et de passer a son voisin, faire de méme, titiller les bout durcit, les mordiller, les embrasser. Il ne manquait pas de la regarder le long de sa descente, admirant cette beauté dans le plaisir. Sa bouche courut alors sur son ventre plat, sa langue tourna autour de son nombril, comme un prélude a ce qui allait suivre. Ses mains, toujours chercheuses, se glissérent sur ses cuisses, qu'il griffa, une fois encore, à peine. Et Enfin, son visage disparut entre ses cuisses, pour que ses lévres se posent sur son jardin merveilleux, sa langue ne touchant pas encore le clitoris, préférant tout d'abord se glisser lentement sur ses lévres, les aspirer, devoiler les merveilles de la création. Toujours son regard sur elle, toujours ce méme plaisir de gouter un fruit mystérieux.... Séléne, ce nom lui méme est un plaisir.
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

Ares 's Théme



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